Edition du Jeudi 15 Juillet 2010

 
 
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TERRORISME
4 militaires tués et 9 autres blessés à Tadmaït

Selon une source sécuritaire, hier vers 15h, une patrouille de l'ANP en mission sur les monts de Sidi-Ali-Bounab, tout prÚs du village Larbaù, relevant de la commune de Tadmaït, a subi une violente attaque terroriste. Suite...

 


Edition du Jeudi 15 Juillet 2010

LE RADAR
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L’agence de presse publique, AlgĂ©rie Presse Service (APS), est sans directeur depuis la nomination de Nacer Mehal Ă  la tĂȘte du ministĂšre de la Communication.



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Plusieurs cas de congĂ© de maternitĂ© survenus avant la rĂ©gularisation salariale du secteur de l’éducation nationale bute contre l’application de la circulaire de la Cnas



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En 2008, 696 000 personnes ont obtenu la nationalitĂ© d'un État membre de l'Union europĂ©enne (UE27). Ces chiffres issus d'une Ă©tude "http://ec.europa.eu/eurostat" Eurostat



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HygiĂšne dĂ©plorable, matĂ©riel insuffisant, humanisation absente : le tout nouveau ministre de la SantĂ©, le Dr Djamel Ould-AbbĂšs, a fait lui-mĂȘme un instantanĂ© des conditions de prise en charge des patients au pavillon des urgences (PU) provisoire du CHU Mustapha-Pacha.



Edition du Jeudi 15 Juillet 2010

RADAR
Urgence aux urgences !
HĂŽpital MUSTAPHA-Pacha (I)

HygiĂšne dĂ©plorable, matĂ©riel insuffisant, humanisation absente : le tout nouveau ministre de la SantĂ©, le Dr Djamel Ould-AbbĂšs, a fait lui-mĂȘme un instantanĂ© des conditions de prise en charge des patients au pavillon des urgences (PU) provisoire du CHU Mustapha-Pacha. En visite inopinĂ©e hier, le ministre a dĂ©couvert en live ce qu’endurent les malades et les conditions dans lesquelles travaillent les agents de la santĂ©.
En attendant la prochaine livraison du nouveau centre des urgences, Ould-AbbÚs a donné au DG du CHU, en poste depuis moins de trois mois, des instructions fermes pour remédier à cette situation intolérable en réunissant les conditions matérielles qui respectent le patient et permettent au praticien de faire son travail


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Lors d’une grĂšve, organisĂ©e hier par les travailleurs de l’hĂŽpital Mustapha-Pacha, notre photographe, qui s’est dĂ©placĂ© sur les lieux pour couvrir l’évĂ©nement, a fait l’objet d’un dĂ©rapage de la part des agents de sĂ©curitĂ©



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La proclamation des résultats du bac a consacré sur la plus haute marche du podium, pour la 3e fois de suite, la wilaya de Tizi Ouzou.


La proclamation des rĂ©sultats du bac a consacrĂ© sur la plus haute marche du podium, pour la 3e fois de suite, la wilaya de Tizi Ouzou. Une performance qui honore la famille Ă©ducative de la wilaya malgrĂ© les nombreuses perturbations qui ont marquĂ© l’annĂ©e scolaire mais qui n’en soulĂšve pas moins des interrogations en la comparant Ă  celle bien moins reluisante rĂ©alisĂ©e Ă  l’examen du BEM dans lequel Tizi Ouzou pointe le nez Ă  la 16e place. Il s’agit pourtant des frĂšres et sƓurs des bacheliers ; ils sont issus des mĂȘmes foyers et de la mĂȘme rĂ©gion. Mais alors pourquoi cet Ă©cart si important dans les rĂ©sultats ? Une petite Ă©tude comparative a permis de rĂ©vĂ©ler que sans les Ă©preuves sportives et artistiques (musique et dessin), Tizi Ouzou serait arrivĂ©e en 2e position. Se pose alors le problĂšme de l’évaluation dans ces disciplines censĂ©es aider les candidats et non les pĂ©naliser. Ce n’est pas avec des notes de 5/20 au BEM ou au bac que l’on pourra promouvoir la pratique du sport scolaire



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Plusieurs habitations ont Ă©tĂ© inondĂ©es hier par le dĂ©bordement des eaux usĂ©es suite Ă  l’éclatement d’une conduite prĂšs du quartier Bois-des-Cars de DĂ©ly-Ibrahim



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Les pĂȘcheurs de Zemmouri ne croient pas aux pouvoirs extraordinaires de Paul le poulpe. Ainsi, selon des pĂȘcheurs rencontrĂ©s hier


Actualité

4 militaires tués et 9 autres blessés
Attentat meurtrier Ă  TadmaĂŻt (Tizi Ouzou)

Par : Y. A.


Un attentat Ă  la bombe a ciblĂ©, hier en dĂ©but d’aprĂšs-midi, une patrouille militaire Ă  TadmaĂŻt, 20 km Ă  l’ouest de Tizi Ouzou, avons-nous appris de sources sĂ©curitaires. Quatre bombes, vraisemblablement actionnĂ©es Ă  distance, ont explosĂ© au passage d’une unitĂ© de l’ANP en mission de ratissage dans les parages, prĂ©cisent nos sources qui font Ă©tat d’un bilan macabre : 4 soldats tuĂ©s sur-le-champ, alors que 9 autres militaires ont Ă©tĂ© griĂšvement blessĂ©s.
Les blessĂ©s ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s Ă  l’hĂŽpital de Bordj MenaĂŻel (BoumerdĂšs). Les corps des soldats assassinĂ©s ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  la morgue du CHU Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou, toujours selon les mĂȘmes sources. Des renforts militaires ont Ă©tĂ© acheminĂ©s aussitĂŽt sur les lieux pour traquer le groupe terroriste auteur de cet attentat meurtrier. L’armĂ©e a mobilisĂ©, Ă  cet effet, de gros moyens au niveau des maquis de Sidi-Ali-Bounab devenus une plaque tournante de la subversion terroriste, dĂšs lors que les islamistes armĂ©s en ont fait leur quartier gĂ©nĂ©ral. L’opĂ©ration de ratissage se poursuivait hier en fin de journĂ©e. Aucun bilan n’a filtrĂ© au sujet de cette opĂ©ration qui, au vu de son envergure, risque de durer dans le temps.

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Edition du Jeudi 15 Juillet 2010

Chronique

De la salle Atlas, en 1990, au bar Djamila en 2010

Des dĂ©fenseurs de l’ordre puritain ont attaquĂ© un bar-restaurant Ă  El-Biar. On pourrait attribuer “l’incident” au zĂšle rĂ©dempteur et Ă  la violence culturelle de quelques illuminĂ©s, comme le pays en forme tant depuis trois dĂ©cennies, si leurs agissements ne rejoignaient pas la mĂȘme ardeur que l’État met Ă  traquer les dĂ©bits de boissons. Son administration semble en avoir fait sa premiĂšre tĂąche d’ordre public, Ă  l’image du wali prohibitionniste de BoumerdĂšs. Ce commis de l’État a fait cette mĂ©morable dĂ©claration qui prouve que la mission rigoriste n’a pas besoin de se rĂ©fĂ©rer Ă  la loi : “Je ne donnerai jamais de nouvelles autorisations pour la commercialisation d’alcool. Mieux, je ne raterai aucune occasion pour fermer des Ă©tablissements existants si l’occasion se prĂ©sente.”
De fait, Ă  BoumerdĂšs comme ailleurs, ce qui semble ĂȘtre un mot d’ordre national est appliquĂ© Ă  tous les niveaux de l’administration, avec un enthousiasme soutenu.
En haut du boulevard Mohammed-V Ă  Alger, un commerce de liqueurs et spiritueux. Ses clients, comme tous ceux des marchands d’alcool, se font nombreux en fin de journĂ©e et en dĂ©but de soirĂ©e. Souvent, quand on prend ce boulevard, on observe le mĂȘme manĂšge : des vĂ©hicules garĂ©s sur le cĂŽtĂ© de la boutique et, juste devant, un vĂ©hicule de police qui vient s’arrĂȘter pour leur “enlever les papiers”. Au demeurant, l’expression “enlever les papiers”, aujourd’hui popularisĂ©e, et qui a remplacĂ© le terme “verbaliser”, rĂ©sume dĂ©sormais aux yeux de l’usager de la route l’essentiel de ses rapports Ă  l’agent de l’ordre.
À ce niveau du boulevard, la chaussĂ©e se rĂ©trĂ©cit quelque peu et le stationnement y engendre plus de risques. Mais, Ă  premiĂšre vue, l’assiduitĂ© de l’intervention policiĂšre Ă  cet endroit est remarquable et n’est observable nulle part ailleurs, si ce n’est devant certains bĂątiments officiels. On peut alors lĂ©gitimement penser que la nature du commerce est pour quelque chose dans la ferveur particuliĂšre Ă  veiller Ă  l’ordre sur ce tronçon de rue.
Plus gĂ©nĂ©ralement, et s’en prenant plus spĂ©cialement Ă  la question de l’alcool, l’administration semble avoir pris Ă  son compte : une mise au pas bigote de la sociĂ©tĂ©. Il n’en fallait pas plus pour que des intĂ©gristes s’organisent en milices de la vertu et lancent des expĂ©ditions punitives contre ces “lieux de dĂ©bauche”, puisque l’État les traite comme tels. Avant Alger, ce fut Annaba oĂč une cohorte de “justiciers” eut tout le loisir de dĂ©molir les accessoires d’un autre commerce proposant de l’alcool, de rouer de coups de barres de fer ses clients et de les dĂ©lester, trĂšs religieusement de
 leurs tĂ©lĂ©phones et de leur monnaie.
Quand l’État et l’intĂ©grisme s’allient sur le terrain idĂ©ologique, il n’est pas Ă©tonnant qu’ils se retrouvent sur le terrain des “luttes”. Et que des hordes rĂ©demptrices viennent porter main forte, c’est le cas de le dire, Ă  la surenchĂšre rigoriste du pouvoir.
Bis repetita. Le ministre des Affaires religieuses ne se trompait pas quand, derniĂšrement, il exprimait, devant des religieux qui refusaient de se lever Ă  l’hymne national, sa crainte de voir le pays “retourner Ă  1990”. Les salles Harcha et Atlas que les troupes de Ali Benhadj fermaient en 1990, n’ouvrent plus tellement ; il ne reste que les dĂ©bits de boissons Ă  offrir aux islamistes comme gage de ralliement.

M. H.
musthammouche@yahoo.fr         

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Edition du Jeudi 15 Juillet 2010

Actualité
“Le jeĂ»ne n’est pas obligatoire pour les personnes malades”
Experts, mĂ©decins, religieux et associations lancent une campagne sur le “diabĂšte et le Ramadhan”

Par : Hana Menasria


 â€œLe jeĂ»ne pour les diabĂ©tiques n’est pas obligatoire. Ceux qui veulent le faire doivent consulter un mĂ©decin et s’y prĂ©parer un mois ou deux Ă  l’avance”, a annoncĂ© M. SekkaĂŻ, paramĂ©dical au CHU Mustapha-Pacha. Cette dĂ©claration a Ă©tĂ© faite hier lors d’une confĂ©rence de presse au Forum d’El Moudjahid. OrganisĂ© par Novo Nordisk AlgĂ©rie, dans le cadre du lancement de la campagne de sensibilisation “diabĂšte et Ramadhan”, cette rencontre a Ă©tĂ© animĂ©e par plusieurs spĂ©cialistes, dans le domaine de la mĂ©decine, de la diĂ©tĂ©tique, des religieux et des membres d’associations. Le dĂ©bat a portĂ© sur le problĂšme de la pratique du carĂȘme chez les diabĂ©tiques qui, par honte ou par spiritualitĂ©, optent pour le jeĂ»ne et mettent leur santĂ© en danger. “Notre but est de conseiller les malades et les informer sur leur maladie, mais aussi nous essayons de leur faire comprendre les risques du jeĂ»ne”, ont-ils expliquĂ©. D’ailleurs, les experts ont mis en avant les recommandations Ă  suivre pour le mois de Ramadhan en insistant sur “l’importance des activitĂ©s physiques, il faut aussi bien s’hydrater avant de dormir”, a insistĂ© le paramĂ©dical.
La plupart des malades surtout les personnes ĂągĂ©es persistent Ă  faire carĂȘme par conviction religieuse, sur ce point le Dr Benredouane a confirmĂ© que “si le mĂ©decin conseille le malade de ne pas faire carĂȘme, il faut respecter sa prescription. Un mĂ©decin sait ce qu’il fait. Dans les mosquĂ©es, nous Ă©voquons ces sujets mais la plupart n’adhĂšrent pas Ă  cette idĂ©e mĂȘme en prĂ©sence d’un imam”, s’est insurgĂ© le conseiller religieux. De peur de se faire rejeter par leurs camarades de classe, les enfants diabĂ©tiques font carĂȘme au dĂ©triment de leur santĂ©. “Beaucoup d’enfants sont victimes de malaises car ils ont honte de prendre leur collation. Les professeurs doivent mettre en place des salles pour ces diabĂ©tiques afin qu’ils puissent manger normalement”, a soulignĂ© M. Boucetta, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration algĂ©rienne des associations de diabĂ©tiques. Dans le but de casser le tabou durant ce mois sacrĂ©, les experts ont insistĂ© sur le fait de “vulgariser la chose et d’en parler pour que les malades puissent manger en bonne conscience”. Pour sensibiliser l’assistance, de jeunes diabĂ©tiques Ă©taient venus tĂ©moigner sur leur situation durant le mois de carĂȘme et des difficultĂ©s qu’ils rencontrent sur le plan social. Concernant, la campagne de sensibilisation lancĂ©e par Novo Nordisk, elle vise Ă  “amĂ©liorer la santĂ© et le bien-ĂȘtre des diabĂ©tiques Ă  travers des activitĂ©s d’éducation, de sensibilisation et de prĂ©vention”. En outre, le prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral a persistĂ© sur le fait que “notre rĂŽle est de renforcer les conditions Ă©ducatives pour ceux qui veulent faire le mois de carĂȘme. Et notre rĂŽle est d’informer les malades durant toute l’annĂ©e”, a-t-il conclu.


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16/07/2010
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