Spécial Coupe du Monde 2006 : Où voir les matches du week-end en clair

Spécial Coupe du Monde 2006 : Où voir les matches du week-end en clair


JEUDI
? Groupe A (Hambourg)
14:00h
Equateur-Costa Rica
- M6 Suisse ? Eutelsat 7° Est (le signal vient d'être crypté, la TSR arguant du fait qu'elle possède les droits de diffusion sur le territoire suisse)
- M6 ? Atlantic Bird 5° Ouest
(Analogique/Secam)
- ZDF ? Astra 19 ° Est
- TSR2, SF2, TSI2 ?Hot Bird 13° Est (codes disponibles
? pas de changement depuis le 8 juin)
- Slovenia TV2 ? Hot Bird 13° Est (codes disponibles).
? Groupe B (Nuremberg) 17h00
Angleterre - Trinidad-et- Tobago
- M6 ? Atlantic Bird 5° Ouest
(Analogique/Secam)
- ZDF ? Astra 19 ° Est
- TSR2, SF2, TSI2 ? Hot Bird 13° Est(codesdisponibles
? pas de changement depuis le 8 juin)
- Slovenia TV2 ? Hot Bird 13° Est (codes disponibles).
? Groupe B (Berlin) 20h00
Suède-Paraguay
- ARD ? Astra 19° Est (A vérifier et si jamais le match ne passe pas sur ARD, il est sûrement sur ZDF ou RTL)
- ARD ? Astra 19° Est (Pal/ Analogique)
- TSR2, SF2, TSI2 ? Hot Bird 13° Est (codes disponibles
? pas de changement depuis le 8 juin)
- Slovenia TV2 ? Hot Bird 13° Est (codes disponibles)
- TF1 ? Atlantic Bird 5°
Ouest (Analogique/Secam).
VENDREDI
? Groupe C
(Gelsenkirchen) 15h00
Argentine-Serbie
- M6 ? Atlantic Bird 5° Ouest
(Analogique/Secam)
- ARD? Astra 19 ° Est
- ARD ? Astra 19° Est (Pal/Analogique)
- TSR2, SF2, TSI2 ? Hot Bird 13° Est (codes disponibles
? pas de changement depuis le 8 juin).
? Groupe C (Stuttgart)
17h00
Hollande-Côte d'Ivoire
- TF1? Atlantic Bird 5° Oues(Analogique/Secam)
- ARD? Astra 19 ° Est
- ARD ? Astra 19° Est
(Pal/Analogique)
- TSR2, SF2, TSI2 ? Hot Bird 13° Est (codesdisponibles
? pas de changement depuis le 8 juin)
- Slovenia TV2 ? Hot Bird 13° Est (codesdisponibles).
? Groupe D (Hanover)
20h00
Mexico-Angola
- M6 ? Atlantic Bird 5° Ouest (Analogique/Secam)
- ZDF ? Astra 19 ° Est
- ZDF ? Astra 19° Est (Pal/Analogique)
- TSR2, SF2, TSI2 ? Hot Bird 13° Est,, (codes disponibles
? pas de changement depuis le 8 juin)
- Slovenia TV2 ? Hot Bird 13° Est (codesdisponibles).


http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2006/06/15/article.php?sid=39812&cid=29 [lien]
rouibaville





L'Allemagne, qui a difficilement éliminé l'Argentine (1-1, 4 t.a.b. à 2), plongeant un peu plus le pays dans la liesse, rencontrera l'Italie, facile vainqueur d'une pâle Ukraine (3-0), en demi-finale du Mondial de football le 4 juillet à Dortmund (ouest).


Les deux équipes se sont déjà affrontées à quatre reprises en phase finale de Coupe du monde. L'Italie n'a jamais perdu, remportant notamment la demi-finale du Mondial-70 (4-3 a.p.) au Mexique et la finale du Mondial-82 (3-1) en Espagne.

Lors de la dernière rencontre entre les deux pays, en amical le 1er mars à Florence, l'Italie s'étaient nettement imposée (4-1).

A Berlin, là même où se déroulera la finale le 9 juillet, l'Allemagne a souffert pour écarter l'Argentine en fin d'après-midi.

Mais en revenant à la marque grâce à Klose (80) - meilleur buteur de l'épreuve (5 buts) - après l'ouverture du score des Argentins via Ayala (49), puis en se montrant plus forte dans l'épreuve des tirs au but, la Mannschaft a mérité sa qualification.

Sa performance a encore un peu plus plongé le pays dans la liesse. A l'inverse, une chape de plomb s'est abattue sur Buenos Aires. Un silence de mort a suivi le deuxième tir au but raté par la sélection albiceleste, dans les milliers de bars, restaurants et salles de bureaux où s'étaient rassemblés des millions d'Argentins pour suivre en direct ce match à la télévision.

"Le match a été difficile, mais je crois que cette victoire était méritée, nous nous sommes créé les meilleurs chances et avons fait preuve d'endurance et force mentale", a déclaré le sélectionneur allemand Jürgen Klinsmann après la rencontre.

"Cette équipe qui croit en elle tout le temps, envoie un message fort: elle peut être championne du monde", a-t-il ajouté.

Côté argentin, le sélectionneur José Pekerman a annoncé qu'il tirait sa révérence. "C'est fini, le chapitre est clos. Je ne vais effectivement pas continuer", a-t-il devant la presse juste après l'élimination de sa formation.

Fait troublant: la légende du football argentin Diego Maradona n'était pas dans les tribunes lors du match, selon la télévision allemande, alors qu'il avait assisté à tous les matches de la sélection argentine.

Maradona n'aurait pas assisté à la rencontre en signe de protestation après s'être vu refuser l'entrée à la tribune VIP du stade, selon la première chaîne ARD.

Un peu plus tard à Hambourg, l'Italie, à qui on reprochait pourtant de ne pas jouer offensif, n'a pas fait de détails face à l'Ukraine. Un but rapide de Zambrotta (6), puis un doublé de Toni en seconde période (59, 69) n'ont laissé aucune chance aux Ukrainiens.

A Rome, les supporteurs ont envahi les grandes places dès le coup de sifflet final pour exprimer leur joie.

"Je suis vraiment heureux, très fier de mes joueurs, surtout pour Luca Toni qui mérite de marquer et ne l'avait pas fait encore dans ce tournoi, bizarrement", a déclaré après le match le sélectionneur de la Squadra Azzura, Marcello Lippi.

"Je pense que ce sera difficile pour nous contre l'Allemagne, a-t-il dit. Mais ce sera aussi difficile pour l'Allemagne. C'est très important de ne pas avoir eu trop de cartons".

Plusieurs joueurs de la Squadra Azzurra ont par ailleurs déployé à la fin du match un drapeau italien portant l'inscription: "Pessottino, siamo con te" (cher Pessotto, nous sommes avec toi).

Pessotto, ex-joueur de la Juve devenu dirigeant, souffre de multiples fractures après une chute d'une vingtaine de mètres qui pourrait, selon son épouse, être une tentative de suicide.

Les deux derniers quarts de finale - Angleterre-Portugal à Gelsenkirchen (ouest) et Brésil-France à Francfort (centre) - ont lieu samedi. Les vainqueurs de ces deux rencontres se retrouveront en demi-finale.

En soirée, sur la pelouse de Francfort, les Français et les Brésiliens en découdront dans un grand classique du Mondial: d'un côté, les artistes Ronaldinho, Ronaldo, Kaka et Adriano, de l'autre, des Bleus qui voudront effacer les critiques qui se sont abattues sur eux ces dernières semaines et poursuivre sur la lancée de leur grand match contre l'Espagne: Zidane, Thuram, Vieira et Henry.

Spectacle garanti. Les amateurs de football le savent, tous les France-Brésil de l'histoire de la Coupe du monde sont entrés dans la légende: en 1958, le Brésil l'emporte 5-2 en demi-finale et Pelé, 17 ans, marque trois buts. En 1986, la France de Platini s'impose aux tirs au but mais ce quart de finale reste comme l'un des plus beaux de l'histoire du football. En 1998, la bande à Zidane pulvérise le Brésil de Ronaldo 3 à 0 en finale du Mondial au Stade de France.
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Allemagne - Argentine

Berlin - 17 h

Température prévue : 20°

Composition probable des équipes

Allemagne : Lehmann, Friedrich, Metzelder, Mertsacker, Lahm, Schneider, Frings, Ballack, Schweinsteiger, Podolski, Klose.

Argentine : Abbondanzieri, Cufre, Ayala, Heinze, Sorin, Gonzalez, Mascherano, Riquelme, Rodriguez, Saviola, Crespo.

Arbitre : Lubos Michel (Slovaquie)



L'Allemagne et l'Argentine se sont rencontrées 16 fois : 5 victoires pour l'Allemagne, 7 pour l'Argentine et 4 nuls.

Leur rencontre la plus récente, lors de la Coupe des Confédérations s'est soldée par un nul 2-2.


Finelement Italie-ukraine etait plus a voir que Argentine-Allemagne!

J'espere que les italiens continuent a jouer comme ca parce qu'ils ont fait un match super ce soir!


Mondial-2006: l'Allemagne en demi-finales de son Mondial
ven 30 jui, 22h41

AFP/
agrandir la photo BERLIN (AFP) - L'Allemagne s'est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe du monde de football en battant l'Argentine aux tirs au but (1-1, 4 t.a.b. à 2), à l'issue d'une partie tactique et équilibrée qui n'a pas tenu toutes les promesses faites par les deux équipes lors des tours précédents.


Dès le départ, l'Allemagne se présentait dans sa formation habituelle en 4-4-2, avec Klose et Podolski en pointe tandis que l'Argentine, en phase offensive, présentait une équipe totalement déséquilibrée vers la gauche.



AFP/Olivier Lang
agrandir la photo Le sélectionneur argentin Jose Pekerman avait choisi de titulariser Tevez à la place de Saviola. Le jeune joueur des Corinthians de Sao Paulo s'installait résolument sur l'aile gauche, épaulé par son capitaine Sorin, et servi le plus souvent par un Riquelme omniprésent dans la construction du jeu.


Malgré leur très nette supériorité technique et une domination territoriale insolente (65% de possession de balle à la mi-temps), les Argentins butaient sur le rideau défensif allemand très bien en place et ne parvenaient pas à se créer d'occasions.


Ce sont les Allemands, paradoxalement, qui s'offraient les deux seules actions marquantes de la première période, sur des contres. D'abord avec une tête de Ballack en pleine course (17e) sur un centre de Schneider. Suivie deux minutes plus tard d'un tir en pivot de Mertesacker à une vingtaine de mètres face au but.


Dans cette partie fermée où les deux équipes étaient surtout attentives à ne pas commettre d'erreurs défensives, c'est l'Argentine qui ouvrait le score à la 49e minute. Sur un corner tiré de la droite par Riquelme, le défenseur argentin Ayala devançait son garde du corps Klose et battait Lehmann de la tête à bout portant (0-1).



AFP/Michael Gottschalk
agrandir la photo Le match allait changer de tonalité dans les vingt dernières minutes du temps réglementaire. Le gardien argentin Abbondanzieri se blessait en captant un ballon. Il sortait sur une civière (71e), sous les huées du public allemand. Entrait en jeu Leonardo Franco, gardien de l'Atletico Madrid, pour sa quatrième sélection. Dans les minutes suivantes, le coach argentin décidait de remplacer Riquelme, puis Crespo, deux de ses meilleurs atouts offensifs jusque-là, par Cambiasso et Cruz.


Un autre match débutait. Le public à fleur de nerfs, sifflets, clameurs à chaque changement d'attaque, les gestes d'humeur entre joueurs, l'engagement redoublé dans les duels, tout contribuait soudain à donner enfin à la rencontre le parfum et l'intensité dramatiques d'un quart de finale de Coupe du monde.


C'est dans cette ambiance que Klose, meilleur buteur du tournoi avec quatre réalisations avant le match, égalisait de la tête sur un centre de Ballack, dévié par le crâne de Borowski (1-1). Il restait dix minutes à jouer dans le temps réglementaire. Insuffisant pour se départager.


Prolongation. Etait-ce leur fraîcheur, ou des changements tactiques plus judicieux de la part de Klinsmann (Odonkor, Borowski et Neuville entrés en jeu aux places de Schneider, Schweinsteiger et Klose)? L'Allemagne en tous cas prenait le jeu à son compte, pour la première fois de la partie.


Les Argentins reprenaient pied dans la deuxième partie de la prolongation, par un tir de Tevez capté sans difficulté par Lehmann, puis par deux tentatives lointaines de l'arrière Coloccini, hors cadre, suivies d'un autre tir de Tevez au dessus de la cage à deux minutes de la fin. Mais les deux équipes ne pouvaient se départager et il fallait la séance de tirs au but pour désigner un vainqueur.


Neuville, Ballack, Podolski et Borowski réussissaient les quatre tirs allemands, tandis que Lehmann bloquait ceux Ayala et de Cambiasso. Le public pouvait exulter, l'aventure des "p'tits gars de Klinsmann" continue.


QUARTS DE FINALE

Vendredi 30 juin
Match N.57: Allemagne - Argentine 1 - 1 (4 tab à 2)
Match N.58: à Hambourg (21h00), Italie - Ukraine
Samedi 1er juillet
Match N.59: à Gelsenkirchen (17h00), Angleterre - Portugal
Match N.60: à Francfort (21h00), Brésil - France


DEMI-FINALES

Mardi 4 juillet
Match N.61: à Dortmund (21h00), Allemagne - vainqueur N.58
Mercredi 5 juillet
Match N.62: à Munich (21h00), vainqueur N.59 - vainqueur N.60
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Mondial-2006: l'Allemagne en demi-finales de son Mondial
ven 30 jui, 22h41

AFP/
agrandir la photo BERLIN (AFP) - L'Allemagne s'est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe du monde de football en battant l'Argentine aux tirs au but (1-1, 4 t.a.b. à 2), à l'issue d'une partie tactique et équilibrée qui n'a pas tenu toutes les promesses faites par les deux équipes lors des tours précédents.


Dès le départ, l'Allemagne se présentait dans sa formation habituelle en 4-4-2, avec Klose et Podolski en pointe tandis que l'Argentine, en phase offensive, présentait une équipe totalement déséquilibrée vers la gauche.



AFP/Olivier Lang
agrandir la photo Le sélectionneur argentin Jose Pekerman avait choisi de titulariser Tevez à la place de Saviola. Le jeune joueur des Corinthians de Sao Paulo s'installait résolument sur l'aile gauche, épaulé par son capitaine Sorin, et servi le plus souvent par un Riquelme omniprésent dans la construction du jeu.


Malgré leur très nette supériorité technique et une domination territoriale insolente (65% de possession de balle à la mi-temps), les Argentins butaient sur le rideau défensif allemand très bien en place et ne parvenaient pas à se créer d'occasions.


Ce sont les Allemands, paradoxalement, qui s'offraient les deux seules actions marquantes de la première période, sur des contres. D'abord avec une tête de Ballack en pleine course (17e) sur un centre de Schneider. Suivie deux minutes plus tard d'un tir en pivot de Mertesacker à une vingtaine de mètres face au but.


Dans cette partie fermée où les deux équipes étaient surtout attentives à ne pas commettre d'erreurs défensives, c'est l'Argentine qui ouvrait le score à la 49e minute. Sur un corner tiré de la droite par Riquelme, le défenseur argentin Ayala devançait son garde du corps Klose et battait Lehmann de la tête à bout portant (0-1).



AFP/Michael Gottschalk
agrandir la photo Le match allait changer de tonalité dans les vingt dernières minutes du temps réglementaire. Le gardien argentin Abbondanzieri se blessait en captant un ballon. Il sortait sur une civière (71e), sous les huées du public allemand. Entrait en jeu Leonardo Franco, gardien de l'Atletico Madrid, pour sa quatrième sélection. Dans les minutes suivantes, le coach argentin décidait de remplacer Riquelme, puis Crespo, deux de ses meilleurs atouts offensifs jusque-là, par Cambiasso et Cruz.


Un autre match débutait. Le public à fleur de nerfs, sifflets, clameurs à chaque changement d'attaque, les gestes d'humeur entre joueurs, l'engagement redoublé dans les duels, tout contribuait soudain à donner enfin à la rencontre le parfum et l'intensité dramatiques d'un quart de finale de Coupe du monde.


C'est dans cette ambiance que Klose, meilleur buteur du tournoi avec quatre réalisations avant le match, égalisait de la tête sur un centre de Ballack, dévié par le crâne de Borowski (1-1). Il restait dix minutes à jouer dans le temps réglementaire. Insuffisant pour se départager.


Prolongation. Etait-ce leur fraîcheur, ou des changements tactiques plus judicieux de la part de Klinsmann (Odonkor, Borowski et Neuville entrés en jeu aux places de Schneider, Schweinsteiger et Klose)? L'Allemagne en tous cas prenait le jeu à son compte, pour la première fois de la partie.


Les Argentins reprenaient pied dans la deuxième partie de la prolongation, par un tir de Tevez capté sans difficulté par Lehmann, puis par deux tentatives lointaines de l'arrière Coloccini, hors cadre, suivies d'un autre tir de Tevez au dessus de la cage à deux minutes de la fin. Mais les deux équipes ne pouvaient se départager et il fallait la séance de tirs au but pour désigner un vainqueur.


Neuville, Ballack, Podolski et Borowski réussissaient les quatre tirs allemands, tandis que Lehmann bloquait ceux Ayala et de Cambiasso. Le public pouvait exulter, l'aventure des "p'tits gars de Klinsmann" continue.


QUARTS DE FINALE

Vendredi 30 juin
Match N.57: Allemagne - Argentine 1 - 1 (4 tab à 2)
Match N.58: à Hambourg (21h00), Italie - Ukraine
Samedi 1er juillet
Match N.59: à Gelsenkirchen (17h00), Angleterre - Portugal
Match N.60: à Francfort (21h00), Brésil - France


DEMI-FINALES

Mardi 4 juillet
Match N.61: à Dortmund (21h00), Allemagne - vainqueur N.58
Mercredi 5 juillet
Match N.62: à Munich (21h00), vainqueur N.59 - vainqueur N.60







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Ben moi j'ai voté "champions du monde".

Avant le mondial, je pensais que l'équipe pouvait faire kelke chose de bien, pour se faire pardonner 2002.
Pendant les qualifications, j'ai eu peur...très peur que finalement ça soit encore pire que 2002 et qu'ils ne soient pas parmis les qualifiés.

Lors du 1er tour je doutais un peu comme tout le monde (sauf Sandra), que le séjour soit écourté. Par contre j'étais certaine que s'ils le passaient et qu'ils se retrouvent face à des équipes d'un calibre plus important, ils trouveraient les moyens nécessaire pour pratiquer du beau jeu et remporter les matchs.

Après le superbe match contre l'Espagne, et face aux redoutables Brésiliens ils ont montrés de quoi ils étaient capables. Le problème qui se pose maintenant, c'est de tenir le tout nouveau rang de "favori" sans faire preuve de triomphalisme à la Française.

Face aux Portugais, la France à toutes ses chances au niveau du jeu. Même si ceux ci ont récupérés leur meneur de jeu Déco, ils sont (à mon avis) un peu émoussés par les matchs précédents et notemment contre les Pays Bas et contre l'Angleterre. La sérénité n'est pas vraiment de mise dans le groupe Portugais, alors si les bleus sont de vrais pros et qu'ils prennent leur adversaire au sérieux, ils vont droit vers la finale.

Je pense sincèrement que l'Allemagne se qualifiera chez elle et devant son public. Même si l'équipe n'est pas "extraordinaire", à elle de se surpasser pour vivre de grands moments.

En finale si mes prédictions sont bonnes, on retrouvera un alléchant Allemagne - France.
Allemagne - France, cette affiche serait belle et donnerait l'occasion aux bleus de "venger" leurs illustres ainés (cf 1982-1986).Maintenant il faut reconnaitre que sur un match tout est possible, et quoiqu'il en soit au soir du 4 juillet et du 9 juillet, merci et bravo à l'équipe de France de nous faire sortir un peu de la morosité actuelle.

Spécial Coupe du Monde 2006 : QUARTS DE FINAL
ANGLETERRE 0 - PORTUGAL 0 (A.P, LE PORTUGAL QUALIFIÉE AUX TAB, 3-1)
La Selecçao, la preuve par deux




Deux ans après le quart de finale de l'Euro, le Portugal a une nouvelle fois éliminé l'Angleterre lors de la séance des tirs au but (0- 0, 3-1 t.a.b). Les Anglais ont été réduits à 10 en seconde période après l'expulsion de Wayne Rooney pour un mauvais geste sur Ricardo Carvalho.


En début de match, la splendide enceinte de Gelsenkirchen parlait d'une seule voix. Un carré de supporteurs portugais se trouvait isolé dans un ensemble tout acquis à la cause des Anglais. Forts de ce soutien ? avec la présence du rockeur Mick Jagger ?, ceux-ci entraient dans la partie avec une conviction rarement démontrée jusqu'alors. Wayne Rooney se mettait ainsi en action d'une volée des vingt mètres dans les bras de Ricardo (9?). D'abord attentistes, les Portugais commençaient lentement à pointer leur nez. Mais Tiago ne pouvait reprendre aux 6 m un ballon mal dégagé par Gary Neville sur un coup franc de Luis Figo (13?). Cristiano Ronaldo, remis de sa blessure à une cuisse, commençait son numéro sur son aile gauche. Il repiquait sur l'intérieur pour adresser une frappe trop enlevée (19?). Après quelques minutes plutôt prometteuses, les deux équipes s'assoupissaient. Les uns et les autres étant plus prompts à toucher sol qu'à séduire le spectateur, seul Cristiano Ronaldo semblait en mesure de proposer quelque chose face à des Anglais à la retenue déconcertante. Tenu en échec à droite, Luis Figo changeait de position avec Cristiano Ronaldo. Le Ballon d'Or 2000 s'offrait ainsi sans doute la plus belle chance, en enroulant sa frappe à vingt mètres. Mais elle n'inquiétait pas réellement Paul Robinson (39?). David Beckham réclamait de son côté un penalty pour une main dans la surface de Nuno Valente (51?). Mais le capitaine anglais devait surtout quitter les siens, se ressentant de la cheville droite touchée sur un tacle en début de seconde période (52?). Aaron Lennon, 19 ans, injectait immédiatement sa vitesse dans le jeu anglais. Percutant sur le côté droit, il éliminait trois défenseurs. Mais Rooney ne pouvait enchaîner et Joe Cole en bout de course frappait au-dessus (59?). La partie devait ensuite basculer sur une action à l'origine anodine au milieu de terrain. Le tempétueux Rooney était à la lutte avec Ricardo Carvalho et en tombant marchait sur le bas-ventre du Portugais. Bien placé, l'arbitre argentin Horacio Elizondo n'hésitait pas à l'exclure. Luiz Felipe Scolari remplaçait alors un Pauleta inexistant par Simao Sabrosa (63?), plaçant Cristiano Ronaldo à la pointe du trident offensif. Un choix pas forcément des plus judicieux, car les Portugais perdaient le pouvoir d'accélération du jeune Mancunien sur les côtés. En dépit de leur supériorité numérique, ils ne se créaient ainsi que des semblants d'occasions. Comme inhibés par la peur d'échouer aux portes d'une demi-finale leur tendant les bras, les Portugais devenaient très fébriles. Ils ne parvenaient pas à contourner le bloc compact tissé par les Anglais. Maniche plaçait une dernière frappe au-dessus (120?) et les deux équipes devaient se départager comme deux ans plus tôt. Ricardo, héros du quart de finale de l'Euro, anticipait bien sur la frappe de Lampard, mais Hugo Viana trouvait ensuite le poteau. Petit manquait à son tour, mais Gerrard imitait Lampard. Carragher, à son deuxième essai ? il avait tiré une première fois trop hâtivement ? trouvait la main sûre de Ricardo, puis la barre transversale. Cristiano Ronaldo méritait lui de conclure.

La ?malédiction?? des anglais

L'Angleterre, éliminée en quart de finale du Mondial-2006 de football à l'issue de la séance des tirs au but par le Portugal (0-0, 3 t.a.b. à 1), est victime de ce cruel exercice pour la cinquième fois dans une compétition majeure. En 1990, l'Angleterre s'inclina en demi-finale face à la RFA (1-1, 4 t.a.b. à 3), future championne du monde. Rebelote huit ans plus tard, en 1998, en huitième de finale face à l'Argentine (2-2, 4 t.a.b. à 3). En phase finale de Championnat d'Europe, la même mésaventure est également arrivée deux fois. D'abord en demi-finale de l'Euro-96 en Angleterre, une nouvelle fois face à l'Allemagne (1- 1, 6 t.a.b. à 5). Ensuite face... au Portugal (2-2, 6 t.a.b. à 5), en quart de finale de l'Euro-2004. Cette semaine, le milieu de terrain Owen Hargreaves avait pourtant estimé que son équipe était désormais à l'abri d'un mauvaise surprise aux tirs au but contre le Portugal : "Nous avons quelques-uns des meilleurs spécialistes du monde sur coup de pied arrêté dans notre équipe - Stevie G (Steven Gerrard), Lamps (Frank Lampard), Becks (David Beckham)", avait-t-il dit. Gerrard et Lampard ont vu leur tir arrêté par le gardien portugais Ricardo, et David Beckham, sorti en cours de match, n'a pas participé à l'épreuve.

Fiche technique
A Gelsenkirchen ?Arena auf Schalke??, terrain bon, temps humide, 52.000
Spectateurs, Arbitrage deM. H. Elizondo (ARG)
Tirs au but réussis : Hargreaves (Angleterre), Simao Sabrosa, Helder
Postiga, Cristiano Ronaldo (Portugal)
Tirs au but manqués : Lampard, S. Gerrard, Carragher (Angleterre), Hugo
Viana, Petit (Portugal)
Avts : Terry (30?), Hargreaves (107?) Angleterre, Petit (44?), Ricardo Carvalho
(111?) Portugal
Exp. Rooney (62) Angleterre
Angleterre : P. Robinson - G. Neville- R. Ferdinand- Terry- Ash. Cole -
Hargreaves - Beckham (cap) (Lennon 52, Carragher 119?) - S. Gerrard -
Lampard, J. Cole puis Crouch (65?) ? Rooney.
Ent. : Sven-Goran Eriksson (SWE)
Portugal : Ricardo - Miguel, Fernando Meira, Ricardo Carvalho- Nuno
Valente - Petit, Tiago puis Hugo Viana (75?), Maniche - Figo (cap) puis Helder
Postiga (86?) - Pauleta puis Simao Sabrosa (62?) - Cristiano Ronaldo.
Ent. : Luiz Felipe Scolari (BRA)
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2006/07/02/article.php?sid=40580&cid=29

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