0227 -/-actualitès du Mercredi 15 Août 2018
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Jeudi 14 Septembre 2017
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Algérie - Prévisions météo : Jeudi 14 septembre 2017
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الخميس 14 سبتمبر 2017 م
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Canal Algérie | Journal télévisé de 19 h pour Mercredi 15 Aout 2018

Canal Algérie | Journal télévisé de 19 h pour Mercredi 15 Aout 2018
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لتلفزيون الجزائري | نشرة أخبار الثامنة ليو الأربعاء 15 أوت 2018م
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L'info en continu
Pas de résidence surveillée au du pasteur américain
15-08-2018 -
Un tribunal turc a rejeté mercredi un nouvel appel du pasteur américain Andrew Brunson, accusé par les autorités turques de "terrorisme" et d'"espionnage", demandant la ... Lire
Démolition de plus de 140 habitations à Illizi
15-08-2018 -
Un total de 146 chalets ont été démolis dans la commune d'Illizi dans le cadre de l'éradication totale de ce type d'habitation dans cette wilaya, ... Lire
La compagnie Saudia frappée par une panne
15-08-2018 -
La compagnie aérienne d'Arabie saoudite, Saudia, a été frappée par une panne soudaine du "système de gestion des vols", qui a affecté le trafic aérien ... Lire
L'Inde enverra un homme ou une femme dans l'espace
15-08-2018 -
Le Premier ministre indien Narendra Modi a annoncé mercredi dans un discours à la Nation que son pays enverra une mission habitée dans l'espace en ... Lire
Poutine prêt à rencontrer Kim Jong Un
15-08-2018 -
Le président russe Vladimir Poutine est prêt à rencontrer le leader nord-coréen Kim Jong Un "à une date rapprochée", rapporte mercredi l'agence officielle nord-coréenne KCNA. ... Lire
Ankara augmente les taxes sur les produits américains
15-08-2018 -
La Turquie a augmenté les droits de douane sur l'importation de plusieurs catégories de produits américains, annonce mercredi le journal officiel. Ainsi, les droits de ... Lire
La Chine contestera auprès de l'OMC
15-08-2018 -
La Chine a lancé mardi une procédure de règlement des différends de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) concernant les mesures de sauvegarde et des subventions ... Lire
Paix et de sécurité : la nouvelle architecture de l'ONU
15-08-2018 -
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a souligné mardi que le renforcement de l'ONU passe par la restructuration de son système pour le ...Lire
La mortalité par AVC évolue inégalement en Europe
15-08-2018 -
Une étude publié mercredi révèle que les taux de mortalité par accident vasculaire cérébral (AVC) diminuent globalement en Europe, mais cette réduction à tendance à ... Lire
Le Mondial-2022 "sera meilleur" qu'en Russie pour Eto'o
15-08-2018 -
Le Camerounais Samuel Eto'o, nouvelle recrue du Qatar Sports Club a déclaré mardi que le Mondial-2022 au Qatar "sera aussi bien qu'en Russie, voire même ... Lire
L'info en continu
Argentine: Messi fait un break en sélection
15-08-2018 -
L'Argentine en émoi! Le capitaine Lionel Messi ne jouera pas les quatre prochains matches amicaux de l'Albiceleste prévus en 2018, assure mardi la presse locale, ... Lire
Le directeur général de l'OMS préoccupé par Ebola
15-08-2018 -
Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a fait part mardi de ses préoccupations sur les derniers ... Lire
Nationale
ÉCONOMIE NATIONALE
Les médications de Benkhelfa
15-08-2018 - Walid AÏT SAÏD
Pour l'ex-grand argentier du pays, le gros problème de l'inflation en Algérie se situe dans la spéculation, le monopole et le stockage de certains produits. ... Lire
3000 À 4000 TERRORISTES DE DAESH SONT EN LIBYE
Le rapport de l'ONU qui fait peur
15-08-2018 - Ikram GHIOUA
Sachant que l'Algérie partage près de 900 km de frontières avec la Libye, ces terroristes constituent de ce fait une menace directe pour notre sécurité. ... Lire
LISTE DES FOURNITURES SCOLAIRES POUR LE PALIER PRIMAIRE
Le cartable des élèves se remplira
15-08-2018 - Massiva ZEHRAOUI
Nouria Benghebrit a appelé les directions de l'éducation à garantir aux catégories démunies, livres, cahiers et autres articles, pour l'entame de l'année scolaire, le 5 septembre prochain. ... Lire
FEUX DE FORÊTS
Une nette régression enregistrée!
15-08-2018 - Ilhem TERKI
Un recul de plus de 50% du nombre d'incendies par rapport à la même période de l'année précédente. ... Lire
AÏD EL ADHA
Comment on se prépare à Tizi Ouzou
15-08-2018 - Aomar MOHELLEBI
Les magasins d'habillement pour enfants sont pris d'assaut. Un peu plus d'ailleurs que les marchés à bestiaux. ... Lire
MARCHÉ DES FRUITS ET LÉGUMES À BOUIRA
La flambée inexpliquée
15-08-2018 - Abdenour MERZOUK
Aucune occasion n'est ratée pour saigner le consommateur algérien. La hausse des prix touche désormais la totalité des produits et pousse le consommateur algérien à serrer sa ceinture non par une quelconque stratégie, mais par obligation. ... Lire
CE SONT EUX QUI FONT TOURNER LA «MACHINE» ÉTATIQUE DURANT LES CONGÉS
Les vigiles de la République
15-08-2018 - Hasna YACOUB
La machine étatique tourne grâce à la magie des soldats de la République, ceux qui triment loin des projecteurs. Le travail de fourmi qu'ils accomplissent symbolise fidèlement la notion de service public. Il constitue le pilier de la continuité de l'État. Sur leurs épaules repose un lourd fardeau, celui de répondre aux besoins d'intérêt général sans interruption... ...Lire
APRÈS LA RÉSILIATION DE 475 CONTRATS AVEC DES ENTREPRISES DU BTPH
Quelles conséquences sur les projets de logements?
15-08-2018 - Madjid BERKANE
La question du remplacement de ces entreprises inquiète tous les bénéficiaires. ... Lire
VIRÉE NOCTURNE DANS LA CAPITALE
Souriez c'est alger la nuit!
15-08-2018 - Zakaria ZEMRI
En arrivant de la rue Franklin-Roosevelt, la rue Didouche-Mourad vous accueille vêtue de son plus bel apparat. La rue s'est faite belle comme pour vous attirer, pour vous inviter à la traverser, à lui rendre visite. ... Lire
REMANIEMENT GOUVERNEMENTAL, MOUVEMENTS DIPLOMATIQUE ET DES WALIS
Les "vagues" de la rentrée
15-08-2018 - Mohamed BOUFATAH
«Des chefs de partis politiques de la majorité présidentielle ont été reçus dernièrement pour consultation à la présidence de la République.» ... Li
Prix du Mouton de l’Aïd : Toujours hors de portée

Pour permettre à un maximum de ménages d’acheter un mouton, il y a plusieurs tranches de prix qui vont de 35 000 jusqu’à 59 000 DA.
Les Algériens vont célébrer l’Aïd El Adha dans quelques jours. Toutefois, beaucoup de familles ne savent toujours pas si elles pourront perpétuer, cette année, le rituel du sacrifice. La variété et surtout le prix des moutons disponibles sur le marché en sont la principale cause. Un petit tour dans les différents points de vente dans la capitale nous donne un aperçu sur le marché de l’ovin en cette période de fête. Premier constat : les prix sont légèrement plus élevés que ceux de l’année dernière.
Dans la localité de Ouled Fayet, les points de vente pullulent le long de l’ancienne route menant à Baba Hassen. Assis sur un banc au milieu de son enclos, Mourad, la trentaine, est entouré de ses moutons. «Généralement, en cette période, je vends entre 80 et 100 bêtes. J’essaye de satisfaire la demande en proposant des moutons à 28 000 DA. Même si mes moutons plaisent pas à certains, leur prix est abordable pour les petites bourses qui veulent vivre la joie de l’aïd et du sacrifice», explique cet Algérois qui investit dans ce marché à cette période de chaque année. Chez ce revendeur qui ramène son cheptel de la wilaya de Djelfa, les prix peuvent atteindre les 55 000 DA pour un mouton de 80 kilos.
Un peu plus loin, Abdelkader, un éleveur de la commune de Birine dans la wilaya de Djelfa, négocie avec un client. Chez lui, les prix sont presque les mêmes que chez son voisin, sauf que ses moutons ont un gabarit plus important et que c’est lui l’éleveur. «Cela fait une année que je suis en train de préparer ce cheptel de 300 têtes pour cette période de l’année. Généralement, je les vends tous. Pour les prix, nous essayons de prendre en charge tous les frais, tels que l’aliment de bétail que nous achetons toujours en deuxième main, sans pour autant léser le client», explique-t-il avant de pointer du doigt les intermédiaires et les revendeurs qui sont, selon lui, à l’origine de la flambée des prix.
Pour le prix d’une bête
Toujours sur le même axe, devenu un marché à ciel ouvert d’ovins, un grand espace est cédé à un éleveur venu de Laghouat. «Je suis un habitué du coin. Chaque année je ramène plus de 2000 moutons que j’écoule sur le marché. Pour le moment, j’ai dans cet enclos 300 bêtes que je cède selon le poids de 30 000 DA jusqu’à 65 000 DA. Avec des fourchettes de prix différentes, nous essayons de satisfaire la demande de nos clients avec lesquels nous avons établi au fil des années une relation de confiance», explique Omar, l’éleveur.
Pour ce qui est du problème de putréfaction de la viande, véritable crainte du consommateur, ils s’entendent tous à incriminer les procédures illégales d’engraissement qu’appliquent certains revendeurs cherchant le gain facile en cette période l’année. D’autres vont même jusqu’à vendre des moutons qui n’ont pas atteint l’âge légal pour le sacrifice qui est de 6 mois, voire 8 mois.
Au niveau de l’entreprise spécialisée dans la commercialisation des viandes de boucherie (gros) et l’élevage de bovins et d’ovins, Latraco, la vente est organisée, mais le rush n’en est encore qu’à ses débuts. «Nous avons débuté l’opération de vente dimanche dernier. Nous avons préparé 3000 bêtes que nous avons élevées nous-mêmes dans nos trois filiales sises dans les wilayas de Médéa, Laghouat et Djelfa. Nous en ramenons au fur et à mesure que la demande augmente. Pour permettre à un maximum de ménages d’acheter un mouton, nous avons 8 tranches de prix qui vont de 35 000 DA à 59 000 DA. Nous veillons également sur le critère santé en accordant toute l’importance au contrôle sanitaire dès la naissance jusqu’à la mise sur le marché», déclare Hadji Bilal, commercial chargé de la communication à Latraco, sise dans la commune de Birtouta.
Le plus qu’offre cette entreprise est la possibilité de vente par facilité. Faisant des conventions avec les œuvres sociales de plusieurs entreprises publiques, les employés peuvent acheter un mouton avec seulement un premier apport ; le reste du prix à payer est versé chaque mois. Selon M. Hadji, les entreprises publiques comptent le plus grand nombre de chefs de famille de la couche moyenne. Que ce soit chez Latraco ou chez les privés, l’engouement est prévu les derniers jours avant l’Aïd. Une ruse pour acquérir un mouton plus gros à un prix plus bas.
MARCHÉ DES FRUITS ET LÉGUMES À BOUIRA
La flambée inexpliquée

Aucune occasion n'est ratée pour saigner le consommateur algérien. La hausse des prix touche désormais la totalité des produits et pousse le consommateur algérien à serrer sa ceinture non par une quelconque stratégie, mais par obligation.
Le phénomène s'est généralisé à l'ensemble des coins du pays. Bouira n'échappe pas à la loi des spéculateurs. Malgré son statut de wilaya agricole puisque le terme vocation n'est plus à la une, cette wilaya vit au rythme des augmentations imprévisibles et très exagérées. Classée troisième wilaya productrice de pomme de terre, le fécule coûte en saison et arrière-saison entre 60 et 100 DA. L'exemple de la pomme de terre n'est pas fortuit puisque par le passé ce légume était exclusivement celui des pauvres. Le marché quotidien connait une hausse sensible des prix. Les légumes, les fruits, les viandes blanches sont revues à la hausse. La montée la plus sensible est à l'actif du poulet qui, en l'espace d'un mois est passé de 220 DA/kg à 420 DA hier sur les étals des vendeurs. La justification qui ne tient point la route est due, selon toujours les vendeurs, à la maladie, la fièvre de Newcastle, qui a affecté l'espèce. Pour les plus initiés la raison est ailleurs. «Les courtiers qui ont pignon sur rue dictent leur loi» pense un commerçant.
Il faut savoir que la profession est infestée par des courtiers qui interviennent entre l'éleveur et les propriétaires des abattoirs. Ces intermédiaires achètent la production, fixent le prix et alimentent les abattoirs. «On parle de cette maladie qui a touché quelques élevages de la région ouest-nord», s'interroge notre interlocuteur.
L'autre domaine touché par ces hausses est celui des légumes et des fruits. Là aussi la justification reste erronée. Certains tentent de faire valoir l'argument d'une demande plus importante que l'offre. Quand on sait que Bouira occupe le haut du tableau des régions productrices on se demande où va le gros de la production. La réponse est trouvée au regard des immatriculations des camions qui chargent les récoltes. La majorité de ces véhicules vient des autres wilayas de l'est et du sud du pays. La mise en place du programme Syrpac pour tenter de combattre les spéculateurs, opération qui consiste à acheter la production au coût du marché pour la remettre sur les étals à des prix raisonnables, ne semble pas influer sur les prix. Précisons que par le passé la pomme de terre, très largement produite à Bouira, a connu une flambée des prix et une spéculation sans précédent puisqu'elle atteint le prix inimaginable de 150 DA le kilogramme. «La situation profite à une catégorie d'hommes d'affaires qui ont intégré la filière agricole grâce à une complicité à divers paliers de l'administration» commente un fonctionnaire. La multiplication des fêtes, l'arrivée en force de nos expatriés immigrés, les départs pour les Lieux saints de l'islam et les rituels qui accompagnent ces évènements sont l'occasion retenue pour revoir à la hausse les coûts. Depuis le début de la semaine, les prix des fruits et légumes ont connu une nette hausse. Hier sur les étals, la courgette était proposée à 100 DA le kilo, la pomme de terre entre 55 et 75 DA le kilo, la carotte à 80 DA... Comme si cette augmentation ne suffisait pas, les légumes secs, dernier recours des humbles foyers ont connu pour leur part une révision à la hausse et le haricot blanc coûtait 280 DA le kilogramme.
L'opération coup de poing menée par les pouvoirs publics contre le commerce informel s'escompte puisque des marchés entiers sont nés aux quatre coins des villes. A Bouira c'est la sortie sud sur la RN5 qui a fini par devenir un marché. A l'ouest et à moins de 5 km de la ville, au village Saïd Abid, les accotements de la RN 28 servent de lieu de vente à des jeunes. «La lutte contre le phénomène ne peut se faire sans une stratégie à long terme. Il faut d'abord réaliser des espaces et plus précisément des marchés de gros, de demi-gros pour avoir une emprise sur ces prix et exercer un contrôle rigoureux» pense un spécialiste. Le souci de l'autorité dans son action pour préserver la paix sociale reste une entrave à des décisions mûrement réfléchies qui tenteraient de préserver l'intérêt du citoyen et qui relèguent les droits de ce dernier à un second degré.
Ce qui se passe se fait au su et à la vue de tous, mais aucune partie notamment celle qui a le pouvoir de contrôle ne tente d'éradiquer le phénomène. Malgré la disponibilité, la sardine fraîche à cette période de l'année, «le poisson du pauvre» coûte entre 300 et 450 DA le kilo. La raison là, est toute évidente. Le monopole du marché reste l'élément déterminant de cette cherté. La question qui reste posée dans ce domaine est celle relative à ces directions du commerce et de la lutte contre la fraude où sont passés les inspecteurs qui remettaient de l'ordre dans les circuits commerciaux par le passé.
La liberté des prix ne justifie pas tout. «En interdisant le commerce informel, les responsables s'attaquent aux petits jeunes qui s'adonnent à un commerce sur les places publiques mais ils n'ont jamais inquiété les barons», commente un jeune vendeur du marché de proximité des 1100 Logements au chef-lieu de wilaya.
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أحوال الطقس في الجزائر ليو الخميس 16 أوت 2018 م
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