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Un séisme d'une magnitude 5,2 sur l'échelle de Richter a frappé la ville de Malard dans la province iranienne de Téhéran mercredi à 23h27 heure locale (19h57 GMT), a annoncé le Centre sismologique iranien.
L'épicentre, d'une profondeur de 7 km, a été localisé à environ 50 km à l'est de Téhéran, capitale iranienne, à 35,69 degrés de latitude nord et à 50,96 degrés de longitude est, selon le Centre sismologique iranien.
Le séisme a été fortement ressenti dans la capitale ainsi que dans les provinces d'Alborz, Qazvin, Ghilan et Qom. F
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Des précisions ont été fournies dans un bulletin de nouvelle de Radio One par l'Unité Technique de Sismologie (UTS) du BME indiquant qu'un séisme de magnitude 3.8 sur l'échelle de Richter s'est produit le mardi 19 décembre à 3h42 Am et 19 secondes. L'épicentre a été localisé sur la frontière ...
Fournis par AFP Séisme de magnitude 5,2 ressenti à Téhéran. Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,2 d'après le Centre sismologique de l'Université de Téhéran a été ressenti mercredi soir dans la capitale iranienne. Des centaines d'habitants sont sortis dans les rues après la secousse, qui a ...
Un tremblement de terre de magnitude 5,2 a été ressenti mercredi soir à Téhéran et dans plusieurs provinces du nord de l'Iran, mais la secousse ne semblait pas avoir fait de dégâts majeurs ni de victimes selon les premières informations disponibles.
Selon le Centre sismologique de l'Université de Téhéran, le séisme est survenu peu avant 23h30 (20h00 GMT). Son épicentre a été localisé à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de la capitale iranienne. Le tremblement de terre a été ressenti pendant une dizaine de secondes à Téhéran, selon des journalistes de l'AFP.
Bravant la forte pollution qui rend l'air difficilement respirable depuis quatre jours à Téhéran, des centaines d'habitants de la capitale sont sortis dans les rues, certains avec l'intention d'y passer la nuit.
Vers 01h00 du matin (21h30 GMT), les autorités n'avaient recensé aucun dégât ou victime.
"Pas de dégâts d'après les informations disponibles mais des répliques sont possibles pendant la nuit", a indiqué l'ambassade de France sur son compte Twitter, appelant à consulter les conseils de sécurité.
Selon la télévision publique iranienne, le séisme a été ressenti dans les provinces de Téhéran, Alborz, Qom, Ghazvin, Mazandaran et Markazi, dans le nord de l'Iran.
"Nous demandons aux gens de rester calmes dans la mesure où la circulation pourrait par elle-même créer des problèmes", a déclaré à la télévison Mortza Salimi, chef des opérations de secours du Croissant-Rouge iranien, alors que le nombre de voitures en circulation dans les rues avait augmenté nettement d'un coup.
Peu avant minuit et demi, la situation dans certains quartiers de la capitale semblait être revenue au calme, mais le réseau téléphonique restait saturé.
Net regain d'activité
"Le tremblement de terre (...) cause un fort trafic sur les réseaux de télécommunications, il est difficile de passer des appels dans certains quartiers. De même, avec les gens dans la rue, la consommation d'internet mobile a fortement augmenté. Nous demandons aux habitants de Téhéran d'être brefs dans leurs appels téléphoniques", a écrit le ministre des Télécommunications sur Twitter.
Situé aux confins de plusieurs plaques tectoniques et traversé par plusieurs failles, l'Iran est une zone de forte activité sismique. Et un net regain d'activité a été observé depuis deux mois.
Lundi soir, un tremblement de terre de magnitude 6 selon l'Université de Téhéran (5,4 selon l'USGS) a été ressenti dans la région de Kermanshah (ouest de l'Iran).
Le 12 novembre, un séisme de magnitude 7,3 avait fait 620 morts et plus de 12.000 blessés dans la province de Kermanshah. La catastrophe avait également fait 8 morts en Irak.
Les grands tremblements de terre récents restent ancrés dans la mémoire collective iranienne.
En décembre 2003, un séisme avait anéanti la ville historique de Bam en Iran, dans la province de Kerman (sud-est). Au moins 31.000 personnes avaient été tuées.
En avril 2013, l'Iran avait subi à quelques jours d'intervalle deux séismes de magnitude 6,4 puis 7,7, la plus forte secousse depuis 1957 dans ce pays. Ils avaient fait une quarantaine de morts en Iran et autant au Pakistan voisin.
En juin 1990, un séisme d'une magnitude de 7,4 en Iran près de la mer Caspienne (nord) avait fait 40.000 morts, plus de 300.000 blessés et 500.000 sans-abri. En quelques secondes, une superficie de 2.100 km2, comprenant 27 villes et 1.871 villages repartis sur les provinces de Ghilan et de Zandjan, avait été dévastée.
derniers stigmates du séisme de 2003 à Boumerdes : 2017, année de l’éradication des chalets,
L’année 2017 aura positivement marqué de son empreinte la wilaya de Boumerdes où la population a vécu au rythme des opérations de démolition des chalets, considérés comme les derniers stigmates du séisme qui a frappé la région le tristement inoubliable 21 mai 2003.
L’éradication effective des chalets, installés à travers la wilaya de Boumerdes au lendemain de cette catastrophe naturelle, a été lancée suite à l’engagement pris par le wali Abderrahmane Madani Fouatih, qui a fait part de sa détermination à démolir progressivement la totalité des chalets, qui ont terni le paysage de la région, suivant un calendrier bien défini s’étalant jusqu’à fin 2017 et au plus tard début 2018. Le chef de l’exécutif local avait affirmé, dans une déclaration à l’APS fin décembre 2016 : «C’est un engagement et un défi à relever durant l’année 2017». Ce défi a été relevé presque en totalité, le visiteur de la région pouvant aisément constater les modifications survenues dans tout le paysage urbain de la région, notamment la réduction significative des sites d’implantation des chalets, qui constituaient l’un des faits saillants de la wilaya. Au lendemain du séisme dévastateur de mai 2003, les pouvoirs publics ont mobilisé tous les moyens humains et matériels pour la prise en charge immédiate des sinistrés, en dégageant notamment une enveloppe de plus de 78 milliards de DA destinés, entre autres, à l’installation de chalets en attendant leur relogement dans des habitations plus décentes. Près de 15.000 chalets à éradiquer
L’opération de démolition effective des 14.927 chalets, répartis sur 95 sites à travers 28 communes, a été officiellement entamée le 26 décembre 2016 depuis la commune d’Ouled Hedadj (ouest de la wilaya) où 500 chalets ont été détruits 14 ans après leur installation pour accueillir les sinistrés de cette catastrophe naturelle et leur redistribution dans le cadre social.
Les actions de démolition et de relogement des occupants de ces chalets ont connu une certaine lenteur ces derniers mois, principalement en raison du retard accusé dans le versement des créances des entreprises de réalisation des logements ainsi que dans le financement des opérations d’aménagement externes. Un problème à l’origine du report du délai d’éradication totale des chalets dans la wilaya aux premiers mois de 2018, selon le wali, qui a fait état de la réalisation de prés de 9.800 unités de logements destinées à cette opération, signalant l’installation d’une commission de wilaya chargée du suivi des chantiers de ces logements et de leur livraison dans leurs délais. A ce jour, 5.567 chalets ont été éradiqués et 6.756 familles relogées — 5.567 dans le cadre de programmes destinés à l’éradication des chalets, 474 familles dans le cadre des programmes de résorption de l’habitat précaire et 715 dans le cadre des programmes sociaux (logements public locatif) — représentant une population globale de 33.000 âmes avec une moyenne de cinq membres par famille et par logement. L’opération d’éradication du préfabriqué dans la wilaya a, quant à elle, touché dans l’immédiat 500 chalets dans la commune d’Ouled Hadadj, 253 autres à Corso, 130 à Tidjelabine, 190 à Larbaàtache, 252 à Boudouaou, 500 à Bordj Menail, 600 à Khemis El Khechna et enfin 86 à Chaàbat El Ameur. Actuellement, sept communes de Boumerdes sont totalement «débarrassées» de chalets : Ouled Hadadj, Khemis El Khechna, Si Mustapha, Ben Choud, Hammadi, Taouergua et Baghlia, tandis que 21 autres communes sont toujours concernées par l’opération. 118 ha libérés et 12.000 logements destinés l’éradication du préfabriqué La démolition des chalets a permis la récupération d’une assiette de 118 ha, sur un foncier ciblé estimé à 400 ha. L’assiette libérée est destinée à l’implantation de nombreux programmes de logements et d’équipements intégrés, dont 8.400 logements AADL, 1.787 logements publics locatifs (LPL) et 1.120 logements promotionnels aidés (LPA). La wilaya de Boumerdes a bénéficié, depuis 2013, d’un programme de logements de 12.000 unités dans les deux formules, à savoir LPL et le programme de résorption de l’habitat précaire (RHB). Ces logements sont principalement destinés à l’éradication des chalets.
Selon le chef de l’exécutif local, les communes de la wilaya abritant des chalets sans avoir bénéficié de projets destinés à leur éradication sont en cours de prise en charge via la réalisation de logements à leur profit, au niveau d’autres localités de la région. L’Etat a, également, procédé à la réalisation d’un programme de logement «d’urgence» englobant 8.000 unités, en vue de recaser les sinistrés du séisme, dont une majeure partie (programme) a été livrée. Quant au reste, à savoir 500 unités, leur réception interviendra sous peu. Ainsi, selon le dernier bilan officiel, prés de 7.000 familles sinistrées, dont les habitations se sont effondrées (classées rouge), ont bénéficié de logements décents.
De longues secondes de terreur pour les 22 millions d’habitants de la capitale, qui sont sortis avec précipitation des immeubles, jeudi à 23 h 49, certains en pyjama, avertis par le son strident des alertes sismiques. Malgré les murs écroulés, le bitume fissuré et les bâtiments évacués, la mégalopole ne comptait pas, vendredi, de victimes. La catastrophe a beaucoup plus affecté le sud du pays, où l’épicentre du séisme a été localisé à 133 km de la côte pacifique de l’Etat du Chiapas (sud-est), selon le Service sismologique du Mexique. « C’est le tremblement de terre le plus fort depuis un siècle », a déclaré dans la foulée le président Enrique Peña Nieto, oubliant sans doute celui de 1932, d’une magnitude de 8,4.
Vendredi, les efforts des secours se concentraient sur les Etats limitrophes du Chiapas et de Oaxaca (sud-ouest), touchés de plein fouet par les secousses, ressenties par 50 millions de Mexicains dans onze des 32 Etats du pays. Celui de Oaxaca reste le plus meurtri, avec au moins 45 morts, dont 36 à Juchitán. Dans cette ville de 75 000 habitants, des dizaines de maisons se sont écroulées ainsi que la mairie et un hôpital.
Dans l’Etat voisin du Chiapas, le bilan est aussi très lourd : douze morts et 350 000 sinistrés. Le séisme a détruit 428 maisons, affectant 1 700 habitations, 792 écoles, 4 hôpitaux et 18 bâtiments publics. Trois corps ont été découverts dans la ville touristique de San Cristobal de las Casas, aux rues jonchées de pierre et de bois. Des routes et des ponts sont bloqués par des fissures et des glissements de terrain. De l’autre côté du pays, l’Etat de Tabasco (sud-est) compte trois morts, dont un nourrisson sous assistance respiratoire victime d’une coupure de courant dans un hôpital.
Le Mexique enregistre une forte activité sismique, liée à sa situation géographique entre cinq plaques tectoniques qui s’entrechoquent. « Mais cette fois, le séisme a été provoqué par la fracture interne d’une plaque, a commenté dans les médias, Vala Hjorleifsdottir, membre de l’Institut Géophysique de l’Université autonome du Mexique (UNAM). Cet événement peu commun explique la force exceptionnelle du séisme. » Sa puissance a ravivé le traumatisme du tremblement de terre du 19 septembre 1985. Ce jour-là, un séisme de magnitude 8,1 avait ravagé une grande partie la capitale, faisant près de 10 000 morts. « En comparaison, le séisme de jeudi a fait moins de dégâts à Mexico car la profondeur de son épicentre et sa distance ont épargné la capitale, située à 700 km de là », a précisé Mme Hjorleifsdottir.
Trois jours de deuil national
Depuis trente-deux ans, la mairie de la capitale a renforcé les normes de construction et a installé 8 200 mégaphones aux coins des rues, qui se déclenchent 60 secondes avant un fort séisme grâce à des capteurs placés le long de la côte pacifique. Mais les petites villes du Chiapas ou de Oaxaca ne sont pas équipées de ces alertes sismiques. D’autant que ces régions sont les plus pauvres du pays. Les nombreuses maisons en torchis et en taule n’ont pas résisté aux secousses.
Vendredi, le président Peña Nieto s’est rendu à Juchitán, dans l’Etat de Oaxaca, avant de déclarer trois jours de deuil national. Il a aussi alerté la population sur « les risques de répliques durant 24 heures ». Plus de 450 se sont déjà fait sentir, dont une de magnitude 6,1. Des milliers de militaires ont été déployés dans les zones endommagées, en coordination avec les membres de la protection civile, découvrant peu à peu de nouvelles victimes, bloquées dans les bâtisses éventrées ou détruites. Des refuges accueillent les sinistrés, dont ceux de la côte pacifique évacués par l’alerte au tsunami, qui avait été déclenchée au moment du séisme, avant d’être levée. Vendredi, le courant était rétabli pour la plupart des 1,5 millions d’usagers, privés d’électricité. En revanche, les écoles sont restées fermées dans les onze Etats ébranlés par les secousses.
Au total, six bâtiments scolaires se sont écroulés et 1 140 affichent des séquelles. Sur la place principale de Mexico, le maire a mis en place un centre de collecte de vivres pour les réfugiés.
Mais l’inquiétude des autorités se porte désormais sur le sud-est du pays, où l’ouragan Katia, de catégorie 1, se renforce dans le Golfe du Mexique, avec des rafales à plus de 165 km/h. Son œil a touché, dans la nuit de vendredi à samedi, la côte de l’Etat de Veracruz, affecté lui aussi par le séisme. Des débordements de fleuves et des glissements de terrain sont à craindre dans au moins sept Etats. Dans l’attente du bilan de Katia, des vidéos du séisme tournent en boucle sur les chaînes de télévision et les réseaux sociaux. Parmi elles, celle d’un sauveteur bénévole, qui plante un drapeau mexicain sur les décombres de la mairie de Juchitán, est vite devenue l’emblème d’un peuple meurtri par les éléments.
La secousse tellurique de 5° sur l’échelle de Richter qui a ébranlé la wilaya de Biskra, hier à 8h42, n’a heureusement provoqué aucune perte humaine ni dégâts matériels notables, a-t-on appris de la cellule de communication de la protection civile dont les agents ont été mobilisés dés la survenue de ce tremblement de terre afin de parer à toutes les éventualités.
Ce séisme de forte intensité dont l’épicentre a été localisé dans la région agricole de Mabdouaa à 8 km au sud-est du siège de la commune agricole de Meziraà et à 60 km à l’est de Biskra, a été ressenti dans plusieurs communes de la wilaya et même dans la wilaya limitrophe de Batna. Au chef-lieu de la wilaya de Biskra, à El Kantara, à Lichana, à Tolga, à Sidi Okba, à Ain Naga et à Meziraà, les habitants surpris et impréparés à ce genre de catastrophe naturelle ont cédé à la panique.
Craignant pour leurs vies, ils sont sortis dans les rues. Hormis quelques malaises et dépressions nerveuses de femmes et de malades chroniques, on ne déplore néanmoins aucune victime, a-t-on appris. « Nous n’avons jamais connu un tel événement. Dieu merci, cela est arrivé en plein jour. Un séisme nocturne auraient eu des conséquences autrement plus graves pour la population mal informée sur les gestes à faire et les mesures à prendre en cas de tremblement de terre et ne sachant même pas que Biskra est une zone sismique saisie de temps à autres par des secousses imprévisibles.», a commenté Hamid Senaïhi, enseignant quadragénaire, habitant de Meziraà encore sous le coup de l’émotion.
Dans l’après-midi de cette même journée, plusieurs répliques de moindres intensités ont été signalées par des habitants de Biskra. Visant à rasséréner les esprits et à instruire les habitants du comportement idoine à adopter en cas de survenue d’autres secousses telluriques, les différentes brigades de la protection civile sont sur le pied de guerre pour faire des tournée d’information mais aussi de recensement des personnes choquées ou physiquement blessées suite à cette secousse tellurique dont la force et la soudaineté en a laissé plus d’un pantois.
Un puissant séisme de magnitude 5,3 a secoué la wilaya de Biskra et ses environs en cette matinée du vendredi 18 novembre à 08h42, indique le très crédible centre américain USGS dans un communiqué.
L'épicentre de la secousse a été localisé, selon le même centre, à 25 km Nord-Ouest de Zerbiet El-Oued, dans la wilaya de Biskra.
Dans la foulée des deux nouveaux puissants séismes de mercredi soir, le centre de l'Italie a été la proie de fortes répliques dans la nuit de jeudi à vendredi. Pas moins d'une centaine - dont 11 d'une magnitude comprise entre 3 et 3,5 - ont été enregistrées. Elles n'ont pas fait de victimes, mais les dégâts sont importants et les sinistrés ont dû se résoudre à aller dormir sur la côte adriatique. Le site Earthquaketrack, qui recense les séismes en temps réel, a également relevé dans la nuit une secousse de magnitude 4,2 à Norcia, en Ombrie.
Pour les habitants dont les maisons sont écroulées, abîmées ou simplement interdites d'accès car situées dans des zones dangereuses, la protection civile a proposé plusieurs solutions : un soutien financier pour se reloger seul, un hébergement dans des structures collectives sur place ou dans des hôtels sur la côte, à environ 80 km.
VIDEO. Italie : images aériennes de dégâts après le séisme
Un demi-millier de personnes relogées sur la côte
«Plus de 500 personnes (...) ont choisi cette dernière option en utilisant leur propre véhicule ou les bus mis à leur disposition par la protection civile», assure un communiqué diffusé dans la nuit. À Ussita, l'une des communes les plus touchées par ce séisme, environ 260 personnes ont trouvé refuge dans le camping local, équipé de bungalows en bois en forme de petits chalets.
Certains habitants disposaient déjà de leur propre bungalows, les autres sont hébergés dans des bungalows mis grâcieusement à disposition par leurs propriétaires.
VIDEO. Fortes secousses et dégâts importants dans le centre de l'Italie
Le chef du gouvernement italien, Matteo Renzi, s'est rendu jeudi dans les zones touchées par le tremblement de terre pour assurer aux sinistrés du soutien de l'ensemble du pays. «L'Italie n'abandonne pas ses citoyens. Le séisme nous met à rude épreuve, mais nous sommes plus forts», a-t-il insisté, annonçant le déblocage de 40 millions d'euros pour faire face à l'urgence. «Cela ne suffira pas, mais c'est un premier signal. Mais dans l'immédiat, on ne peut pas imaginer de passer l'hiver dans une tente, il ne faut même pas monter les camps», a-t-il expliqué.