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S’IL DOIT POSTULER POUR UN 4e MANDAT Ce que Bouteflika devra obligatoirement faire
La course à la présidentielle est lancée. Les postulants à la candidature entament le processus devant leur permettre de mesurer leur popularité. Si des doutes continuent de planer sur l’avenir politique de Bouteflika, son statut de Président sortant ne le...Suite
La course à la présidentielle est lancée. Les postulants à la candidature entament le processus devant leur permettre de mesurer leur popularité. Si des doutes continuent de planer sur l’avenir politique de Bouteflika, son statut de Président sortant ne le dispensera pas de certaines obligations réglementaires. Les textes l’obligent à déposer en personne son dossier de candidature alors que l’usage veut qu’il prenne la parole pour déclarer sa candidature.
Nawal Imès — Alger (Le Soir) Le suspense qui entoure la candidature ou pas de Bouteflika continue d’alimenter analyses et supputations. Des doutes continuent de planer sur son avenir immédiat. Seule certitude : si le Président sortant devait briguer un quatrième mandat, il aurait de fait qualité de candidat et la loi ne prévoit pas de traitement de faveur pour les Présidents sortants. La tradition veut que le candidat à la magistrature suprême fasse une déclaration publique pour faire part de ses intentions. Le Président sortant s’était livré à cet exercice en 1999, en 2004 puis en 2009. Aucune obligation réglementaire n’oblige les candidats à le faire mais la tradition est bien installée. Si Bouteflika devait se présenter, il lui serait difficile de faire l’impasse sur une prise de parole publique. La question est de savoir si son état de santé le lui permettra ou pas. Depuis son retour du Val-de-Grâce, les apparitions publiques du Président sont rares. La télévison nationale diffuse des images mais où le son est absent. Le président de la République n’a pas pris la parole en public depuis de longs mois et risquerait de sacrifier la tradition de déclaration de candidature s’il devait briguer un quatrième mandat. Il sera cependant dans l’obligation de déposer en personne son dossier auprès du Conseil constitutionnel tout comme les autres candidats à la candidature suprême. Le règlement du 16 avril 2012, fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel, évoque dans le chapitre consacré au contrôle de la régularité des élections, de manière on ne peut plus claire les conditions de dépôt des dossiers. L’article 23 stipule en effet que «les déclarations de candidature à la présidence de la République sont déposées par le candidat dans les conditions, formes et délais prévus par la loi organique relative au régime électoral auprès du secrétariat général du Conseil constitutionnel. Il en est délivré accusé de réception». Aucune dérogation spéciale n’est prévue par la loi. La tradition veut que le moment solennel de dépôt du dossier soit immortalisé par les objectifs des photographes. Bouteflika sera-t-il en mesure de satisfaire à cette obligation ? La question reste entièrement posée au regard de son état de santé. Les dernières images diffusées par la télévision officielle montraient un homme très fatigué qui devra d’ailleurs présenter dans son dossier de candidature un certificat médical délivré par un médecin assermenté et attestant que le candidat jouit de toutes ses facultés mentales et physiques. Pas de doute que le Président réussira certainement à se faire délivrer le fameux certificat quel que soit son état de santé mais l’heure de vérité sonnera certainement au moment de la prestation de serment. Si Bouteflika devait être candidat puis élu, il devrait prêter serment comme le stipule l’article 72 de la Constitution qui fait obligation au Président fraîchement élu de «prêter serment devant le peuple et en présence des hautes instances de la nation dans la semaine qui suit son élection». Dans quelle forme sera le Président dans trois mois ? Pourra-t-il prêter serment comme l’exige la Constitution ? Autant d’interrogations qui viennent s’ajouter à la lancinante et centrale question de l’avenir politique de Bouteflika. N. I.
L’Afrique aura un «grand handball» si elle investit dans cette discipline comme elle le fait en football, a indiqué mardi à l’APS l’entraîneur croate de la sélection tunisienne, Sead Hasanefendic, affirmant que le joueur africain est pétri de qualités mais souffre d'«insuffisances» sur le plan tactique. «Le joueur africain possède des qualités techniques et athlétiques appréciables mais enregistre un manque sur le plan tactique. Si les pays d’Afrique investissent sérieusement dans le handball comme ils le font en football, le continent aura un grand handball sur le moyen terme», a déclaré le technicien croate. S’agissant de la différence de niveau entre pays d’Afrique du Nord et autres pays du continent, il estime que l’écart «se rétrécit» de plus en plus. «Le cas de l’Algérie et du Maroc est significatif. Dès que le handball de ces deux pays a cessé de progresser, leurs sélections ont trouvé des difficultés à battre les autres équipes qui, à l'opposé, se développent», a-t-il dit, expliquant que «dans un passé récent, quand les équipes nord-africaines affrontaient les autres sélections du continent c’était une simple formalité, ce qui n’est pas le cas maintenant». Appelé à donner son avis sur les plus sérieux concurrents des coéquipiers d'Issam Tej pour le sacre final lors de la CAN-2014 qu’abrite Alger (16-25 janvier), il a dit que l’Algérie et l’Égypte sont «forts eux aussi». «Ces trois équipes ont 33,33% de chances pour remporter le titre. La Tunisie n’est pas plus forte que les autres mais elle n’est pas non plus plus faible qu’eux. Le 0,01% qui reste c’est un poteau, un arrêt décisif d’un gardien de but ou une maladresse, alors la différence se fera peut-être sur des détails», a-t-il prédit. Enfin, le coach des Aigles de Carthage a déploré le grand engagement physique de la sélection camerounaise lors de la victoire de son équipe face aux Lions indomptables (34-20), lundi à la salle Harcha pour le compte de la quatrième journée. «C’est la première fois que nous voyons une agressivité pareille depuis le début du tournoi. Heureusement, nous n’avons pas enregistré de blessures», a noté le technicien croate (64 ans). Les Tunisiens affronteront l’égypte mardi à la salle Harcha (20h30) dans leur cinquième et dernier match du groupe B. La Tunisie est en tête du classement avec 8 points, en compagnie de L’égypte, mais avec un meilleur goal-average (+48, contre +43).
De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari L’Union belge de football a communiqué les détails et les modalités pratiques de la présence du peuple diable rouge au Brésil. Deux formules sont vendues. «All-in» et «Camping only». Le prix de la première proposition est de 3 639 euros pour deux rencontres et le supporter se débrouille pour sa tente et son matelas. Ce qui ne sera pas difficile. Le deuxième paquet est plus intéressant : 4 799 euros mais il englobe tous les déplacements pour toutes les rencontres de la première phase et la location d’un gîte commode à réserver à l’avance. Le site des supporters belges porte un nom : Devillage, et sera, à coup sûr, une véritable attraction. Les heureux élus y auront droit à des plages privées et des artistes du plat pays animeront des spectacles quotidiennement. Une belle brochette parmi les plus prestigieux du royaume de Philippe et de sa belle reine Matilde sont en contact avec la Fédération pour la signature des contrats. Si tant est que beaucoup de Belges, d’origine algérienne ou possédant la double nationalité, seront de l’expédition. Pour qui leur cœur battra-t-il ? L’un d’eux, rusé, répond à une journaliste qui l’interviewait : «Je serai côté algérien, bien sûr, puisque selon vous, ils sont faibles et que, traditionnellement, il faut aider le faible...». Un autre, pragmatique, estime que «le meilleur gagne, pourvu que les deux se qualifient». Un troisième, commerçant, sait garder le sens des affaires : «Moi, j’ai confectionné une tenue aux couleurs des deux pays. Si c’est la Belgique qui gagne, je la porte visiblement et si c’est l’Algérie, je la retourne (la tenue)... Je suis fou des deux et je leur souhaite bonne chance.» Pas dupe, pourtant, la presse d’ici, qui estime que dans leur grande majorité les Algériens de Belgique porteront plus l’Algérie que la Belgique. Du moins lors de la confrontation entre les deux, la rencontre inaugurale. A. M.
Scoop ! Je suis en mesure de vous révéler en exclusivité les initiales du futur président de la République :
A. B. !
J’ai failli m’étouffer avec mon café avalé de travers. Et comment éviter cela lorsque vous entendez Tata Louisa appeler de manière solennelle Abdekka à «s’adresser au peuple algérien, à lui parler» ? Nooooon ! Pas toi, Tata. Toi, la fidèle d’entre les fidèles. Je suis déçu. Les bras m’en tombent. Finalement, on ne peut plus compter sur personne, de nos jours. Même pas sur ceux que l’on croyait les plus droits dans leur soutien ! Ne m’oblige pas Tata à voir le mal partout, je ne veux pas sombrer dans la parano. Mais là, franchement, tu ne m’aides pas ! Comment demander à Abdekka de s’adresser au peuple ? Il n’arrive déjà pas à parler de manière audible à son Premier ministre. Il est à moitié compris par son chef des armées, celui-ci ayant recours aux services du chiffre, croyant de bonne foi avoir affaire à un message crypto de la part de son Président. Comment veux-tu alors qu’il s’adressât à la population, s’il n’arrive déjà pas à murmurer à deux invités pourtant hyper-entraînés par la force des évènements à tendre leurs oreilles jusqu’à s’en péter les tympans ? Rien qu’en factures d’ORL, Sellal et Gaïd-Salah vont nous coûter un bras ! Et puis, imagine Tata qu’il te prenne au mot et qu’il décide de parler au peuple ! Là, à cause de toi, on serait dans de beaux draps. La scène : lui, en face de la caméra bougeant les lèvres au rythme de l’avancée des dunes de sable du côté de Sebsi. Même si des amis originaires de cette oasis merveilleuse me jurent que les dunes se meuvent plus vite. Et nous, en face de nos télés, nous poussant tout le temps du coude pour demander au voisin «Qu’est-ce qu’il dit ? Mais qu’est-ce qu’il dit, bon Dieu de bonsoir ?» Non ! Là, vraiment, tu ne nous fais pas de cadeau. Ni à nous ni au pauvre homme. En même temps, je suis obligé de te reconnaître une qualité au moins. Toi, tu ne lui as demandé que de parler au peuple. C’est déjà fort de café et un brin sadique, mais c’est rien à côté de ceux qui exigent de lui qu’il se porte candidat à un 4e mandat. Mon Dieu la belle bande de clones du marquis de Sade que ça nous fait là ! Et dire que c’est nous qu’on accuse d’acharnement contre le châtelain ! M’enfin ! Nous, au contraire, on l’implore d’aller se reposer. Nous, ni on lui demande de se représenter ni on exige de lui qu’il nous parle ! Qu’il aille se reposer, Bark ! Tu vois Tata, finalement, entre toi et nous, y a qu’une lettre de l’alphabet qui nous sépare. Toi, tu lui lances «Parlez, Monsieur le Président !» Et nous, on lui murmure fort «Partez, Monsieur le Président !» Comme quoi, dans une autre vie, nous aurions pu être du même bord. A une lettre près. Snif ! Snif ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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