030-/-JEUDI 30 JANVIER 2014
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Jeudi 30 Janvier 2014
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Interdiction des appels au boycott : L'opposition s'indigne Le ministère de l’Intérieur a réitéré hier son intention de ne pas accorder d’autorisation de... |
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Barbara est une peinture glacée de ce que peut être le totalitarisme extérieur et la peur intérieure.
On ne s'y gondole pas
Elle est chinoise, il est italien. Elle est jeune, il est vieux. Elle est serveuse de bar, il est pêcheur. Elle a 37 ans, il en a 68. Elle...
El Khabar passe à 15 dinars à partir de samedi
le 30.01.14 | 14h40
« Nous n’avons pas peur de la concurrence. Nous misons sur la qualité de notre produit ».
Le quotidien El Khabar (arabophone) a annoncé, ce jeudi, sa décision d’augmenter le prix de vente du journal à 15 dinars à partir du premier février prochain.
« Nous avons décidé d’augmenter le prix parce que nous ne pouvons pas continuer à travailler avec une marge bénéficiaire dérisoire », a indiqué Cherif Rezki, directeur de la publication d’El Khabar dans une déclaration à Elwatan.com. Il a expliqué que sur les dix dinars représentant le prix de vente actuel, 6 dinars vont à l’imprimerie et le reste est partagé entre le journal et les distributeurs. Selon lui, cette augmentation permettra de « doubler la marge bénéficiaire des distributeurs ». En contrepartie, « les diffuseurs vont faire plus d’efforts pour couvrir les régions difficiles d’accès et qui ne sont pas couvertes convenablement à présent », a-t-il assuré en rappelant que le prix du journal n’a pas évolué depuis 1995 quand il est passé de 4 à 7 dinars puis à 10 dinars.
El Khabar n’a pas contacté les autres titres arabophones au sujet de cette augmentation. « On les a approchés (quotidiens arabophones ndlr) il y’a de cela trois années mais certains titres ont refusé de suivre pour des raisons politiques. Nous sommes un journal indépendant alors que ces titres sont des alliés du pouvoir », explique le premier responsable d’El Khabar.
Interdiction des appels au boycott : L’opposition s’indigne
le 30.01.14 | 10h00
Le ministère de l’Intérieur a réitéré hier son intention de ne pas accorder d’autorisation de réunion aux partisans du boycott de la prochaine élection présidentielle. Des partis politiques et des candidats dénoncent une énième atteinte à la liberté d’expression, notamment dans ce contexte censé être ouvert au débat.
Les partis politiques qui ont décidé de boycotter la Présidentielle d’avril prochain ne pourront pas faire campagne pour défendre leur position. C’est ce qu’a révélé le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, mardi au Sénat. En déclarant que «les autorisations et les salles ne seront accordées, durant la campagne, qu’aux candidats dont les dossiers ont été validés par le Conseil constitutionnel», le ministre de l’Intérieur a mis à profit le texte de la loi électorale adopté en 2012 et qui offre toutes une panoplie de lois restrictives qui permettent au gouvernement d’encadrer les élections et d’empêcher tout débordement du cadre fixé. Il lui permet d’éviter une contre-campagne comme celle que veut mettre en place le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) et le Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont décidé d’activer sur le terrain pour promouvoir le boycott.
Egypte: les ONG dénoncent le procès de journalistes d'Al-Jazeera
le 30.01.14 | 18h27 | mis à jour le 30.01.14 | 19h43
Les défenseurs des droits de l'Homme s'inquiètent d'un revers "effrayant" pour la liberté de la presse en Egypte, où seront jugés des journalistes d'Al-Jazeera, accusés par les autorités d'avoir pris le parti des Frères musulmans évincés du pouvoir par les militaires.
La chaîne satellitaire basée au Qatar --en froid avec les nouvelles autorités dirigées de facto par l'armée depuis la destitution le 3 juillet du président islamiste Mohamed Morsi-- a dénoncé des "accusations idiotes et infondées" contre ses reporters.
Dès l'annonce du Parquet, Amnesty International a déploré un "revers majeur pour la liberté de la presse" qui "envoie le message effrayant qu'aujourd'hui, une seule version des faits est acceptable en Egypte: celle autorisée par les autorités", alors que le pays est profondément divisé entre partisans des nouvelles autorités et des Frères musulmans qu'elles répriment dans le sang depuis l'éviction du président issu de leurs rangs.
Jeudi, Reporters Sans Frontières, dénonçant un "harcèlement à l'encontre d'Al-Jazeera", estimait que "cet acharnement ne faisait que renforcer ce clivage (...) et décrédibiliser davantage encore les autorités égyptiennes auprès de l’opinion publique internationale".
"Les journalistes ne peuvent pas travailler dans un climat de peur (...) une presse libre est essentielle", renchérissait Amnesty. Car, outre la menace d'un procès, de nombreux journalistes rapportent avoir été pris à partie par des foules les accusant d'être pro-Frères musulmans. Ainsi, la semaine dernière, trois reporters de la chaîne publique allemande ARD ont été attaqués aux cris de "traîtres" et de "suppôt des Frères musulmans".
Mercredi, le Parquet annonçait que "20 journalistes" d'Al-Jazeera seraient jugés: 16 Egyptiens pour appartenance à une "organisation terroriste" et quatre étrangers - deux Britanniques, un Australien et une Néerlandaise - pour leur avoir fourni "argent, équipements et informations" afin de "diffuser de fausses nouvelles" faisant croire à une "guerre civile" en Egypte.
Barbara de Christian Petzold projeté à Alger
De l’impossibilité du bonheur
le 30.01.14 | 10h00 Réagissez
Barbara est une peinture glacée de ce que peut être le totalitarisme extérieur et la peur intérieure.
De la mélancolie à tous les étages dans ce film de l’Allemand Christian Petzold, Barbara projeté mardi soir à la salle Mohamed Zinet à l’office Riad El Feth, à l’occasion des 2es Journées du film européen d’Alger. De la mélancolie qui entraîne l’ennui au fil des images. L’histoire se passe l’été 1980 en Allemagne de l’Est, ex-RDA. A l’époque, «passer» à l’ouest, en ex-RFA, était un grand projet. Mais la paranoïa socialiste, défendue par la redoutable Stasi (services secrets), empêche ce rêve de se réaliser. D’où la grande muraille de Berlin et les fils électrifiés. Christian Petzold a choisi d’installer son personnage principal dans un village où le vent souffle presque en permanence, où la forêt semble habitée par la peur, et où les mouettes de la Baltique chantent la tristesse des jours qui passent.
Dans cette région du nord de l’ex-RDA, Barbara Wolff (Nina Hoss), médecin, est mutée par mesure disciplinaire dans un hôpital. Barbara, qui exerçait à Berlin-Est, a osé demander «une autorisation» de sortie du territoire pour rejoindre son amant Jorg (Mark Waschke) en Allemagne de l’Ouest (ex-RFA). Barbara s’adapte comme elle peut au nouvel univers en se murant dans le silence. Il n’y a presque pas de vie dans ce village. La Stasi, les services secrets, surveille de près la praticienne qui porte «la subversion».
Algérie: à Ghardaïa, la cohésion sociale menacée par des violences
le 30.01.14 | 15h19
La destruction fin décembre du mausolée d'un érudit, père de l'intégration des arabes dans la communauté berbère de Ghardaïa, au sud d'Alger, a attisé les tensions qui risquent de se transformer en un conflit communautaire aux conséquences lourdes pour le pays.
Ghardaïa, chef-lieu de la province éponyme construit au 11e siècle, est située à 600 km au sud d'Alger.
Ses 400.000 habitants, dont près de 300.000 berbères, vivent depuis plusieurs semaines au rythme des heurts devenus récurrents, destruction de biens, fermeture d'écoles et magasins.
"La crainte si Ghardaïa est déstabilisée est que toute la région se retrouve dans une situation précaire", analyse le politologue Rachid Tlemçani.
La ville se trouve à proximité des zones pétrolières et des grandes villes du sud algérien, frontalières des pays du Sahel.
La cohabitation plusieurs fois centenaire entre communautés mozabite (berbère) et chaamba (arabe) est menacée, et le calme revenu reste précaire dans cette ville aux portes du Sahara, où trois personnes ont déjà été tuées ce mois-ci.
Selon M. Tlemçani, "seule une démocratie participative (...) peut éliminer le risque du communautarisme", dans ce pays où les différentes communautés arabes et berbères cohabitent habituellement en harmonie.
Mais à Ghardaïa, les autorités locales semblent impuissantes à régler le phénomène.
"Je resterai blessé toute ma vie, cela ne s'effacera jamais", lance amèrement le mozabite Nourredine Daddi Nounou, évoquant la destruction du mausolée de Ammi Moussa.
Ammi Moussa, mort en 1617, est le symbole de l'intégration dans cette région. Il "fut celui qui prit la responsabilité d'intégrer les nomades (arabes) dans la ville (mozabite) en 1586", explique Mohamed Hadj Said, chercheur.
La destruction de son mausolée, classé patrimoine mondial par l'Unesco, et la profanation du cimetière où il se trouve, le 26 décembre 2013, ont été très mal vécues par la population.
Des vidéos montrant des casseurs, dont des jeunes identifiables en train d'y détruire des biens mozabites, sans que les policiers présents ne réagissent, circulent sur le net et sont montrées aux journalistes qui arrivent sur place.
Saïd Bouamra. Président de la FAHB : «Je n’ai pas douté un instant des chances de notre sélection»1
Par Salim. R. O. le 30/01/14 à 10h00
Une fois le rideau tombé sur la Coupe d’Afrique de handball, il est intéressant de connaître les impressions du maître d’œuvre de cette belle organisation qui a débouché sur l’excellente victoire algérienne. Nous avons, sans hésitation, donné la parole à Saïd Bouamra, président de la FAHB et du comité d’organisation de cette CAN 2014. la suite
Forces nucléaires américaines: 92 officiers suspendus pour tricherie
le 30.01.14 | 20h16
L'armée de l'Air américaine a annoncé jeudi avoir suspendu 92 officiers chargés de lancer les missiles nucléaires intercontinentaux en cas de guerre, pour avoir pris part à une affaire de tricherie lors d'un examen de routine.
"Avec l'avancée de l'enquête, nous pouvons décompter aujourd'hui un total de 92 membres de l'armée identifiés comme ayant une part d'implication" dans cette affaire, a déclaré la secrétaire à l'Air Force Deborah Lee James.
"Soit ils ont participé à la triche, soit ils étaient au courant, ne s'y sont pas opposés et n'ont rien dénoncé", a-t-elle précisé lors d'une conférence de presse.
Il y a deux semaines, l'US Air Force avait suspendu 34 officiers de la même base, accusés de s'être échangé des réponses à un examen mensuel de compétence. Les enquêteurs avaient réussi à remonter jusqu'à un soldat, qui avait envoyé les réponses via son téléphone portable.
Les hommes étaient stationnés à Malmstrom (Montana, nord-ouest), base sur laquelle travaillent 190 officiers, tous chargés de lancer les missiles nucléaires intercontinentaux (ICBM) en cas de guerre.
La secrétaire à l'Air Force a confié qu'elle venait d'inspecter les trois bases des forces nucléaires et qu'elle avait constaté "des problèmes généraux" d'ordre moral entre le personnel soumis à "un climat de stress et de peur".
L'affaire avait été découverte à l'occasion d'une autre enquête ouverte contre plusieurs officiers, soupçonnés d'avoir de la drogue en leur possession. Dans cette affaire, deux nouveaux soldats ont été démasqués, portant à 13 le nombre d'hommes compromis, a précisé Deborah Lee James.
Au vu de ces scandales, toutes les promotions d'officiers de la force nucléaire ont été suspendues, a précisé à l'AFP un responsable de la défense.
"Ils sont en train de réexaminer toutes les promotions", a-t-il affirmé sous couvert de l'anonymat.
AFP
Sylvie Arkoun : «Mon père se sentait rejeté par son pays»
le 30.01.14 | 10h00 24 réactions
Outre l’obscurantisme islamiste, Arkoun avait aussi «très vite condamné ce qu’il appelait les Etats voyous d’Afrique du Nord».
Quand l’impensé s’attaque à la pensée, le jour cède à la nuit et l’intelligence à la bêtise. Mohammed Arkoun, cet immense penseur reconnu, adulé ailleurs et banni dans son propre pays, est un des exemples les plus marquants de ce que le système politique algérien a pu faire à l’intelligence ; il l’écrase ici ou la pousse à fleurir ailleurs. «Toutes les confusions qu’il y avait en Algérie faisaient qu’il ne pouvait pas rester. Il avait fait un court séjour en Algérie en 1958, mais il n’a pas pu rester longtemps, notamment suite à son arrestation par la police et sa détention pendant dix jours. Il pensait revenir en Algérie après son agrégation dans les années 1960, mais il a décidé de rester en France parce qu’il avait entrepris d’écrire sa thèse et puis de lancer une carrière. Ce n’est qu’en 1974 qu’il a pu revenir dans son pays et ce pour assister au séminaire sur la pensée islamique.» C’est là le témoignage inédit de Sylvie Arkoun, la fille de Mohammed Arkoun.
Notre interlocutrice, parlant avec beaucoup de tendresse de son regretté père, nous confie qu’il était très heureux de participer à ces séminaires. «Il avait assisté à trois ou quatre rencontres sur la pensée islamique et il était heureux de revenir et de revoir sa famille.» Elle affirme que, pendant ces années-là, son père vivait le bonheur de retrouver sa terre natale, il souffrait du déchirement causé par l’exil ; le fait de fouler de nouveau son sol était pour lui un pur moment de joie. «J’ai lu cela dans ses correspondances avec son frère. Il disait que le fait de revenir lui permettait de se sentir utile pour son pays. Il disait que dans ces séminaires, il trouvait une opportunité de communiquer sur sa pensée qui commençait d’ailleurs à s’établir dans ces années-là. Il trouvait que c’étaient des années porteuses d’espoir pour lui», ajoute Sylvie, avant d’arriver à ce fâcheux incident qui a marqué à jamais la mémoire de l’immense penseur.
L’Algérie, une blessure
Décédé le 14 septembre 2010 à Paris, Mohammed Arkoun n’avait plus foulé le sol algérien depuis 1992, même pas pour l’enterrement de sa mère en 2003 ; le déchirement fut grand et la plaie à la fois ouverte par le système en place qui ne l’a jamais considéré à sa juste valeur et par cet islam obscurantiste qui a pris place dans une terre capable d’enfanter pourtant un porteur de lumière comme Arkoun, demeura béante. «Pour lui, c’était extrêmement dur de vivre cela à la fois à titre personnel, et pour ce qu’il voyait advenir de la destinée de son pays», dit-elle, en notant que son père savait qu’il dérangeait par sa parole, il était transgressif. Et sa façon de lire le Coran à l’aune de l’histoire n’était pas du tout ce que préconisaient les islamistes. «Il était donc à l’opposé de ce qui était en train de grandir en Algérie à cette époque-là, c’est-à-dire sur sa vision de l’islam et de la façon dont il fallait le sortir d’une lecture basique mais renforcée par l’introduction des sciences humaines. Il était à l’opposé de la tendance et il savait qu’il dérangeait par cette parole subversive et intellectuelle», précise notre interlocutrice. Et d’ae
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Jeudi 09 Janvier 2014
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