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RÉVÉLATIONS D’UNE ANCIENNE HAUT RESPONSABLE AMÉRICAINE : «La France a financé Aqmi»
L’ancienne ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique à Bamako a révélé que la France a versé 17 millions de dollars à Al Qaïda au Maghreb islamique pour tenter d’obtenir la libération de quatre otages enlevés en septembre 2010 au Niger. En violant la règle de non-versement de rançon, Paris et plusieurs pays européens ont participé directement au financement de ce groupe terroriste. Le gouvernement d’Amani Toumani Touré a servi d’intermédiaire. La France a bien ...Suite
Par Maâmar Farah Et vas-y que tu me donnes pour que l'Etat te donne, vire-moi du fric ou je te vire tout court. Rencontres à Paris : c'est pratique mais versement en Suisse, ça fait chic ! Tous les secteurs d'activité ont été touchés. Voilà aussi pourquoi tous les soumissionnaires nationaux à la compétence avérée et aux moyens solides ont été écartés de la course. Voilà pourquoi et comment, on a marginalisé le cadre algérien, tué des centaines d'entreprises, fermé des usines et détruit des pans entiers de notre industrie ; voilà pourquoi on a poussé des milliers de cadres à fuir vers l'étranger. Importons, importons de tout, n'importe quoi, pourvu que ça casse le produit algérien, pourvu que ça place des sommes colossales à l'étranger... C'est un plan national de destruction systématique et ce n'était pas seulement une question d'idéologie ou de mauvais choix. Les destruktors ne sont pas sadiques : ils ne détruisaient pas pour le plaisir. Ils se faisaient grassement payer. De l'argent sale comme ces 197 millions d'euros qui auraient été versés par l'italienne Saipem à des responsables algériens. Des noms, nous voulons des noms ! maamarfarah20@yahoo.fr
«Un lecteur a demandé à mon neveu des détails sur Sihem Lavabo. Il veut tout savoir sur elle. Il demande une chronique sur le sujet. Je n'autorise pas mon neveu à parler de cette dévergondée, sauf s'il me refile 7 millions pour changer la vieille télé. Quoi, corruption ? C'est mon neveu chéri, non ?» (Tata Aldjia)
Difficiles adieux à celui qui incarnait les aspirations démocratiques des Tunisiens, précurseurs du printemps arabe. Vendredi de vive colère, d’intense émotion et de forte mobilisation, lors de l’inhumation du leader de l’opposition politique tunisienne Chokri Belaïd, assassiné mercredi matin à Tunis. Près d’un million et demi de personnes ont participé aux funérailles de l’immense militant qu’était Chokri. Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Vendredi de deuil dans toute la Tunisie qui, dans un inédit élan de mobilisation, a rendu un dernier hommage à Chokri Belaïd, l’homme qui, jusqu’à son dernier souffle, refusa la fatalité islamiste. Hommage au défunt et reconnaissance dans son combat d’infatigable militant politique, ravi lâchement aux siens et à la Tunisie mercredi matin. Deuil et funérailles nationales à la hauteur de l’homme et de son engagement. Dès le matin, les Tunisiens sont sortis pour faire de ce vendredi un jour de résistance à l’islamisme. Leur colère, c’est sur le parti Ennahda de Rachid Ghenouchi, instigateur, à leurs yeux, de l’odieux assassinat, qu’ils l’ont dirigée. Des dizaines de milliers de personnes ont assisté aux funérailles de Chokri Belaïd. Elles se sont rassemblées toute la journée au cimetière d’El Djallez où ils ont suivi la procession depuis la levée du corps jusqu’au lieu de l’inhumation. Elles se sont mobilisées au cri de ralliement «Dégage ! Dégage !». Sentiment anti-pouvoir affirmé. Les funérailles, encadrées par un important dispositif militaire et policier, étaient aussi une manifestation contre le parti de Rachid Ghennouchi. Sur l’avenue Bourguiba, la police a recouru aux gaz lacrymogènes et à la matraque pour pourchasser des jeunes manifestants qui scandaient des slogans hostiles au pouvoir et au leader du parti islamiste Ennahada. Dans d’autres villes de Tunisie, où des funérailles symboliques ont été organisées, des affrontements entre policiers et manifestants ont été enregistrés. Des heurts parfois violents. Aux abords du cimetière d’El Djallez, la police a dû intervenir pour pourchasser des bandes de jeunes qui se sont adonnées à la casse et ont incendié plusieurs véhicules. La police a usé, là aussi, de gaz lacrymogènes. La foule compacte, entassée dans le cimetière, n’a pas cédé à la panique. Elle a vécu la douloureuse épreuve dignement, dans la détermination à se réapproprier sa révolution confisquée par les islamistes. «Le peuple veut la chute du régime», «le peuple veut une nouvelle révolution», «Ghennouchi prends tes chiens et pars», ont scandé les milliers de gosiers, à l’entrée du cimetière. Ailleurs, dans d’autres villes, le même sentiment de colère à l’encontre des islamistes a prévalu. «Repose en paix Chokri, nous continuerons sur ta voie», a lancé, en guise de serment, Hamma Hammam, dirigeant du Front populaire et ami de Chokri Belaïd, qui a prononcé l’oraison funèbre. Le crime qui a divisé Ennahda Aucune information ni élément d’enquête à propos de l’assassinat de Chokri Belaïd n’était disponible hier. En revanche, le soupçon pèse lourdement sur le parti de Rachid Ghennouchi d’en être derrière. La famille et les proches du défunt ont ouvertement accusé Ennahda. Le Premier ministre, issu d’Ennahda, avait annoncé mercredi qu’il allait dissoudre le gouvernement et le remplacer par un gouvernement de technocrates. Le lendemain, il essuie un cinglant désaveu. Ennahda lui a signifié sa ferme opposition à une telle perspective, plongeant de fait le parti dans une grave crise. Vendredi, aucun représentant du gouvernement n’a été d’ailleurs présent aux funérailles de Chokri Belaïd. Reflux de l’exhibition islamiste aussi face à la mobilisation de la société tunisienne qui, durant de longs mois, était assaillie par le prêche religieux extrémiste et la violence des milices islamistes. Le puissant syndicat tunisien UGTT est monté au créneau à travers un appel à une grève générale. Une grève largement suivie sur l’ensemble du territoire tunisien. A tel point que les vols depuis ou vers la Tunisie ont été annulés durant la journée du vendredi. Les commerces ont tous baissé rideau. Les administrations ont fermé. L’ampleur du débrayage et de la mobilisation populaire pour les funérailles de Chokri Belaïd va certainement reconfigurer les rapports politiques dans cette Tunisie lovée dans une profonde crise politique et économique. Le greffon islamiste à la révolution dite des «jasmins» risque de ne pas bourgeonner. L’islamisme en Tunisie a produit l’ingrédient de son échec, avec l’assassinat de Chokri Belaïd. S. A. I.
La vile manipulation d’Al Jazeera La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera s’est rendue coupable d’une vile manipulation de l’image hier, à l’occasion des funérailles Chokri Belaïd. Traitant d’un supposé rassemblement d’Ennahda devant le siège de la Constituante, Al Jazeera, bafouant toute éthique professionnelle, a diffusé des images de l’imposante mobilisation pour les funérailles du leader politique assassiné en les attribuant aux ouailles de Rachid Ghennouchi. Immoral. S. A. I.
L’ancienne ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique à Bamako a révélé que la France a versé 17 millions de dollars à Al Qaïda au Maghreb islamique pour tenter d’obtenir la libération de quatre otages enlevés en septembre 2010 au Niger. En violant la règle de non-versement de rançon, Paris et plusieurs pays européens ont participé directement au financement de ce groupe terroriste. Le gouvernement d’Amani Toumani Touré a servi d’intermédiaire. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - La France a bien versé une rançon pour tenter d’obtenir la libération des otages enlevés, en septembre 2010, dans la base de vie d’Areva à Arlit, au nord du Niger. La révélation — qui est en fait une confirmation — est de Vicky Huddleston, ex-ambassadrice des Etats- Unis au Mali et ancienne sous-secrétaire adjointe à la Défense en charge des affaires africaines. «Il y a deux ans de cela, Al Qaïda au Maghreb islamique avait pris des Français en otage dans une mine d’uranium, au nord du Niger. Et pour faire libérer ces otages, la France a payé une rançon. La rançon était d’environ 17 millions. Bien sûr, la France n’est pas allée à la rencontre de ces salafistes en leur disant : tenez, voici vos 17 millions de dollars. Les rançons,comme toutes les autres, ont été payées indirectement. Elles ont terminé entre les mains du gouvernement malien et ensuite ont été retournées, du moins une partie, aux salafistes», a déclaré la diplomate à la retraite lors d’une interview exclusive accordée, jeudi, à iTélé. La correspondante la chaîne française d’information continue à Washington demande à Vicky Huddleston de donner plus de précisions sur les otages concernés par le versement de cette rançon. «Dans le désert, là où se trouve la mine d’uranium, il y a eu une prise d’otages particulièrement réussie par Aqmi. Et afin de libérer ces otages, les Français ont payé une rançon en passant par le gouvernement malien qui a remis cette rançon à Aqmi.» Ce versement était inutile puisque la France n’a pas obtenu pour autant la libération des otages français Thierry Dol, Daniel Larribe, Pierre Legrand et Marc Féret. Débarrassée de l’obligation de réserve, la diplomate accuse non seulement la France et le gouvernement Sarkozy mais aussi les gouvernements européens qui, au total, ont versé «89 millions de dollars entre 2004 et 2011» à Al Qaïda. «C’est le chiffre dont j’ai entendu parler et que j’ai vu noir sur blanc.» Les pays européens concernés seraient l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche et, bien entendu, la France. La diplomate ne manque pas de revenir sur le rôle du gouvernement malien dirigé à l’époque par Amadou Toumani Touré. Une preuve qu’il existait bien des connexions entre le gouvernement d’ATT et les chefs terroristes. Hier, l’ancien ministre de l’Intérieur a tenté de démentir les propos de Vicky Huddleston. «Ce n’est pas parce qu’une ancienne ambassadrice des Etats-Unis déclare ce qu’elle vient de déclarer que c’est la vérité. Je maintiens que la France, l’Etat français, n’a jamais rien payé pour la libération d’otages», a soutenu Claude Guéant sur iTélé. Mais il est extrêmement difficile de démentir une personnalité comme Huddleston. «Je connais cette diplomate, c’est une vraie professionnelle et elle est très crédible», a tenu à préciser le professeur Yahia Zoubir, directeur de recherche en géopolitique à Euromed Management Marseille. «La France semble être en violation de l’esprit de la Résolution 1904 des Nations Unies portant sur l’incrimination du versement de rançons aux groupes terroristes. Cette résolution, introduite par l’Algérie, a été soutenue par les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Rappelez-vous que ce dernier a refusé de payer les preneurs d’otages du citoyen britannique Edwen Dyer en 2009, celui-ci fut d’ailleurs exécuté par ses ravisseurs de l’Aqmi. Les rançons sont utilisées pour acheter des armes et des munitions. Donc, il est certain qu’une partie des 17 millions de dollars payés par la France a permis à l’Aqmi de s’approvisionner en armes», a souligné le professeur Zoubir. Il est évident que cette sortie médiatique de l’ancienne ambassadrice des Etats- Unis à Bamako porte un coup fatal à la réputation de la France, pays engagé militairement au Mali. Yahia Zoubir y voit surtout un soutien direct aux autorités algériennes. «Mme Huddleston n’est plus au gouvernement ; donc, elle n’est plus tenue par le droit de réserve. Indirectement, elle soutient l’assaut des forces de sécurité algériennes à In Aménas qui ont refusé de négocier avec les terroristes. Cette attitude reflète celle du gouvernement américain qui a encouragé les membres de la communauté internationale à ne pas payer de rançons», dira-t-il. Alger, qui a été particulièrement réactive hier, a profité des révélations de Huddleston pour réitérer sa condamnation du versement de rançons. «Pour avoir proclamé solennellement, et à maintes occasions, sa position doctrinale qui consiste à rejeter catégoriquement le paiement de rançons aux groupes criminels, l'Algérie est déterminée à persévérer dans ses efforts, en collaboration avec certains de ses partenaires au sein de l'ONU, pour parvenir à la criminalisation effective de cette pratique qui constitue la source principale du financement du terrorisme et du crime organisé», a déclaré à l’APS le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. T. H.
Conditions climatiques extrêmes dans au moins 16 wilayas. Neige, verglas, pluies torrentielles et vents violents ont provoqué la fermeture de plusieurs axes routiers, notamment à l’est du pays. Protection civile et gendarmerie sont en état d’alerte. Leurs éléments ont dû intervenir pour venir au secours d’automobilistes cernés par la neige. Pas d’amélioration pour aujourd’hui. Le BMS reste valide jusqu’à demain. Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Les services météorologiques l’avaient prévu : le mauvais temps a sévi sur une grande partie du nord, essentiellement à l’est du pays forçant le Premier ministre à annuler sa visite à Constantine. Des routes ont été totalement coupées à la circulation, des automobilistes ont été bloqués par la neige et une tension sur la bouteille de gaz s’est faite sentir dans des hameaux isolés. Selon un premier bilan établi par la Protection civile, pas moins de seize wilayas touchées par les intempéries ont nécessité plusieurs interventions pour le sauvetage d’automobilistes coincés par la neige. Pas moins de 43 personnes coincées par la neige ont été secourues, 32 véhicules et camions ont été dégagés par les éléments de la Protection civile, notamment à Oum El Bouaghi, M'sila et Bordj Bou Arréridj et Batna alors que plusieurs cas de dérapages de véhicules ont été enregistrés à cause du verglas causant des accidents et faisant six blessés. A Alger, une jeune femme de 25 ans est morte asphyxiée par le gaz alors que trois autres personnes incommodées par le gaz de ville ont été secourues. Selon la Gendarmerie nationale, les fortes chutes de neige ont causé la fermeture de plusieurs axes routiers dans plusieurs wilayas. A Guelma, la circulation était impossible sur la route reliant les wilayas de Guelma et de Constantine à cause de l’amoncellement de la neige, ainsi que sur la RN 80, sur le tronçon reliant les communes de Guelma et de Sedrata, dans la wilaya de Souk Ahras. Une situation analogue est constatée à Oum El Bouaghi où plusieurs chemins de wilaya sont restés coupés. Dans la wilaya de Skikda, à hauteur du col d’El Kentour, la neige a rendu la circulation quasi impossible. A Batna, plusieurs tronçons sont coupés depuis mercredi en dépit de l’intervention des services des travaux publics, qui tentent de rouvrir plusieurs tronçons. A Sétif, les importantes chutes de neige ont causé la fermeture de la route nationale reliant Sétif à Béjaïa, celle reliant les wilayas de Sétif et de Bordj Bou Arréridj alors que la RN 5 reliant Sétif à Constantine, parallèle au tronçon autoroutier Est-Ouest, enregistre de grandes difficultés de la circulation. Pas moins de 200 engins de déneigement dont 13 chasse-neige ont été mobilisés à Sétif. Le personnel des travaux publics a été mis en état d’alerte. Médéa n’a pas été épargnée non plus. Plusieurs villages et hameaux, situés dans des zones montagneuses du nord-est et du sud-est de la wilaya, sont pratiquement isolés. L’accès à ces zones montagneuses était jusqu’à hier quasiment impossible avec des véhicules légers, en raison de l’épaisse couche de neige qui couvre la chaussée, qui a dépassé par endroits les 20 centimètres. La situation dans ces wilayas risque de ne pas connaître de changements notables pour les journées d’aujourd’hui et de demain. Selon un bulletin météo spécial (BMS), de fortes chutes de pluie sont attendues, et ce, jusqu’à demain. Elles seront dans certaines wilayas diluviennes et torrentielles, et accompagnées parfois de grêle, avec des cumuls qui dépasseront les 100 mm à Jijel, Skikda, Annaba et El Tarf. Les wilayas concernées par ces intempéries sont Alger, Boumerdès, Médéa, Blida, Tipasa, Aïn Defla, Bouira, Tizi-Ouzou, Béjaïa, Sétif, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Guelma et Souk Ahras. Pour la journée d’aujourd’hui, les services de la météo prévoient des chutes de neige qui devront gagner, durant la journée, les hauteurs au-dessus de 400 mètres d'altitude. Les wilayas concernées par ce BMS sont : Tissemsilt, Aïn Defla, Médéa, Blida, Bouira, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Béjaïa, Bordj Bou Arréridj, Sétif, Jijel, Skikda, Annaba, El-Tarf, Mila, Constantine, Guelma, Souk Ahras, Batna, Oum El- Bouaghi, Khenchela et Tébessa. L'épaisseur de la neige prévue atteindra localement 20 centimètres durant la validité de ce BMS et atteindra ou dépassera 50 cm, notamment sur les wilayas de Sétif, Bordj Bou Arréridj, Béjaïa, Tizi- Ouzou et Bouira. N. I.
De nos envoyés spéciaux à Rustenburg, M. Bouchama, A. Andaloussi et S. Sid La finale de la CAN-2013 se jouera demain soir au FNB Stadium de Johannesburg. Un finish inédit, comme l’était cette 29e édition qui a bouffé» les cadors et les favoris dont le dernier n’est autre que le Ghana. Baisser de rideau donc sur la fête panafricaine du football. Une fête qui a tenu ses promesses en dépit des ratages des Verts, l’élimination précoce du champion sortant, puis de l’équipe du pays hôte, enfin du Ghana, quadruple champion d’Afrique. La nouveauté, cette année, au cours de ce rendez-vous africain pour lequel ni l’Egypte, ni le Cameroun encore moins le Sénégal, ne s’étaient invités, est cet sacerdoce retrouvé par les pays de l’Afrique de l’Ouest. Le Burkina- Faso, le Mali, le Togo, certainement le Cap-Vert, sans oublier la Côted’Ivoire ont fait cavalier seul, ou presque, au sortir du premier tour qui aura vu le Maghreb perdre ses deux candidats. A l’arrivée, la meute de la Cédéao s’est désagrégée sous les coups de boutoir des Black Stars et des Super Eagles. Des cinq postulants à la succession des Chipolopolos, les Etalons du Burkina-Faso ont soutenu le rythme et ont fini par éviter un derby anglophone, entre le Nigeria et le Ghana. Ces deux frères ennemis se sont jurés de conclure la fête ce dimanche 10 février par une explication qui sentirait le souffre. Une revanche. C’était compter sans la détermination des joueurs du Belge Paul Put, de déjouer les pronostics et d’empêcher les Black Stars d’atteindre leur neuvième finale. Demain soir, les Burkinabés voudront continuer l’œuvre du Cameroun, une sélection de la région ouest-africaine, qui avait brimé les Super Eagles en trois occasions, trois finales (1984, 1988 et 2000). Ce sont juste des approches spéculatives, mais les chiffres sont têtus : les sélections anglophones qui parviennent à l’ultime match de la CAN (Ghana et Nigeria notamment) avaient mordu la poussière devant leurs adversaires de l’Afrique de l’Ouest. Il y a le Cameroun, mais également la Côte-d’Ivoire, en 1992 au Sénégal, face au Ghana. Le Burkina-Faso saura-t-il perpétuer la tradition, lui qui, lors du premier tour, a tenu en respect les joueurs de Stephen Keshi ? La réponse est attendue dans moins de quarante-huit heures sur la pelouse du FNB Stadium de Johannesburg. Bourreaux du groupe de la mort L’arrivée du Nigeria et du Burkina-Faso à cette grande finale n’aura pas été une mince affaire. En tout cas, à suivre le parcours des deux sélections, l’on comprend mieux comment et pourquoi ces deux teams ont réussi à atteindre ce stade de la compétition. Au début de cette CAN, et même bien avant, le Nigeria, malgré son palmarès, et le Burkina-Faso avaient été casés» dans une grille où figurent généralement les bras courts, ceux qui n’ont pratiquement aucune chance de monter sur le podium. Le Nigeria du fait que Stephen Keshi, son sélectionneur, ait fait appel à une composante pour le moins expérimentale où les locaux ont eu le privilège de dompter les vedettes nigérianes d’Europe. Des éléments comme Odenwengie, Taiwo et autre Ameobi se sont vu signifier des mises à l’écart pour le moins diplomatiques. Les fans des Super Eagles, les médias nigérians aussi, ont désapprouvé mais Keshi est resté de marbre. D’ailleurs, à l’issue de la demi-finale contre le Mali, il eut cette belle réplique en direction de tous ceux qui critiquaient ces choix. «Oui, je suis heureux. Au début, c’était difficile de faire comprendre à tout le monde ma manière de travailler. Il fallait faire adhérer les joueurs, les responsables de la fédération et tout un peuple. Ma patience et vos critiques m’ont aidé à construire. Aujourd’hui, je suis fier de ce que nous avons accompli ensemble», assurait celui qui a repris les affaires de la sélection nigériane en novembre 2011. Cette difficulté, le nouveau sorcier blanc des Etalons l’a vécue à sa manière. Le Burkina-Faso qui a terminé au pied du podium quand, en 1998, il avait organisé sa CAN sous la conduite du sorcier blanc, le Français Philipe Troussier, dispose actuellement de sa plus belle génération de football. Les Pitroipa, Kabore, A, Traoré, Bancé et autre M. Dagano arrivent pratiquement à maturité à l’occasion de cette phase finale. Aidé par son état d’esprit conquérant, le groupe burkinabé a entamé ces joutes sans pression. Comme d’ailleurs les Nigérians. C’est pourquoi, ce duo qui a partagé le leadership de la poule C au cours du premier tour a pris du plaisir à se délecter les favoris du tournoi, ceux qui animaient le groupe dit de la mort avant d’éjecter, au tour suivant, deux équipes de la poule B (Mali et Ghana) visiblement éreintés par leur quart de finale devant l’Afrique du Sud et le Cap-Vert respectivement. C’est dire que ces deux formations qui se sont quittées sur un nul lors du match d’ouverture du groupe C à Nelspruit ont mis à profit leur statut d’outsiders. Demain soir, ce tour de passe-passe n’aura pas lieu de cité : seule la victoire sera belle. M. B.
En dix-sept participations, le Burkina- Faso aura été ce simple figurant qui passe, malgré les promesses, souvent à côté. Excepté, en effet, la CAN-1998, au Burkina- Faso, où la sélection de l’ex-Haute-Volta a, sous la conduite de Philipe Troussier, terminé 4e en étant parmi les équipes qui étaient derrière l’élimination des Verts d’Abderrahmane Mehdaoui, dès le premier tour de cette phase finale, le Burkina n’a jamais donné l’impression de venir déranger l’ordre établi ou, mieux, se frayer un chemin parmi les grands du continent. La faute à un championnat où l’ASFA Yenenga est le seul maître à bord, mais également à une diaspora rarement au service des Etalons. Désormais, c’est chose faite. La réorganisation du challenge national, le lancement de centres de formation et la disponibilité de bons joueurs évoluant en Europe et dans les championnats des pays du Golfe ont fini par donner un autre visage, une autre image au football burkinabé, à la régularité avérée (le Burkina-Faso était, comme l’Algérie, absent en 2006 et en 2008) depuis la CAN-1998. 2013 aurait pu connaître une nouvelle mésaventure des Etalons qui n’ont passé que difficilement l’écueil de la Centrafrique. Mais, la génération des 5 mousquetaires (Dagano, Pitroipa, Alain Traoré, Kabore et Bakary Koné) a su, grâce à un mental de fer, gérer les mauvaises passes pour finir dans le contingent invité à la fête en Afrique du Sud où, malgré le fait de tomber dans un groupe composé du champion sortant (Zambie), d’un ancien double lauréat (Nigeria) et d’un revenant (Ethiopie, sacrée chez elle en 1962). Halilhodzic, le sélectionneur des Verts, qui avait souhaité affronter le Burkina- Faso en quarts de finale de cette CAN estimant qu’elle serait plus abordable que la Zambie ou le Nigeria, devra revoir ses visions et ses prévisions. Les Burkinabés n’ont plus rien à perdre dans cette Coupe d’Afrique. Au pire, une place de dauphin. Qui l’aurait parié au lendemain du tirage au sort, en septembre dernier ? Demain, Paul Put et son ensemble porteront les espoirs de tout un peuple, toute une région. M. B.
Le réveil aura été dur, jeudi matin, pour les Ghanéens et les Maliens. L’amère élimination en demi-finale respectivement face au Burkina- Faso et au Nigeria doit être pour autant mise de côté. Une troisième place est désormais en jeu pour deux équipes qui, à ce niveau, accumulent un certain vécu. Les Ghanéens de Kwesi et les Maliens de Carteron compteront, pour se départager, certainement sur des composantes renouvelées. Les habituels titulaires seront probablement épargnés par cette corvée. Cela ne devrait, cependant, pas remettre en cause la qualité de la prestation que fourniront les réservistes. Ces deux teams techniquement remarquables se feront un devoir de présenter une dernière symphonie du football sur le terrain du Nelson Mandela Bay de Port- Elizabeth. Les Aigles, qui avaient terminé à cette troisième marche du podium lors de la dernière édition organisée conjointement par le Gabon et la Guinée-équatoriale, auront peut-être cette motivation supplémentaire consistant à offrir de la joie à leur peuple. Dans sa conférence de presse, mercredi dernier, le capitaine malien, Seydou Keita, faisait bien remarquer, en effet, que les joueurs continueront à honorer le pays. «Nous avons encore de la joie à donner à notre peuple. Nous voulions lui offrir le cadeau suprême, mais une place sur le podium n’est pas à négliger», a-t-il confié. Pour les Ghanéens, dépités par une deuxième phase de tournoi moins éclatante que lors du premier tour où les camarades de Gyan Asamoah ont, à l’instar de la Côted’Ivoire, amassé sept sur les neuf points possibles dont trois contre le Mali (1-0). En définitive, cette réédition du match du 24 janvier sur cette même pelouse du Nelson Mandela Bay de Port-Elizabeth ne manquera pas de piment en dépit de la déception, de la fatigue mais du fait que les deux coaches pourraient inviter leurs réservistes à entamer la partie. M. B.
Par Kader Bakou Jumelée avec Waimate en Nouvelle-Zélande, la ville de Bourail en Nouvelle-Calédonie n’est jumelée avec aucune ville algérienne. Découverte en 1774 par le capitaine anglais Cook, la Nouvelle-Calédonie, cet archipel de l’océan Pacifique, devient territoire français en 1853. Elle sera à partir de 1871 la terre d’exil pour les communards français et surtout pour les insurgés de la révolte kabyle contre le colonialisme français en Algérie. Dirigée par Mohamed El Moqrani, l’insurrection s’achève par le procès au tribunal de Constantine des principaux chefs, dont Boumezregue, le frère d’El Moqrani, arrêté le 20 janvier 1872 à Ouargla. Le 10 mars 1873, donc, s’est ouvert au tribunal de Constantine le procès des chefs de l’insurrection. Pour 84 d’entre eux, dont Aziz Ben Cheikh El Haddad, le verdict sans appel est la déportation en Nouvelle-Calédonie. La politique de déportation en Nouvelle-Calédonie fut ensuite généralisée à la population ayant participé activement à l’insurrection. Des milliers d’insurgés sont alors exilés, mais beaucoup d’entre eux périssent avant d’atteindre l’île. Jean Allemane cite le chiffre de deux tiers de morts durant le voyage. La traversée dura cinq mois. Les déportés étaient enfermés dans des cages en fer. Beaucoup d’entre eux mouraient de maladies telles que la phtisie, le scorbut, la gangrène ou d’inanition, ne réclamant aucun soin médical. Le carnet de bord du médecin Major Dubuquois décrit les conditions de voyage de ces déportés : «Ils se sont volontairement laissés mourir (…) 1 405 personnes à bord, 320 condamnés dont 39 Kabyles, sur ces derniers, il y a 5 décès.» Ces nouveaux arrivants sur l’Archipel, appelés «les Kabyles du Pacifique», ne reverront jamais leur pays. Aujourd’hui, les descendants de ces Algériens sont nombreux en Nouvelle-Calédonie. Près de Nouméa, chef-lieu de la Province sud, se trouve la vallée des Arabes, et non loin de là, le cimetière des Arabes où sont enterrés les anciens déportés algériens dans le pur rite musulman, tombes orientées vers La Mecque. Les habitants de ces régions s’efforcent de ne pas oublier leur culture et leurs traditions. Ainsi, ils parlent des mots d’arabe et de kabyle et font partie d’une association de musulmans. Ils ont aussi une mosquée et un centre religieux où ils célèbrent les fêtes musulmanes. «En pénétrant dans le Nessadiou (vallée des Arabes), on a l’impression de se retrouver dans un véritable petit village kabyle », rapportent des gens qui ont visité récemment cette région. La ville de Bourail a été fondée en 1867 par le gouverneur Guillain. Au début, centre pénitentiaire, créé par une poignée d’hommes (soldats et condamnés), Bourail devient un village à part entière après la fermeture du bagne. Les bâtiments administratifs sont vendus à des particuliers, et les activités agricoles et industrielles prospéreront avec l’éducation des enfants et la libération des condamnés. Aujourd’hui, le maire de Bourail, Taïeb Aïfa, est d’origine algérienne. A Bourail, on trouve aussi l’Association des arabes et amis des arabes présidée par Salem Bernard et l’Association des descendants d’Algériens et des Maghrébins de Nouvelle- Calédonie, présidée par Kader Boufeneche. Des dénominations comme celles de l’hôtel El Kantara essayent symboliquement de maintenir le lien avec l’Algérie, la terre des ancêtres. Le jumelage de Bourail (ou une autre ville) avec des villes en Algérie contribuera certainement à renforcer nos liens avec notre communauté installée sur cette lointaine île du Pacifique. Concernant la culture, pourquoi ne pas inviter en Algérie des artistes, des écrivains etc. ? Le conteur Kamel Zouaoui a certainement beaucoup d’histoires à raconter aux enfants de son pays d’origine. K. B. bakoukader@yahoo.fr
Que faut-il à la Tunisie pour s’en sortir aujourd’hui ? Un…
… Mohamed Lamari, que Dieu ait son âme !
Un lecteur me reprochait l’autre jour mon ton très dur à l’encontre des trois terroristes preneurs d’otages… pris à leur tour dans les mailles de l’assaut des forces de l’ANP sur le site de la raffinerie de gaz d’In Aménas. Cet ami qui se décrit lui-même comme un fidèle d’entre les fidèles de l’espace «Pousse avec eux» m’avait, entre autres, suggéré gentiment ceci : «Hakim, il ne faut pas sombrer dans la bestialité des bêtes immondes qui tuent. Il ne faut surtout pas appeler à leur soutirer des renseignements par des moyens non conventionnels. Car à l’ignoble, il ne faut pas répondre par l’ignoble.» La présence aujourd’hui des troupes combinées franco-maliennes à la frontière avec l’Algérie, à moins de 60 km exactement de cette frontière, présence due au fait que dans cette enclave malienne se seraient réfugiés des groupes d’Aqmi, du Mujao et d’Ançar Dine, me donne une occasion de répondre à l’appel pressant de ce «fidèle » lecteur. D’abord, par une précision : ici, les idées ne se taillent pas en fonction des époques. Ici, le principe n’est pas une matière malléable au gré des saisons et des humeurs. Et donc, ici, aujourd’hui, hier et demain, je le rédige sciemment en gros caractères majuscules – et j’implore mes doctes collègues du service correction de garder telle quelle cette police – UN BON TANGO EST UN TANGO MORT ! Il ne m’insupporte pas de savoir que des renseignements aient pu être soutirés à un terroriste islamiste par des «moyens non conventionnels» tant que ces renseignements permettent à des villes et villages de dormir sans la peur de ne pas se réveiller le lendemain, ou de se réveiller amputés des mains et des pieds. Je ne revendique la fidélité d’aucune lectrice et d’aucun lecteur qui ne tolérerait pas – oh ! la belle âme sensible — de voir verser le sang d’un tango. Je préfère perdre ce genre de lecteurs, me priver de l’amitié de ce que j’appelle la secte des «Droits-de-l’hommiste». Et j’assume ! Demain, l’islamisme prendra peut-être le pouvoir totalement en Algérie et au Maghreb, je ne renierais pas un mot, pas une phrase de cette position guerrière contre l’intégrisme. Et aucun tribunal islamique ou même international, qu’il siégeât à Ksar Chellala ou à La Haye, ne me fera revenir en arrière. Et donc, «ami lecteur» qui me reprochait mon extrême dureté et mon appel à régler leur compte aux deux tangos arrêtés à In Aménas, je vous confirme et suis prêt à le signer sur n’importe quelle attestation : j’appelle les forces françaises en opération en ce moment même à moins de 100 kilomètres de notre frontière à débriefer comme il se doit les rats intégristes réfugiés dans cette enclave, et les assure qu’aucun bruit de mauvais traitement ne parvient jusqu’à nos oreilles. Eh oui ! Le désert a ceci de profondément merveilleux que de son immensité intense n’émergent jamais les cris stridents des rongeurs nuisibles que l’on écrase. Alors, allez les bleus ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
Des dizaines de milliers de Tunisiens étaient présents hier au cimetière Jellaz, à Tunis, pour les obsèques du leader des patriotes démocrates, Chokri Belaïd, assassiné dans sa voiture, mercredi matin, devant chez lu.
Mali: l'armée renforce la sécurité à Gao après un premier attentat suicide
le 09.02.13 | 10h35 | mis à jour le 09.02.13 | 11h47
Les soldats maliens renforçaient samedi la sécurité dans la région de Gao,...
Les soldats maliens renforçaient samedi la sécurité dans la région de Gao, dans le nord du Mali, après l'arrestation de deux jeunes portant des ceintures d'explosifs et au lendemain du premier attentat suicide recensé dans le pays.
Des dizaines de milliers de personnes ont assisté, hier, aux funérailles de l’opposant assassiné Chokri Belaïd, criant leur colère contre le pouvoir islamiste en Tunisie et scandant des slogans contre Ghannouchi....
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