051-/-Jeudi 20 février 2014
JEUDI 20 FEVRIER 2014 .
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Important incendie à l'agence de la BDL de Zeralda
le 20.02.14 | 10h26
Un important incendie a ravagé la salle des archives de l'agence de Zeralda de la banque de développement local (BDL) dans la nuit de mercredi à jeudi, a-t-on appris auprès de la protection civile.
L'incendie s'est déclaré dans le sous-sol de la banque, où sont entreposées les archives, précise le lieutenant Bakhti Sofiane, chargé de la communication à la protection civile d'Alger.
Un appel ''nous est parvenu vers 4.09 du matin signalant un important dégagement de fumées provenant des locaux de la banque'', indique la même source, qui a précisé que des ''moyens d'intervention conséquents ont été immédiatement déployés pour circonscrire l'incendie''.
Le feu a pris dans le sous-sol de l'agence, dans la salle des archives dont la superficie est de 120 mètres carrés, explique le Lieutenant Bakhti, qui a souligné que ''nous avons d'abord effectué une extraction des fumées se dégageant du lieu du sinistre, ensuite à l'extinction de l'incendie''.
APS
Ukraine: la "trêve" finit en bain de sang sur le Maïdan à Kiev
le 20.02.14 | 13h59 | mis à jour le 20.02.14 | 15h54
Le secouriste s'empresse de faire un massage cardiaque à un jeune homme dont le visage cireux indique pourtant qu'il est déjà mort: jeudi, la police a ouvert le feu à balles réelles contre les manifestants sur le Maïdan à Kiev.
Derrière lui, un prêtre en soutane noire, sur laquelle brille une croix sertie de pierreries, tient une perfusion pour un blessé à la plaie sanglante, autour de laquelle un infirmier découpe au couteau les vêtements.
Désormais surmonté d'un drapeau frappé d'une croix rouge, l'hôtel Ukraïna, immense bâtiment à l'architecture stalinienne qui surplombe le Maïdan, la place de l'Indépendance occupée depuis près de trois mois par des milliers d'opposants au président Viktor Ianoukovitch, est transformé en hôpital de fortune.
Le soleil s'était levé depuis peu, lorsque des opposants, casqués et armés de gourdins, ont escaladé leurs propres barricades avant de se lancer à l'assaut des policiers, qui ont reculé en ouvrant le feu par salves soutenues.
Avec un résultat meurtrier: au moins 25 manifestants ont été tués jeudi dans le centre de Kiev, selon des journalistes de l'AFP, qui ont compté les corps entreposés dans des morgues provisoires, comme à l'hôtel Ukraïna.
"Ils ont été touchés à la tête ou au coeur, par balles réelles, pas par des munitions en caoutchouc", explique Natalia, secouriste, en montrant du doigt un gilet pare-balles ensanglanté, abandonné à terre, portant la marque d'un impact de balle qui l'a traversé.
En face de la réception, sept corps sont allongés par terre, les uns à côté des autres, sous un mince drap blanc faisant office de linceul mais qui laisse dépasser crâne ou chaussures.
Bouteflika et son incapacité à gouverner : Les dangers d’un quatrième mandat
le 20.02.14 | 10h00
Périlleuse impasse. Au terme de quinze ans de règne de Abdelaziz Bouteflika, l’Algérie a atteint des niveaux de régression inquiétants. Un règne qui a fini par achever le plus irréductible des espoirs.
Le pays avance à pas sûrs vers l’effondrement généralisé. Des personnalités nationales, pourtant connues pour leur pondération, n’hésitent plus à qualifier la situation dans laquelle se trouve le pays de «négation de la République» et d’«Etat hors normes». Mouloud Hamrouche, avec un grand sens de la responsabilité, met en garde contre les conséquences désastreuses d’une crise qui mine le sérail. Les divergences au sein du régime algérien, violemment exacerbées et débordant les travées du pouvoir, sont les signes d’une impotence qui frappe le système politique.
Alors que les acteurs politiques les plus sérieux font un constat de blocage historique, ces derniers assurent sereinement que les éléments d’une crise structurelle sont internes. Ils sont inhérents à la nature même du système.
Abdelaziz Bouteflika, lui, persiste dans le déni. Une fuite en avant. Dans son message présidentiel, Bouteflika impute les facteurs de la crise à une sordide conspiration venue d’ailleurs et qui viserait la déstabilisation de l’Etat et de ses institutions.
Au lieu d’y faire face et d’apporter des réponses justes à une situation de crise annonçant le pire, le Président agite le classique chiffon rouge de «la menace extérieure». Le recours permanent au chantage de l’instabilité et de la peur est la démonstration éclatante de l’incapacité du régime à affronter cette situation.
Une société muselée
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