052-/-Vendredi 21 fevrier 2014
Vendredi 21 fevrier 2014
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LA HAUSSE DES IMPORTATIONS N’EST PAS SOUTENABLE L’alerte de LaksaciLa hausse des importations en 2013 n’est pas soutenable, affirmait hier le gouverneur de la Banque d’Algérie, prônant la vigilance tout en rassurant sur la situation financière du pays. Mohamed Laksaci a indiqué que la Centrale des risques ...Suite |
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الجمعة 20 ربيع الثاني 1435 ه
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DÉPÊCHES
13h08 | Thaïlande: des riziculteurs renoncent à se diriger vers l'aéroport de Bangkok |
12h16 | Espagne: un premier geste attendu de l'ETA vers un désarmement |
11h42 | Somalie: le palais présidentiel sous contrôle des autorités, le président indemne |
11h28 | Italie: Matteo Renzi veut achever la liste de ses ministres dans la journée |
11h21 | Corées: la politique s'invite à une réunion de familles séparées par la guerre |
10h30 | Espagne/Transfert Neymar: Les dirigeants du Barça "sereins" |
09h46 | 1914-1918: les nations entièrement mobilisées dans une "guerre totale" |
09h07 | Le Bhoutan célèbre l'anniversaire de son jeune roi |
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Présidentielle : la directive de Bouteflika
Bouteflika-DRS : La part du bruit, la part de la fureur
Pourquoi la tripartite n’apaisera pas la colère sociale
Chemma : Un marché informel qui vole 20 milliards de dinars au fisc
Tahar Belabbès. Ex-porte-parole de la Coordination nationale de défense des droits des chômeurs (CNDDC) : Je démissionne pour couper court aux subterfuges du gouvernement
Retour sur les lieux du crash
Ecole : Programme de rattrapage connu la semaine prochaine
Les gardes communaux annoncent une marche pour le 2 mars
Tizi Ouzou : Le cri des anciens gardes communaux
Le caricaturiste Djamel Ghanem victime d’une agression
Mondial italien : Les Algériennes veulent voler haut
Djamel Haïmoudi, notre arbitre à Rio
Le Bayern et l’Atletico sur la voie royale
Des pauses pour boire aux joueurs
Le leader en danger à Médéa
Bouslimani confirmé au poste de président l’USMH
Réserves de change : Faible progression en 2013
Le matelas de devises permet à l’Algérie de faire face à d’éventuels chocs externes.
Capital investissement et marché financier : Se défaire de la dépendance des fonds publics
Algérie-Espagne : Forum d’affaires le 9 mars à Alger
Perturbations dans la disponibilité du lait en Algérie: offre insuffisante sur les marchés internationaux
Epuisement des réserves d’ici 50 ans : Les mises en garde du FMI à l’Algérie
Groupe pétrolier ENI : La production en Algérie compense les pertes
Ukraine : Plus de 100 morts dans les affrontements
Moscou incontournable pour une médiation
Syrie : Les Occidentaux soumettent un projet pour vote à l’ONU
Pakistan : 15 morts dans un pilonnage contre les talibans
Liban : Assassinat d’un soutien de Bachar Al Assad
Libye : Des bureaux de vote endommagés à la veille l’élection d’une Assemblée constituante
Djemila Benhabib. Ecrivaine et journaliste : Je revendique un ordre humain sans dogme et sans tutelle
10 Voix qui vont vous faire aimer la nouvelle chanson algérienne
Faites un puzzle d’Alger en photos
Menouba en VIP à Washington
Ces regards d’enfants époustouflants
Une journée dédiée à la mode algérienne
le 21.02.14 | 10h00
Une directive du président de la République sur l’élection présidentielle du 17 avril a été rendue publique hier. En voici le texte intégral :
Le 17 janvier 2014, dans les délais impartis par la loi, j’ai eu à convoquer le corps électoral pour qu’il se rende dans les bureaux de vote le 17 avril 2014 et élire le président de la République. Auparavant, j’avais instruit le gouvernement de veiller à prendre toutes les dispositions que commande une organisation parfaite de cette échéance électorale, sous tous ses aspects, dans le souci d’en garantir le bon déroulement, dans le respect de la loi et des principes de neutralité, de régularité, de transparence et de crédibilité. Tout en vous rappelant, à cette occasion, à vos responsabilités pour la garantie d’un scrutin dont la crédibilité ne saurait susciter le moindre doute, je demeure entièrement convaincu de votre conscience du poids d’une telle responsabilité, et je suis certain que vous ne ménagerez aucun effort pour assurer à ce rendez-vous électoral déterminant le succès qui s’impose.
A ce niveau, je tiens à vous rappeler la nécessité qu’il y a, pour toutes les autorités et les instances chargées d’organiser ce scrutin, chacune dans le cadre de leurs compétences, de faire preuve d’efficience et de rigueur dans l’exercice de leurs missions consignées par la loi, et s’agissant plus particulièrement des mesures suivantes :
Premièrement : le respect scrupuleux, par tous les commis de l’Etat mobilisés dans le cadre de l’organisation de cette élection, du principe d’équité et d’impartialité, tout en s’abstenant de tout acte susceptible de porter atteinte à tous les droits dont jouissent les électeurs et les candidats et que la Constitution et la loi garantissent. En conséquence, il faut veiller au strict respect de la loi organique relative au régime électoral, aussi bien dans ses aspects liés à la responsabilité de l’administration et l’impartialité de ses agents vis-à-vis des partis politiques et des candidats, que pour ce qui est des garanties inhérentes à la régularité du scrutin et à sa transparence.
Bouteflika-DRS : La part du bruit, la part de la fureur
le 21.02.14 | 10h00
Guerre ? Hostilité ? Volonté de bousculer la mainmise du DRS incarné par Toufik ? Les tensions entre Présidence et DRS sont nourries par un terreau fertile et une logique qui a marqué le règne de Bouteflika. Rappel.
«Regardez toutes ces cités sorties de terre en si peu de temps, tous les appartements appartiennent à des officiers et à des sous-officiers du DRS.» Ce haut fonctionnaire de la présidence de la République ouvre grands ses bras malgré le costard cintré qui emmaillote sa grande taille. Le ton est colérique, avec une moue de dégoût déformant sa bouche. Nous sommes quelque part aux abords de Saïd Hamdine, sur les hauteurs d’Alger, pas loin de certaines casernes de l’ex-Sécurité militaire, vouée publiquement aux gémonies par le clan présidentiel. «Des années et des années à piller, à se mettre du fric dans les poches, à faire les cow-boys sans qu’aucune autorité ne les arrête, poursuit-il. Il faut en finir avec eux.» «Nous les avons trop subis, l’impunité a trop duré», renchérit l’homme, fidèle au clan présidentiel, sherpa du cercle restreint d’El Mouradia, dans différentes missions discrètes de lobbying, notamment au sein du parti FLN.
«Ils se sentent tout-puissants ces moustachus du DRS. Ils se barricadent derrière leur patron, ce Toufik, complètement parano, enfermé dans son bureau-bunker, qui passe ses journées - ce grand malade – à fomenter des complots, à tirer les ficelles de la politique, de la société, de l’économie, de la diplomatie et de la presse – oui, oui, vous êtes tous complices – pour échafauder ses plans démoniaques…», s’emporte le haut fonctionnaire de la Présidence, avant de se calmer : «Vous devriez être de notre côté si on veut se débarrasser de la toute puissance du DRS et de son patron.» Du côté de qui exactement ? «On sait qu’une partie de la presse privée ne nous aime pas, parle de Saïd Bouteflika à tort et à travers, mais il n’a aucun lien avec les affaires d’argent sale, se défend notre haut fonctionnaire. Le fait est que des gens malhonnêtes règlent leurs affaires de business, ici en Algérie ou à l’étranger, en se faisant passer pour des proches du frère, alors ne soyez pas si dogmatiques et aveugles !»
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