056-/-ACTUALITÉ Du MARDI 25 FEVRIER 2014
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Mardi 25 Février 2014
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ILS RÉCLAMENT ENCORE UNE FOIS LE «SEUIL»
Après les enseignants, c’est au tour des élèves des classes de terminale de manifester leur colère. Ils étaient nombreux hier à se rassembler pour le deuxième jour consécutif à quelques mètres de l’annexe du ministère de l’Education. Ils exigent des garanties quant à la tenue du ...Suite |
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Houria Bouhired, fille de Fatiha Bouhired-Hattali, rend hommage à sa mère à la faveur d’une cérémonie..
Saïd Sadi plaide pour une transition politique en Algérie
le 25.02.14 | 15h37 | mis à jour le 25.02.14 | 17h15
La seule chose qui reste à faire maintenant est de « disqualifier » l’élection présidentielle à travers une « abstention massive ».
L’Algérie est dans une « impasse historique », a estimé Saïd Sadi, lors de son passage ce mardi au forum du quotidien Liberté. Et pour sortir le pays de cette situation, il faut aller vers une « phase de transition » durant laquelle le pouvoir politique sera confié à un « collège de personnalités nationales qui ne peuvent pas concourir à des postes de responsabilité ».
Ce collège de personnalités se chargera de l’élaboration d’une nouvelle Constitution « consensuelle » avant de passer à l’organisation des élections présidentielle et législatives. L’ancien président du RCD a souligné que le pouvoir en place peut être associé dans cette démarche de dialogue national en tant que « partie » et non pas en qualité de « tuteur ou d’arbitre ».
Saïd Sadi considère que le débat politique en cours actuellement dans le pays est « empoisonné ». Au lieu de focaliser sur « les garanties de transparence » du prochain scrutin, le débat est dirigé sur le quatrième mandat. « Le coup est parti le jour où l’on a violé la constitution pour permettre à Bouteflika de briguer un troisième mandat », a-t-il dit à ce propos. Il a rappelé que les députés du RCD, étaient les seuls au sein du Parlement algérien à s’être opposés à la levée de la limitation des mandats, opérée dans le cadre de l’amendement de la Loi fondamentale en 2008.
Candidats "fous"
Renforcement du dispositif sécuritaire
Alger sous haute surveillance
le 25.02.14 | 10h00 15 réactions
Depuis quelques jours, Alger est quadrillée par un dispositif de sécurité inhabituel. Le renforcement est visible dans les grandes artères et à proximité de certains établissements publics.
Au niveau de la Grande-Poste, les véhicules blindés de la police longent la grande avenue. Aux alentours du siège de l’Assemblée populaire nationale (APN) et à la place du 1er Mai, des fourgons de police ont pris position. De simples passants interceptés ont été sommés de présenter leur pièce d’identité. Dimanche, des policiers ont malmené des syndicalistes qui manifestaient, devant la résidence Djenane El Mithak, pour dénoncer leur marginalisation en tant que partenaire social et leur exclusion de la tripartie. Pis encore, à leur retour à leurs sièges respectifs, certains syndicalistes étaient étonnés de voir des agents de l’ordre postés devant la porte et à proximité des immeubles abritant leurs bureaux.
Les syndicats, tout en dénonçant cet état de fait, ont qualifié le déploiement des agents des forces de l’ordre de «dispositif monstrueux». Hier, le Comité national des patriotes devait tenir un sit-in devant le palais du gouvernement. Arrivés au niveau de la Grande-Poste, les rappelés de l’armée ont été encerclés par un convoi de fourgons de police. Tabassés et malmenés, ils ont été sommés de quitter les lieux. Les policiers ont orienté et forcé les manifestants à se rendre à la gare de Tafourah où le dispositif de sécurité avait été renforcé : «Les agents de l’ordre nous ont embarqués de force dans des bus menant vers la gare de Kharouba», dénonce le porte-parole du Comité national des rappelés de l’armée. Celui-ci, qui ne comprend pas l’acharnement des services de sécurité, s’interroge surtout sur les raisons du renforcement de ce dispositif. Que craint le pouvoir ? «De quoi a-t-il peur ?», s’est interrogé un militant des droits de l’homme. «Pourquoi Alger est sous haute surveillance ?», s’inquiète-t-il.
Egypte: un nouveau Premier ministre après la démission du gouvernement
le 25.02.14 | 16h13 | mis à jour le 25.02.14 | 18h08
Ibrahim Mahlab, un cacique du parti du président déchu Hosni Moubarak, a été nommé mardi nouveau Premier ministre de l'Egypte, au lendemain de la démission du gouvernement nommé par l'armée après la destitution en juillet de l'islamiste Mohamed Morsi.
M. Mahlab, ministre sortant de l'Habitat, doit désormais former une nouvelle équipe gouvernementale afin de conduire le plus peuplé des pays arabes vers l'élection présidentielle prévue au printemps et pour laquelle l'homme fort du pays, le chef de l'armée Abdel Fattah al-Sissi, est donné favori.
Le nouveau Premier ministre a dit espérer présenter son gouvernement d'ici "trois à quatre jours" et promis de s'atteler aux dossiers économiques et à la question de la sécurité dans un pays déserté par les touristes, à l'économie en ruines et en proie à des attentats qui visent désormais quasi-quotidiennement les forces de l'ordre.
19h50 | Syrie: l'ONU dénonce la situation dans le camp Yarmouk à Damas |
19h32 | 20 ans après, les stigmates du massacre du caveau des Patriarches |
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17h27 | Ouganda: un journal publie les noms des 200 principaux homosexuels du pays |
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Le ministère cède devant la colère des lycéens
Les dates des vacances et des examens inchangées
le 25.02.14 | 10h00 5 réactions
Après le mouvement de protestation initié par les lycéens, le ministère de l’Education vient de décider du maintien des dates des examens et de celles des vacances scolaires.
Le ministère de l’Education nationale rassure les élèves et leurs parents. «Les dates des vacances et des examens de fin de cycle sont officiellement maintenues», précise le ministère de l’Education dans un communiqué rendu public hier. Aucun report donc des dates des examens ou des vacances, comme l’indique Mustapha Benzemra, directeur de l’Office national des examens et concours d’Alger-Centre. Il a déclaré à l’APS que la date de l’examen du baccalauréat prévue le 1er juin «demeure inchangée». Le communiqué du ministère de l’Education, dont El Watan a une copie, souligne que les dates des compositions «sont laissées à l’appréciation de la concertation au niveau de chaque établissement». Le ministère de l’Education nationale rassure que «les sujets d’examen ne porteront que sur les leçons effectivement dispensées». Les élèves bénéficieront d’une période de révision de leurs cours, cependant aucune précision sur la durée accordée. Le communiqué du ministère de l’Education nationale intervient suite à l’action de protestation menée par des centaines d’élèves qui revendiquent, encore cette année, la limitation des cours pour les classes de terminale.
Par ailleurs, «vu que les établissements sont inégalement touchés par les arrêts de travail, un plan de récupération des heures perdues sera discuté et arrêté en fonction des spécificités de chaque établissement scolaire», souligne le ministère de l’Education nationale. Ce dernier a effectué la première évaluation du retard causé par la grève de trois syndicats (Unpef, Cnapest et Snapest). «La situation est maîtrisable», conclut le département de Baba Ahmed qui n’a pas manqué de souligner que «la grève observée par trois syndicats a généré de l’angoisse chez les élèves concernés». Mais, les cours perdus peuvent être récupérés «loin de toute précipitation dans l’exécution des programmes», précise-t-on.
L’Organisation nationale des parents d’élèves (ONPE) s’est montrée soulagée des mesures prises par le ministère de l’Education nationale. M. Benzina, président de l’ONPE, s’interroge toutefois sur le caractère répétitif de la demande de la limitation des cours par les élèves. Il appelle, par là même, à la révision de cette démarche qui n’est pas dans l’intérêt de l’élève. «Un bac découlant de la limitation des cours n’est pas reconnu», met-il en garde. Questionné à ce sujet, Noui Benbarghous, président du Comité national des directeurs et des censeurs affilié à l’Unpef, estime qu’il est nécessaire d’établir un plan de récupération des cours au niveau des établissements. Ce dernier propose le dialogue avec les élèves concernés et les parents à propos du rattrapage, durant les vacances, des leçons perdues. De l’avis de ce directeur, la plupart des élèves ne sont pas contre la récupération des cours durant les vacances. «Il suffit de les convaincre et de les associer aux modalités de récupération», explique M. Benbarghous qui suggère, à titre d’exemple, la programmation de séances durant la matinée uniquement, laissant les élèves profiter du reste de la journée.
20 ans après, les stigmates du massacre du caveau des Patriarches
le 25.02.14 | 19h32
Vingt ans ont passé, mais pour Mohammad Abou Halawa, le souvenir est encore douloureux. Rescapé du massacre du caveau des Patriarches de Hébron, il est depuis cloué dans une chaise roulante chez lui, à 400 mètres de la tombe de l'auteur du carnage, un colon juif fanatique.
Le vendredi 25 février 1994 à l'aube, Baruch Goldstein, médecin de la colonie voisine de Kyriat Arba, mitraillait au fusil automatique M-16 les fidèles musulmans en prière au Caveau des Patriarches, lieu saint pour les juifs et les musulmans (qui l'appellent mosquée d'Ibrahim), avant d'être lynché par les survivants.
"Cela me fend le cœur chaque fois que je vois les colons danser sur la tombe du criminel qui m'a rendu infirme", soupire Mohammad Abou Halawa, 53 ans, paraplégique depuis le massacre, qui a fait 29 morts et des centaines de blessés, montrant une photo d'époque sur laquelle il apparaît couvert de sang.
"Nous sommes les victimes, mais c'est nous qui sommes punis sans avoir commis aucun crime, que ce soit aujourd'hui ou il y a vingt ans", ajoute ce père de quatre enfants au sujet des conditions draconiennes imposées par l'armée israélienne au cœur de la plus grande ville de Cisjordanie occupée.
"Je n'oublierai jamais ce qui est arrivé. A chaque fois que je pénètre dans la mosquée pour prier, je revois la scène, ce criminel ouvrant le feu, j'entends les rafales et les hurlements des fidèles, ce fut un moment horrible, indescriptible", se souvient cheikh Adel Idriss, imam du sanctuaire au moment de la tuerie.
Près d'un millier de manifestants ont défilé vendredi pour marquer ce 20ème anniversaire et réclamer la réouverture d'une des principales artères commerçantes, la rue Al-Chouhada (rue des Martyrs ndlr), fermée aux Palestiniens depuis.
A la suite du massacre, l'armée israélienne a divisé le caveau, où selon la tradition reposent Abraham et ses premiers descendants, Isaac et Jacob, en deux parties: l'une pour les fidèles musulmans et l'autre pour les pèlerins juifs.
- 'Les victimes sont punies' -
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الثلاثاء 25 فيفري 2014 م
الثلاثاء 24 ربيع الثاني 1435 ه
Mardi 25 Fevrier 2014
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