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SONATRACH/CORRUPTION L’étrange lettre de Nicolas Sarkis à Bouteflika
Khedidja Baba-Ahmed Khedidja_b@yahoo.fr Pour le moins étonnante et insolite que cette lettre ouverte au président Abdelaziz Bouteflika, qui nous a été transmise directement, par mail mercredi dernier, par Nicolas Sarkis, expert pétrolier franco-libanais, conseiller des pays producteurs et sociétés internationales ; directeur du Centre arabe d’études pétrolières et directeur de la revue le pétrole et le gaz arabes . Que dit cette lettre ? Suite...
Les services de sécurité ont mis hors d’état de nuire un terroriste qui projetait de commettre un attentat-suicide dans la capitale. L’opération s’est déroulée la semaine dernière dans la localité de Draria, sur les hauteurs d’Alger. Âgé d’une quarantaine d’années, cet individu avait rejoint les rangs du GSPC à la fin des années 1990. Notons que l’ensemble des services de sécurité sont en alerte depuis plusieurs semaines suite à des informations faisant état d’une menace terroriste imminente. La décision de renforcer le contrôle au niveau des barrages de police et de gendarmerie de la capitale avait été prise dans ce sens. Les dispositifs de sécurité autour de certaines ambassades occidentales ont également été renforcés. C’est notamment le cas des représentations diplomatiques des Etats-Unis, de France et de Grande-Bretagne qui, semble-t-il, auraient pu être visées par ce terroriste. LSA
Khedidja Baba-Ahmed Khedidja_b@yahoo.fr Pour le moins étonnante et insolite que cette lettre ouverte au président Abdelaziz Bouteflika, qui nous a été transmise directement, par mail mercredi dernier, par Nicolas Sarkis, expert pétrolier franco-libanais, conseiller des pays producteurs et sociétés internationales ; directeur du Centre arabe d’études pétrolières et directeur de la revue le pétrole et le gaz arabes . Que dit cette lettre ? Pour ne pas nous voir accusée de travestissement et d’interprétations erronées, et au risque de faire une publicité à ce curieux courrier, reprenons textuellement cette lettre ouverte. S’il n’a pas comme il dit le «passeport algérien», Nicolas Sarkis s’octroie de fait le passeport d’ingérence dans une affaire qu’il considère somme toute comme «circonscrite à des dérapages et des turpitudes de quelques suspects qui auraient trahi la confiance placée en eux». Autrement dit : vous avez, Monsieur le Président été trompé et berné par ceux que vous avez nommés et vous n’y êtes pour rien. Mieux encore et pour être en phase avec les réactions officielles algériennes enregistrées à ce jour (celles notamment du président et de son actuel ministre de l’Energie) sur ces «dérapages », Sarkis y voit l’œuvre «d’une quarantaine de voleurs». Circulez, il n’y a rien à voir, même si cette affaire fait mal, elle ne concerne que quelques individus et le régime, Dieu merci, n’est en rien responsable de ces «turpitudes individuelles». Mais la cerise sur le gâteau, la sève de cette lettre n’est pas dans le baratin développé dans toute la première partie de la lettre sur la bravoure des Algériens qui «ont payé trop cher le prix de leur indépendance et de la récupération de leurs richesses nationales» et autres «Etat fort» construit depuis l’indépendance, mais elle se niche dans le dernier paragraphe, le final de ce courrier qui constitue précisément la finalité de cette lettre ouverte. Se pâmant de savoir que le président Bouteflika ait trouvé «les mots justes» en se déclarant révolté par les scandales en question et en déclarant être «déterminé à ne pas laisser passer», Nicolas Sarkis y va de son panégyrique sur notre président Bouteflika qui nous a, selon cet expert sans passeport algérien (n’est-il pas temps de lui en donner un ?), délivrés de tous les maux. Comment, en effet, peut-on considérer, comme le fait sans retenue Sarkis, que c’est Bouteflika qui, après avoir porté bien haut le nom de l’Algérie sur la scène internationale», a «réussi à l’arracher (l’Algérie) aux affres des années noires». Face aux «affres» des terroristes qu’il ne nomme d’ailleurs pas comme il ne nomme pas non plus tous ceux qui ont fait face au terrorisme et continuent à le faire, il y a eu, selon notre expert, un homme, un sauveur, qui était là et qui s’appelle Bouteflika. Le peuple algérien a trouvé en ce sauveur, libérateur et bienfaiteur, son homme et, suggère Sarkis, il faut lui rendre hommage. Se substituant enfin aux Algériens et parlant en leur nom, notre expert affirme que nous avons les yeux tournés vers ce sauveur et nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance dans «l’éradication de la gangrène qui menace la sécurité de l’Algérie». Ainsi donc et plus que jamais, la sécurité et les intérêts vitaux de l’Algérie ne peuvent se passer aujourd’hui de ce sauveur. Qu’est-ce alors que cet appel ? Que recouvre cette lettre ? Une campagne d’information pour dire que le président Bouteflika n’est en rien responsable des scandales économiques qui se succèdent et mettent en cause ses proches ? Le lancement d’une autre campagne, celle de 2014, pour un autre mandat à celui «qui a une nouvelle et lourde mission d’éradication de la gangrène» ? Et si la lettre de Nicolas Sarkis répondait à ces deux hypothèses ? Dans ce cas, qui a bien pu suggérer ce nouvel outil de communication ? Qui est ou qui sont derrière ce courrier pour le moins insolite ? Enfin, pour qui court Nicolas Sarkis ?
Lettre ouverte à Monsieur le Président Abdelaziz Bouteflika Monsieur le Président, Les informations qui abondent depuis quelque temps, dans la presse algérienne et internationale, au sujet des graves malversations auxquelles aurait donné lieu l’exploitation du pétrole et du gaz algériens font mal. Très mal. Elles font mal en tout premier lieu aux Algériens eux-mêmes qui ont payé trop cher le prix de leur indépendance et de la récupération de leurs richesses nationales pour tolérer, ou penser une seule seconde, que certains de ceux à qui ils ont fait confiance pour assurer la bonne gestion de ces richesses aient vendu leur conscience et leur âme au diable pour s’enrichir sur leur dos. Ils ne peuvent, hélas, que se poser la douloureuse question de savoir à quoi aurait donc servi le sang de ceux qui sont morts pour que leur pays recouvre sa liberté et sa dignité, et à quoi auraient donc servi les sacrifices de ceux qui, après l’indépendance, ont durement œuvré pour construire un Etat fort et moderne et un pays où les serviteurs de l’Etat sont payés pour servir l’Etat et leurs concitoyens, et non point pour se servir eux-mêmes, ou servir des escrocs de tout acabit. Ce qui est dit et écrit au sujet de supposées vastes opérations de corruption dans le secteur algérien des hydrocarbures fait aussi très mal à tous ceux qui, sans avoir le passeport algérien, aiment votre pays et votre peuple et ne peuvent qu’éprouver de l’admiration pour tous les exemples de courage et d’abnégation que vous avez fournis au monde pendant et après la longue guerre de Libération nationale. Pour avoir eu le privilège d’accompagner les premiers pas de la Sonatrach dès sa création, et pour y avoir apporté une bien modeste contribution avant, pendant, et après la grande bataille des nationalisations, j’estime qu’il est de mon devoir de témoigner et de rendre hommage à tous ceux qui ont construit cette belle entreprise dont l’Algérie et les Arabes ne peuvent qu’être très fiers. Tous ceux-là ne peuvent qu’être indignés, ulcérés et profondément choqués par les dérapages et les turpitudes de quelques «suspects» qui auraient trahi la confiance placée en eux et failli à leurs devoirs, au risque de salir la réputation d’une entreprise considérée comme un modèle à suivre par tous les autres pays exportateurs d’hydrocarbures. Personne, en Algérie ou ailleurs, n’ose imaginer ou croire que l’Algérie du million et demi de martyrs puisse abriter et voir son économie sabotée par une quarantaine de voleurs. Non moins grave est le fait que ceux qui sont aujourd’hui pointés du doigt par la justice algérienne, italienne ou canadienne, pour des détournements supposés de milliards de dollars, sont ceux-là mêmes qui ont ouvert la voie à quelques sociétés étrangères sans scrupules pour surexploiter les gisements de pétrole et de gaz et accélérer l’épuisement des réserves du pays. Tant et si bien que l’Algérie est maintenant confrontée au risque de devenir dans peu d’années un pays importateur net d’énergie. Permettez-moi, Monsieur le Président, de dire que vous avez trouvé les mots justes en faisant savoir tout dernièrement que vous avez été «révolté» par les scandales dont il est question et que vous êtes déterminé à ne pas «laisser passer». Ces mots ont tout leur poids dans la bouche de celui qui, après avoir porté bien haut le nom de l’Algérie sur la scène internationale, et après avoir réussi à l’arracher aux affres des «années noires» de triste mémoire, assume aujourd’hui les plus hautes responsabilités au sommet de l’Etat. Les Algériens et les amis de l’Algérie ont maintenant les yeux tournés vers vous et ne peuvent que vous souhaiter bonne chance dans votre nouvelle et lourde mission d’éradication d’une gangrène qui commençait à menacer la sécurité nationale et les intérêts vitaux de l’Algérie. Nicolas Sarkis
Les promoteurs immobiliers plaident pour «plus d’allégement des procédures » et «une harmonisation des actions», pour le financement des différents programmes de logements. Il s’agit d’une des principales recommandations de la journée d’étude organisée jeudi dernier par l’Union nationale des promoteurs immobiliers (UNPI). Abder Bettache - Alger (Le Soir) - Au total, cinq thèmes d’atelier ont été arrêtés lors de cette journée d’étude, qui se déroulait, faut-il le noter, au moment où le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme présidait une «importante» réunion avec les cadres de son secteur avec comme principal objectif de coordonner «leurs efforts pour la réalisation des programmes de construction dans les délais impartis». Les questions relatives au «cadre de l’exercice de la promotion immobilière», de «l’exercice de la fonction de promoteur», des «contraintes liées au foncier» et des «financements » des programmes de logements ont été évoquées lors de cette rencontre des promoteurs, qui a vu, par ailleurs, les participants procéder à l’élection des membres du conseil national et l’adoption d’un règlement intérieur de l’union. Il n’en demeure que pour les membres de l’UNPI, la principale question largement traitée lors des débats au niveau des différents ateliers concerne la problématique de l’assiette foncière. A ce titre, il a été demandé de mettre à la disposition des promoteurs immobiliers «plus d'assiettes foncières viabilisées afin d'augmenter l'offre en matière de logements». Certains intervenants ont également fait état de la spécificité de la fonction de promoteur, en relevant «la nature des prérogatives et contraintes rencontrées par les promoteurs immobiliers» ou encore le «champ d’intervention des promoteurs immobiliers». Il a été question aussi des contraintes du foncier à travers «les circuits, les modalités et difficultés liées aux acquisitions». Les participants à cette journée d’étude ont plaidé pour l’«éradication totale de toutes formes de bureaucratie» dans le secteur de l’habitat, lançant un appel au premier responsable du secteur afin de «prendre les mesures appropriées à même de réunir toutes les conditions et assainir l’environnement du promoteur professionnel». Par ailleurs, le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué lors d’une réunion tenue le même jour que cette journée d’étude au siège de son département que «l’objectif du secteur en 2013 est de livrer 50 000 logements toutes formules confondues, d’où la nécessité d’accélérer la réalisation des logements et d’honorer cet engagement». A l’effet d’éliminer la bureaucratie dans le secteur de l’habitat, il a révélé qu’un projet de texte pour réduire «la chaîne de commandement et passer du producteur au consommateur» est en préparation. Le ministre a souligné aussi avoir chargé les OPGI de la viabilisation des cités inscrites au programme à la place des directeurs de l'urbanisme, et ce, pour éviter les retards dans la réception des logements. Toutes les recommandations des travaux d’atelier seront rendues publiques en ce début de semaine. A. B.
Le groupe Sonelgaz vérifie la présence éventuelle d’intermédiaires auprès de la société canadienne SNC Lavallin et n’écarte pas le recours à la justice le cas échéant. C’est ce que le président-directeur général de Sonelgaz a indiqué, jeudi, tout en affirmant que les contrats liant les sociétés de son groupe, dont celui avec le constructeur canadien «sont conclus en toute transparence». Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Jeudi dernier, au centre de formation de Ben Aknoun, le P-dg de Sonelgaz a réagi à une certaine campagne médiatique mettant en cause la transparence du marché conclu avec la firme canadienne SNC Lavallin concernant la réalisation de la centrale électrique de Hadjret Ennous (Tipasa). «Nous n’avons jamais triché et nous ne trichons pas. Nous sommes transparents», déclarait Noureddine Boutarfa, en présence, notamment, de représentants de sociétés étrangères de fabrication, d’équipements et de construction et assemblage énergétiques et de membres du corps diplomatique européen. Une assistance que le climat actuellement délétère (des actes de malversations affectant Sonatrach notamment) ne semble pas perturber outre mesure. Le contrat avec SNC, «l’un des meilleurs» Hostile aux manœuvres visant à «nous entraîner» et soucieux d’éviter «tout amalgame », le P-dg de Sonelgaz a affirmé que tous les contrats liant les sociétés de son groupe «sont conclus en toute transparence», même celui conclu avec SNC Lavallin. Ainsi, ce contrat a été «bien négocié et constitue l’un des meilleurs contrats selon les standards internationaux», dira Noureddine Boutarfa qui «(…) défie de me trouver un contrat de même qualité sur le plan international». Comme le P-dg de Sonelgaz récuse clairement le fait que le partenaire canadien, dont le choix était alors «compétitif», ait abusé des avantages fiscaux et autres dont il a bénéficié et qu’il n’aurait pas rétrocédés. A contrario, Noureddine Boutarfa précisera que le partenaire «n’a pris aucun avantage fiscal» et a « rétrocédé les avantages (liés à l’exploitation de la SKH-Sharikat Kahraba Hadjret Ennous) à travers la tarification de l’électricité produite et destinée au marché algérien. «Nous poursuivrons en justice», si… Pour autant, le P-dg de Sonelgaz affirme que son groupe est «prêt à défendre (ses) intérêts. S’il y a des manipulations hors de Sonelgaz, Sonelgaz poursuivra ceux qui ont touché à ses intérêts». Certes, «nous n’avons jamais relevé d’intervention d’intermédiaires» dans le contrat de SKH, a indiqué M. Boutarfa qui précise cependant que son groupe «ne compte pas se taire» le cas échéant. «S’il s’avère qu’il y a une quelconque intervention qui entrave cette transparence, nous poursuivrons (en justice) la partie concernée», déclaret- il aux représentants des médias. A ce titre, Noureddine Boutarfa révèle que le groupe Sonelgaz est en contact avec la firme canadienne pour vérifier la présence éventuelle d’intermédiaires. «Nous sommes en train de vérifier s’il y a eu des intermédiaires, y compris auprès de SNC Lavallin, qui sont intervenus dans nos affaires. Et si cela est avéré, nous allons défendre nos intérêts», dira-t-il. GE en pole position Le P-dg de Sonelgaz s’exprimait à l’issue de l’attribution provisoire à la firme américaine General Electric Energy, d’un marché de fourniture de 24 turbines à gaz, 12 turbines à vapeur et de 36 alternateurs ainsi que de la réalisation en partenariat d’un complexe industriel de fabrication des mêmes équipements. Soumissionnaire ainsi que l’équipementier allemand Siemens à un appel d’offres lancé fin 2012 sous l’égide de la Compagnie de l’engineering de l’électricité et du gaz (CEEG), mandatée par la Société algérienne de production de l’électricité (SPE, maître d’ouvrage), le fabricant américain a présenté la meilleure offre en termes de coût d’investissement et prix moyen du kilowattheure (KWh) actualisé le plus bas. Ainsi, GE a proposé un montant de 1,868 milliard de dollars pour la partie devises et 3,602 milliards de dinars pour la partie monnaie nationale, ainsi qu’un prix du KWh de 2,2746 DA. Quant à la société Siemens, l’offre a été de 1,931 milliard d’euros (soit 2,6 milliards de dollars) pour un tarif du KWh de 2,4184 DA. Audelà du fait que les sociétés Ansaldo (Italie) et Alsthom (France) n’ont pas présenté d’offres même si elles ont procédé au retrait des cahiers des charges, cette cérémonie d’ouverture a été intensément suivie par les représentants des firmes étrangères, dans une ambiance semblable aux places boursières. En attendant le verdict définitif de la commission d’évaluation des offres (examen des recours), GE semble donc en pole position pour la fourniture d’équipements ou d’îlots de puissances (turbines à gaz, turbines à vapeur, alternateurs, leur systèmes de contrôle-commande et les pièces de rechange. La réalisation de 6 centrales projetée Ces équipements sont destinés à la réalisation de six nouvelles centrales électriques en cycle combiné (Mostaganem, Naâma, Djelfa, Biskra, Khenchela et Jijel). D’une capacité variant entre 1 300 MW et 1 600 MW, ces centrales devront être mises en service industriels impérativement avant l’été 2015 pour les turbines à gaz et avant l’été 2017 pour les cycles combinés. Les îlots de puissance serviront à la construction de ces centrales qui interviendra dès le choix des constructeurs et assembleurs, dans le cadre d’un autre appel d’offres en cours. Comme le fabricant américain semble bien parti pour remporter le marché de la réalisation, dans le cadre d’un partenariat, d’un complexe industriel (quatre usines) de fabrication de turbines à gaz (d’une puissance unitaire de 100 à 250 MW), turbines à vapeur (d’une puissance de 50 à 160MW), d’alternateurs et de leur système de contrôle-commande, avec un taux d’intégration attendu de 80% à terme. Sonelgaz compte ajouter 8 400 MW additionnels Notons, ce faisant, que la réalisation des six centrales entre dans le cadre d’un programme ambitieux lancé par Sonelgaz et visant à développer une production additionnelle, d’urgence, de 8 400 MW d’ici 2017. Il s’agit de répondre à une demande sans cesse croissante en énergie électrique, précisent les responsables de Sonelgaz. Il s’agit également, une première selon la direction générale du groupe, de développer un partenariat spécifique avec un fabricant turbinier, booster l’industrie locale de l’équipement et promouvoir la politique industrielle du groupe. Et ce, dans la mesure où les travaux de génie civil, le transport terrestre des équipements et matériels ainsi que les travaux de montage seront confiés notamment à des sociétés filiales de Sonelgaz (Inerga, Transmex et Etterkib). C. B.
C’est une double sanction que subissent les personnes atteintes des maladies dites rares. Non seulement les médicaments dont ont besoin certains malades sont souvent en rupture mais c’est également l’indisponibilité des réactifs qui risque de remettre en cause la pérennité des diagnostics. Parents et spécialistes lancent un véritable cri du cœur à l’occasion de la Journée internationale des maladies rares. Pas de statistiques fiables sur le nombre de personnes atteintes de maladies rares en Algérie mais sur les 8 000 pathologies connues, les spécialistes estiment qu’environ 200 sont répertoriées en Algérie. Il s’agit de maladies à faible prévalence qui sont souvent orphelines et pour lesquelles les laboratoires pharmaceutiques ne font pas l’effort de chercher des traitements pour des raisons bassement matérielles. Une amère réalité avec laquelle composent familles et malades qui sont confrontés en Algérie à de nombreuses difficultés. Ils étaient nombreux jeudi à se relayer pour raconter leurs parcours à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des maladies rares à l’initiative de l’Association algérienne du syndrome Willams Burn et de l’Association Shifa des maladies neuromusculaires. Tour à tour, les familles ont raconté avec beaucoup de dignité leur quotidien avec cependant un point commun : le manque de médicaments. En effet, même lorsque la chance a voulu que des traitements existent, ils sont souvent en rupture de stock. Les familles parlent de cures interrompues pendant plus de sept mois, de traitement pris de manière très aléatoire en fonction de sa disponibilité dans les hôpitaux. Des interruptions qui sont souvent à l’origine de dégradation de l’état de santé des malades. Mais ils ne sont pas les seuls à faire les frais de la mauvaise gestion. Le laboratoire de biochimie génétique du CHU Mustapaha-Pacha en subit également les conséquences. Le professeur Imessaoudène, qui y diagnostique les maladies rares, a fait savoir que les substrats nécessaires à l’établissement des analyses sont souvent en rupture de stock, ce qui, à terme, menacerait la pérennité des diagnostics. Ce même professeur a indiqué que les affections rares les plus fréquentes en Algérie sont la maladie de Gaucher avec 78 cas et la maladie de Hurler avec 47 cas, dont les causes sont d'origine consanguine en Algérie à raison de 30%. Il ajoute que la plupart des maladies rares sont des maladies métaboliques où les protéines n'exercent pas leurs fonctions. Ces maladies peuvent être d'intoxication dans les allergies à certains aliments, des maladies énergétiques, de vitamino-pathies, ou des maladies de synthèse. Les familles présentes à la rencontre ont également soulevé un autre problème épineux, celui de la socialisation des jeunes enfants qui ne peuvent souvent pas rejoindre les écoles. Face à l’absence de structures adaptées, ils sont souvent gardés à la maison, privés d’instruction et de contacts avec l’extérieur. Un véritable SOS est lancé en direction du ministère de l’Education en faveur de l’intégration des enfants atteints de maladies rares au sein des établissements scolaires pour leur éviter la double sanction de la maladie et de l’isolement. Nawal Imès
Fiche technique Alger, stade de 5-Juillet, affluence faible, temps pluvieux, trio d’arbitrage Bachir, Benmansour et Oubide. But : Yachir (6’) Bachiri (31’) Djallit (75’ sp) MCA. Avertissements : Derouaz (48’) USMAB. MC Alger : Chaouchi, Hachoud, Babouche, Djaghbala, Bachiri, Moumen puis Aksas (82’), Ouali puis Sayeh (76’), Kacem Mehdi, Djallit,Yachir puis Attafen (59’), Bouguèche. Ent. : Menad. USM Aïn Beïda : Guerfi, Derouaz, Meziani, Guerra, Khellafi, Kebbabi puis Chaâbane (82’), Bouteraâ, Si Hadj, Khellaf, Azzoug, Bellil. Ent. : Khellafi.
Le Mouloudia s’est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe d’Algérie. Sur une pelouse impraticable, le MC Alger a reçu sont hôte du jour, l’USMAB, mais cela n’a pas empêché les Vert et Rouge à passer ce tour. Le très en forme attaquant du MCA, Yachir, a été le premier à ouvrir les hostilités. Bien en jambes, il parvient à prendre de vitesse une défense passive. Avec un coup de tête, il loge le cuir au fond de la cage, à à peine 6 minutes de jeu. Quelques minutes plus tard, le même attaquant, idéalement servi par Djallit, d’une splendide reprise, a failli surprendre Guerfi. Les Harakta tentent de sortir de leur coquille. Le dernier rempart de Aïn Beïda est mis à rude épreuve sur une autre occasion de Djallit, seul au second poteau suite à un centre de Hachoud. Après la demi-heure de jeu, Yachir récupère le ballon dans la surface de réparation et d’un tir direct, aggrave la marque. Le MCA rejoint ainsi les vestiaires avec un avantage au score de deux buts. L’USMAB, qui a tardé à rentrer dans le match, hissé un peu le rythme et s’est montrée de plus en plus menaçante, comme ce fut le cas à la 49', lorsque suite à un excellent mouvement collectif, Belil réussit à inquiéter Chaouchi. A la 75 minute, le MCA obtient un penalty, Babouche se fait accrocher à l’entrée des 18 m ; la sentence a été transformée par le buteur maison Djallit qui inscrit son 13e but de la saison et son second dans cette épreuve populaire. Après cette réalisation, les joueurs du Mouloudia ont raté lamentablement de nombreuses occasions, le score demeurera inchangé jusqu’au coup de sifflet final de Bachir. A. A.
Pour ce match des 18es de finale, le WAT, grâce à un tirage au sort favorable sur le papier, a reçu la modeste équipe de Aïn-M’lila. Prudent, Benyellès, le coach widadi, n’a laissé au repos que Boudjakdji (contracture à la cuisse). Dès le début de la rencontre, le WAT a essayé d’imposer son jeu, mais cette équipe de Aïn-M’lila, bien organisée, n’a rien laissé passer. Par trois fois, les locaux ont failli ouvrir le score (7’, 12’, 16’), mais l’occasion la plus nette a eu lieu à la 25’, grâce à une action individuelle de Ghazali qui tira à côté. Ce n’était que partie remise puisqu’à la 27’, Boussehaba botte un coup franc des 25m, le gardien Gherbi repousse le ballon, Sameur, à l'affût, marque facilement. Aïn M’lilav égalisera grâce à Aggoun à la 34’, grâce à un coup franc parfait des 25m directement dans la lucarne de Brixi. A la reprise, le Widad se montre plus dangereux, mais se heurte à une défense mlilie très solide. Et ni Boushaba, ni Ghazali, ni Bennaï n’arriveront à secouer les filets de Gherbi, l’occasion la plus nette sera lamentablement ratée à la 70’ après une bonne excursion de Ghezali. Les prolongations n’apporteront rien même si le WAT a légèrement dominé, alors que les TAB seront fatidiques aux M’lilis qui en rateront trois, mais ils n’auront pas démérité. Ammar G.
C’est une journée assez intéressante qui sera proposée aux amateurs de la balle au panier, à l’occasion de la 15e journée du championnat de superdivision de basket-ball, avec deux belles affiches programmées à Sétif et Staouéli. D’abord, l’US Sétif (2e-25 points) aura l’honneur d’accueillir l’intouchable leader du groupe B, le CSM Constantine (1er-28 points), toujours invaincu après 14 journées. Les Sétifiens, qui traversent une période euphorique, voudraient être les premiers tombeurs d’El-Mansourah, mais surtout suivront avec intérêt l’autre duel du groupe B, domicilié à Staouéli, entre le NBS ( 4e-22 points) et le WA Boufarik (3e- 24 points). Les locaux n’ont d’autre alternative que de gagner pour espérer décrocher une place parmi le quatuor de tête. Le CSMBB Ouargla et l’AB Skikda, occupant tous les deux la 4e place, n’auront pas droit à l’erreur devant des adversaires a priori à leur portée, à savoir l’OM Bel-Abbès (à l’extérieur) et le NA Hussein-Dey (à domicile). Dans le groupe A, les deux co-leaders, le CRB Dar El-Beïda et le GS Pétroliers, partiront favoris devant leurs hôtes l’USMB (3e-22 points) et l’IRBB Arréridj (3e- 22 points). L’O Batna, qui occupe également la 3e place, pourrait se retrouver seul à la 3e place en bénéficiant de l’avantage du terrain devant l’autre formation de Blida, l’ASMIB (ex- TBBB). Cette journée verra également les duels directs des malclassés, tels que AU Annaba-COBB Oran et MS Cherchell- USM Alger (groupe A) et surtout CRB Témouchent-CRM Birkhadem (groupe B). M. A.
LIBRAIRIE KALIMATE (BOULEVARD VICTOR HUGO, ALGER) Samedi 2 mars à 14h : Vente-dédicace par Mourad Preure et Jean-Louis Levet pour le livre France Alger le grand malentendu. LIBRAIRIE GÉNÉRALE D’EL-BIAR (4, PLACE KENNEY, ALGER) Samedi 2 mars à 14h : Sara Hadjari signera son recueil de nouvelles Ma wara’e el qoloub, paru aux Editions Dar El Aourassia. LIBRAIRIE GOURAYA CULTURE (12, RUE DE LA LIBERTÉ, BÉJAÏA) Samedi 2 mars à 14h : Achour Bououni signera son ouvrage paru aux Editions Koukou. THÉÂTRE RÉGIONAL DE CONSTANTINE Samedi 2 mars à 18h : Concert de l’Orchestre symphonique national algérien, sous la direction du mæstro japonais Hikataro Yazaki, avec la participation des solistes Atsuko Watanabe (violon), Nao Shamoto (violoncelle) et Jun Kanno (piano). THÉÂTRE RÉGIONAL DE BATNA Samedi 2 mars à 15h : Pièce Bouzenzel ( la guêpe) du Théâtre régional de Batna. INSTITUT FRANÇAIS D’ALGER (ALGER- CENTRE) Samedi 2 mars à 14h30 : Conférence «Les Grecs, les Arabes et nous», par Philippe Büttgen, profeseur de philosophe des religions à l’université Paris I, Panthéon, Sorbonne. SALLE IBN KHALDOUN (ALGER- CENTRE) Samedi 2 mars à 17h : Soirée en hommage à Abdelkader Chaou, organisée en collaboration avec l’association le IIIe Millénaire. SALLE IBN ZEYDOUN DE RIADH EL FETH (El Madania, Alger) Mardi 5 mars à 19h : Concert du groupe roumain Tchaas (musique tsigane). Prix du billet : 500 DA. Les billets sont en vente au guichet salle Ibn Zeydoun et au Centre de documentation de l'AARC (Office Riadh El Feth) à partir du mercredi 27 février 2013.
Déclaration de Soltani : «La corruption est devenue un sport national.» Très juste ! Et en la matière, chez les islamistes, je connais des…
… athlètes d’élite !
L’initiative est à saluer ! Eh oui ! Jusque-là, face à des conflits sociaux, des débrayages, des sit-in et des grèves de la faim, les autorités ne savaient pas trop comment faire face. Envoyer la troupe ? Laisser les grévistes de la faim crever à petit feu ou les envoyer mourir plus vite dans les hôpitaux de Ziari ? Ordonner à la justice vachement indépendante de déclarer ce mouvement social illégal ? Ces solutions, si elles aidaient le régime à gagner quelque répit n’en résolvaient pas pour autant le problème. Elles n’arrivaient qu’à l’atténuer, l’édulcorer. Jusqu’à cette grève de la faim à l’ISMAS, l’Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l’audiovisuel implanté à Bordj-El-Kiffan, dans la banlieue Est d’Alger. Là, les autorités ont sorti le grand jeu. Du… grand art si j’ose dire. Je dirais même plus, elles ont fait preuve d’un véritable génie créateur. Ni une ni deux, ni même trois, face au débrayage des apprentis artistes, le régime a fermé cet institut. Mon Dieu que c’est beau, que c’est géant. On dirait une œuvre de Dali, tout en traits torturés, en dénudement effréné et en lignes féroces. De l’art, je vous ai dit, du grand art. Une œuvre pionnière dans le monde de l’expression culturelle, et peut-être dans celui de la pratique sociale et prudhommale. Votre usine est à l’arrêt, parce que de méchants, sales et gauchistes travailleurs l’immobilisent en faisant grève ? Qu’à cela ne tienne. Le régime a la solution. Il ferme l’usine ! Votre APC est encerclée par des hordes de braillards qui en ont assez de passer tous leurs hivers sous la neige, sans logement ? Pas d’inquiétudes, Monsieur le Maire. Le pouvoir va fermer votre mairie à double tour. Qu’ils l’encerclent les mécontents ! Ça leur fera les jambes de rester debout devant une APC vide et fermée ! Très franchement, on ne mesure pas assez, je pense, la portée de cet acte révolutionnaire que vient de connaître l’ISMAS, et à travers lui tout l’équilibre social de l’Algérie. Bon, bien évidemment, restera tout de même quelques petits problèmes d’ordre technique à régler. Comme de savoir ce que nous pourrons bien encore fermer quand tout aura été fermé, instituts, facs, usines, cybercafés, jardins publics, APC, rôtisseries, bars, restaurants, dépositaires de boissons alcoolisées, vespasiennes, daïras, recettes des impôts… Le point culminant de tout ça ? Le pic de cette œuvre déjà phénoménale ? La gerbe de fin ? Je l’imagine déjà à l’image du tableau apocalyptique de Picasso, Guernica, à la dimension extra-sensorielo-galaccccccc'tique comme dirait Dali : le régime fermerait le Palais, la présidence de la République. En ayant bien sûr pris soin auparavant d’ordonner à quelques pilotes de cargos gros porteurs de faire tourner les moteurs et de se tenir prêts sur le tarmac du départ. L’œuvre unique ! Celle dont rêvent tous les grands artistes. L’œuvre majeure ! Fermer un pays en entier, au bout de cinquante ans d’incompétence. Waouh ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
Par Samira Imadalou Quarante jours après l’attaque contre le site gazier de Tinguentourine et une semaine après la remise en marche partielle de cette installation a ...
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L’opposition syrienne n’a pas caché sa déception, à l’issue de la réunion internationale qui s’est déroulée jeudi dans la capitale italienne. Car si les participants européens et américains ont reconnu «le droit de se défendre» aux civils syriens, ils n’ont pas été jusqu’à promettre l’envoi d’armement à l’Armée syrienne libre.
Rome.
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