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Le groupe islamiste Ansaru dit avoir tué 7 étrangers enlevés au Nigeria
le 09.03.13 | 17h42 | mis à jour le 09.03.13 | 23h09
Le groupe islamiste nigérian Ansaru a annoncé samedi avoir tué sept étrangers...
Le groupe islamiste nigérian Ansaru a annoncé samedi avoir tué sept étrangers enlevés dans le nord du Nigeria, selon le groupe de renseignement SITE, trois semaines après le rapt de deux Libanais, deux Syriens, un Grec, un Italien et un Britannique sur un chantier. Aucune confirmation de ces assassinats n'a pu être obtenue auprès des autorités nigérianes ou des pays d'origine présumée des sept otages.
Deux morts au Caire, des incendies et des troubles à Port-Saïd après le verdict d’une tragédie footballistique
Le brasier égyptien
09-03-2013
Par Ghada Hamrouche
La situation en Égypte a atteint le seuil critique. Les heurts d’hier à la suite de la confirmation du verdict de première instance du tribunal de Port-Saïd n’a fait que jeter de l’huile sur un feu qui se nourrit de la contestation du pouvoir de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Les nouvelles violences qui ont marqué la journée d’hier, attisent la tension dans le pays. Deux ans après la chute de Hosni Moubarak, l’Égypte connaît une transition politique hasardeuse jalonnée de violences et de contestations allant jusqu’à vouloir destituer le président Morsi. La décision de justice annulant la tenue des élections législatives n’a pas atténué la tension qui règne depuis un moment dans tout le pays. Le passage à la désobéissance civile, entamée déjà à Port-Saïd, semble plus que jamais envisageable pour tout le reste du territoire. Les manifestants qui ont incendié, hier, le club de la police cairote et le siège de la
La situation en Égypte a atteint le seuil critique. Les heurts d’hier à la suite de la confirmation du verdict de première instance du tribunal de Port-Saïd n’a fait que jeter de l’huile sur un feu qui se nourrit de la contestation du pouvoir de la confrérie des Frères musulmans en Egypte. Les nouvelles violences qui ont marqué la journée d’hier, attisent la tension dans le pays. ...
La fiscalité ordinaire a évolué dans des proportions élevées en 2012. En valeur, elle s’est chiffrée à 1 549 milliards de dinars (plus de 20 milliards de dollars), en hausse de 19% par rapport à 2011, selon l’APS qui cite des sources de l’Administration fiscale....
Entamés dans la soirée de vendredi, les travaux de la Conférence nationale des élus FFS se sont poursuivis hier à Zéralda. Plusieurs sujets liés à la gestion locale, aux finances publiques, aux réformes des textes ont été abordés....
La secrétaire générale du parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a appelé à l’abrogation du Code de la famille, et de le mettre en adéquation avec les codes de la nationalité, le Code du travail et de la Constitution notamment, dans son article 29....
Annoncé il y a deux semaines par le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, Chérif Rahmani, le comité dédié à l’amélioration du climat des affaires sera officiellement installé aujourd’hui....
Il semblerait que les changements qui se sont opérés au niveau du secteur des assurances avec la séparation des produits «Assurance dommages» et «Assurance de personnes» n’ont pas donné de résultats tangibles....
Par Rafik EliasLe retard dans la délivrance d’agréments aux agents immobiliers a été évoqué samedi lors des travaux de l’assemblée générale ordinaire de cette corporation,...
Au centre des débats depuis son éclatement au grand jour dans les médias, l’affaire Sonatrach 2 est appelée à connaître «une cadence accélérée», selon le procureur général de la Cour d’Alger, Belkacem Zeghmati. Cette accélération dans le traitement judicaire de l’affaire, qui a éclaboussé des figures du pouvoir comme elle a choqué des pans entiers de citoyens, dépend des résultats auxquels parviendront les commissions rogatoires internationales lancées par la justice algérienne....
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani Après bien des conciliabules, des tractations et des promesses en coulisses, le bureau du syndicat d’entreprise du complexe sidérurgique ArcelorMittal ...
Par Bahia AlioucheLes projets industriels initiés par le ministère de la Défense nationale (MDN) en partenariat international ont été, jeudi dernier, au cœur des discutions ...
Par Ziad Abdelhadi Il a été enregistré ces deux dernières années beaucoup d’investissement dans le secteur de l’industrie mais celui portant sur la réalisation d’une aciérie ...
Par Amar Rafa L’Alliance de l’Algérie verte a fêté jeudi dernier son premier anniversaire. Cette alliance créée le 7 mars de l’année dernière, par les ...
Un incendie s’est déclaré mercredi dernier, en début d’après-midi, dans l’un des dépôts d’une société sud-coréenne sous-traitante du Groupe Samsung en charge de la réhabilitation de la raffinerie....
Des centaines de personnes ont marché, jeudi matin, à Aït Douala, à une quinzaine de kilomètres de Tizi Ouzou, pour demander la libération de Laceuk Ali, un jeune originaire du village Tala Khelil, commune d’Aït Douala, disparu depuis le 23 février dernier....
De notre envoyé spécial à Hassi Messaoud Smaïl Boughazi Le groupe public Fondal s’apprête à intégrer le réseau de sous-traitance du projet Renault. «On a une fonderie ...
IL AURAIT PEUT-ÊTRE PERMIS D’ÉVITER LES SCANDALES ACTUELS Le Conseil national de l’énergie gelé depuis 15 ans
Le Conseil national de l’énergie est l’instance chargée de tracer et de faire appliquer une stratégie énergétique à long terme. Gelé depuis 1998, le CNE aurait pu contrôler la gestion du groupe Sonatrach et éviter que la compagnie nationale ne se retrouve au cœur de scandales d’envergure internationale. Aurait-on pu éviter les scandales qui secouent le groupe Sonatrach si le ...Suite
Par Maâmar Farah Fatima Aalim, Rima Assal, Djamila Belkaïs, Salima Bessi, Zohra Koumidi, vous connaissez ? Sûrement pas ! Le fluide embrouillé de l'amnésie a effacé de nos mémoires les plus belles images d'héroïsme et de sacrifice des années 1990, ne laissant poindre que la lumière vacillante des vieux clichés de la guerre de Libération, et elles seules ! Comme si l'histoire de l'Algérie s'était arrêtée en 1962 ! Comme si le courage et l'abnégation ne pouvaient être l'apanage que d'une seule génération ! Il y a des dizaines de milliers de Fatima et de Rima qui mériteraient d'être enterrées dans de nouveaux «cimetières des chouhada», elles et toutes leurs semblables, tuées, massacrées, violées, torturées à mort, égorgées par les nouveaux barbares ; celles qui ont continué à enseigner dans ces lointaines et isolées écoles rurales malgré l'interdiction édictée par le GIA, celles qui ont poursuivi leurs études malgré les ordres des islamistes armés, celles qui ont refusé de porter le hidjab ! Demain, quand l'amnésie oubliera d'oublier, vos noms seront hissés sur les plaques des rues et des parcs, des lycées et des hôpitaux ! Le jour approche où nous le ferons ! Nul ne peut interdire au printemps de se lever et les faux barrages de la renonciation seront emportés tôt ou tard par le déluge de la mémoire ressuscitée... maamarfarah20@yahoo.fr «Au salon, j'ai quatre portraits : Boumediène, Castro, Saddam et Arafat. Ce matin, j'ai ajouté celui de Chavez ! Mes héros, je les choisis moi-même ! Je n'ai pas besoin de CNN, d'Al Jazeera ou de l'AFP pour en dresser la liste. Il y a ceux qui préfèrent Ben Laden. Ceux-là vont ajouter deux cadres : celui de Belmokhtar et de Abou Zeid...» Tata Aldjia
Le Conseil national de l’énergie est l’instance chargée de tracer et de faire appliquer une stratégie énergétique à long terme. Gelé depuis 1998, le CNE aurait pu contrôler la gestion du groupe Sonatrach et éviter que la compagnie nationale ne se retrouve au cœur de scandales d’envergure internationale.
Le budget de l’Etat a bénéficié d’un montant de l’ordre de 26 milliards de dollars en 2012 au titre des différents impôts, taxes et droits. Selon la Direction générale des impôts (DGI), citée hier par l’agence nationale de presse, le montant de la fiscalité ordinaire recouvré durant l’année dernière été de 1 549 milliards de dinars (plus de 20 milliards de dollars). Un recouvrement en hausse de 19% par rapport à 2011, année durant laquelle la fiscalité ordinaire était de 1 306 milliards de dinars, sur une fiscalité ordinaire globale, incluant les produits des douanes et des Domaines, de 1 907,6 milliards de dinars. En 2012, les recettes ordinaires affectées au budget de l’Etat, constituées de toutes les recettes de l'Etat hors fiscalité pétrolière (DGI, Domaines et douanes), s’élèvent ainsi à 1 945 milliards de dinars (près de 26 milliards de dollars), en hausse de 26% par rapport à 2011. La loi de finances pour 2012 tablait sur des recettes de la fiscalité ordinaire de 1 894 milliards de dinars et une fiscalité pétrolière de 1 561,6 milliards de dinars, basée sur un prix de baril à 37 dollars. Cette dernière avait été entièrement recouvrée en avril dernier, date à partir de laquelle la fiscalité pétrolière est directement versée au FRR. La fiscalité ordinaire de l’Etat affiche ainsi une hausse de 2,7% par rapport aux prévisions, soit un taux de réalisation de 102,7%. Concernant les contributions directes (IRG et IBS) recouvrées par la DGI, l’on indique qu’elles avaient atteint 862,4 milliards de dinars en 2012, soit un accroissement de 26% par rapport à celui enregistré en 2011. Le produit de l’enregistrement et du timbre réalisé durant l’année 2012 a été de 56,2 milliards de dinars, en hausse de 17% par rapport à 2011. L’impôt sur les affaires a légèrement évolué en 2012 passant à 267,8 milliards de dinars, soit une hausse de 5% par rapport 2011. Quant aux contributions indirectes, elles ont connu une hausse importante de 27% passant de 1,46 milliard de dinars en 2011 à 1,85 milliard de dinars en 2012. Les recettes fiscales de l’Algérie, fiscalité pétrolière comprise, se sont établies à 3 437 milliards de dinars en 2011 contre 3 092 milliards de dinars en 2010. C. B.
Si le fichier national de ceux qui ont bénéficié de logements dans le cadre des différents dispositifs (logement social, logement social participatif, logement rural…) a été établi et est consulté avant chaque affichage de listes des nouveaux bénéficiaires pour empêcher que certains se fassent attribuer, par des moyens détournés, de nouveaux logements, il n’en est rien en ce qui concerne les postulants au logement.
La 23e journée du championnat de Ligue 1 n’a pas connu de grands chamboulements au sommet. Le leader, l’ESS, a certes perdu à Béjaïa, face à la JSMB, qui remporte sa première victoire après une longue période de disette (7 matches), mais ses poursuivants immédiats n’en ont profité qu’en partie. Les Sétifiens disposaient, avant les deux dernières rencontres de ce round (USMA-USMH et ASO-WAT), de sept points sur leur premier poursuivant (l’USMH) et neuf sur le MCA qui est allé ramener un précieux nul de Constantine. Le second classique du jour (CRBJSK) n’a pas connu de vainqueur, tout comme le match-couperet entre l’USMBA-CABBA conclu par une parité sur le même score (1- 1). L’affaire du jour est l’œuvre des gars d’El-Hamri qui, depuis le retour à Bouakeul, ont retrouvé une âme de gagneur. Hier, c’est le MCEE, qui menait pourtant, qui a connu la défaite sous les coups de boutoir de Benyettou et Cie. De son côté, la lanterne rouge, le CA Batna, semble avoir perdu ses dernières illusions de maintien en perdant sur le terrain de Béchar face à la JS Saoura qui a connu l’unique expulsion de cette étape, marquée également par le ratage de deux penalties par l’entremise de Slimani (CRB) et Hamiche (USMBA). M. B.
Résultats
JSM Bejaïa-ES Sétif 2-1
MC Oran-MCE Eulma 4-1
JS Saoura-CA Batna 2-0
CS Constantine-MC Alger 0-0
CR Belouizdad-JS Kabylie 1-1
USMB Abbès-CABB Arréridj 1-1
USM Alger-USM Harrach(en soirée)
ASO Chlef-WA Tlemcen(en soirée)
Prochaine journée (24e) Mardi 12 mars (18h) ES Sétif- USM Bel-Abbès. Mardi 19 mars (18h) JS Kabylie-CS Constantine MCEE-CR Belouizdad USM Harrach-JS Saoura MC Alger-MC Oran CA Bordj Bou-Arréridj-JSM Béjaïa CA Batna-ASO Chlef. Vendredi 22 mars (18h) WA Tlemcen-USM Alger.
Par Kader Bakou Invité à l’émission littéraire «Sefer fi el kalimat» de la Télévision algérienne, Amin Zaoui, a, comme de coutume, dit tout haut ce qu’il pense l’intellectuel doit oser, provoquer et soulever des vagues. Mais, précisera-t-il, cette «provocation» doit être basée sur la culture et le savoir. Au sujet de son roman Le dernier juif de Tamentit, il a déclaré que c’est un clin d’œil au temps de l’Algérie plurielle où cohabitaient différentes races et religions. Tamentit, la capitale du Touat au Sahara algérien, a rappelé Zaoui, était la jumelle de Tombouctou. «Le roman se situe entre l'histoire et la fiction. Il m'a fallu plus de trois années de recherches avec des voyages à Tamentit, des rencontres avec les gens et des recherches sur les archives et les manuscrits de la région», a déclaré l'auteur. Il est même allé dans les cimetières israéliens de cette région. A travers des faits historiques réels, le romancier tisse sa propre histoire. «Je ne suis pas un historien. Mais le romancier est l’historien des sentiments ou des émotions», dira-t-il encore. Amin Zaoui estime, par ailleurs, que les Arabes et les musulmans, surtout les intellectuels, devraient faire la part des choses et se débarrasser d’un «complexe» stérile par rapport aux rapports avec les juifs et le judaïsme. «La question de la Palestine est un problème d’occupation et de colonisation. Cela ne signifie pas que nous devrions rejeter la culture judaïque dans son intégralité.» Zaoui a donné l’exemple du philosophe Jacques Derrida. «Jacques Derrida est algérien. Sa famille, tout comme d’ailleurs la mienne, a fui l’Andalousie après la Reconquista, pour s’installer en Algérie. Les gens reconnaissent les mérites de Jacques Derrida, ses positions en faveur de l’indépendance de l’Algérie etc., mais dès qu’ils apprennent qu’il est de confession juive, ils changent d’avis à son sujet.» Amin Zaoui rappellera enfin que Tamentit et sa pluralité culturelle et confessionnelle ont été victimes au XIVe siècle d’un courant de pensée religieux intolérant, de la même nature que celui dont est victime aujourd’hui Tombouctou. K. B. bakoukader@yahoo.fr
Grogne dans les travaux publics. Des travailleurs du secteur interpellent le ministre Amar Ghoul. Fallait bien que quelqu’un…
… l’interpelle un jour, celui-là !
Indiscutablement, il y a consensus là-dessus : dans l’affaire Sonatrach, la justice «va aller loin, très loin». On ne cesse ne nous le répéter depuis quelques heures. On nous souligne même au marqueur gros et gras le fait qu’un magistrat algérien se soit déplacé en Italie pour un «échange d’informations» avec ses homologues italiens. En votre compagnie, ici même, quotidiennement, nous suivons ce formidable périple pédestre entamé tout récemment par la justice algérienne. Souvenez-vous ! L’autre jour, nous réagissions déjà au fait que des sources crédibles aient annoncé que la «justice algérienne avait fait un pas en direction de Khelil». Aujourd’hui donc, il se confirme que ce n’est pas seulement un pas qui aurait été accompli, mais carrément plusieurs. Eh oui ! Forcément ! Pour aller loin comme annoncé, un pas, un seul, même en direction d’une cible comme Khelil ne suffirait pas. Il faut plusieurs pas. Alignés les uns après les autres. Et sur la durée. Sinon, si c’est juste plusieurs pas sur une courte distance, ça ne sert à rien. Ce n’est sûrement pas comme ça que l’on peut aller loin. Très loin ! J’espère juste que le magistrat envoyé en Italie est un bon marcheur. Parce qu’à voir et à entendre les bruits qui commencent à circuler sur l’absence de convention d’extradition entre les Etats-Unis et l’Algérie, conjugués au fait que Khelil disposerait de la nationalité américaine, je pense que les magistrats algériens vont devoir non seulement marcher longtemps, aligner des milliers de pas, mais en plus le faire en des directions multiples. L’Italie, ça va encore. C’est à côté ou presque. Mais les Etats-Unis ? Imaginez un peu la tête du pauvre juge algérien arrivant à pied aux States, exténué et à qui un confrère de Manhattan annoncerait sur un ton très mondain «Sorry, Mister Khelil est citoyen américain non extradable ! ». On se retrouverait, en plus d’un gros pataquès, avec autant de résultats «probants» qu’avec l’espoir de voir Moumène Khalifa debout dans un prétoire algérien. Mais en même temps, il ne faut pas voir tout en noir. Peut-être que Khelil échappera aux fourches XXL de la justice algérienne, mais cette dernière aura tout de même gagné. En santé ! Ses juges auront marché. Ils auront avancé de plusieurs pas. Ils seront effectivement allés loin. Très loin. Et une justice qui marche, qui va loin, c’est tout le contraire d’une justice immobile. En quoi ça va faire avancer l’affaire Sonatrach ? En rien, peut-être. Mais la marche algérienne, elle, va s’en trouver relancée. Rappelez-vous : cette discipline athlétique n’a plus rien gagné depuis Abdelwahab Ferguène sur le 20 km marche. Ça remonte à loin tout ça. A l’âge d’or de Sonatrach ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L..