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Echec des pourparlers Serbie-Kosovo mais la porte n'est pas close
le 02.04.13 | 18h38 | mis à jour le 03.04.13 | 07h21
Les dirigeants de la Serbie et du Kosovo n'ont pas réussi mardi à Bruxelles à...
Les dirigeants de la Serbie et du Kosovo n'ont pas réussi mardi à Bruxelles à conclure un accord sur la normalisation de leurs relations en dépit des pressions de l'Union européenne. A l'issue de plus de douze heures de négociations, les deux Premiers ministres, le Serbe Ivica Dacic et kosovar Hashim Thaçi, ont dressé un constat d'échec en milieu de nuit.
Comme premier résultat de la visite du ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Chérif Rahmani, en France, le soutien de la France à l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC)....
L’homme d’affaires Achour Abderrahmane et deux autres fonctionnaires de la police comparaîtront, une nouvelle fois, devant le tribunal criminel d’Alger, le 13 mai prochain. Les ...
Le président de l’audience, Antar Menouar, a décidé, hier en début d’après-midi, de «renvoyer le jugement en appel de l’affaire Khalifa à une session ultérieure en raison de problèmes de procédures». Il déclarera qu’en «raison de l’absence des actes de décès des prévenus Zerrouk Djamel et du défunt Barbara ainsi que l’absence d’autres accusés de l’audience, le jugement de l’affaire est reporté à une session ultérieure» et ordonnera la levée d’écrous pour les prévenus ayant fait l’objet d’une prise de corps. ...
La Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme veut se donner un rôle vis-à-vis des mouvements de contestation des jeunes du sud du pays. ...
Plus de 80 millions de dinars de crédits accordés par la Cnep/Banque d’Annaba aux jeunesLa nouvelle formule «crédit jeune» mise à la disposition par la ...
Les conséquences économiques du printemps arabe sur les pays de la région ont été au centre d’une conférence animée, hier, par M. Ali Souleimane, professeur à l’Université britannique du Caire (Egypte)....
La 16e édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, Batimatec 2013 ouvrira ses portes du 4 au 8 mai prochain au Palais des expositions aux Pins maritimes. ...
Par Youcef Salami Carrefour international incontournable, des professionnels des TIC et du Web, Algeria 2.0, qui en est à sa deuxième édition, se déroulera du 15 ...
De notre correspondant à Aïn DeflaMadani Azzedine Il est attendu pour cette saison une production de pomme de terre abondante au niveau de la wilaya d’Aïn ...
S’agissant des produits de large consommation, l’invité de la Radio nationale a assuré qu’ils ne vont pas connaître de hausse des prix ni de pénuries, ...
Synthèse de Abdelkrim GhezaliLe ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci a affirmé, hier lors de son passage à la Chaîne III, que l’UMA est dans ...
L’affaire Khalifa Bank sera rejugée en appel aujourd’hui au tribunal criminel près la Cour de Blida. Il aura fallu six années pour que la Cour suprême statue sur les pourvois en cassation du procureur général et ceux des condamnés. Ce procès est programmé suite au prolongement de la première session ordinaire de l’année 2013 du tribunal criminel de Blida, dont la durée a été prorogée sur décision du procureur général, Boumediene Bacha, après l’approbation par la Cour suprême, le 19 janvier 2011, des pourvois en cassation introduits par la défense et par le ministère public....
Le Conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre (Cnifpt), a été installé hier, lors d’une rencontre tenue à l’hôtel Sheraton, club des pins. ...
Par Samir Ould AliA lire la Citoyenneté en question (Algérie), le dernier ouvrage du professeur de sociologie à l’Université d’Oran, Mohamed Mebtoul, on comprend pourquoi ...
L’affaire en appel sera rejugée lors d’une session ultérieure
Les absents ont eu raison du procès Khalifa
02-04-2013
Photo : Riad
Par Amine Echikr
Le président de l’audience, Antar Menouar, a décidé, hier en début d’après-midi, de «renvoyer le jugement en appel de l’affaire
Khalifa à une session ultérieure en raison de problèmes de procédures». Il déclarera qu’en «raison de l’absence des actes de décès des prévenus Zerrouk Djamel et du défunt Barbara ainsi que l’absence d’autres accusés de l’audience, le jugement de l’affaire est reporté
à une session ultérieure» et ordonnera la levée d’écrous pour les prévenus ayant fait l’objet d’une prise de corps.
Dès l’entame du procès, il semblait clair pour un bon nombre d’avocats que l’affaire allait être reportée à une date ultérieure. En effet, après l’appel des inculpés et la constitution des défenses. Me Tahar Brahimi avait introduit un recours en raison de l’absence de son client, Aggoun El Hadi, du procès. Ce dernier, condamné pour recel, avait introduit un pourvoi en cassation qui n’avait pas été pris en compte par la Cour suprême dans un premier temps, puis un arrêt rectificatif a été établi. Ce dernier arrêt, pourtant notifié à la Cour de Blida, n’a pas été exécuté, selon les dires de Me Tahar Brahimi. Après une suspension de séance de 15 minutes, un débat s’est engagé entre le président de l’audience et le procureur Amine Boughaba, accompagné d’un effet de manche de Me Miloud Brahimi. La raison de ce débat qui influera fortement sur les conclusions du procès réside dans l’absence du certificat de décès de deux accusés, à savoir Zerrouk Djamel et M. Barbara.
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TRANSPORT FERROVIAIRE La colère des cheminots
Le SG de la section syndicale de la gare Agha, Abdelhak Boumansour, estime que la direction de la SNTF qui s’est engagée à ouvrir les négociations, après la grève déclenchée par les travailleurs en octobre 2012, vient de faillir à ses promesses, en rejetant en bloc la plateforme des revendications des cheminots. Contacté hier, ce dernier affirme que lors des réunions tenues les 19 et 20 mars 2013 avec l’administration ...Suite
Dans une conférence qu’il a animée hier, au forum du quotidien DK News, le DG d’Algérie Poste, Mohand Laïd Mahloul, a révélé le programme de développement de son entreprise. Un programme porté essentiellement sur l’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication. La modernisation d’Algérie Poste, a souligné M. Mahloul, passe par la réorganisation de l’entreprise en groupe avec des filiales. M. Mahloul a indiqué que son entreprise a déjà anticipé sur la promulgation de nouvelles lois régissant les activités de la Poste, en lançant les grands chantiers. Le projet de loi étant au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN), Algérie Poste prépare le dossier d’agrément à présenter à la Banque d’Algérie, forme son personnel aux services bancaires et aménage ses infrastructures pour les hisser au niveau des normes bancaires. «Nous avons commencé par remplacer nos chèques roses par des chèques normalisés par le système de télécompensation bancaire. Désormais, nos clients peuvent effectuer des paiements par chèque. Je rassure les commerçants, ils peuvent encaisser leur argent trois jours après le dépôt du chèque. Algérie Poste ne sera pas un concurrent aux autres banques, mais elle va compléter le système bancaire par d’autres services », a-t-il déclaré. L’autre chantier, a ajouté M. Mahloul, est celui relatif à l’identification biométrique des clients de la Poste. «Nous allons recourir à l’identification par l’iris. C’est une technologie nouvelle et nous voulons être parmi les pionniers. Cela va éviter à nos agents comme à nos clients, les tracasseries des pièces d’identité. Nous équiperons nos bureaux de caméras liées à un système d’information qui identifiera le client sur la base de l’iris de son œil», a-t-il affirmé. M. Mahloul a précisé, par ailleurs, que la Poste continuera à doter ses guichets de terminaux de paiements électroniques à partir desquels «nos clients pourront régler les factures d’électricité et de gaz, de l’eau et de téléphonie». Et d’annoncer qu’une application de téléphonie mobile sera bientôt mise en service pour permettre aux clients de la Poste de régler ces factures à partir de leurs téléphones cellulaires. «L’avènement de la 3G va encore nous aider à rendre plus fluide l’utilisation de ces services», a-t-il noté. Il convient de noter qu’Algérie Poste compte 3 500 bureaux postaux, 16 millions de clients ont des comptes courants, 6 millions disposent de cartes magnétiques. Elle gère 2 millions de transactions par jour. Elle compte, également, 700 distributeurs automatiques de billets (DAB), soit l’équivalent des DAB de toutes les banques réunies. L. H.
Le torchon brûle à nouveau entre la direction de la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF) et la Fédération des cheminots. Les sections syndicales sont sur le qui-vive et un délégué de l’UGTA interviendra ce jeudi, en intermédiaire, auprès des deux parties. Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Le SG de la section syndicale de la gare Agha, Abdelhak Boumansour, estime que la direction de la SNTF qui s’est engagée à ouvrir les négociations, après la grève déclenchée par les travailleurs en octobre 2012, vient de faillir à ses promesses, en rejetant en bloc la plateforme des revendications des cheminots. Contacté hier, ce dernier affirme que lors des réunions tenues les 19 et 20 mars 2013 avec l’administration, «la direction s’est désengagée en fermant les portes des négociations de manière brutale». Selon lui, le DG de la Société nationale de transport ferroviaire s’était engagé de manière formelle, à répondre aux revendications des travailleurs progressivement en ouvrant les négociations avec le représentant social à partir de janvier 2013. «Nous avons fini par comprendre que la direction veut gagner du temps et n’a aucune intention de satisfaire nos doléances. Entre-temps, nous constatons que l’administration procède à chaque virement, à la réduction des points indiciaires par rapport à la grille de salaire, pour revoir à la baisse le salaire de base des travailleurs. Nous savons très bien que cela s’est fait sciemment, même si l’administration évoque à chaque fois, le motif de quelques erreurs isolées, puisque ce sont toutes les catégories qui sont touchées par ce problème», a-t-il clamé. Pour Abdelhak Boumansour, les travailleurs ne peuvent rester inactifs face à cette situation, affirmant que les sections syndicales sont sur le qui-vive. Contacté, le directeur des ressources humaines de la SNTF nie que la direction ait fermé les portes des négociations. «Nous n’avons à aucun moment rompu les pourparlers comme nous n’avons pas rejeté en bloc la plateforme des revendications. Seulement, il faut savoir que cette plateforme contient 15 points essentiellement axés sur la révision de la grille de salaire et du régime indemnitaire. Nous avons déjà procédé à plusieurs augmentations salariales depuis 2008, et aujourd’hui, nous demandons un peu de temps pour pouvoir étudier les possibilités. Car il ne faut pas perdre de vue qu’une telle revalorisation salariale engage un coût que la santé financière de l’entreprise ne saurait supporter actuellement, et les représentants des travailleurs le savent bien. Il y a un programme de développement de la SNTF qui vient d’être engagé, qu’ils nous laissent un peu de temps», a-t-il soutenu. Enfin, il est à signaler qu’un délégué de la Centrale syndicale UGTA tiendra une réunion ce jeudi 4 avril, avec les deux parties pour à la fois calmer les esprits et pouvoir relancer à nouveau les négociations. M. M.
La Commission consultative pour la promotion et la défense des droits de l'Homme a organisé, hier, une rencontre avec un groupe de jeunes de la wilaya de Ouargla. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - L’instance que préside l’avocat Mohamed Ksentini semble avoir été appelée à la rescousse pour aider à calmer les tensions qui secouent le sud du pays. Hier, un groupe de jeunes gens de la ville de Ouargla a été invité à une «discussion» au siège de la Commission consultative pour la promotion et la défense des droits de l'Homme. Installés dans le patio, ces derniers étaient face à plusieurs responsables de la CNCPPDH. Le secrétaire général intervient en premier. «Nous vous encourageons à évoquer vos problèmes en toute liberté, nous sommes ici pour vous écouter. La commission n’a aucun pouvoir exécutif, mais nous pouvons faire des propositions et rédiger des rapports », a expliqué Abdelwaheb Morjana. Vient ensuite le tour des jeunes Ouarglis. Tayeb Darmoune prend la parole. «Nous vous remercions de cette initiative mais vous devez savoir qu’avec le temps, nos problèmes sont devenus complexes. Aujourd’hui, les gens du Sud ont l’impression d’être venus d’ailleurs. On nous accuse d’être racistes alors que nous sommes les premiers à subir le racisme», lancera-t-il à l’assistance. En matière d’emploi, «aucun des engagements pris par le gouvernement depuis 2004 n’a été respecté ». «Les postes de travail sont attribués en priorité aux personnes de Béjaïa, Alger ou Oran. On ne cesse de nous dire qu’il existe un problème de compétence dans notre région. Alors dites-nous à quoi sert l’Université de Ouargla ? Même les compagnies étrangères se mettent de la partie. Aujourd’hui, elles refusent de recruter des cadres ayant étudié à Ouargla sous prétexte que le diplôme de l’Université de Boumerdès a plus de valeur», ajoutera Tayeb Darmoune. Pour Mahfoud Hadef, la situation dans le Sud est réellement préoccupante. «On nous accuse de ne pas être nationalistes. Pourtant, notre silence et notre patience sont la meilleure preuve de notre nationalisme. Ce qui se passe actuellement dans nos régions est très dangereux car il existe réellement des gens à l’extérieur qui veulent profiter de la situation. Vous devez prendre les choses au sérieux», a insisté Mahfoud Hadef. Présente parmi la délégation, Me Ahlem Touahria, avocate à Ouargla, a dénoncé les nombreux cas de corruption enregistrés dans sa wilaya. «Cette fois-ci, nous sommes venus à Alger pour évoquer la question de l’emploi. Mais les problèmes sont multiples», dira l’avocate. Selon elle, le Premier ministère aurait décidé de consacrer «2 800 postes d’emploi» dans le secteur des hydrocarbures aux demandeurs originaires de la wilaya de Ouargla. T. H.
Le président américain Barack Obama a dévoilé hier mardi un ambitieux projet de recherche visant à percer les mystères du cerveau humain qui devrait ouvrir la voie à des traitements pour des maladies incurables comme Alzheimer. Cette initiative de 100 millions de dollars au départ, inscrite dans le projet de budget 2014 de M. Obama, devrait aider les chercheurs à découvrir des traitements pour guérir, voire prévenir des pathologies cérébrales comme Alzheimer, Parkinson ou soigner des traumatismes cérébraux et des troubles psychiatriques. «L'initiative sur le cerveau donnera aux scientifiques les outils dont ils ont besoin pour obtenir une image du cerveau en action et permettra de mieux comprendre comment nous pensons, apprenons et mémorisons», a déclaré le président, soulignant que le cerveau «est encore un énorme mystère qui reste à percer». Il a insisté sur l'importance pour la croissance économique et la compétitivité du pays d'investir dans la recherche fondamentale, même dans le contexte actuel de restrictions budgétaires. «Pour chaque dollar dépensé dans le projet du séquençage du génome humain nous avons eu un retour de 140 dollars», a souligné le président en référence à cet effort réussi de 3,8 milliards de dollars sur dix ans lancé en 1990. Ce nouveau projet intitulé «BRAIN» (Brain Research through Advancing Innovative Neurotechnologies) devrait accélérer le développement et l'application de nouvelles technologies qui permettront de produire des images dynamiques des interactions entre les cellules cérébrales et les circuits neuronaux à la vitesse de la pensée. Ces technologies vont ouvrir de nouvelles voies pour explorer comment le cerveau mémorise, traite, stocke et retrouve de vastes quantités d'informations, donnant un nouvel éclairage sur les liens complexes entre les fonctions cérébrales et le comportement. Le président Obama a lancé un appel aux entreprises, aux universités, aux fondations et philanthropes pour se joindre à cette initiative qui, selon lui, «requiert un effort important et durable». 100 milliards de neurones Plusieurs groupes privés sont déjà engagés dans ce projet avec les Instituts nationaux de santé (NIH), la National Science Foundation et Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), l'agence de recherche du Pentagone. L'Allen Institute, créé par le milliardaire Paul Allen, co-fondateur de Microsoft (60 millions de dollars par an), le Howard Hughes Medical Institute, plus grand institut privé de recherche biomédicale fondamentale (60 millions de dollars), le Salk Institute (28 millions) et la fondation Kavli (4 millions) consacreront des fonds pour des recherches liées au projet BRAIN. Selon des scientifiques engagés dans ce projet cité par le New York Times, il faudrait au moins 300 millions de dollars de fonds fédéraux annuellement ou trois milliards de dollars sur dix ans. Le Congrès doit encore approuver l'enveloppe de 100 millions de dollars requise par le président. Malgré des avancées pour décoder le fonctionnement du cerveau la science reste encore dans le noir devant cet organe de 1,3 kilo en moyenne doté de près de 100 milliards de neurones qui produisent des millions de milliards de connexions sous forme de signaux électriques ou chimiques. Mais les nano-techniciens et neurologues pensent que les technologies sont désormais capables de fournir une compréhension complète du cerveau. Dans une recherche publiée en 2012 dans la revue Neuron, des chercheurs proposaient de «cartographier» le cerveau en utilisant des capteurs de la taille d'une molécule capables de mesurer et d'enregistrer les activités cérébrales au niveau cellulaire. L'initiative du président Obama diffère d'un projet européen d'un milliard d'euros annoncé fin janvier mené par un groupe helvétique visant à produire un modèle du cerveau basé sur une simulation par un super-ordinateur utilisant toutes les recherches à ce jour sur les fonctions cérébrales.
Les gars de Béjaïa se sont envolés hier aprèsmidi vers le Ghana, en prévision de leur match retour comptant pour le 16es de finale de la Champions League africaine face à l’Ashanti Kotoko programmé pour le 7 avril prochain. Les Vert et Rouge devaient observer une escale dans la capitale économique marocaine, Casablanca, avant de reprendre le chemin pour la capitale ghanéenne, Accra, vers les coups de 19h de la même journée de mardi. L’arrivée à Accra est attendue vers 22h. Les partenaires de Zafour vont ensuite regagner par route, la ville de Kumasi située à quelque 200 km de la capitale où aura lieu la manche retour devant la formation de l’Ashanti Kotoko. Sur place, le driver italien de la JSMB disposera de quatre jours pour apporter les derniers réglages et parfaire son plan d’attaque, à même de réussir une belle performance contre la redoutable équipe du Ghana. Avec un score de zéro partout au match aller le 15 mars dernier, le représentant du football algérien garde théoriquement toutes ses chances pour se qualifier au prochain tour. Dans cette compétition africaine qui est loin de constituer une première priorité des Béjaouis qui demeurent fixés, faut-il le souligner, sur un maintien en Ligue 1, le groupe de Solinas foulera la pelouse de Kumasi, débarrassé de toute pression. Ce qui pourrait constituer un précieux avantage pour les protégés de Yemma Gouraya contrairement à leur adversaire. Les Béjaouis dont une qualification ne serait qu’un bonus après avoir, en partie, assuré leur place parmi l’élite à quelques journées d’une fin de saison marquée par de graves turbulences, entameront ce rendez- vous dans une totale sérénité, face à un adversaire qui sera contraint de prendre des risques, en se découvrant pour aller chercher le but de la qualification. Les Béjaouis seront à l’affût de la moindre erreur des Ghanéens pour asséner le coup fatal et revenir avec le ticket qualificatif. La mission est très difficile, mais le coup reste jouable. En tout cas, du côté des hommes de Solinas, on reste optimiste. «Cette trêve a été bénéfique pour nous. On s’est suffisamment préparé durant une dizaine de jours pour réussir ce rendez-vous. On connaît un peu mieux notre adversaire qui est certes très coriace, mais en football tout reste possible. On ira pas faire, ceci dit, du tourisme au Ghana. On jouera à fond notre carte. On tentera de trouver la faille pour leur marquer ce but qui déstabilisera notre adversaire. Le groupe est hyper-motivé pour continuer l’aventure encore le plus loin possible. Maintenant que le maintien est presque assuré, le groupe est mentalement libéré. Dans cette compétition africaine, même si ce n’est pas une priorité pour l’équipe, on essayera de tout faire pour aller le plus loin possible et faire plaisir à nos supporters» a confié, avant son départ, le capitaine de l’équipe, Brahim Zafour. Il convient de noter que pour ce déplacement en terre ghanéenne, la délégation béjaouie se compose de 31 membres dont 18 joueurs. Les joueurs convoqués pour ce voyage au Ghana sont Si Mohamed, Djabaret, Samer, Hamouche, Zeghli, Aourès, Debka, Derrag, Boussaha, Zerrara, Aït Fergane, Boukemacha, Mebarakou, Laribi, Niati, Cheheima, Zafour, Mekheldi. A. K.
Plus de 9 000 concurrents masculins et féminins vont prendre part à la 7e édition du semi-marathon national militaire qui aura lieu vendredi, à Alger, entre le complexe olympique Mohamed-Boudiaf et Ben-Aknoun. L'organisation de cette manifestation «entre dans le cadre du développement et de la consolidation de la pratique sportive et de l'éducation physique» et «intervient à la suite du grand succès enregistré par les six précédentes éditions où il a été enregistré une participation record de coureurs des deux sexes âgés entre 18 et plus de 50 ans», diront les organisateurs. Pour rappel, «cette manifestation sportive nationale majeure, devenue une tradition du sport militaire, est organisée annuellement par l'ANP en vue de la dynamisation et la massification de la pratique sportive». Le coup de starter du 7e semi-marathon national militaire sera donné au niveau du complexe olympique Mohamed Boudiaf avec comme point d'arrivée, Ben-Aknoun.
Par Kader Bakou Mon côté spirituel n’a pas abdiqué. Ces dernières années, j’envisage de plus en plus l’éventualité de fuir définitivement ce monde matériel et matérialiste. Au début, j’ai pensé aller vivre jusqu'à la fin de mes jours dans une zaouïa au sommet d’une montagne. Mais le charme a été rompu quand j’ai entendu dire que des zaouïas font de la politique. Le choc émotionnel passé, je me suis dit qu’on peut aussi aller se recueillir dans un endroit isolé. L’amie d’une amie venue du Sud m’a dit un jour : «Tu ressembles aux gens du Sahara. Même quand tu es en colère, tu réagis comme eux, avec sagesse.» Indirectement, elle m’a mis la puce à l’oreille. «Euréka ! Je vais aller vivre en ermite dans le grand Sud, le dernier endroit qui n’est pas encore contaminé par les problèmes de cette satanée modernité», m’écriais-je, presque au point d’effrayer les deux amies. J’ai ainsi pensé rejoindre une communauté de Touareg, les derniers hommes libres en Afrique, comme le sont les gitans en Europe. Mais j’ai aussi changé d’avis en voyant que des Touareg (comme au Mali) parlent de revendications territoriales et de politique. Après avoir longuement réfléchi, je me suis dit : «Ce n’est pas vraiment nécessaire de rejoindre une communauté. Le Sahara est si vaste et on peut trouver des oasis qui vivent en dehors de cette maudite civilisation, son vacarme, ses haines et ses guerres.» Mais là aussi, les récents événements m’ont pris de vitesse et il vaut mieux rester où je suis, si je vais trouver dans le Sud ce que j’essaye de fuir depuis de longues années. Constatant mon désarroi, un ami m’a conseillé : «Va vivre dans un temple bouddhiste !» J’ai trouvé l’idée géniale, jusqu’au jour où j’ai lu une dépêche sur des moines qui s’immolent par le feu. Maintenant, je ne crois plus en ces images de moines crâne rasé, l’air serein en pleine méditation. Après mûre réflexion, je pense aller vivre sur les glaciers de l’Antarctique au milieu des pingouins : eux au moins, ils ne parlent pas et, surtout, ne font pas de politique… K. B. bakoukader@yahoo.fr
Nouvelle loi sur l'audiovisuel. Tout Algérien a le droit d'avoir une télé. Il lui suffit juste de…
… l'acheter, de la brancher et de mettre deux piles AA6 dans la télécommande. Mabrouk allik khouya !
Monsieur Abdelaziz Aït Abderrahmane est directeur général de la régulation et de l'organisation des activités au ministère du Commerce. Ce monsieur, fort agréable à écouter au demeurant, était invité par la radio Chaîne III. Grâce à ce monsieur j'ai d'abord appris une chose importante. En Algérie, il existe une direction générale de la régulation au ministère du Commerce. Si ! Si ! Je vous assure. Il ne s'agit pas d'un cancan ni d'une rumeur. Cette direction existe. Comme quoi, il faut juste tendre l'oreille, à défaut d'en ressentir l'existence sur le terrain. En plus donc d'avoir si gentiment contribué à me faire découvrir qu'une telle direction existe, ce monsieur a dit ceci au cours de son passage radio : «Je peux vous annoncer que nous serons à l'aise d'ici à septembre. Les dispositions sont prises par les organismes de régulation. n'y aura pas d'insuffisances ni de pénuries. Les produits alimentaires (…) ne vont pas subir de flambée des prix.» Et c'est là, au moment précis où cette phrase a jailli de mon poste radio, que l'idée a… jailli, elle, de mon cerveau. Elle est toute simple, et avec du recul, maintenant, je me demande comment je n'y ai pas pensé plus tôt. Une raison supplémentaire donc de rendre un hommage appuyé à Monsieur Aït Abderrahmane grâce à qui mes vieux neurones ont fait «tilt». Je propose qu'à la rentrée de septembre, dès septembre prochain, pourquoi pas, l'on réunisse de manière solennelle et officielle, dans un cadre agréable et convivial, en plein air puisque septembre est un mois exceptionnellement ensoleillé et doux chez nous, tous ceux qui, quelques mois auparavant, généralement en hiver ou au début du printemps, nous font des promesses tout de même fantastiques. A cet après-midi champêtre serait ainsi convié Monsieur Aït Abderrahmane. Mais pas que ! Il y aurait aussi les responsables de l'énergie, puisqu'eux aussi viennent de nous promettre que «cet été, il n'y aura pas de délestage». Il y aurait aussi tous les responsables qui nous ont promis l'éradication, avant septembre 2013, de tous les marchés sauvages. Il y aurait aussi ceux qui nous ont assuré que la barrière mythique des 7,4 km de lignes de tramway serait franchie avant la rentrée scolaire 2013/2014. Pourquoi ne pas penser à inviter aussi à cette garden-party les personnes qui nous promettent la 3G à chaque rentrée, ces personnes-là bénéficiant tout de même d'un statut spécial lors de cette assemblée, puisque membres fidèles depuis des lustres de ce vaste club des responsables algériens qui nous promettent un tas de choses à la saison hiver/printemps et que l'on entend très rarement, pour ne pas dire plus du tout en septembre. Faut juste prévoir un espace assez grand pour cette cérémonie des promesses non tenues, parce que mon petit doigt me dit qu'il y aura foule ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.