127-/-ACTUALITÉS Du Vendredi 08 Mai 2015
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الجمعة 08 ماي 2015 م
الجمعة 19 رجب 1436 ه
Vendredi 08 Mai 2015
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Un tremblement de terre de 4,1 degrés à Béjaia
le 08.05.15 | 13h02
Une secousse tellurique d'une magnitude de 4,1 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée vendredi à 06h 48 (heure locale), dans la wilaya de Béjaia, a indiqué le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), dans un communiqué.
L'épicentre de la secousse a été localisé à 19 km au nord-est de cap Carbon (en mer) dans la wilaya de Béjaia, a précisé la même source.
APS
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le 08.05.15 |
Un remboursement mensuel qui ne doit pas excéder 30% du salaire net et s’étalera entre 3 et 60 mois ; un taux d’intérêt moyen de 7%. El Watan Week-end s’est procuré le projet de décret sur le crédit à la consommation, qui devrait être lancé pour le début du Ramadhan et se limitera à l’acquisition de produits algériens.
Le projet de décret exécutif relatif aux conditions et modalités en matière de crédit à la consommation a été remis au gouvernement. Selon une source proche du dossier, ce crédit très attendu devrait être lancé au début du Ramadhan. Selon le texte que nous nous sommes procuré, il «permettra à toute personne physique qui agit dans un but privé, en dehors de ses activités commerciales, professionnelles ou artisanales, l’acquisition d’un bien ou d’un service».
Que faut-il entendre par service ? Par exemple, une formation professionnelle. Les bénéficiaires du crédit à la consommation seront obligés de rembourser leur prêt dans un délai de 3 à 60 mois. Le montant global de l’échéance mensuelle de remboursement du crédit «ne peut en aucun cas dépasser 30% des revenus mensuels nets régulièrement perçus par l’emprunteur afin d’éviter le surendettement» et permettre aussi au citoyen d’assumer ses dépenses quotidiennes.
Le surendettement est un problème majeur que posait jusque-là ce type de crédit. Abderrahmane Benkhalfa, expert en finances et ancien délégué de l’Association des banques et des établissements financiers (ABEF), fait la comparaison avec le crédit immobilier et estime que le risque est important : «Même si l’investissement dans l’immobilier ne doit pas être considéré comme un crédit à la consommation, il reste un crédit et un engagement avec une institution bancaire car le compte de l’acquéreur est débité chaque mois de la somme fixée dans le contrat.
Or, on voit aujourd’hui de nombreux citoyens endettés.» Les banques aussi craignent le surendettement de leurs clients, d’autant qu’une personne peut contracter plusieurs prêts auprès de plusieurs banques car il n’existe aucun moyen de contrôle. Le client signe juste un engagement sur l’honneur qu’il n’a pas souscrit de prêt ailleurs. Le texte prévoit tout de même une centrale des risques permettant à la Banque d’Algérie de repérer les clients qui ont bénéficié d’un prêt auprès d’une autre banque. «La centrale des risques est en phase finale de conception et sera opérationnelle en 2015», confie M. Benkhalfa.
Made in Algeria
Les personnes ayant obtenu un prêt et remboursent chaque mois moins de 30% de leurs revenus pourront toutefois «solliciter un autre crédit, à condition que le taux global des deux prêts ne dépasse pas les 30% du salaire, ajoute l’ancien délégué de l’ABEF. Donc, si un salarié qui gagne 100 000 DA par mois a obtenu un crédit auprès d’une banque et que cette dernière lui débite 15% par mois de son salaire, soit 15 000 DA, il pourra solliciter un autre prêt qui ne devra pas dépasser les 15% pour avoir au total 30% du salaire, ce qui représente 30 000 DA sur les 100 000 DA qu’il gagne régulièrement».
Autre aspect important dans la relance du crédit à la consommation : l’obligation d’acheter uniquement des produits made in Algeria. La commission qui a travaillé sur le dossier a, dans un premier temps, proposé des produits dont le taux d’intégration est de 40%. Autrement dit, dont la part des intrants nationaux (matière première et pièces utilisées) dans les produits représente 40% du produit fini afin de le qualifier de «produit local». Mais cette proposition a dû être abandonnée car la commission s’est rendu compte que «la plupart des sociétés font uniquement de l’assemblage, toutes les pièces sont importées» explique Amar Takjout, membre de l’UGTA, qui a travaillé sur le dossier.
Il n’y voit, au fond, aucun inconvénient. «Certes, des sociétés algériennes font de l’assemblage, mais il faut aussi admettre qu’elles apportent une valeur ajoutée car elles créent des milliers d’emplois et payent des impôts fiscaux et parafiscaux.» Les entreprises éligibles au crédit à la consommation sont donc, d’après le texte, celles qui «exercent une activité de production ou de service sur le territoire national, qui produisent ou assemblent des biens destinés à la vente aux particuliers et leurs revendeurs et agents dûment agréés par elles».
Exclusivité
Ces entreprises doivent être «en règle avec l’administration fiscale et les organismes de Sécurité sociale, bancarisées et vendre avec facture», selon le projet de décret. L’un des produits dont on peut déjà parier sur son succès auprès des consommateurs est la Renault Symbol qui détient pour le moment l’exclusivité du marché de l’automobile assemblée en Algérie. Mais Mustapha Zebdi s’inquiète de «la capacité de l’entreprise à répondre à la demande du marché algérien de 350 000 à 400 000 véhicules» au regard de sa production actuelle de 25 000 unités/an. «Si Renault Algérie n’arrive pas à satisfaire la demande du marché algérien, les autorités doivent autoriser les autres marques qui n’assemblent pas en Algérie à vendre leurs produits, estime-t-il.
C’est bien d’encourager l’économie nationale, mais il ne faut pas pénaliser le consommateur algérien». En dehors de l’automobile, si les consommateurs ont un choix raisonnable dans l’électroménager et l’informatique, ils auront davantage de mal à souscrire un crédit pour, par exemple, des meubles. «Car il sera difficile de trouver des artisans susceptibles de remplir toutes les conditions exigées dans le décret», souligne un banquier. Le texte précise également «la possibilité de rembourser tout ou partie de son crédit par anticipation avant le terme prévu contractuellement». Mais il ne prévoit pas de taux d’intérêt bonifié : il s’agira d’un taux d’intérêt effectif global annuel exprimé en pourcentage.
Selon les estimations de plusieurs banques, les taux d’intérêt vont varier entre 5 et 8%, plusieurs banques ayant d’ores et déjà décidé de le fixer à 7%. Pour Mustapha Zebdi, cette mesure n’est pas égalitaire. «Nous sommes contre l’application d’un taux d’intérêt. Le consommateur de la famille moyenne ou démunie ne doit pas le payer pour plusieurs raisons; certains, par contrainte religieuse, ne peuvent pas en bénéficier. Par ailleurs, pourquoi les gens qui bénéficient des dispositions de l’Ansej ou de la CNAC ne paient-ils pas d’intérêts alors que c’est une activité lucrative ?» Les banques attendent que le décret soit publié au Journal officiel pour lancer ce produit. La liste des entreprises éligibles doit aussi être remise aux banques après la sélection en cours par les ministères de l’Industrie et du Commerce.
Bouzid Ichalalalene
CLTD : « le pouvoir se moque du peuple »
le 08.05.15 | 16h21 | mis à jour le 08.05.15 | 18h58
L’instance de suivi et de concertation de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) s’est réunie, hier jeudi à Alger. Les membres de cet aréopage, regroupant des partis et des personnalités de l’opposition politique, ont estimé que la lutte contre la corruption ne peut pas aboutir en « l’absence d’une justice indépendante en Algérie ».
« En l’absence d’une justice indépendante, on ne pourra pas aller jusqu’aux origines de la corruption et atteindre les parties qui protègent ce fléau », a indiqué l’Instance de suivi et de concertation de la CLTD dans un communiqué rendu public à l’issue de sa réunion tenue au siège d’Ennahda.
La programmation des affaires de l’autoroute est-ouest et Khalifa dans les circonstances actuelles démontre que le pouvoir « se moque du peuple ». Un pouvoir « corrompu » qui a « échoué dans la concrétisation des objectifs de développement et de la justice », soulignent le auteurs du communiqué.
La CLTD a estimé, en faisant allusion à la maladie du président Bouteflika, que « la vacance du pouvoir » aura des « conséquence graves sur l’avenir de la prise de décision politique, économique et sociale au sein de l’Etat algérien ». Il est précisé que « les visites protocolaires de responsables étrangers ne peuvent cacher la réalité de la vacance au sommet de l’Etat ».
L'Instance a dénoncé les pratiques du pouvoir qui continue à « porter atteintes aux libertés individuelles et collectives » à travers son « refus de donner des agréments pour les partis politiques et les association ». Elle a dénoncé aussi les « pressions exercées sur les médias » et « le refus de donner des autorisations pour la tenue des activités politiques ». Elle a demandé, dans ce sillage, « la libération de tous les prisonniers d’opinion ».
L’instance de suivi et de concertation de la CLTD a annoncé la tenue d’une réunion à « huis clos » de ses membres, le 6 juin prochain.
Farouk Djouadi
Trois Cubains trouvés morts dans leur domicile à El-Bayadh
le 08.05.15 | 17h42
Trois membres de la mission médicale cubaine ont été retrouvés morts vendredi dans leur domicile situé à la nouvelle zone d’expansion urbaine d’El-Bayadh par les éléments de la protection civile a-t-on, appris auprès de cette institution.
Il s’agit d’un radiologue (50 ans), d’une gynécologue (34 ans) et d’une infirmière (33 ans), a-t-on précisé à l’établissement public hospitalier Mohamed Boudiaf où ils travaillent dans le cadre d’une mission médicale affectée dans cette wilaya en août dernier.
Les éléments de la sûreté de wilaya ont ouvert une enquête approfondie pour déterminer les circonstances exactes entourant leur décès qui serait du à une émanation de gaz d’un chauffe-eau, selon les premiers éléments d’information qui restent à confirmer par l’autopsie du médecin légiste, selon une source sécuritaire.
APS
Naufrage du Salon de la pomme de terre
le 08.05.15 | 10h00
Ouvert pour la première le 15 mai 2008, le salon de la pomme de terre «Batatis 2015» s’est tenu du 4 au 6 mai. Organisée au départ par les véritables acteurs de la filière réunis autour des producteurs et des importateurs et autres producteurs de semences, la manifestation qui se déroulait à la périphérie Est de Mostaganem aura fait l’objet de multiples convoitises.
On ne sait comment, dès la seconde édition, un opérateur privé s’est accaparé la manifestation, avec le concours de la Chambre nationale de l’Agriculture et avec le soutien de l’antenne de Mostaganem. Dès cette seconde édition, les fellahs ont commencé à s’en éloigner, tandis que ministres et haut responsables se relayaient pour donner un cachet des plus officiels à la manifestation qui prendra alors la dénomination de «salon international de la pomme de terre». L’organisateur s’attellera ensuite à élargir la gamme des produits exposés, transformant par moment la manifestation en véritable salon de l’agriculture et du machinisme agricole.
Assassinat de la ressortissante française à Béjaïa : La femme de ménage avoue
le 08.05.15 | 10h00
La police a procédé, hier en fin de journée, à l’interpellation de l’auteur présumé du crime odieux qui a ciblé Arlette Tiab, une ressortissante française établie en Algérie aux côtés de son époux, l’homme d’affaires et ancien président de la JSM Béjaïa, Boualem Tiab.
Selon un communiqué de la sûreté de wilaya de Béjaïa, la victime, âgée de 71 ans, a été poignardée à plusieurs reprises à l’aide d’un objet tranchant dans son domicile au quartier Bouaouina (ex-boulevard Clémenceau) sur les hauteurs de la ville. L’identité de l’auteur, qui n’a pas été mentionnée dans le communiqué de la sûreté de la wilaya de Béjaïa, est révélée dans un autre communiqué signé, en fin de journée d’hier, par la cellule de communication de la DGSN au niveau d’Alger.
Il s’agit de la femme de ménage, âgée de 20 ans, exerçant dans l’appartement de la victime. Ce dernier communiqué informe que la police a été alertée vers 13h, le 6 mai, par le mari de la victime. Les éléments de la police judiciaire se sont déplacés sur les lieux du crime en compagnie de spécialistes en criminologie et du procureur de la République près le tribunal de Béjaïa. Le corps de la victime a été retrouvé gisant dans une mare de sang, à l’intérieur de la salle de bain, où a été retrouvée l’arme du crime.
La victime a reçu plusieurs coups de poignard dans le corps. Le corps a été transféré vers la morgue de l’hôpital de la ville. Les premiers soupçons ont été portés sur la femme de ménage. Le procureur a autorisé une perquisition au domicile de la suspecte, trois heures après le crime. Les enquêteurs ont trouvé la femme suspectée avec des traces de coups et des égratignures sur les deux mains et le pied droit. Confrontée aux preuves l’impliquant dans le crime, la jeune femme a avoué avoir tué la maîtresse de maison.
Le communiqué de la police ne dévoile pas le mobile de cet assassinat. L’enquête a continué jusqu’à arriver à l’arrestation d’un jeune homme qui a avoué sa complicité dans le crime pour avoir transporté la femme de ménage dans sa voiture. La police précise, par ailleurs, que la mise en cause sera présentée devant le parquet dès la clôture des investigations qui détermineront les circonstances exactes de ce drame. Etablie en Algérie depuis 1969, Arlette Tiab militait dans une association caritative d’aide aux enfants abandonnés. Rappelons que d’après les témoignages, aucun objet de valeur n’a été volé lors de ce meurtre.
Nordine Douici/K. M.
Ouverture d’un centre commercial à Sétif
Un « Raïs » pour le 8 mai 1945
le 06.05.15 | 10h00
La capitale des Hauts plateaux, qui s’apprête à commémorer le 70e anniversaire des massacres du 8 mai 1945, vient de bénéficier d’un nouveau centre commercial et d’affaires.
S’étendant sur plus de 3400 m2, l’équipement à mettre à l’actif du secteur privé très dynamique du côté d’Aïn Fouara, renferme un centre d’affaires, plus de 100 magasins et un supermarché. Réalisé par Abderrahmane Raischems, un des principaux opérateurs économiques à Sétif, le centre «Rais», qui offrira plus de 150 postes de travail directs, sera inauguré demain par le ministre des Moudjahidine Tayeb Zitouni, devant présider les festivités officielles. Conçu et réalisé par des compétences locales et sur fonds propres du promoteur, l’établissement, devant accueillir quotidiennement entre 4000 et 5000 visiteurs, a embelli le paysage de ce coin du boulevard de la cité El Hidab.
Véritable joyau architectural, l’espace réalisé selon les standards internationaux est une nouvelle destination pour les Sétifiens et les habitants des régions limitrophes, d’autant qu’il dispose d’un cinéma 9D, de deux restaurants, de salons de thé et d’une garderie pour enfants. Un tel coin va sans nul doute rendre service aux familles, qui devront faire leurs emplettes en toute tranquillité. Bâti sur une superficie de 600m2, le centre d’affaires de 7 étages pouvant abriter des agences d’assurances, des banques et des cabinets de professions libérales est en mesure d’offrir des centaines d’emplois.
«Nous avons tenu à inaugurer le centre lors du 70e anniversaire des massacres du 8 mai 1945 en hommage à nos valeureux martyrs. Cette nouvelle acquisition est un plus pour Sétif, où le secteur privé démontre une fois de plus qu’il est en mesure de relever le défi. N’ayant rien à envier aux centres de l’autre rive de la Méditerranée, cet espace commercial est un bien collectif. L’établissement va, j’en suis convaincu, dynamiser cette partie de la ville et générer une prévalue pour la collectivité, qui a besoin de ce genre de site», dira fièrement son patron.
Il convient de souligner que la mise en exploitation du « Raïs » intervient quelques semaines avant l’entrée en activité du gigantesque Park Mall et des hôtels Ibis et Novotel qui vont non seulement métamorphoser le visage du centre de Sétif, mais booster son activité économique.
Kamel Beniaiche
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Ligue 1 : Le championnat de tous les paradoxes
le 08.05.15 | 10h00
A quatre journées du tombé du rideau sur le championnat de Ligue 1 Mobilis, la confusion règne aussi bien pour la course au titre que pour les clubs qui rétrograderont en Ligue 2.
Jamais un championnat n’a été aussi serré que l’est aujourd’hui l’exercice algérien, qui bouclera sa cinquième année de professionnalisme. Onze points seulement séparent le leader, l’ES Sétif (qui comptabilise 41 points) du dernier, le NA Hussein Dey (qui compte 30 points). Et le suspense reste entier aussi bien pour les équipes qui se disputent le titre que celles qui jouent le maintien.
Mathématiquement, six formations sont encore en course pour le titre, alors que dix clubs sont toujours concernés par le maintien. A ceux qui affirment que cela est dû à la faiblesse du championnat, d’autres rétorquent que le football algérien est tout de même parvenu à s’imposer sur le scène continentale. Car après le titre africain décroché par l’Entente de Sétif, l’année dernière, trois formations algériennes se sont retrouvées en phase des poules et dans le même groupe (B) de la Ligue des champions : l’ES Sétif et le MC El Eulma et l’USM Alger. Une première en Afrique !
Appel
Pour revenir au championnat, la 27e journée qui se jouera demain risque d’être très disputée avec de nombreux chocs aussi bien au sommet qu’en bas du tableau. Le leader sétifien, de même que le vainqueur de la Coupe d’Algérie, le MO Béjaïa, veulent mettre à profit cette journée pour s’imposer à domicile respectivement devant le RC Arbaâ et le MC Oran.
Les poursuivants immédiats seront pour la plupart en appel, à l’instar de l’USM Alger qui affrontera la JS Saoura qui lutte pour le maintien, ou encore le CR Belouizdad en visite à Tizi Ouzou pour affronter la JS Kabylie. L’USM Harrach (39 points) n’a pas dit son dernier mot pour le titre, mais demain, elle sera en appel à Bologhine où elle est attendue du pied ferme par le MCA, qui veut se mettre à l’abri de la relégation.
Deux matches à six points opposeront en bas de tableau : ASO Chlef-MC El Eulma et NA Hussein Dey-USM Bel Abbès. Les choses devraient se décanter après cette journée importante pour de nombreuses formations de Ligue 1.
Farouk Bouamama
Le prix du hadj 2015 fixé à 312 000 DA
le 08.05.15 | 10h00
Le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, a affirmé, mercredi à Alger, que le prix du hadj pour la saison 2015 était fixé à 312 000 DA, le billet de voyage n’étant pas inclus, soulignant que des résidences ont été louées près de La Mecque.
Invité de l’émission Hiwar Essaa de la Télévision nationale, Mohamed Aïssa a indiqué que la résidence la plus éloignée est située à moins de 900 m de La Mecque, précisant qu’il n’y aura pas plus de cinq personnes par chambre. Répondant à une question sur le discours religieux dans les mosquées, le ministre a souligné qu’il «évolue en continu». «13 instituts ont été crées spécialement pour la formation des cadres religieux de manière à adapter cette pratique aux développements en cours et prémunir la société idéologiquement», a-t-il ajouté.
Après avoir affirmé que la société algérienne n’avait pas besoin d’importer des rites et des concepts qui lui sont étrangers, le ministre a indiqué que la création d’un centre d’études et de recherches en sciences islamiques visait notamment à «protéger la société algérienne des idées intruses». Mohamed Aïssa a par ailleurs souligné que les efforts déployés par l’Etat pour réduire l’effet des fatwas émises via les chaînes étrangères «ont abouti» grâce aux conseils scientifiques qui se trouvent dans chaque wilaya et que les citoyens consultent pour différentes questions.
APS