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Actualités : TRANSPORT AÉRIEN Rush et guerre des prix
La guerre des prix fait rage entre les compagnies aériennes qui desservent l’Algérie à partir de la France. Air Algérie, souvent accusée d’appliquer des tarifs supérieurs à ses concurrentes, déclare proposer les meilleures offres sur cette destination.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) Les premiers jours du mois de septembre ont, encore une fois, été marqués par un rush dans les aéroports d’Algérie. La fin des vacances est souvent synonyme de calvaire pour des milliers de familles algériennes vivant à l’étranger. Ces deux dernières années, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer des problèmes auxquels est confrontée la clientèle émigrée, notamment celle qui opte pour la compagnie Air Algérie. Cherté des billets et indisponibilité des places sont souvent mises en avant. Nous avons tenté d’en savoir un peu plus en nous rapprochant de la Direction revenu management et rincing. Située dans la Technopole de la compagnie à Kouba, cette structure est chargée de planifier et de fixer la politique des prix. «Certains clients se plaignent de débourser plus de 1 000 euros pour un aller-retour Paris-Alger. Il est impossible qu’une agence Air Algérie ait vendu des billets à ce tarif», explique Zahir Bouamer, directeur revenu management et princing. Pourtant, ce responsable ne dément pas l’existence de tels prix. «L’Association internationale du transport aérien (IATA), à laquelle est affiliée Air Algérie, définit, selon plusieurs critères, une série de prix sur toutes les destinations du monde qui servent de référence pour les compagnies et les agences de voyage. Ainsi, si un client se rend chez son voyagiste, ce dernier aura tout intérêt à lui vendre un billet sur la base de la grille tarifaire de l’IATA pour augmenter sa commission», expliquet- il. Face à son ordinateur, Zahir Bouamer fait une simulation pour comparer les deux formules. Le billet aller-retour Paris-Alger en plein tarif, valable une année, est proposé par Air Algérie à 626 euros TTC alors que la base tarifaire affiche 1 337 euros TTC. Si le client achète son billet en dehors du réseau Air Algérie, il est certain que le voyagiste applique la seconde formule, pour empocher une commission de 120 euros au lieu de 56 euros. Le compte est vite fait. «Il est vrai que les agences officielles Air Algérie ne sont pas disponibles partout à l’étranger, mais nos clients ont l’avantage de pouvoir acheter leur titre de transport via notre site internet», assure le responsable de ce service. Zahir Bouamer met en avant également le système de réduction appliqué par la compagnie tout au long de l’année. «Nous avons mis en place une tarification promotionnelle étudiée. Ainsi, jusqu’au 22 septembre, le billet Alger Paris est proposé à partir de 249 euros TTC. Nous avons ensuite prévu des réductions pour différentes catégories de clients : enfants de 2 à 11 ans, jeunes de 12 à 16 ans et troisième âge qui, cette année, débute à 55 ans au lieu de 60 ans.» Mais voilà, la clientèle d’Air Algérie se plaint toujours de l’indisponibilité des billets à tarifs promotionnels. Le directeur du revenu management et princing explique que cette tarification est appliquée dans chaque vol mais pour un certain nombre de sièges. «On ne peut pas se présenter à une agence pour voyager le jour même à un prix préférentiel. C’est impossible. Il faut s’y prendre suffisamment à l’avance. A titre indicatif, les ventes pour les billets de la saison estivale ont débuté au mois de décembre 2012.» Quant à la concurrence féroce qui sévit sur la destination Algérie, Zahir Bouamer a tenu à préciser qu’Air Algérie «propose les tarifs les plus bas». «Nous avons une équipe de pricers qui étudie les tarifs proposés par les autres compagnies. Nous faisons en sorte de baisser, dès qu’une promotion est signalée. » T. H.
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Actualités : ÉDUCATION NATIONALE La prédominance des sciences sociales inquiète
Les sciences sociales et humaines dominent de loin les sciences exactes dans les choix des élèves. 42 354 élèves ont choisi une spécialisation dans les sciences humaines en 1990 et 527 128 en 2009. Une prédominance qui inquiète les spécialistes du secteur qui craignent pour l’avenir de l’innovation dans notre pays.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) Les indicateurs de l’éducation nationale ont évolué, selon les dires du secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la prospective et des statistiques. Ceci se traduit notamment par le taux de scolarisation qui a atteint en 2012, 98,12% pour les enfants en âge de scolarisation (6 ans) et 95,68% pour les 6- 15 ans et la réduction du taux d’analphabétisme de 43% à 21% entre 1987 et 2012. Il a souligné aussi le nombre d’élèves scolarisés dans tous les cycles d’enseignement qui dépasse les huit millions en 2012 soit 23,2% de la population, l’amélioration des conditions de scolarisation par la diminution du taux d’occupation par classe de 40 à 30 élèves par salle de classe entre 2000 et 2012 et aussi la mise en place d’actions au profit des démunis. Cependant, les performances du système au regard des moyens mobilisés, (858 milliards de dinars), note le ministère de la Prospective et des Statistiques, restent insuffisantes. Parmi les dysfonctionnements soulevés par le département de Bachir essaïtfa, la prédominance des sciences sociales et humaines au détriment des sciences exactes qui a connu une hausse très importante durant la période allant de 1990 à 2009. Ainsi le nombre d’élèves ayant opté pour les filières des sciences sociales en 1990 était de 42 354, et de 527 128 en 2009. Par contre, le nombre des diplômés dans les filières sciences exactes et technologie est passé de 9 689 diplômés en 1990 à 26 075 en 2009 et 14 639 en 2010-2011. Ainsi , les diplômés des sciences exactes et technologie représentent 5,9% de l’ensemble des diplômés contre 45 % pour les filières lettres dont le nombre est passé de 7 335 en 1990 à 111 580 en 2010-2011, soit 14,6% de taux de croissance annuel moyen contre 2,1% pour les sciences exactes et technologie. Le ministre chargé de la Prospective et des Statistiques qui a organisé, hier, un forum sur le système de l’éducation a également noté que la structure du système de l’éducation est orientée plus vers l’université que vers la formation professionnelle. Cette dernière n’accueillant que les élèves ayant échoué dans leur cursus scolaire. Ce dernier a aussi souligné que le niveau du chômage des diplômés de l’enseignement supérieur a atteint 16,1% et 12,4% pour la formation professionnelle. Un taux supérieur au taux de chômage national. Par ailleurs, le ministère chargé de la Prospective et des Statistiques a indiqué avoir installé une sous-direction chargée du système de l’éducation nationale, la formation professionnelle et l’enseignement supérieur. Celle-ci sera chargée de fournir des données permettant de faire des suivis et des évaluations. S. A.
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Actualités : INTEMPÉRIES À SKIKDA Routes barrées, quartiers inondés, électricité coupée…
Les fortes pluies qui se sont abattues dans la nuit de lundi à mardi sur la commune de Skikda ont provoqué de gros dégâts : des routes coupées, des cités isolées, d’immenses étendues d’eau… Pour dénoncer cette «tragédie», beaucoup d’habitants de la zone basse ont bloqué la circulation, déjà paralysée par les fortes crues qui ont envahi plusieurs voies, pour attirer l’attention des autorités compétentes sur leur sort. On peut citer les 700 logements, le regroupement d’habitations Belaouira en face l’ex-Souk-El-Fellah. D’ailleurs, plusieurs d’entre eux, contactés par nos soins, ont tenu à nous affirmer qu’hormis les éléments de la Protection civile, les instances compétentes n’ont pas daigner faire le déplacement. Le rétablissement de la situation, le curage des avaloirs et le nettoiement des espaces mitoyens aux demeures ont été, parfois, le fruit de l’entraide entre voisins. A la lumière de ces données, on relève que c’est la même situation qui revient à chaque orage. La zone basse, située au sud de la ville, qui englobe les cités Merdj-Eddib, les Frères Saker, les Frères Ayachi, les 500, 700 et 641 logements, est la plus touchée du fait de sa configuration en forme de cuvette. Bordée par deux monts, Bouabaz et Bouyala, sans talus pour freiner l’avalanche des gravats générés par la construction de milliers de villas, taudis et logements, et l’écoulement des eaux pluviales, usées et potables, la zone en question subit, durant la période de septembre à juin, depuis une trentaine d’années — du moins depuis 1984, des catastrophes récurrentes endommageant literie, matériels électroniques et électroménagers, immobiliers... A ces infiltrations d’eau viennent se greffer d’autres désagréménts, telles les coupures d’eau et d’électricité. Selon le directeur de la Direction de distribution de Skikda, l’électricité a été coupée pour des raisons de sécurité. «C’est à la demande de la Protection civile qu’on a procédé à la coupure du courant électrique, qui ne sera rétabli que lorsque l’eau sera pompée». Dans la matinée, dans la cité des Allées du 20-Août-1955, beaucoup de commerces ont failli fermer boutique. Gageons que ces intempéries seront considérées comme une alerte. Si des mesures ne sont pas prises, les établissements scolaires seront également fermés. Zaïd Zoheir
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Sports : ÉLIMINATOIRES DU MONDIAL-2014 (6e JOURNÉE) : À J-6 DU MATCH ALGÉRIE-MALI Halilhodzic craint la décompression
La sélection algérienne de football entame par une séance de décrassage programmée, hier en fin d'après-midi, son stage d'une semaine à Alger en vue de son match face au Mali le 10 septembre courant à Blida (20h30) comptant pour l'ultime journée du groupe H de l'avant-dernière étape des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 au Brésil.
A cette première séance devraient prendre part tous les joueurs évoluant à l'étranger, au nombre de 19 retenus pour ce regroupement, et qui commençaient à rejoindre le Centre technique de Sidi Moussa dans la matinée du même jour, à l'exception du défenseur du Real Sociedad, Liassine-Bentaiba Cadamuro, annoncé incertain à cause d'une blessure à la cuisse. Parmi les joueurs évoluant à l'étranger, il y a lieu de noter la présence de Fethi Harek, le défenseur du SC Bastia Ligue 1, France), qui a reçu à cette occasion sa deuxième convocation après une première remontant à 2008. Hassen Yebda, le milieu de terrain de Granada (Liga, Espagne), fait quant à lui, son grand retour chez les Verts après presque deux années d'absence du groupe à cause d'une méchante blessure au genou l'ayant éloigné des terrains pour plus d'une année. Pour leur part, les joueurs locaux dont le nombre s'est élevé à sept, après la convocation lundi soir du trio de l'ES Sétif : Sofiane Khedaïria, Amine Karaoui et Mohamed Ziti, rejoindront le quartier général du «Club Algérie» à l'issue de leurs rencontres avec leurs clubs respectifs dans le cadre de la troisième journée du championnat de Ligue 1 prévue hier en fin d'après-midi. Neuf séances d'entraînement au menu Le gardien de but de l'USM El Harrach, Azedine Doukha, pourrait néanmoins déclarer forfait pour ce match face aux Aigles maliens après avoir contracté une blessure lors de la rencontre perdue à domicile par son équipe face au CS Constantine, comptant pour la 2e journée du championnat. Justement, c'est pour parer à une éventuelle défection du portier et capitaine harrachi, que l'entraîneur national, Vahid Halilhodzic, a fait appel à Khedaïria, le gardien de but de l'ESS. Au menu des coéquipiers du capitaine, Madjid Bougherra, lors de leur regroupement actuel, figurent un biquotidien les mercredi et jeudi à Sidi Moussa, une seule séance sur le même lieu vendredi, tout comme lors la journée de samedi, mais cette fois au stade Mustapha-Tchaker de Blida. Une avant-dernière séance est prévue à Sidi Moussa dimanche en fin d'après midi alors que l'entraînement officiel d'avant-match aura lieu au stade de Blida lundi prochain à partir de 17h30, selon le programme diffusé par le site officiel de la Fédération algérienne de football. Avant la 6e et dernière journée des éliminatoires du Mondial- 2014, l'Algérie occupe seule la tête du classement de son groupe avec 12 points, devançant de quatre unités son poursuivant immédiat le Mali. Elle est ainsi assurée de se qualifier aux barrages prévus pour octobre et novembre prochains. Les deux autres sélections de la poule H, le Bénin et le Rwanda occupent respectivement la troisième et quatrième place.
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Sports : LIGUE 1 (MISE À JOUR) ESS-MCO maintenu pour ce vendredi
La rencontre entre l’ES Sétif et le MC Oran, comptant pour la deuxième journée du championnat de Ligue 1, reportée en raison de la participation des Sétifiens à la rencontre de la coupe de la CAF face au FUS de Rabat (1-1), est maintenue pour le vendredi 6 septembre à 18h au stade du 8-Mai 1945 à Sétif. Cette confrontation avait fait l’objet, lundi, d’une reprogrammation de la part de la LFP qui avait annoncé son report au samedi 7 septembre sans fournir les raisons de ce changement. Il semble bien que ce dernier soit intervenu à la demande de la partie sétifienne dont les responsables espéraient l’allégement du calendrier de l’équipe en vue du périlleux déplacement à Alger où l’équipe affrontait hier le CRB et surtout celui programmé le 14 septembre à Lubumbashi contre le TP Mazembe (RDC) comptant pour la 5e journée de la coupe de la CAF. L’équipe d’Aïn Fouara fournit, pour rappel, trois internationaux à l’EN A, Khedaïria, Ziti et Karaoui rappelés par Halilhodzic en prévision du match contre le Mali, mardi prochain à Blida. M. B.
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Culture : FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM AMAZIGH À AGADIR, MAROC Interrogations sur la participation algérienne
Il ne reste plus qu’une vingtaine de jours avant le lancement du Festival Issni N’ourgh international du film amazigh (Finifa), qu’abrite chaque année la ville d’Agadir, au sud du Maroc. En effet, la 7e édition aura lieu du 23 au 28 septembre prochain.
Devenue un rendez-vous incontournable pour les cinéastes, les promoteurs et le public du septième art amazigh, cette manifestation culturelle suscite néanmoins (et pour la première fois depuis sa création) certaines interrogations, notamment ici en Algérie. D’abord parce que l’association Issni N’ourgh est restée, jusqu’à aujourd’hui, assez avare en informations concernant le programme du festival, le nom des participants et les titres de leurs œuvres, les actions envisagées en commun, etc. Tout ce que l’on sait, c’est que les organisateurs se préparent activement pour la réussite de l’événement. Ils avaient ainsi invité tous ceux qui désirent inscrire leurs films au festival à déposer leur production cinématographique durant la période du 30 juillet au 15 août 2013. Qu’ils soient des courts et longs métrages documentaires, ou bien du genre fiction, tous les films réalisés en tamazight peuvent être proposés pour la compétition officielle. D’autre part, l’association Issni N’ourgh vient de lancer la deuxième édition du fonds d’aide à la production cinématographique amazigh. L’objectif est de booster la production audiovisuelle, de promouvoir la création artistique et la culture amazighes. Ainsi, les trois meilleurs projets qui seront sélectionnés par la commission créée à cet effet seront produits au cours de l’année 2014. Mais cela ne concerne que les courts métrages d’une durée maximale de 15 minutes. On apprend aussi que trois scénarios de courts métrages (deux marocains et un algérien) seront sélectionnés pour bénéficier d’une telle aide, le fonds ayant été lancé, rappelons-le, en partenariat avec la commune urbaine d’Agadir. Selon les membres de l’association, tous les films inscrits pour la compétition officielle seront visionnés par le comité de sélection, lequel devait communiquer ensuite (par email) l’avis de sélection au plus tard le 31 août. Les copies ainsi sélectionnées seront alors envoyées au festival avant le 10 septembre. Il faudrait donc attendre jusqu’après cette dernière date pour en savoir un peu plus, particulièrement sur la participation algérienne. Pour mémoire, deux films algériens avaient été récompensés lors de l’édition de 2012 : Ydir de Tahar Houchi (prix du court métrage) et Le sang et l’argent d’Idir Saouli (ce long métrage a décroché le prix de la meilleure interprétation féminine, attribué à Hassiba Aït Djebbara). Toujours en 2012, on se souvient que le Festival culturel national annuel du film amazigh d’Algérie (FCNAFA), et le Festival international du film amazigh Issni N’ourgh d’Agadir (Finifa) avaient conclu un accord de partenariat, lequel était destiné à développer une vision commune de promotion du cinéma amazigh. Tout un programme avait été tracé... Et puis, il y a eu le 13e Festival du film amazigh (du 23 au 28 mars à Tizi-Ouzou). Cet événement controversé a vu l’absence remarquée des délégations du Maroc et de Libye, pourtant invitées avant le lancement. Une «première» du genre, qui a naturellement suscité la polémique. Autre polémique, beaucoup plus récente mais qui est née au Maroc ces derniers jours autour du Festival du film d’Agadir. Au départ, il y a eu un communiqué des membres de l’association Issni N’ourgh, organisatrice du festival. Dans ce texte rendu public, les membres ont dénoncé «la politique de la hogra et de l’ostracisme qui s’applique au sein de la commission chargée des subventions (...) contre le cinéma amazigh, ainsi qu’une vision ségrégationniste qui anime encore la vision de ladite commission et qui continue à diviser le pays en Maroc utile et Maroc inutile». Juste après ce communiqué virulent est venu le démenti des autorités du royaume. Selon une source du ministère de la Communication, «le montant de la subvention accordée cette année au festival Issni N’ourgh a atteint 50 000 dirhams, alors qu’il n’en avait bénéficié que de 10 000 dirhams à son lancement, un montant porté l’année dernière à 30 000 dirhams». La même source du ministère assure qu’aucune marginalisation ni dénigrement n’est pratiqué à l’encontre du festival. Alors, y a-t-il oui ou non tentative d’asphyxie financière du festival ? Les prochains jours apporteront peut-être quelques éléments de réponse. On en saura aussi beaucoup plus sur les perspectives du film amazigh au Maghreb pendant et à l’issue de la manifestation d’Agadir. Cela nous donnera déjà une petite idée de ce que sera le 14e Festival du film amazigh d’Algérie. Hocine Tamou
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Culture : ACTUCULT
PALAIS DE LA CULTURE MALEK HADDAD, CONSTANTINE
- Mercredi 4 septembre à 15h : Concert des groupes Démocratoz et Clé 13. Prix du billet : 500 DA. Les fonds récoltés iront à l’association Dounia pour subvenir aux besoins d’enfants malades.
- SALLE IBN-KHALDOUN, ALGER
- Jeudi 5 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec Mohamed Lamine.
- Vendredi 13 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec Massa Bouchafa.
- Jeudi 19 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec le groupe Caméléon.
- Vendredi 20 septembre à 21h30 : Soirée musicale avec Naïma Ababsa.
- INSTITUT CULTUREL ITALIEN, ALGER
- Samedi 7 septembre, à partir de 10h : Journée portes ouvertes aux personnes souhaitant apprendre la langue italienne. Adresse : 4 bis, rue Yahia-Mizouni, El-Biar.
- COMPLEXE CULTUREL ABDELOUAHEB- SELIM, TIPASA
- Jusqu’au 14 septembre : Exposition de l’artiste peintre Samira Bouaziz.
- SALLE EL-MOUGGAR, ALGER
- Jusqu’au 14 septembre : Projection du film Camping à la fermede Jean-Pierre Sinapi (14h-16h-18h et 20h, sauf lundi 9 septembre).
- Du 16 au 30 septembre : Projection du film L’archipel des sablesde Ghaouti Bendeddouche (14h-16h-18h et 20h, sauf dimanche 22 septembre).
- PALAIS DE LA CULTURE, TLEMCEN
- Jusqu’au 15 septembre : Festival culturel local «Lire en fête»
- MAISON DE LA CULTURE, BIBLIOTHÈQUES ET LIBRAIRIES, MOSTAGANEM
- Jusqu’au 15 septembre : Festival culture local «Lire en fête».
- MAISON DE LA CULTURE MOULOUD-MAMMERI, THÉÂTRE RÉGIONAL KATEB-YACINE, TIZIOUZOU, ET DANS DIFFÉRENTES LOCALITÉS DE LA WILAYA
- Jusqu’au 13 septembre : Festival culturel local «Lire en fête».
- CENTRE CULTUREL MUSTAPHAKATEB (5, RUE DIDOUCHE- MOURAD, ALGER)
- Jusqu’au 10 septembre 2013 : Exposition des artistes peintres Eusebe Kenani (Burundi) et Asma Hamza.
- LE MUSÉE DANS LA RUE À LA GRANDE-POSTE, ALGER
- Jusqu’au 5 septembre : La grande manifestation «Le musée dans la rue» se tient à la place de la Grande-Poste. Les musées exposent leurs travaux, leur histoire et leurs activités. Des animations diverses pour enfants sont programmées : conte, initiation à la préhistoire, calligraphie, mosaïque...
- TIZI-OUZOU
- Tournée du cirque Amar, jusqu’au 14 septembre
- LIBRAIRIE LA RENAISSANCE (NIVEAU 112, RIADH-EL-FETH, EL-MADANIA, ALGER)
- En collaboration avec l’Office Riadh- El-Feth, la librairie La Renaissance organise une foire du livre durant les vacances d’été du 20/06/2013 au 21/09/2013, tous les jours de 9h à 20h au niveau 104. Cette foire vise un large public et sera enrichie par les livres pour enfants (contes, livres d’activités et d’apprentissage, livres parascolaires du niveau primaire au secondaire), de littérature, de médecine, de culture générale, des dictionnaires...
- INSTITUT FRANÇAIS D’ALGER (ALGER-CENTRE)
- L'Institut français d'Alger organise un atelier de danse hip-hop du 15
- au 19 septembre. L'atelier sera animé par le chorégraphe Brahim Bouchelaghem. Vous êtes danseurs amateurs ou professionnels, âgés de 18 à 30 ans ? Vous résidez à Alger ? Inscrivez-vous à l'adresse suivante : atelierdansehiphop2013.alger@ifalgerie. com. Avec nom, prénom, année de naissance, commune de résidence, tél portable et profession.
- INSTITUT CULTUREL ITALIEN D’ALGER
- Inscriptions aux cours de langue italienne. En prévision de la reprise des cours, prévue le samedi 5 octobre 2013, les inscriptions sont ouvertes du 7 au 30 septembre 2013, de dimanche à jeudi (9h — 16h). Adresse : Institut culturel italien, 4 bis, rue Yahia-Mazouni, El-Biar, Alger. Tél/fax : 21.92.51.91/021.92.38.73. Courrier : amministrazione.iicalgeri@ esteri.it / www.iicalgeri.esteri.it
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