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Un demi-siècle de résistance Le parti revendique l’instauration d’un Etat démocratique garantissant la pluralité et le respect des droits de l’homme....
Les dates et heures des matchs aller fixées Les dates et heures des matchs aller du tour de barrages de qualification pour la Coupe du Monde 2014 sont définitivement fixées.
la fin du calvaire pour la Tunisie ? Ennahdha a fini par accepter l’application de la feuille de route du quartette parrainant le dialogue, ouvrant ainsi la voie à la...
la tension monte au Soudan La contestation populaire, qui en est à son sixième jour, prend de l’ampleur au Soudan où des centaines de manifestants sont...
Les dates et heures des matchs aller du tour de barrages de qualification pour la Coupe du Monde 2014 sont définitivement fixées.
La Confédération africaine de football (CAF) a publié hier, sur son site internet, les détails relatifs à la tenue de ces cinq matchs. Ainsi, c’est la rencontre Burkina Faso – Algérie, qui se jouera à Ouagadougou, qui donnera le coup de starter de cet ultime tour éliminatoire, puisque la rencontre est prévue pour le 12 octobre à 16h GMT (17h heure algérienne). Le même jour se jouera, une heure plus tard (17h GMT, 18h heure algérienne), à Abidjan, l’empoignade Côte d’Ivoire – Sénégal.
Deux autres rencontres sont prévues le lendemain dimanche. Ethiopie - Nigeria se jouera à Addis Abeba à 13h GMT (14h heure algérienne) et Tunisie - Cameroun est programmé à Tunis à 17h GMT (18h heure algérienne). La dernière rencontre de cette phase aller, mettant aux prises, à Kumasi, le Ghana à l’Egypte, est prévue le mardi 15 octobre à 16h GMT (17h heure algérienne). A noter que les matchs retour se joueront, quant à eux, entre le 15 et le 19 novembre prochain.
Ali Laârayedh et son gouvernement appelés à quitter...
Ennahdha a fini par accepter l’application de la feuille de route du quartette parrainant le dialogue, ouvrant ainsi la voie à la démission du gouvernement Laârayedh l Est-ce pour autant la fin du calvaire ?
Les organisations parrainant le dialogue national ont annoncé, dans un communiqué publié hier, qu’Ennahdha a exprimé «sa disposition à mettre en œuvre le contenu de la feuille de route du quartette». L’UGTT, l’Utica, la LTDH et l’Ordre des avocats ont exprimé leur satisfaction des résultats des négociations et appelé les partis politiques à entamer les concertations pour fixer la date de démarrage du dialogue national.
PREMIÈRE SORTIE PUBLIQUE DE ALI BENFLIS DEPUIS DIX ANS «J’interviendrai bientôt»
Ali Benflis a marqué son retour, hier, en rendant hommage à l’ancien ministre et bâtonnier Ammar Bentoumi. Le discours prononcé par l’ex-ministre de la Justice et ancien secrétaire général du Front de libération nationale était axé essentiellement sur
Ali Benflis a marqué son retour, hier, en rendant hommage à l’ancien ministre et bâtonnier Ammar Bentoumi. Le discours prononcé par l’ex-ministre de la Justice et ancien secrétaire général du Front de libération nationale était axé essentiellement sur le respect du droit. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) Première sortie publique de Ali Benflis après dix années de repli. L’ancien secrétaire général du Front de libération nationale et candidat à l’élection présidentielle de 2004 a choisi la voie du droit pour marquer son retour. Benflis a participé, hier, aux Journées commémoratives en hommage au bâtonnier Ammar Bentoumi qui ont débuté à l’hôtel Hilton. Mais, pour lui, pas question de transformer cette commémoration en tribune politique. «Je suis ici pour rendre hommage à un grand homme. Par respect pour Ammar Bentoumi, pour sa famille et pour les organisateurs, je ne veux pas exploiter cet événement pour des objectifs politiques personnels», lancera-t-il aux journalistes venus couvrir cette première sortie. Face à l’insistance de l’un d’entre eux, il lâchera avec un sourire : «Je suis un acteur politique. J’interviendrai bientôt. Très bientôt.» A la tribune, le message essentiel transmis par Ali Benflis dans son intervention tenait en deux mots : respect et dignité. Respect d’abord pour son aîné Ammar Bentoumi qu’il a côtoyé dès ses premières années dans le corps de la magistrature. «Nous sommes en cette année 1972, jeune procureur général à Constantine, je fus étreint d’une intense émotion quand le grand militant, le brillant avocat, le respecté ministre et le valeureux bâtonnier se présenta devant moi à l’occasion d’une visite de courtoisie qu’il me rendit pour les besoins d’une affaire qu’il devait plaider à la cour de Constantine, comme le veut la tradition bien établie. J’étais conscient de vivre un moment particulier puisque, devant moi, se dressait, majestueux de dignité et auréolé des lettres de noblesse du militantisme, un acteur-clé de la justice algérienne, une véritable vigie des libertés», dira Ali Benflis. Respect et dignité envers les hommes de loi, avocats et magistrats. «Nous t’avons perdu par la présence physique mais ton souvenir vivra dans chacun d’entre nous, chaque fois que la voix d’un avocat retentira dans la salle d’audience pour défendre la primauté du droit. Tu vivras également chaque fois qu’un magistrat fera honneur à la noblesse de sa profession, défendra ses valeurs, sa dignité et son indépendance en s’opposant à toute forme d’ingérence, de trafic d’influence et de déviation. Tu vivras chaque fois qu’un magistrat dans l’Algérie des villes et dans l’Algérie profonde prononcera un jugement pour dire le droit et rendre la justice au nom du peuple algérien et en ayant recours à cette formule exécutoire dont tu as été à l’origine aux balbutiements de l’ère de l’indépendance.» Ali Benflis a refusé que cette première sortie publique ait une consonance politique. Pourtant, évoquer un homme de droit de l’envergure de Ammar Bentoumi dans le contexte de crise que traverse l’Algérie devient nécessairement un acte politique. «A l’instar de nos autres aînés qui nous ont montré la voie du dévouement au service de notre pays, tu t’es, tout au long de ta vie, échiné à rechercher les solutions et à proposer les portes de sortie chaque fois que l’Algérie s’est retrouvée à la croisée des chemins et qu’elle s’est interrogée sur son avenir et sur son devenir. Aujourd’hui plus que jamais, ton exemple nous inspire et plus qu’à tout autre moment, je ressens en cette étape particulière de la vie de la nation, le poids de la responsabilité que ton souvenir m’impose.» Dans quelque temps, Ali Benflis pourra rendre un nouvel hommage à Ammar Bentoumi. Car, grâce à lui, il est de nouveau dans l’arène politique. T. H.
Ali Benflis a marqué son retour, hier, en rendant hommage à l’ancien ministre et bâtonnier Ammar Bentoumi. Le discours prononcé par l’ex-ministre de la Justice et ancien secrétaire général du Front de libération nationale était axé essentiellement sur le respect du droit. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) Première sortie publique de Ali Benflis après dix années de repli. L’ancien secrétaire général du Front de libération nationale et candidat à l’élection présidentielle de 2004 a choisi la voie du droit pour marquer son retour. Benflis a participé, hier, aux Journées commémoratives en hommage au bâtonnier Ammar Bentoumi qui ont débuté à l’hôtel Hilton. Mais, pour lui, pas question de transformer cette commémoration en tribune politique. «Je suis ici pour rendre hommage à un grand homme. Par respect pour Ammar Bentoumi, pour sa famille et pour les organisateurs, je ne veux pas exploiter cet événement pour des objectifs politiques personnels», lancera-t-il aux journalistes venus couvrir cette première sortie. Face à l’insistance de l’un d’entre eux, il lâchera avec un sourire : «Je suis un acteur politique. J’interviendrai bientôt. Très bientôt.» A la tribune, le message essentiel transmis par Ali Benflis dans son intervention tenait en deux mots : respect et dignité. Respect d’abord pour son aîné Ammar Bentoumi qu’il a côtoyé dès ses premières années dans le corps de la magistrature. «Nous sommes en cette année 1972, jeune procureur général à Constantine, je fus étreint d’une intense émotion quand le grand militant, le brillant avocat, le respecté ministre et le valeureux bâtonnier se présenta devant moi à l’occasion d’une visite de courtoisie qu’il me rendit pour les besoins d’une affaire qu’il devait plaider à la cour de Constantine, comme le veut la tradition bien établie. J’étais conscient de vivre un moment particulier puisque, devant moi, se dressait, majestueux de dignité et auréolé des lettres de noblesse du militantisme, un acteur-clé de la justice algérienne, une véritable vigie des libertés», dira Ali Benflis. Respect et dignité envers les hommes de loi, avocats et magistrats. «Nous t’avons perdu par la présence physique mais ton souvenir vivra dans chacun d’entre nous, chaque fois que la voix d’un avocat retentira dans la salle d’audience pour défendre la primauté du droit. Tu vivras également chaque fois qu’un magistrat fera honneur à la noblesse de sa profession, défendra ses valeurs, sa dignité et son indépendance en s’opposant à toute forme d’ingérence, de trafic d’influence et de déviation. Tu vivras chaque fois qu’un magistrat dans l’Algérie des villes et dans l’Algérie profonde prononcera un jugement pour dire le droit et rendre la justice au nom du peuple algérien et en ayant recours à cette formule exécutoire dont tu as été à l’origine aux balbutiements de l’ère de l’indépendance.» Ali Benflis a refusé que cette première sortie publique ait une consonance politique. Pourtant, évoquer un homme de droit de l’envergure de Ammar Bentoumi dans le contexte de crise que traverse l’Algérie devient nécessairement un acte politique. «A l’instar de nos autres aînés qui nous ont montré la voie du dévouement au service de notre pays, tu t’es, tout au long de ta vie, échiné à rechercher les solutions et à proposer les portes de sortie chaque fois que l’Algérie s’est retrouvée à la croisée des chemins et qu’elle s’est interrogée sur son avenir et sur son devenir. Aujourd’hui plus que jamais, ton exemple nous inspire et plus qu’à tout autre moment, je ressens en cette étape particulière de la vie de la nation, le poids de la responsabilité que ton souvenir m’impose.» Dans quelque temps, Ali Benflis pourra rendre un nouvel hommage à Ammar Bentoumi. Car, grâce à lui, il est de nouveau dans l’arène politique. T. H.
L'USM Bel-Abbès a pris la tête du championnat d'Algérie de Ligue 2 professionnelle de football grâce à sa victoire en déplacement contre l'ES Mostaganem (1-0), profitant au passage du nul concédé à domicile par l'ex-leader, le WA Tlemcen face au NA Hussein-dey (1-1), lors de la sixième journée disputée vendredi. Un but signé par le remplaçant Walid Belguerfi dans le temps additionnel a permis à l'USM Bel-Abbès de signer sa quatrième victoire de la saison. Les partenaires de Hocine Achiou devancent d'un point le WA Tlemcen qui a été accroché sur sa pelouse par une coriace équipe du NAHD (1-1). Menés au score sur une réalisation de Zerguine (27'), les Zianides ont attendu le dernier quart d'heure de la partie pour égaliser par Layati. La prochaine confrontation entre le leader et son poursuivant direct promet beaucoup et s'annonce indécise. L'autre grand bénéficiaire de cette journée est l'ASM Oran, qui a enchaîné une nouvelle victoire hors de ses bases contre le promu l'USMM Hadjout (1-0).Les Oranais ont inscrit le but de la victoire dans le temps additionnel grâce à Mellal. A la faveur de ce succès, l'ASM Oran se hisse à la troisième place à deux longueurs du premier. A l'opposé, le CA Batna qui restait sur une série de trois victoires de suite est tombé face à l'A Bou-Saâda (2-1). Les hommes de Ali Fergani ont été surpris par une équipe locale bien décidée à renouer avec le succès. Une victoire qui propulse l'A Bou-Saâda à la quatrième place en compagnie de son adversaire du jour ainsi que le NAHD et l'USM Blida qui est revenue avec le point du match nul de son déplacement à Annaba (0-0). Dans le bas du classement, le promu l'US Chaouia a réalisé une bonne opération en dominant l'O Médéa (2-0) quittant ainsi la zone rouge. En revanche, les semaines se suivent et se ressemblent pour l'ES Mostaganem et l'USMM Hadjout battus à domicile, et l'AB Merouana, pourtant auteur d'un nul à l'extérieur face à l'AS Khroub (1-1).
Résultats
MSP Batna-MC Saïda 0-0 AS Khroub-AB Merouana 1-1 USM Annaba-USM Blida 0-0 US Chaouia-O Médéa 2-0 USMM Hadjout-ASM Oran 0-1 A Bou-Saâda-CA Batna 2-1 ES Mostaganem-USM Bel-Abbès 0-1 WA Tlemcen-NA Husseïn-Dey 1-1
Prochaine journée (7e) Vendredi 4 octobre
CA Batna-MSP Batna ASM Oran-AS Khroub O Médéa-USMM Hadjout AB Merouana-USM Annaba NA Hussein Dey-A Bou-Saâda MC Saïda-US Chaouia USM Blida-ES Mostaganem USM Bel Abbès-WA Tlemcen.
Au soir de cette troisième étape comptant pour le championnat national de première division messieurs disputée avant-hier, il faut mettre en exergue les sorties hors de leurs bases de neuf formations qui sont revenues chez elles en vainqueurs sans oublier celles qui ont réussi le nul ou perdre avec un score très étriqué. Seules deux équipes ont bien profité de l’avantage du terrain pour s’imposer aisément. Comme escompté, le match abrité par la salle d’El-Biar, dans le groupe A entre les locaux et les Pétroliers a été intéressant à suivre. Pour ce duel des co-leaders, l’expérience a été déterminante dans l’issue des débats surtout en deuxième période de jeu où le Groupement, sous la férule du duo Zeguilli-Hasni, a pris les rênes de la partie pour terminer en roue libre malgré les tentatives des protégés du duo Rouabhi-Kherfallah. Ces derniers sont rejoints à la deuxième place par les Rouibéens qui ont corrigé les Sudistes de Ouargla qui sont loin du niveau de ce palier. Ce qu’il faut retenir aussi dans cette poule est le premier succès des Blidéens à Béjaïa aux dépens des locaux encore fébriles. Dans la poule B, les gars de Baraki et de M’sila, à la faveur de leurs victoires en déplacement, respectivement à Barika et Touggourt occupent conjointement le fauteuil de leader. Derrière eux, pointe Chelghoum Laïd vainqueur du Sept mouloudéen d’Oran. Au troisième groupe, c’est le trio composé de Mila, Tadjenanet et Maghnia qui mène le peloton après avoir battu respectivement Aïn Touta, Bab El-Oued et Souk Ahras. Mettons en exergue le démarrage catastrophique de Bab El-Oued comme en témoignent ses trois défaites pour autant de matchs. Aussi, le clignotant est au rouge chez les protégés de Hamidou.Quant au quatrième groupe, l’ensemble de Bordj Bou-Arréridj écrase tout sur son passage avec son troisième succès obtenu difficilement face à l’équipe du Widad de Ouargla qui représente mieux sa ville. En dauphin, il y a le sept d’Alger-Centre qui revient doucement après son retour victorieux d’El Arrouch. El Oued et Skikda sont en position d’attente. H. C.
Groupe A HBC El-Biar-GS Pétroliers 24-33 HC Béjaïa-MJD Blida 16-23 ES Arzew-JS Kabylie 23-19 WO Rouiba-IRC Ouargla 31-23
Groupe B AB Barika-CRB Baraki 18-25 C Chelghoum Laïd-MC Oran 22-18 NRB Touggourt-O M'sila 16-25 exempt : GS Boufarik.
Groupe C CRB Mila-ES Aïn Touta 21-20 TRB Bab El-Oued-MB Tadjenanet 19-31 HC Souk Ahras-O Maghnia 20-27 exempt : MC Saïda.
Groupe D CRB Bou-Arréridj-WAB Ouargla 31-29 TR Sétif-O. El-Oued 25-33 R El-Arrouch-CRBEE Alger-Centre 28-29 exempt : JSE Skikda.
Le ministre des Sports l’a promis : «Toute la lumière sera faite sur l’affaire du stade du 5-Juillet !» Quoi ? Parce qu’en plus, il y a un problème …
… d’éclairage ?
N’en pouvant plus de guetter la tenue, l’annulation ou le report du Conseil des ministres, j’ai décidé de faire œuvre de patriotisme. Oui, contre vents et marées, Z’kara f’les milieux ricanants, pour le bien, la stabilité et la fierté de mon pays, je me suis convaincu, tout seul, comme un grand, donc je me suis «auto-convaincu-moi-même-entre-moi-les yeux dans mes yeux» que le Conseil des ministres s’est en fait tenu, a eu lieu, et j’ai poussé l’autosuggestion jusqu’à imaginer la sortie de ce Conseil. On est patriote ou on ne l’est pas, que diable ! - Tu sors d’où ? - Du Conseil des ministres ! - Et pourquoi t’as les yeux rouges, tu fronces les sourcils et tu louches, presque ? - J’ai passé toute la durée du Conseil à lire sur ses lèvres et à essayer de déchiffrer leur arrondi ! - C’est vrai que c’est épuisant pour les rétines. Et pourquoi tu te grattes les oreilles ? - Parce que je n’ai pas arrêté de les tendre au maximum pour essayer de saisir quelques bribes. Résultat : elles sont totalement irritées à force d’avoir été autant sollicitées. - Et pourquoi tu ne cesses de bouger tes deux bras, surtout le gauche ? - Je veux tester leur mobilité ! - Pourquoi ? T’as un problème de rigidité aux bras ? - Non, pas du tout. Mais ça me rassure tout de même de vérifier qu’ils bougent encore, mes deux bras. - Et pourquoi tu portes un pyjama ramassé en boule sous ton bras ? - ça, c’est une erreur de casting ! Je pensais bien faire en allant à ce Conseil en pyjama, rester dans le ton, dans le Mouv’, ne pas dénoter. Je me suis complètement planté. Remarque, je n’étais pas le seul à m’être présenté à l’entrée du Conseil en pyjama ! - Quoi ? Un Conseil en pyjama ? - Y en a même eu un qui a poussé le zèle jusqu’à se pointer en pyjama Lacoste. Celui-là, je ne sais pas s’il sera encore parmi nous lors du prochain Conseil. - Et pourquoi tu fouilles nerveusement dans ton cartable, comme si le reste de ta vie en dépendait ? - Après ce que j’ai vu à l’intérieur, il me faut vite mettre la main sur ma provision de thé, et en fumer une double dose pour espérer rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.