291-/-ACTUALITÉS Du Dimanche 18 Octobre 2015
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Dimanche 18 Octobre 2015+
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175 DINARS POUR UN EURO La monnaie unique européenne, l’euro, s’envole. Hier, un euro s’échangeait à 175 dinars sur le marché parallèle. Quelles sont les raisons de l’envolée de la devise européenne face à la dépréciation de la monnaie nationale ? Suite... |
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L'info en continu
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Le cours de la devise européenne pourrait atteindre les 200 DA sur le marché informel
La peur fait flamber l’euro !
le 18.10.15 | 10h00
Le prix de la devise sur le marché parallèle flambe. L’euro passe le cap des 170 DA ; il était coté mercredi 172 DA à la vente par les cambistes du square Port Saïd, à 178 DA hier et pourrait même atteindre les 200 DA dans les prochaines semaines.
Une flambée que les cambistes expliquent par une demande de plus en plus soutenue sur l’euro et le dollar, face à une offre de plus en plus limitée. Le fait est qu’aujourd’hui celui qui détient de la devise ne la vend pas ou peu.
Mais qu’est-ce qui pousse les Algériens à acheter de la devise au marché noir ? Au-delà de l’évidence concernant la dépréciation du cours officiel du dinar, c’est le facteur psychologique qui pousse nos compatriotes à acheter en masse des euros et des dollars, devenus depuis quelques semaines des valeurs refuge.
Pour les détenteurs de cash, le marché immobilier n’a donc plus les mêmes attraits.
En cause, le contexte de crise latente qui alimente l’inquiétude des populations. Ainsi, la démarche des pouvoirs publics – consistant à imposer le chèque pour toute transaction immobilière dépassant les 5 millions de dinars et le processus de mise en conformité volontaire pour capter les fonds circulant dans l’informel – a au final engendré l’effet inverse.
Il aura suffi de la rumeur de l’édition d’un nouveau dinar pour que les détenteurs de la chkara se ruent en masse sur les cambistes du marché noir. Il faut cependant admettre que l’élément qui déclenche la panique auprès des acheteurs potentiels est l’inquiétude que suscite le contexte de crise qui prévaut dans le pays. Au-delà des difficultés économiques auxquelles l’Algérie devra face durant les prochains mois, c’est le contexte politique qui «tétanise» plus d’un.
C’est dans ce sens justement que l’économiste et expert M’hamed Hamidouche nous explique que pour les Algériens qui ont accès aux devises, «il n’est plus intéressant de détenir des dinars, au-delà de ce dont ils ont besoin pour couvrir les nécessités quotidiennes». L’économiste évoque en premier lieu la défiance de nos compatriotes envers le dinar, devenu au fil des années une «monnaie de singe».
C’est ainsi que M. Hamidouche explique que «par l’effet combiné de l’inflation réelle et de la dépréciation du cours du dinar qui a perdu, en une année, un quart de sa valeur face au dollar, il devient contreproductif de détenir des dinars qui perdront encore de la valeur dans quelques mois».
A ce facteur, M. Hamidouche ajoute le sentiment de crise générale latente qui prévaut chez nos concitoyens et qui «pousse certains à thésauriser en devises pour avoir de l’argent sous la main» au cas où.
L’économiste reconnaît également l’impact des transferts de devises effectués par les Algériens pour l’acquisition de biens à l’étranger, même s’il estime que le marché a absorbé ce facteur et que pour l’heure les seuls à alimenter ce flux spécifiques sont des Algériens disposant d’assez de moyens pour acquérir des biens sur des marchés immobiliers dépressifs, dans un objectif de spéculation.
Le poids des importateurs
Bien que le facteur psychologique soit déterminant dans le comportement des acheteurs et des vendeurs, certains éléments sous-jacents expliquent aussi en partie la flambée sur le marché des devises.
C’est à ce titre que M. Hamidouche évoque deux éléments. Il s’agit, en premier lieu, de celui relatif aux «écarts constatés entre la ligne de cotation des billets et chèques de voyage publiée par la Banque d’Algérie et les taux de change au niveau banques commerciales», qui s’expliquerait par les marges prélevées sur les transactions de change.
Mais l’élément prédominant reste le comportement des importateurs et des trabendistes qui alimente la demande ces derniers jours. C’est ainsi que l’économiste explique que «certains importateurs qui activent depuis la plateforme de Dubaï recourent massivement, ces derniers jours, au marché parallèle des devises pour alimenter leurs comptes aux Emirats».
En cause, «les transactions commerciales avec la Chine devraient s’arrêter pour une trêve annuelle en décembre et janvier induite par les inventaires que les opérateurs chinois doivent opérer à cette période de l’année. D’où la densification des transactions commerciales avec la Chine en octobre et novembre, expliquant ainsi l’augmentation de la demande en devises».
Dans ce sens l’économiste explique que bien que la Chine soit en zone dollar, la situation pousse ces importateurs à l’achat d’euros «car permettant de plus grosses coupures avec des billets à 500 euros, plus faciles à faire transiter par-delà les frontières».
Il va sans dire que les dernières mesures prises par les autorités consistant à limiter les importations en réduisant les engagements extérieurs des banques, en imposant les licences d’importation et en renforçant les contrôles afin de limiter la surfacturation poussent les détenteurs de fonds à se réorienter vers les circuits informels pour transférer du liquide.
Autrement dit, les mesures devant limiter la saignée ne font au final que l’alimenter. Autant de facteurs qui consolident l’idée que le meilleur contrôle des changes est la confiance que les citoyens, les opérateurs et les investisseurs ont dans l’environnement d’un pays. Melissa Roumadi
Roumadi Melissa
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4 morts dans une explosion à l'unité de fabrication de cordeaux détonants à Ain Defla
le 18.10.15 | 17h28
Quatre (4) personnes ont été tuées dimanche à Ain Defla dans une explosion accidentelle survenue dans une unité de fabrication de cordeaux détonants, relevant de l'Office national des explosifs, a confirmé le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
"Dans l'après-midi d'aujourd'hui 18 octobre 2015 à 14h00, une explosion s'est produite au niveau de l'unité de fabrication de cordeaux détonants à Ain Defla, relevant de l’Office National des Explosifs/MDN", a précisé la même source.
"On déplore quatre (04) morts parmi les personnels assimilés, suite à cet accident qui s'est produit au niveau de l'atelier de fabrication de cordeaux destinés essentiellement aux entreprises activant dans les secteurs des mines, des carrières et des travaux publics", a ajouté le communiqué.
"Suite à cette explosion accidentelle survenue au niveau de la machine de confection de cordeaux, une enquête a été ouverte pour en déterminer les causes et les circonstances", conclut le MDN.
APS
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Verrouillage du champ politique, atteintes à la liberté d’expression et menaces
La tentation autoritaire se précise
le 18.10.15 | 10h00
La nature de l’Etat civil miroité par les tenants du pouvoir prend l’allure d’un nouvel autoritarisme.
Dans les faits et dans les discours, les représentants du régime commettent des actes prouvant qu’ils n’ont aucune intention d’instaurer la démocratie en Algérie.
De l’interdiction des marches à la fermeture des espaces publics devant l’opposition et les acteurs de la société civile authentique, ils passent désormais à la menace.
Autant de dérives autoritaires qui n’augurent pas de lendemains meilleurs pour tous les Algériens sommés par le chef de cabinet de la présidence de la République et secrétaire général du RND de «se taire et de cesser toute critique du pouvoir». En contradiction avec les dispositions de la Constitution garantissant la liberté d’expression et d’opinion, Ahmed Ouyahia veut réinstaurer la censure de la parole.
Une censure déjà mise en application à travers la fermeture ou l’exercice de pressions sur des titres de presse. En effet, après l’interdiction d’accès des acteurs de l’opposition aux médias lourds publics, le pouvoir affiche une volonté d’étouffer leur parole même dans les médias privés qui acceptent de leur ouvrir leurs colonnes et leurs portes.
Quatre ans après les émeutes du mois de janvier 2011, intervenant dans la foulée de révoltes en Tunisie et en Egypte contre les dictatures en place, le pouvoir algérien semble vouloir reprendre sa nature. A l’époque, le président Bouteflika, de crainte de voir le Printemps arabe se propager en Algérie, avait prononcé un discours dans lequel il avait plaidé pour «plus d’ouverture».
Dans son fameux discours du 15 avril 2011, le chef de l’Etat avait décidé d’appliquer les dispositions constitutionnelles en demandant l’ouverture des médias et des salles publics à tous les acteurs politiques. Même les marches devaient être autorisées en dehors de la capitale, Alger. Mais la parenthèse a été vite fermée.
Agacés par la multiplication des voix discordantes en cette période de crise économique, qui va en s’aggravant, les représentants du pouvoir dévoilent leur vraie nature. Ils déploient toutes leurs forces pour tenter de réinstaurer le système de la pensée unique, où la contradiction et la critique n’ont pas droit de cité.
Rétrécissement des espaces de liberté
Parmi ces actes liberticides, il y a eu d’abord cette interdiction de création de partis politiques pour certaines figures connues sur la scène nationale. Après avoir servi toute sa clientèle, le pouvoir déclare close la saison des agréments des nouvelles formations politiques. Surtout si les chefs de file sont classés dans la case des personnes «subversives».
Depuis le début de l’année 2014, les acteurs de l’opposition buttent sur un véritable verrouillage du champ politique.
Après avoir expérimenté la fermeture des salles publiques devant les partis qui ne prêtent pas allégeance au clan présidentiel, à Alger, le pouvoir tente désormais de l’élargir à d’autres wilayas.
Et curieusement, c’est la Kabylie qui a été choisie pour mettre en œuvre cette nouvelle expérience tendant à bâillonner toutes les voix critiques.
Par une instruction, le nouveau wali de Béjaïa montre déjà ses muscles en décidant de fermer toutes les Maisons de la culture de la wilaya, seuls endroits qui accueillaient habituellement des activités politiques, devant les partis. Une grave décision qui a des similitudes avec celle de la wilaya d’Alger qui a invoqué, à maintes reprises, des subterfuges pour empêcher toute expression de l’opposition. La décision du wali de Béjaïa est déjà entrée en application.
Et le premier à en faire les frais est le Parti socialiste des travailleurs (PST), qui a dénoncé l’interdiction de sa conférence devant avoir lieu au centre culturel d’Aokas.
«Nous tenons à dénoncer vigoureusement ces restrictions antidémocratiques qui visent à évincer les larges masses populaires de tout débat constructif permettant une prise de conscience sur la gravité de la situation socioéconomique et politique du pays. Alors que, paradoxalement, des cérémonies de mariage se tiennent régulièrement dans ce lieu, présenté comme un lieu de culture et de savoir», affirme le PST dans ce communiqué. Il semblerait ainsi que les tenants du pouvoir veulent gérer la prochaine étape à huis clos…
Madjid Makedhi
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8e journée du championnat national de Ligue 1
CRB 1– USMA 2 : Soustara en seconde période
le 18.10.15 | 10h00
L’USM Alger a enchaîné, hier, une sixième victoire de suite en championnat, en s’imposant dans le derby algérois qui l’a mise aux prises avec le CR Belouizdad dans le temple olympique du 5 Juillet.
Pourtant les choses avaient très mal commencé pour les Rouge et Noir, qui ont encaissé un but à la 18’ sur un penalty plus que litigieux, suite à une faute imaginaire sifflée par l’arbitre en faveur de Derrag. L’ex-Usmiste Feham Bouazza donne ainsi l’avantage aux siens sur une jolie «panenka», ouvrant ainsi les festivités d’un derby morose, notamment dans sa première période.
Gagnés par l’énervement après ce penalty imaginaire, les coéquipiers de Seguer éprouvent des difficultés à se concentrer sur le jeu, facilitant ainsi la tâche à la défense du Chabab qui ne trouve aucune difficulté à contenir les timides et rares assauts de l’adversaire.
Les Belouizdadis, qui opèrent par des contre-attaques, ratent des occasions de corser la marque, à l’image de ce ratage de Derrag à la 44’, bien servi au point de penalty, mais qui, de la tête, passe à côté du cadre alors que la cage était vide.
Ce qui coûte cher au CRB, puisque sur l’action suivante, l’USMA réussit à niveler la marque sur une belle tête de Seguer, suite à un service judicieux de Benmoussa. La seconde période est totalement différente de la première. Plus animée, elle est à l’avantage de l’USMA. Plus volontaires et déterminés, mais surtout avec une meilleur maîtrise du jeu, les Usmistes entament ce second half en fanfare, réussissant même à alourdir le score après seulement deux minutes de jeu grâce à Nadji.
Euphorique, l’USMA déroule et étouffe le Chabab en enchaînant les occasions sans pour autant parvenir à corser la marque. L’entrée en jeu de Aoudou et surtout de Nekkache réanimera l’attaque du CRB, qui prend d’assaut la cage de Zemmamouche sans pour autant trouver la faille, concédant ainsi une défaite logique à une équipe de l’USMA à deux visages, qui conforte sa position de leader avec désormais trois points d’avance sur son dauphin, avec en prime un match en moins.
Stade du 5 Juillet (Alger)
-Arbitres : Zouaoui, Hida et Aouina
-Buts : Bouazza (18 sp) CRB. Benmoussa (45’) et Nadji (48’) USMA
-Averts : Derrab et Cheurfaoui (CRB). Zemmamouche et Seguer (USMA) CRB : Boukacem, Khellili, Cheurfaoui, Nemdil, Draoui, Ngomo, Niati, Bouazza (Rebbih 83’), Bougueroua, Derrag (Nekkache 64’), Yahia-Cherif (Aoudou 64’).
-Entr. : Michel
USMA : Zemmamouche, Meftah, Abdelaoui, Chafaï, Mazari, Benkhemassa, Koudri, Farhat, Seguer, Benmoussa (El Orfi 81’), Nadji (Apudia 81’)
-Entr. : Hamdi
Tarek Aït Sellamet
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Film revenant sur La Nuit du 17 Octobre 1961... par Alliance-ANR-UDR-MDS+
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