313-/- ACTUALITES Du Mardi 7 Novembre 2017
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Mardi 7 Novembre 2017
الثلاثاء 07 نوفمبر 2017م
الثلاثاء 18 صفر 1439 ه
Algérie - Prévisions météo du Mardi 7 Novembre 2017
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م الجزائر - توقعات حالة الطقس : الثلاثاء 7 نوفمبر 2017 ++++
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Mardi 31/10/ 2017
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ACTUALITÉ
L’armée élimine deux terroristes à Djebahia (Bouira)
Programme AADL 2: lancement des travaux de réalisation de 12.400 unités dans la capitale
Un terroriste arrêté à Alger
Le secteur devient l’une des priorités du gouvernement, selon Necib : Dégel des projets des ressources en eau
Le bilan concerne uniquement l’agence de la Cnas d’Alger : Les accidents du travail ont coûté 4 milliards de dinars en 2016
Blocage du projet de Cevital : Une délégation au palais du gouvernement aujourd’hui
Le débat a été introduit par le secrétaire général du FLN : Le cinquième mandat, mirage ou réalité ?
Point de vue : L’Algérie sera devant un choix existentiel essentiel
Fatiha Benabbou. Professeur de droit public : «L’Etat en tant que pouvoir institutionnalisé n’existe pas»
Le président de l’organisation des zaouias décrète
SPORTS

Equipe Nationale : Six joueurs rejoindront Sidi Moussa aujourd’hui
Les Centrafricains depuis hier à Sétif
ESS - JSK : L’attaque, un souci pour Madoui
CRB - MCO : Match à huis clos
MOB - JSMB : Un derby palpitant !
JS Kabylie : Aït Djoudi devrait diriger l’équipe
ECONOMIE

Contrats gaziers à long terme : Quelle marge de manœuvre pour Sonatrach ?
Hydrocarbures : L’Algérie confrontée à l’épuisement des réserves
Hassi R’Mel : Sonatrach investira 2 milliards de dollars
Bourse d’Alger : Les raisons de l’échec
Noureddine Ismaïl . Ancien président de la COSOB : «La privatisation des EPE par manifestation d’intérêts a privé la Bourse d’une grande opportunité»
Financement non conventionnel : «Ce sont les oligarques, les banques et les grandes entreprises qui vont en profiter»
INTERNATIONAL

Tournee du president americain Donald Trump en Asie : Les essais nucléaires nord-coréens au menu
Rivalite irano-saoudienne au Proche-Orient : Tension entre Téhéran et Ryadh sur le conflit yéménite
Crise des Rohingyas : Les Nations unies abandonnent un projet de résolution pour une simple déclaration
Purge sans précédent en Arabie saoudite: princes, ministres, ex-ministres arrêtés
Catalogne : Un mandat d’arrêt européen et international lancé contre Carles Puigdemont
Le pemier ministre libanais Saad Hariri annonce sa demission : Le pays du Cèdre face à une crise politique
CULTURE

Conférence de presse du commissaire du Salon International du Livre d’Alger : Un bilan satisfaisant
Une œuvre de Mammeri adaptée en tamazight : Le Foehn remonte sur scène
Publication : L’irréel, de Rachid Harbi : Plaidoyer poétique pour la vie
L’auteure Leïla Slimani, Prix Goncourt 2016 : Représentante de la francophonie
Hommage au cinéaste algérien Mahmoud Zemmouri : «Steven Spielberg me trouvait tellement sympathique…»
la Bataille d’Alger : A Carthage et Amsterdam
RÉGION EST
Echos de Constantine

Laboratoire d’hygiène de la wilaya de Sétif : Un arrêt qui bloque de nombreux secteurs
Annaba : Ouverture de cinq centres d’impôts en janvier 2018

APC d’El Milia (Jijel) : Faible taux de consommation des crédits

Intempéries à Skikda : Une bourrasque de vent et des dégâts
Batna : Lancement d’une caravane d’entrepreneuriat

Mohamed Aïssa au colloque international sur Okba Ibn Nefâa à Biskra : «L’institution religieuse algérienne a payé un lourd tribut»
Tiraillements à l’apc de Mechroha (Souk Ahras) : Un mandat aux couleurs fades
RÉGION OUEST

Logements promotionnels publics (LPP) : L’ENPI exhortée à tenir ses engagements
Mostaganem : Des puces électroniques pour endiguer le piratage d’électricité
Encadrement des bureaux de vote à Chlef : Un chef de daïra et son SG-candidat accusés de changement frauduleux

Tlemcen : Le secteur de la pêche peut mieux faire
Sidi Bel Abbès : Les apiculteurs veulent créer une coopérative
Mohamamdia (Mascara) : Les habitants se plaignent de l’insalubrité
L’insalubrité fait partie du quotidien de la population de Mohammadia, à 32 km de Mascara.
Scandale à Tiaret : Des élus se sont attribués des lotissements

Portrait .Kamel Yzélioui. Bouquiniste à Béchar : Un grand passionné de livres
RÉGION KABYLIE

Aïn Zaouia ( Tizi Ouzou) : Une commune dans le dénuement

Prise en charge des malades de Spina Bifida à Béjaïa : Le défi quotidien des parents

Irrigation avec les eaux usées à Bouira : Plusieurs agriculteurs impliqués dans le scandale

Wilaya de Boumerdès : Locaux du Président : le grand gâchis !
Ce qui devait être une bénédiction pour les communes est en train de se transformer en malédiction.
Protestation à la SDC
RÉGION CENTRE

Promotion du tourisme à Tamentfoust : Le manque d’infrastructures, un handicap contraignant
Messelmoune : Un monument historique dévalorisé

Informatisation de l’EPSP de Mouzaia (Blida) : Une opération pilote !

Médéa : 68 affaires au menu de la session criminelle
Hydrocarbures : L’Algérie confrontée à l’épuisement des réserves
le 07.11.17 | 12h00
La production en hydrocarbures de l’Algérie continue de chuter alors que le pays est confronté à l’épuisement de ses réserves pétro-gazières, pointe Abdelmadjid Attar, ancien PDG de Sonatrach.
«On peut considérer que l’exploration demeure le point faible parce qu’on ne réussit pas à renouveler les réserves que nous avons aujourd’hui et qui sont en train de s’épuiser. Il faut le reconnaître, on produit de moins en moins d’hydrocarbures liquides ou gazeux depuis 2007», a affirmé hier Abdelmadjid Attar, invité de la radio publique. «Globalement, la production et les réserves sont en train de diminuer. Si on continue comme ça, si on ne renouvelle pas, on ne pourra ni stabiliser la production d’hydrocarbures ni l’augmenter à moyen ou long terme», a mis en garde l’expert en énergie. Si le groupe Sonatrach annonce souvent des découvertes, celles-ci demeurent, à ses yeux, de moindre envergure. «On fait plus de découvertes, mais on fait moins de volume.
C’est-à-dire que les découvertes sont de plus en plus petites (…). La moitié des découvertes faites ces dix dernières années ne sont pas rentables ou sont à la limité de la rentabilité. C’est une règle géologique. Le pétrole, c’est non renouvelable», a-t-il expliqué, en précisant que les gisements de pétrole sont vieux et produisent de moins en mois et sur lesquels il faut faire beaucoup d’efforts et d’investissements. Selon ses estimations, les réserves prouvées pour le pétrole s’élèvent à 1,5 milliards de tonnes équivalent pétrole alors qu’elles tournent autour 2500 milliards de mètres cubes pour le gaz. Contrairement aux déclarations du PDG de Sonatrach, qui affirmait récemment que l’Algérie pourrait augmenter ses exportations en gaz à près de 80 milliards de mètres cubes par an, Abdelmadjid Attar a estimé que cet objectif relève de l’impossible. «On ne pourra jamais augmenter les exportations de gaz à 80 milliards. Aujourd’hui, on exporte entre 40 et 45 milliards mètres cubes. Il y a du nouveau gaz qui va venir pour pallier l’épuisement des gisements. On a fait l’erreur d’augmenter énormément la production dans certains gisements et on a eu des problèmes techniques», a-t-il fait avoir.
Hocine Lamriben
Le débat a été introduit par le secrétaire général du FLN
Le cinquième mandat, mirage ou réalité ?
le 07.11.17 | 12h00

Un 5e mandat est-il réaliste ? Est-il réalisable ? Beaucoup d’interrogations s’imposent dans un contexte national et international particulier. Si certains pensent que le défi pour ceux qui portent le projet du maintien de Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat, au-delà de 2019, en dépit de son état de santé et de la situation du pays, peut s’avérer aussi difficile que la prestesse avec laquelle a été faite l’annonce, moult observateurs de la scène politique considèrent par contre que tout peut arriver.
Le prochain Président ne peut sortir que du FLN.» Ces propos sont ceux du secrétaire général de l’ex-parti unique, Djamel Ould Abbès, qui dès sa désignation à la tête du parti en octobre 2016 n’a pas manqué de lancer l’idée d’un 5e mandat pour le président Abdelaziz Bouteflika. Si le chef de l’Etat déciderait de se présenter, le FLN le soutiendra, disait-il, lors de sa première sortie médiatique. M. Ould Abbès mettra par la suite toute son énergie pour expliquer le cheminement, si elle viendrait à ce concrétiser, d’une candidature qui s’annonce peu ordinaire, voire inédite dans les annales politiques mondiales.
Est-elle alors possible ? Un 5e mandat est-il réaliste ? Est-il réalisable ? Beaucoup d’interrogations s’imposent dans un contexte national et international particulier. Si certains pensent que le défi pour ceux qui portent le projet de maintien de Abdelaziz Bouteflika pour un 5e mandat, au-delà de 2019, en dépit de son état de santé et de la situation du pays, peut s’avérer aussi difficile que la prestesse avec laquelle a été faite l’annonce, moult observateurs de la scène politique considèrent par contre que tout peut arriver. En fait, tous ceux qui ont soutenu le président Bouteflika lors de ses précédents mandats sont prêts à lui renouveler le bail. Ils l’ont exprimé clairement ces dernières semaines.
Le président du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, celui du Taj, Amar Ghoul, et tous les autres partis qui gravitent autour de ce qu’on appelle le cercle présidentiel ont fait savoir leur prédisposition à travailler en faveur d’un 5e mandat de Abdelaziz Bouteflika en 2019. Mais aux côtés des soutiens inconditionnels au Président et au projet du 5e mandat, on note les positions mesurées d’un poids lourd de l’alliance présidentielle.
Que pense en fait le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, auquel on prête des ambitions présidentielles, de l’idée d’une cinquième candidature du chef de l’Etat en exercice à l’élection présidentielle de 2019 ? Le moins que l’on puisse dire est que le maître-mot chez M. Ouyahia est la prudence. Sa position est subtilement nuancée. En juillet dernier, dans une interview qu’il avait accordée à la chaîne de télévision El Bilad, le Premier ministre, à cette époque, qui n’était pas encore en poste, affirmait que «pour l’instant on lui souhaite la santé, plus de force, et qu’il aille de l’avant dans sa conduite du pays».
Mais à la question de savoir s’il allait soutenir le président Bouteflika dans le cas où il présenterait sa candidature en 2019, le secrétaire général du RND avait promptement répondu : «On est vraiment loin de l’échéance présidentielle», avant d’interroger à son tour l’intervieweur : «D’ici 2019, pouvez-vous me garantir que demain je serai encore là en vie ?» «Dhaman Rabi (Dieu est seul garant)», rétorque le journaliste d’El Bilad. Et Ahmed Ouyahia de répliquer : «Laissons alors certaines questions à Dieu notre Créateur.» Autrement dit, rien n’est aussi sûr que cette histoire de 5e mandat de Abdelaziz Bouteflika.
L’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Abdelaziz Ziari, qui intervenait le 19 septembre dernier dans les colonnes de Tout sur l’Algérie, laissa lui aussi la question d’un 5e mandat à la Providence en soulignant que «seul Dieu sait s’il y aura ou pas un 5e mandat», même si «honnêtement il ne l’exclut pas». Pour Djamel Zenati, militant démocratique et analyste avisé de la scène politique algérienne, «ni le secrétaire général du FLN ni le Président dans son dernier message à l’occasion du 1er Novembre n’écartent un 5e mandat». Il y a même, dit-il, «une démarche consistant à acclimater le citoyen à cette idée».
Mais dans le fond, l’ancien militant du Mouvement berbère introduit d’importantes nuances. «Le régime se présente sous la forme d’un mélange d’éléments hétéroclites empruntés au makhzen marocain, l’ancien Etat policier tunisien et l’oligarchie russe. Cela explique, dit-il, la difficulté à rendre compte des rapports de forces au sein du sérail. Une telle configuration entoure la succession de mystère, de manœuvre, d’incertitude, etc. N’importe quoi peut en sortir», conclut Djamel Zenati (lire sa contribution).
La forte hypothèse d’une succession interne
Mokrane Aït Larbi, avocat et défenseur des droits de l’homme, ne croit pas, lui, à cette option. Dans une récente interview à El Watan, il s’interrogeait si «la classe politique et les médias sont condamnés à passer les 18 mois qui nous séparent de la prochaine élection présidentielle à parler d’un éventuel 5e mandat pour Abdelaziz Bouteflika ou d’un éventuel premier mandat pour son frère». Selon lui, «ce discours, repris par calcul ou de bonne foi, risque de banaliser cette option et de laisser le peuple indifférent».
«Or, pense-t-il, le fait d’envisager un 5e mandat pour un Président qui a du mal à terminer le 4e est en soi une provocation et un mépris pour le peuple.» L’avocat rappelle en effet que «le peuple algérien, malgré les conditions de vie difficiles, n’est jamais descendu dans la rue pour défendre son pain. Cependant, il l’a fait dans des moments décisifs de son histoire pour défendre sa dignité, en mai 1945, décembre 1960, l’été 1962, avril 1980 et octobre 1988, pour ne citer que ces dates».
Ces quelques faits historiques, estime-t-il, «démontrent que toute tentative d’un 5e mandat ou de ‘‘tawrith’’ poussera inévitablement le peuple à s’exprimer dans la rue». Il affirme en effet que «le but du débat sur l’éventualité d’un 5e mandat pour Abdelaziz Bouteflika est de détourner l’opinion publique et de faire oublier la crise multidimensionnelle à laquelle le pouvoir actuel est incapable de trouver des solutions».
Pas seulement, il considère qu’ «au moment où l’opposition subit les dommages collatéraux des dernières élections législatives, les ‘‘faiseurs’’ de présidents préparent un candidat de consensus des différents groupes d’intérêt. Et ce ‘‘consensus’’ trouvera bien entendu un soutien inconditionnel de dizaines de partis politiques sans militants, de la direction de l’UGTA et autres ‘‘organisations de masse’’, du FCE…»
Le sociologue Aissa Kadri, pour sa part, croit à l’hypothèse d’un 5e mandat, ou à une succession interne. Il affirme que «le contexte international après l’échec de ce qu’on a vite célébré comme le Printemps arabe favorise l’autoreproduction du régime et encourage même des successions dynastiques, faute d’alternatives crédibles». Selon lui, les alternatives sont en effet quasi inexistantes. Le mouvement social est fragmenté et les contestations réactives n’arrivent pas à faire coalescence pour des raisons historiques, sociologiques et politiques. C’est ce qui peut conduire à une succession interne. Une récente déclaration du secrétaire général du FLN, parlant du «droit de Saïd Bouteflika, le frère conseiller du Président, comme tout citoyen algérien, de se présenter à l’élection présidentielle de 2019», pourrait bien corroborer les hypothèses.
Au plan international, on retrouve les mêmes analyses et positions. Elles se résument presque toutes dans le contenu du rapport d’information fait au nom de la commission des affaires européennes du Sénat français, sur le volet méditerranéen de la politique de voisinage. Le document, daté de juillet 2017, mentionne clairement qu’«il n’existe pas de réelle pression populaire en faveur d’une évolution du régime, en dépit de l’impression de sclérose que peut dégager le pouvoir en place». «Abdelaziz Bouteflika, âgé de 80 ans, est-il souligné, dispose d’une réelle légitimité, acquise notamment à l’issue de la décennie noire.» L’hypothèse d’une candidature à un 5e mandat en 2019 n’apparaît d’ailleurs pas «exclue».
Cet attentisme relève, estime ledit rapport, «pour partie d’une certaine réserve à l’égard du Printemps arabe, dont le régime algérien n’a cessé de souligner les risques en rappelant le souvenir de la guerre civile qui a frappé le pays dans les années 1990». Au cours de la «décennie sanglante», 200 000 personnes ont été tuées et 20 000 ont disparu. C’est plus qu’une analyse que présente le Sénat français, mais c’est l’idée que se font toutes les chancelleries occidentales à Alger, pour lesquelles le maintien de la stabilité dans la région du Maghreb, particulièrement en Algérie, est une priorité.
Said Rabia
CAN de Rugby (Finale du niveau C) : L’Algérie accède à l’Africa Silver Cup
le 06.11.17 | 12h00

La sélection algérienne de rugby a réalisé un véritable exploit, samedi à Mufulira (Zambie), pour son premier match officiel, en battant la Zambie (30-25), en finale du niveau C, de la Coupe d’ Afrique des nations (Rugby Africa Bronze Cup 2017).
Prévue sous forme de championnat, cette CAN s’est finalement disputée en un seul match de finale entre les Algériens et les Zambiens, suite au retrait du Cameroun et du Nigeria. Une première victoire pour sa première sortie officielle, face à une sélection zambienne invaincue depuis 2002, qui permet à la très jeune sélection nationale de rugby de passer au niveau B. L’Algérie qui accède ainsi à la poule B disputera la saison prochaine la CAN argent (Africa Silver Cup) face au Maroc, à la Côte d’Ivoire, au Madagascar et au Sénégal.
Le président de Rugby Afrique, Abdelaziz Bougja, a salué une «victoire historique» de l’équipe algérienne de rugby à 15, admise depuis seulement décembre 2016 en tant que membre à part entière de Rugby Afrique. «La performance réalisée par le XV algérien est d’autant plus remarquable que la Zambie n’avait perdu aucun match international de rugby à domicile depuis 2002. Il s’agit donc bien d’une victoire historique pour l’Algérie, qui disputait là sa toute première compétition officielle de rugby à 15. Je tiens à saluer l’engagement des deux équipes et à féliciter le travail des deux fédérations», a dit le président de la Confédération africaine de rugby, désormais dénommé Rugby Afrique.
Tarek Aït Sellamet
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