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Le comité central du parti du Front de libération nationale (FLN) a proposé, samedi à Alger, la candidature de M. Abdelaziz Bouteflika à l'élection présidentielle prévue en 2014.
Cette proposition intervient après celle formulée par le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, lors des travaux de la session ordinaire du comité central baptisée du nom du militant défunt Abderrezak Bouhara.
Dans son allocution d'ouverture, M. Saâdani a expliqué que le choix du FLN pour la candidature de M. Abdelaziz Bouteflika à la prochaine présidentielle est motivé par le bilan "positif" réalisé par ce dernier dans "tous les domaines politique, diplomatique, économique, sécuritaire et social depuis son élection en 1999 à ce jour".
La nouvelle composante du bureau politique devrait être annoncée lors des travaux de cette rencontre auxquels ont assisté 288 membres du comité central.
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La publication progressive des résultats du traitement des demandes des nouveaux postulants pour l’acquisition de logements type location vente débutera dimanche 24 novembre, a annoncé samedi l’Agence nationale du développement et d’amélioration du logement (AADL).
Les postulants au deuxième programme (AADL2) "peuvent consulter les résultats de leur demande qui peut être acceptée progressivement ou rejetée avec motif sur la page les concernant, en introduisant leur code et leur mot de passe confidentiel sur le site : inscription.aadl.dz", a indiqué l’agence dans un communiqué.
Tous les souscripteurs ayant reçu l’accord de principe et à qui un rendez-vous leur a été fixé sur leur page personnelle sur le site, doivent envoyer leurs dossiers constitués des pièces mentionnées sur cette page, par courrier recommandé à l’adresse : AADL BP 62 Said Hamdine Bir Mourad Raïs Alger.
Toutefois, "tous les dossiers envoyés sans rendez-vous seront systématiquement rejetés et l’AADL décline toute responsabilité", a-t-elle prévenu.
Les postulants ayant reçu un avis défavorable, peuvent déposer un recours au niveau de la commission compétente du ministère de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville (Secrétariat général) : 135, rue Didouche Mourad Alger.
Plus de 700.000 souscripteurs ont été recensés à l’issue de l’opération d’inscription en ligne lancée à la mi-septembre et qui a duré plusieurs semaines.
L’AADL envisage d’entamer la réalisation des 230.000 logements inscrits au titre du programme AADL2 avant la fin 2013 et début 2014, dont 90.000 logements seront réalisés pour la seule wilaya d’Alger.
Le programme de location vente est destiné principalement aux cadres des couches moyennes dont le revenu mensuel se situe entre 24.000 et 108.000 DA.
APS
Bouira : Rencontre régionale des anciens rappelés du service national
Quelques 300 personnes, d’anciens rappelés du service national (1995-1999), venus de douze wilayas du pays, ont pris part ce samedi 16 novembre 2013, à une rencontre régionale au niveau du théâtre communal Salah Saâdaoui de la ville de Bouira.
Ce conclave selon l’un des participants, « est une occasion pour débattre des problèmes auxquels font face cette frange de la société qui a été rappelée à cette période pour combattre le terrorisme ».
Les participants, dont des blessés, affirment que les pouvoirs publics, dont les hautes autorités militaires du pays, n’ont pas tenu à leurs engagements, ni à leurs promesses envers cette catégorie sociale. « Nous avons répondu favorablement à l’appel de la patrie dans des moments difficile, mais l’Etat nous a complètement oubliés », a souligné un ancien rappelé du service national, qui a précisé que la quasi-totalité des ces personnes vivent dans des conditions précaires.
Ils réclament, tout bonnement, une couverture sociale, et une reconnaissance morale des années de sacrifice sur le front de la lutte contre les groupes terroristes. D’autres soulignent que les anciens rappelés étaient libérés sans aucun droit, ni autre indemnité. C’est le cas des blessés qui, selon nos interlocuteurs, n’ont reçu aucune indemnité. Ils réclament de l’Etat une prise en charge sérieuse de leurs cas.
Violence et escalade terroristes en Tunisie
Rached Ghannouchi pointe du doigt la Libye
le 16.11.13 | 10h00
La situation sécuritaire dans ce pays, gangrené par la violence et livré aux bandes armées, vaeffectivement de mal en pis. La Libye est, aujourd’hui, au bord de l’explosion et menace en réalité la stabilité de tous les pays de la région.
Pour le président du mouvement tunisien Ennahdha, Rached Ghannouchi, l’instabilité que vit actuellement la Tunisie au plan sécuritaire a une seule origine : la Libye voisine. «Il y a une vague terroriste résultant du trafic d’armes à partir de la Libye vers la Tunisie et du resserrement de l’étau sur les groupes violents qui a suscité des réactions de la part de ces derniers», a-t-il répondu à une question sur la situation sécuritaire en Tunisie, en marge de l’ouverture du 5e congrès du mouvement Ennahda (formation politique algérienne) dont les travaux se sont déroulés jeudi à Alger.
A cette occasion, le leader islamiste tunisien a souligné que la riposte des forces de l’ordre aux opérations terroristes était ferme, soutenant que «la violence en Tunisie n’a pas d’avenir» et qu’«il ne peut y avoir de révolution violente contre la démocratie». Il a en outre précisé que «le phénomène de la violence en Tunisie est isolé», précisant que son pays s’inspire dans sa politique de lutte antiterroriste de l’expérience algérienne. M. Ghannouchi – qui semble ainsi répondre à tous ceux qui, en Tunisie, accusent Ennahdha de complaisance à l’égard des extrémistes ou des terroristes – a ajouté que ces groupes ne peuvent représenter une menace pour le régime en place car étant appuyé par une volonté populaire réelle. Quid, maintenant, de la situation politique dans son pays ? S’il a reconnu que la situation politique dans son pays n’était pas satisfaisante, le président du mouvement Ennahdha a toutefois insisté sur l’idée que celle-ci n’était «pas inquiétante». Le leader du mouvement tunisien Ennahdha, qui a été reçu hier par le président Bouteflika, n’a pas tout à fait tort de désigner la Libye comme l’une des principales sources des problèmes de la Tunisie.
La situation sécuritaire dans ce pays, gangrené par la violence et livré aux bandes armée
SESSION EXTRAORDINAIRE DU CC DU FLN Saïdani à l’épreuve du Comité central
Session extraordinaire du Comité central du Front de libération nationale aujourd’hui. A l’ordre du jour, la désignation des membres du bureau politique du parti. Une réunion qui intervient au moment où les détracteurs de Saïdani continuent de réclamer sa tête.
Session extraordinaire du Comité central du Front de libération nationale aujourd’hui. A l’ordre du jour, la désignation des membres du bureau politique du parti. Une réunion qui intervient au moment où les détracteurs de Saïdani continuent de réclamer sa tête. Nawal Imès - Alger (Le Soir) Le FLN version Saïdani n’a toujours pas renoué avec la stabilité. La désignation des membres du bureau politique du parti par le secrétaire général ne signera certainement pas la fin de la contestation. Les contestataires, et pas des moindres, ne comptent pas se laisser impressionner par la politique du fait accompli et se disent bien décidés à «récupérer» le FLN. Amar Saïdani ne se laisse pas, du moins en apparence, démonter. Ses proches évoquent une session extraordinaire préparée dans la «sérénité» au moment où les compagnons de Belayat multiplient les attaques à l’encontre du secrétaire général du FLN à qui ils contestent toute légitimité. C’est donc contre vents et marrées que Saïdani présentera aujourd’hui la liste des quatorze membres du bureau politique qui auront finalement été choisis pour approbation. Une liste qui comme le veut la tradition respectera le sacro-saint dosage régional et qui couronne une série de consultations avec des dirigeants du parti et plusieurs réunions présidées par un secrétaire général à la recherche d’un consensus qui semble désormais difficile à réaliser au sein de la maison FLN. Saïdani, conformément aux statuts du FLN, devait néanmoins trancher et former le bureau politique au risque de faire encore des mécontents. Toutes les précautions qu’il aura prises pour choisir les noms et faire le moins de mécontents possible risquent de s’avérer vaines. L’offensive des frondeurs menés par Abada et Belayat se poursuit. A la veille de la tenue du Comité central du parti, les deux ténors affirmaient que le temps de Saïdani à la tête du FLN ne serait bientôt plus qu’un mauvais souvenir. Ils affirment faire confiance à la justice pour arriver à déloger le secrétaire général du FLN du poste dans lequel il a été intronisé en août dernier. Belayat et Abada ont mené campagne pour le boycott de la réunion du Comité central qui s’ouvre aujourd’hui. Ils affirment que pas moins de 130 membres de cette instance ont déjà confirmé leur non-participation, en attendant que les indécis puissent trancher. Une lettre avait été adressée, il y a quelques jours, aux membres du Comité central, leur demandant de ne pas cautionner Saïdani et ses soutiens. Il faudra attendre aujourd’hui pour voir l’ampleur de l’emprise des contestataires et leur capacité à perturber une réunion aussi importante que celle du Comité central. N. I.
Les pays participant à la Conférence sur la sécurité des frontières qui s’est tenue, jeudi, à Rabat ont adopté plusieurs résolutions, dont la création d’un centre de formation pour les officiers. L’Algérie, représentée par un cadre du ministère des Affaires étrangères, a réitéré son attachement aux résolutions prises à Tripoli et Alger dans le cadre de l’Union du Maghreb arabe. Tarek Hafid - Alger (Le Soir) Nouveau forcing marocain. Rabat a profité, jeudi, de la tenue de la Conférence internationale sur la sécurité des frontières pour tenter d’imposer sa vision sécuritaire au Sahel. Une nouvelle opération de «diplomatie parallèle» dont les mesures adoptées dans la résolution finale vont à l’encontre des dispositions prises au sein de l’Union du Maghreb arabe et de l’Union africaine. Notons que les travaux de cette conférence se sont tenus en présence de ministres des Affaires étrangères, des ministres en charge des questions sécuritaires dans les pays d’Afrique du Nord et de l’espace sahélo-saharien, ainsi que de représentants d’organisations régionales et internationales. L’Algérie, représentée à cette conférence par Abdelhamid Chebchoub, directeur général des Pays Arabes au ministère des Affaires étrangères, a tenu à recadrer les débats. «L’Algérie réaffirme son attachement au plan d’action adopté en mars 2012 à Tripoli lors de la conférence ministérielle régionale sur la sécurité des frontières et exprime sa volonté de parachever le processus maghrébin pour l’instauration d’une approche sécuritaire commune conformément à la déclaration d’Alger, approuvée en juillet 2012 par le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union du Maghreb arabe (UMA)», a souligné l’ambassadeur Abdelhamid Chebchoub. Il a en outre appelé les pays concernés par la sécurité dans le Sahel à «exécuter» les décisions prises par le passé, car de nouvelles initiatives risqueraient d’éparpiller les efforts des intervenants. «Nous sommes appelés à maintenir une méthodologie de travail, tel qu’il a été convenu lors de la première conférence en œuvrant à l’activation des mécanismes et des accords et éviter la duplicité et la multiplication des cadres.» Notons par ailleurs qu’une des principales résolutions adoptées, jeudi, la création d’un «centre régional de formation et d'entraînement» pour les officiers en charge de la sécurité des frontières. Là encore, la création d’une telle structure s’avère totalement inutile puisque l’Union africaine dispose déjà du Centre africain d’étude et de recherche sur le terrorisme dont le siège est à Alger. L’une des missions du Caert consiste justement à organiser des sessions de formations dans différentes spécialités au profit des Etats membres de l’Union africaine. Ouvrir un autre centre vise justement à torpiller celui existant. Surtout lorsque le Maroc — Etat non-membre de l’UA — annonce sa volonté de l’accueillir sur son sol. En fait, ce pays, qui n’a aucune frontière directe avec la sous-région du Sahel, cultive les contradictions. A Rabat, le ministre des Affaires étrangères marocain a précisé que «la région est devenue un espace ouvert pour divers mouvements terroristes et autres groupes qui prospèrent via le trafic d'armes ou la drogue». Salaheddine Mezouar a juste omis d’indiquer que la drogue provient justement du royaume du Maroc. T. H.
Il pèse réellement 3,2 milliards de dollars. Agé de 69 ans, Issad Rebrab, président-directeur général du groupe privé Cevital, a été classé, et par conséquent l’Algérie, pour la première fois dans la liste des multimillionnaires africains par le magazine américain Forbes. Classé au 8e rang parmi les 27 principaux milliardaires en Afrique (ils étaient 16 en 2012), Issad Rebrab a su développer en quelques décades une importante dynamique d’entrepreneuriat. Autodidacte, self-made man, Issad Rebrab a bâti progressivement un grand groupe industriel et de services, fortement présent dans l’agroalimentaire, la grande distribution et la distribution automobile mais aussi dans le verre plat et dans les télécommunications. Développant un style de management voulu efficient, la quête d’innovation et la prise de risques continue, Issad Rebrab et sa famille ont poursuivi depuis les années 1970 et 1980 une stratégie d’expansion optimale, en dépit des contraintes de l’environnement des affaires et des errements de la politique économique, nombre de projets majeurs restant encore en stand-by. Depuis quelques années, Cevital a également impulsé une intense dynamique à l’international, par le biais de prises de participations en Europe (France, Espagne) et le lancement de projets agricoles et agroalimentaires en Afrique (Soudan, Côte d’Ivoire...). Notons que les cinquante africains les plus riches, natifs de 10 pays, détiennent 103,8 milliards de dollars en 2013, soit une richesse nette de 2,1 milliards de dollars pour chaque membre de la liste, selon l’évaluation du prestigieux magazine. C. B.
L’entreprise française « ENJOY- TV » a obtenu, de la Confédération africaine de handball (CAHB), les droits de retransmission des matchs de la 21e coupe d'Afrique des nations messieurs et dames (CAN-2014) prévue à Alger du 15 au 26 janvier. A cet effet, deux techniciens d'"ENJOY TV", un Espagnol et un Français, arriveront dimanche prochain (17-11) à Alger pour entamer des discussions avec leurs homologues algériens des aspects techniques liés à cette opération et visiteront les sites de compétition qui sont les salles de Harcha, de la Coupole ert celle de Chéraga, pour déterminer les besoins d'une retransmission de haut niveau. Pour rappel, mercredi dernier, une réunion de travail du Comité d’organisation de cette 21e CAN (COCAN 2014 ) s’est déroulée au siège de la FAHB pour coordonner la position algérienne lors des travaux avec cette entreprise française. Selon le document envoyé par l'instance continentale à la FAHB, ce sera l’acquéreur des droits, c’est à dire « ENJOY TV » qui s'occupera de la production et de la montée du signal. Pour les responsables d'Algérie Télécom, présents à la réunion de coordination, de mercredi passé, une connexion internet "de qualité" sera assurée au niveau des sites de compétitions et d'hébergement au profit des participants et des invités de l'Algérie. A ce sujet, tout sera entrepris pour que les journalistes accrédités et chargés de la couverture de cet événement, bénéficient de tous les moyens nécessaires à l’accomplissement de leur mission au niveau des sites de compétition et d'hébergement, et au Centre international de presse (CIP).
Daoud Hichem opéré avec succès Notre jeune international, Daoud Hichem a subi avec succès, Jeudi dernier , à la clinique « Nahda » de Birkhadem, une intervention chirurgicale suite à une rupture partielle des ligaments croisés antérieures du genou gauche, lors du stage des verts, à Nymburk, en République de Tchéquie. Pour rappel, l’international algérien s’est blessé tout seul lors d’une phase de jeu. Pris en charge par la Fédération algérienne de handball (FAHB), Daoud a été examiné samedi dernier le professeur Kihal qui a profité de la journée fériée de jeudi dernier (fête de l’Achoura) pour l’opérer. A sa sortie de l’établissement hospitalier, ce vendredi matin, le jeune Hichem a affiché sa satisfaction après le bon déroulement de la longue intervention chirurgicale et a profondément remercié l’équipe médicale.
Les matches retour des barrages qualificatifs pour le Mondial-2014, dans la zone Afrique, se tiennent de samedi à mardi et pourraient envoyer au Brésil cinq équipes qui étaient déjà présentes lors de l'édition 2010 en Afrique du Sud. Outre le pays-hôte, les cinq nations africaines qualifiées étaient alors le Nigeria, la Côte d'Ivoire, le Cameroun, le Ghana et l'Algérie. Or, ces cinq équipes sont encore en situation de se qualifier pour le Mondial brésilien, même si pour certaines comme l'Algérie, il y a encore pas mal de chemin à parcourir. Le match retour entre l'Algérie et le Burkina Faso, mardi à Blida, est en effet l'un des plus incertains de ces barrages retour, et certainement le plus chaud. La victoire 3-2 du Burkina au match aller avait été marquée par les deux penalties accordés aux Etalons par l'arbitre, dont un très généreusement. «Ce n'est pas le Burkina Faso qui nous a battus, c'est plutôt l'arbitre. Mais c'est ça l'Afrique, et c'est ça l'arbitrage africain», avait réagi le capitaine algérien Madjid Bougherra. Pour le Ghana en revanche, vainqueur à domicile 6-1 de l'Égypte au match aller, cette deuxième manche a tout de la formalité sportive et sauf énorme accident, les Black Stars seront à nouveau au Mondial, quatre ans après leur quart de finale en Afrique du Sud. Malgré une demande de délocalisation de la fédération ghanéenne, le match se tiendra bien mardi au Caire, la Fifa ayant estimé que la situation sur place en terme de sécurité permettait la tenue de la rencontre.
Nigeria et Côte d'Ivoire en premier ? Dès samedi, le Nigeria et la Côte d'Ivoire pourraient être les deux premières équipes africaines à valider leur billet pour le Brésil. Le Nigeria, champion d'Afrique en titre, est le mieux placé avec sa victoire 2-1 à l'aller sur le terrain de l'Ethiopie, l'invitée-surprise de ces barrages. Pour la Côte d'Ivoire de Sabri Lamouchi, il faudra se méfier après le but inscrit par le Sénégal dans le temps additionnel (3-1), qui laisse un petit espoir aux hommes du sélectionneur Alain Giresse. Mais les coéquipiers de Drogba restent en position de force, d'autant que la rencontre se jouera sur terrain neutre, à Casablanca (Maroc), le stade de Dakar étant suspendu. La cinquième rencontre est indécise. Après le nul 0-0 de la première manche en Tunisie, le Cameroun est tout de même légèrement favori au moment de recevoir son adversaire à Yaoundé. Mais la Tunisie, qui avait été repêchée en profitant d'une erreur administrative de la part du Cap-Vert, peut pourtant encore espérer voir le Brésil. A l'aller, les Tunisiens avaient d'ailleurs frappé le poteau. En marquant à Yaoundé, ils mettraient le Cameroun de Samuel Eto'o en difficulté.
Le programme (heures françaises/GMT)
Samedi
(16h/15h) Nigeria-Ethiopie à Calabar. Aller : 2-1
(20h/19h) Sénégal - Côte d'Ivoire à Casablanca. Aller : 1-3
Dimanche
(15h/14h) Cameroun - Tunisie à Yaoundé. Aller : 0-0
Mardi
(17h/16h) Égypte - Ghana au Caire. Aller : 1-6
(19h15/18h15) Algérie - Burkina Faso à Blida. Aller : 2-3
Par Kader Bakou Les populations palestinienne et israélienne souffrent d’un traumatisme chronique. C’est Gina Ross, fondatrice et présidente du International Trauma- Healing Institute aux Etas-Unis qui le dit dans un article pour le service de presse de Common Ground (CG News), publié en décembre 2008. Selon elle, c’est une des causes perpétuant le conflit, car les expériences négatives produisent un traumatisme appelé «tourbillon du traumatisme collectif» se transmettant de génération en génération et provoquant des réactions plus impulsives que réfléchies. Les Palestiniens souffrent du traumatisme de devoir affirmer leur identité, d’un manque d’autonomie, des problèmes de l’occupation et de refugiées, d’un manque d’eau et de problèmes économiques en général. «Le stress et le désespoir font également partie de la psyché israélienne qui est déchirée par la nécessité de se défendre tout en étant dégoûtée par son occupation des Territoires palestiniens», écrit Gina Ross. Chaque nouvel incident amplifie et propulse le cycle de violence tandis que l’extrémisme alimente de petits groupes des deux côtés de l’échiquier politique. Parmi les aspects qui ont contribué à saper le processus de paix, l’auteure a cité le sentiment de supériorité religieuse, l’absence de l’esprit critique, le fait de «diaboliser» l’autre et de se considérer toujours «victime» ainsi que le fait d’élever ses enfants dans la haine de l’autre. «Les responsables étrangers et locaux doivent favoriser le processus de guérison dans les deux communautés afin de les aider à rétablir l’autorégulation, à libérer le désespoir, l’impuissance, la colère, la méfiance et la haine, afin de les aider à créer las bases émotionnelles nécessaires au dialogue efficace», écrit encore Gina Ross. Un plaidoyer pour la paix très différent du discours politique ou religieux manichéen habituel. K.B. bakoukader@yahoo.fr
Après sa visite à Oum-El-Bouaghi, quelle est l’urgence pour Sellal ?
Faire réparer sa voiture chez le tôlier !
Mais non ! Je n’y ai même pas pensé ! Je ne suis pas fou de penser des trucs pareils ! Et puis, pas la peine de fouiller dans mon ordi, vous n’y trouverez rien de compromettant. Moi, de toutes les façons, après cette histoire de caricaturiste placé sous contrôle judiciaire à Oran parce qu’on aurait retrouvé un dessin irrévérencieux envers Boutef’ dans le disque dur de son micro, je ne laisse plus rien traîner dans le mien ! D’ailleurs, c’est simple, je n’ai plus de micro ! Voilà ! Et puis, vous imaginez ? Il s’est fait balancer par son boss, son patron de journal. Mouchardé par son propre directeur pour un dessin qui n’a même pas été publié ! Où va-t-on ? Moi, maintenant, je me méfie. D’ailleurs, s’il pense que je n’ai pas remarqué son manège ! Eh oui ! J’ai bien vu depuis quelques jours que mon boss à moi n’arrête pas d’aller et venir entre son bureau et le mien. Il arrive au moment où je m’y attends le moins. Là, subitement, alors que je suis plongé dans l’écriture —sur du papier, et avec un crayon, s’il vous plaît — il se plante, debout, l’air de rien, sifflotant presque, dodelinant de la tête, tentant de voir, de déchiffrer par-dessus mon épaule, zyeutant à mort la feuille 21/27 pour y lire quelque écrit osé sur le Président. Moi, dès que je le vois arriver, dès qu’il franchit le seuil maintenant quotidiennement violé de mon bureau, je fais entrer en action Messaouda. Qui est Messaouda ? Ma gomme, voyons ! Ah ! Messaouda ! Une vraie de vraie de gomme. Pas de celles que vous achetez chez le buraliste du coin, non ! Pas de ces gommes chinoises malingres qui s’effritent dès le premier frottement avec la feuille ou qui laisse derrière elle la moitié des caractères qu’elle était supposée effacer. Ma Messaouda à moi, je l’ai découpée dans de la gomme de pneu ! Elle est énorme. Elle efface tout. Jusqu’à réduire ma feuille en bouillie. Allez ! Vas-y gros malin ! T’as beau être patron du Soir, mesurer près de deux mètres, tu ne pourras rien lire, parce que Messaouda a tout écrabouillé ! Bon, je vous l’accorde, c’est plutôt embêtant pour la remise à temps de ma chronique. C’est la sixième fois en une heure que mon directeur fait irruption dans mon antre, et donc que Messaouda fait son office. Je suis à la bourre ! J’ai bien tenté de me la jouer Mentaliste avec les collègues de la saisie du journal, de leur transmettre la chronique en pensée, par Bluetooth mental. Mais même là-bas, je soupçonne le directeur d’avoir des hommes à lui. Non, en fait, l’idéal, ça serait de changer de sujet. D’en finir avec l’irrévérence. D’arrêter de jouer avec les pieds de Abdekka. ça présenterait quelques avantages. ça ferait des vacances pour Messaouda. On a beau être une gomme à la dure, découpée dans un gros pneu de camion, on fatigue à passer ses journées et ses nuits à effacer des méchancetés de chroniqueur. Et puis, je pourrais enfin l’écrire. Ecrire quoi ? Mais l’écrire, cette foutue chronique sur les bleuets, les pensées et le vol léger d’une mésange qui tente de rejoindre ses petits dans le nid, en évitant la grosse bourrasque. Mais non, patron ! Je vous jure que ne je pensais pas à Boutef’ et à ses neveux en évoquant ici, innocemment, la mésange, les petits dans le nid, les pensées et les bleuets. Messaouuuuuuda ! Au secouuuuuuurs ! Y a encore du boulot pour toi, ma grande ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.