333-/- ACTUALITES Du Lundi 27 Novembre 2017
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Lundi 27 Novembre 2017
الإثنين 09 ربيع الأول 1439 ه
الإثنين 27 نوفمبر 2017 م -
- الإثنين 27 نوفمبر Lundi 27 Novembre 2017
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Algérie - Prévisions météo du lundi 27 novembre 2017
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زلزال يضرب ايران العراق والكويت بقوة 7.2 قاضية، مما تسبب في حالة من الذعر في
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Canal Algérie |
Journal télévisé de 12 h pour 26 Novembre 2017
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التلفزيون الجزائري | نشرة أخبار الثامنة ليوم الأحد 26 نوفمبر 2017 م
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Calogero – « Un jour au mauvais endroit » Victoires de la Musique 2015
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ACTUALITÉ

Élections locales : In Amenas ne décolère pas !
Marché des changes : Le dinar à un plus bas historique face à l’euro
La loi de finances 2018 votée hier : L’opposition fait de la résistance
Sidi Bel Abbès : 76 cas de violence contre les femmes enregistrés en 2017
Mis en cause par le ministre de la Communication : El Fadjr répond par les chiffres
Six millions d’Algériens sont atteints de maladies chroniques : Un patient sur 4 décède d’événements cardiovasculaires
Le texte amputé de l’impôt sur la fortune : Les plus riches épargnés
Après les élections locales : Les nouveaux P/APC en quête de majorité à Boumerdès
AMARA Benyounès : «Farouk Ksentini n’a jamais rencontré Bouteflika»
50 Assemblées sans majorité absolue à Tizi Ouzou
SPORTS

Derby MCA – USMA (J-1) : Les défections s’enchaînent
Open mondial de karaté (Japon) : Les Algériens concourent sousles couleurs d’un club brésilien
Espagne -13e journée : Le Real enfin d’attaque, la «2G» mène l’Atletico
ASO Chlef : Surprenante élimination par le MCB Ouled Sly
Coupe d’Algérie : Des modifications à l’étude
Ligues : Planning d’audits
ECONOMIE

Finance islamique : Mythe et réalité
Les propositions de la Banque mondiale et de la Banque islamique : Des politiques publiques appropriées
Le dossier ficelé au conseil national des assurances : L’assurance Takaful en marche
Mohammed Boudjelal. Professeur d’économie, membre du haut conseil islamique : La finance islamique ne va pas régler le problème de l’informel
Nouvelles APC/APW. Budget et dépenses publiques : Les compétences appelées à s’impliquer
Mohamed Hamza. Expert international en finance et cofondateur de l’institut des sciences expertales d’Alger : «L’Algérie manque cruellement d’experts»
INTERNATIONAL

Lutte contre le terrorisme : 40 pays musulmans en conclave à Riyad
Argentine : Le sous-marin San Juan reste introuvable
Conflit syrien : Ouverture demain des pourparlers de Genève
Yémen : 11 millions d’enfants ont besoin d’aide humanitaire
Agriculture : Chypre mise sur son «or noir» et plante des milliers de caroubiers
Indonésie : 2000 touristes privés de leur vol à cause d’un volcan
CULTURE

Théâtre régional Malek Bouguermouh de Béjaïa : Hommage à Djamal Allam
Jaoudet Gassouma présente son roman Cubaniya au Bastion 23 : Jeu de la mémoire et de l’instantané
Une saison en France projeté au 39e Festival international du film du Caire : Quand l’Afrique devient «une illusion»
Parution d’un récit autobiographique de Karim Benkrimi : Blessures d’enfance
Festival culturel national annuel du film amazigh : Appel à participation aux cinéastes
Oran : Inauguration de l’école française
RÉGION EST
Cité Boulkercha Hacène à Aïn Smara (Constantine) : Le wali interpellé pour régulariser les dossiers des habitations
Ressources en eau à Sétif : L’été 2018 en point de mire
Annaba : Effondrement d’un immeuble en plein centre-ville
RetombéeS des élections à El Milia : 3 000 voix pour entériner le statu quo
Une famille interpelle le directeur de l’OPGI de Skikda : «Sommes-nous des sous-citoyens ?»
Conflit à l’établissement mère et enfant de Batna : Un professeur et 22 résidentes quittent le service de gynécologie
Biskra : La culture en berne depuis des mois
Bouchebka (Tébessa) : Un poste frontalier toujours sollicité
RÉGION OUEST

Recyclage des déchets : Une entreprise montre la voie à Oran
Mostaganem : L’université abrite une intéressante rencontre littéraire
Chlef : Oued Fodda subit une terrible régression
Le FLN s’impose à Tlemcen et à Sidi Bel Abbès
Sidi Bel Abbès : L’association Jeunesse volontaire distinguée en Allemagne
Les quartiers de Mascara pollués par l’affichage anarchique
Tiaret : Entre scandales à répétition et gestion décriée
Saïda : La violence faite aux femmes inquiète
Élections locales : In Amenas ne décolère pas !
le 27.11.17 | 11h10
Plusieurs dizaine de citoyens, dont des femmes, de la commune d’In Amenas, sise à 240 km au nord d’Illizi, organisent, depuis samedi, des marches pacifiques devant le siège de la daïra et le tribunal de cette ville, pour dénoncer les résultats du scrutin du 23 novembre.
En fait, après l’annonce des résultats provisoires des élections locales, des militants RND, de la commune d’In Amenas ainsi que ceux de l’annexe communale d’Ohanet, située à 120 km au nord d’In Amenas, sont sortis pour contester les résultats dont ils jugent ne reflètent pas la volonté du peuple.
Sur les lieux, et à travers des vidéos diffusées sur Internet par la page Facebook Rnd In Amenas, les manifestants disent : « Ya lelâr, Ya lelâr, Mouatin bila karar ! », et sur leurs banderoles on pouvait lire : « l’Armée ne décide pas du destin du peuple ».
Lire aussi : Un blessé et trois arrestations dans les émeutes de Ouargla
La loi de finances 2018 votée hier : L’opposition fait de la résistance
le 27.11.17 | 12h00

Le projet de loi de finances 2018 a été adopté, hier, à la majorité à l’APN. L’opposition a, de son côté, manifesté son mécontentement et décrié la politique fiscale à deux vitesses.
Paupérisation du peuple», «Soutien à l’oligarchie», «Fin de l’Etat social»… Les représentants de l’opposition à l’Assemblée populaire nationale (APN) se démarquent et accusent le gouvernement et la majorité FLN-RND-MPA-TAJ «de vouloir affamer le peuple» à travers le projet de loi de finances (PLF-2018), adopté hier. En effet, la séance de vote de ce projet a été marquée par une vive polémique autour de la suppression de l’impôt sur la fortune, décidée par la commission des finances de l’APN qui a rejeté, au passage, tous les amendements introduits par les députés du Parti des travailleurs (PT).
Le décor était planté dès l’ouverture de la séance. Alors que la cloche sonnait pour signifier aux députés le début des travaux, les élus du PT affichaient leur mécontentement dans le hall de l’APN en brandissant des pancartes sur lesquelles étaient transcrits des slogans hostiles au PLF-2018 et à la politique du gouvernement : «Le pouvoir affame la majorité et engraisse la minorité», «Répression dans la rue et censure au Parlement» et «L’austérité pousse à la harga». «Ce projet est une tache noire dans l’histoire de l’Exécutif», dénonce le député Ramdane Taazibt, estimant que le gouvernement «met en place une politique de classes par excellence».
La contestation s’est poursuivie même à l’intérieur de l’hémicycle. Profitant du temps qui leur est accordé pour défendre leurs amendements, Ramdane Taazibt et sa collègue du même parti, Nadia Chouitem, dénoncent «la répression des enseignants de l’Intersyndicale» et «l’emprise de l’oligarchie sur l’Assemblée». Malgré les rappels à l’ordre du président de l’APN, Saïd Bouhedja, qui leur demandait de «rester dans le sujet», les deux députés persistent à faire passer leurs messages.
Juste après le vote sur le projet, les responsables des groupes parlementaires du MPS, du PT, du FFS et de l’alliance Ennahda-Adala-El Bina, ont tenu un point de presse pour afficher leur opposition à ce projet et à la politique du gouvernement. Pancartes à la main, les protestataires pointent du doigt le gouvernement et la majorité parlementaire.
L’ISF : «une ruse du gouvernement»
«Nous sommes contre ce projet. Toutes les lois du gouvernement ont prouvé leur échec sur le terrain. Ce projet a été conçu contre le citoyen. Et cela apparaît à travers les augmentations des taxes et des impôts qui le visent directement. C’est une véritable atteinte à l’Etat social. En revanche, ce texte encourage les hommes d’affaires et les détenteurs de l’argent sale qui prennent en otage l’Etat et l’économie», affirme Nasser Hamdadouche, chef du groupe parlementaire du MSP. Pour lui, le PLF-2018 risque de causer de «graves dégâts sur le plan social, économique et politique». «C’est cette majorité parlementaire préfabriquée qui assumera les conséquences de cette politique», lance-t-il.
Affirmant que le groupe parlementaire du PT a été victime «de censure au niveau du bureau de l’APN», Djeloul Djoudi estime que «ce Parlement a tourné le dos à la majorité du peuple algérien, en décidant d’accepter l’augmentation des taxes et des impôts qui sont des mesures préjudiciables pour le citoyen». «En revanche, ce Parlement augmente les avantages et les cadeaux au profit de l’oligarchie qui s’enrichit. La poursuite de la politique de l’austérité signifie que l’Etat fuit ses responsabilités. Même la mesure qui était de la poudre aux yeux, en l’occurrence l’ISF, a été supprimée», dénonce-t-il.
Abondant dans le même sens, Lakhdar Benkhelaf, chef du groupe parlementaire de l’Alliance Ennahda-Adala-El Bina, soutient que «le pouvoir reste fidèle à sa logique». «Hier il a refusé de respecter la volonté populaire en accordant la majorité des sièges au parti de l’administration et aujourd’hui il ignore ce peuple. Ce PLF-2018 s’inscrit dans la continuité des lois de finances de 2016 et 2017 ; il vient pour affaiblir davantage le pouvoir d’achat des Algériens», condamne-t-il. De son côté, le chef du groupe parlementaire du FFS, Chafaa Bouaiche, met l’accent sur «la ruse» du gouvernement. «Au FFS, nous avons rejeté ce projet, car il détruit le caractère social de l’Etat algérien.
C’est un texte qui affame le peuple et qui protège les intérêts de l’oligarchie et des prédateurs qui ont détruit l’économie nationale et les espoirs du peuple algérien», dit-il. Selon lui, «même l’impôt sur la fortune était une ruse du gouvernement qui veut montrer que c’est le Parlement qui l’a refusé». «Aujourd’hui la majorité, le gouvernement et le pouvoir assumeront les conséquences de ce PLF-2018», tranche Chafaa Bouaiche.
Madjid Makedhi

Marché des changes : Le dinar à un plus bas historique face à l’euro
le 27.11.17 | 12h00

L’euro ne fait que consolider ses gains face à un dinar de plus en plus faible. La valeur de l’euro était fixée à 133,87 DA à l’achat et à 142,06 DA, hier, à la vente. Le dinar touche ainsi un plus bas historique face à la monnaie européenne sur le marché officiel.
La valeur de la monnaie nationale s’érode davantage, atteignant des plus bas historiques face aux principales devises : l’euro et le dollar. Hier, à l’ouverture hebdomadaire du marché interbancaire des changes, le dinar enchaînait une nouvelle semaine à la baisse contre l’euro. En effet, la valeur de l’euro est fixée à 133,87 DA à l’achat et à 142,06 DA à la vente ; le dinar touche ainsi un plus bas historique face à la monnaie européenne sur le marché officiel.
Il y a une semaine, la valeur de la monnaie unique était de 133,11 DA à l’achat et de 141,28 DA à la vente (cotations de la semaine allant du 19 au 25 novembre). En variation mensuelle, l’euro ne fait que consolider ses gains face à un dinar à l’agonie ; un euro valait 131,88 DA à l’achat et de 139,97 DA à la vente (cotations de la semaine allant du 29 octobre au 4 novembre 2017). Cette tendance de perte de valeur ne date cependant pas d’hier, mais suit une politique d’ajustement monétaire en fonction de l’évolution des fondamentaux de l’économie.
La dépréciation du dinar est ainsi nettement plus perceptible, si l’on confronte les cotations de cette semaine aux valeurs d’il y a une année. En effet, il y a une année (du 27 novembre au 3 décembre 2016), la valeur de la monnaie unique était de 115,80 DA à l’achat et de 122,88 DA à la vente. Dans un environnement économique et financier peu propice à une reprise du dinar, sa dépréciation participait d’une tentative d’ajustement face à l’impact du choc externe sur les fondamentaux.
Dit plus clairement, l’euro et le dollar tiraient leur épingle d’un jeu de la Banque centrale qui, par le moyen d’une érosion monétaire, tentait d’endiguer l’envolée de la facture des importations et la chute des recettes de la fiscalité pétrolière libellée en dinar. Dans sa dernière note de conjoncture pour le premier semestre 2017, la Banque d’Algérie a levé le voile sur une dépréciation de 3,47% du dinar face au dollar en moyenne semestrielle et de 4,53% vis-à-vis de l’euro.
Depuis 2014, la Banque d’Algérie martelait que ses interventions sur ce marché interbancaire des changes s’inscrivaient dans un «objectif stratégique» : celui de réduire l’impact du choc externe sur les fondamentaux de l’économie. Dit autrement, une appréciation du taux de change effectif réel du dinar en cette conjoncture de tensions serait nuisible pour la stabilité macroéconomique à moyen terme, tentait ainsi d’expliquer la Banque centrale dans ses différentes notes de conjoncture.
Le dollar, quant à lui, qui avait tendance à gagner en valeur face au dinar depuis juin 2014, a limité ses gains cette semaine, s’échangeant contre 113,10 DA à l’achat et à 120,00 DA à la vente. Il y a une année (du 27 novembre au 3 décembre 2016), la valeur du billet vert était fixée à 109,23 DA à l’achat et à 115,90 DA à la vente. Fin juin 2014, alors que les cours du brut amorçaient un dangereux virage vers la déprime, un dollar valait 78,87 DA en moyenne, contre 87,95 DA à fin décembre de la même année, tandis que l’euro est passé de 107,62 DA à 106,97 DA.
C’est dire toute l’ampleur de cette érosion qu’a subie le dinar depuis l’amorce de cette dégringolade des cours pétroliers sur le marché international. A souligner enfin que sur le marché parallèle des changes, déclaré illégal mais toléré par les autorités, l’euro a battu un nouveau record s’échangeant contre 204 DA, alors que la valeur du billet vert est de 170 DA.
Ali Titouche
Mondial 2018 : La liste des arbitres sera connue en janvier prochain
le 27.11.17 | 12h00
La liste définitive des arbitres devant diriger les rencontres de la Coupe du monde 2018 en Russie (14 juin-15 juillet) sera dévoilée en janvier prochain, a annoncé hier la Fédération internationale de football (FIFA) sur son site officiel.
La Commission des arbitres de la FIFA ne se prononcera qu’après la Coupe du monde des clubs, programmée aux Emirats arabes unis du 6 au 16 décembre 2017, précise la même source. 36 arbitres représentant les cinq continents, présélectionnés pour diriger les rencontres du Mondial 2018, ont entamé samedi un stage à Abu Dhabi (Emirats arabes unis) qui s’étalera jusqu’à jeudi prochain.
Cette liste comprend six referees africains dont l’Algérien Mehdi Abid Charef. L’Europe est le continent le plus représenté avec 10 arbitres, alors que l’Asie, l’Afrique, l’Amérique du Nord et Centrale, et l’Amérique du Sud comptent chacun six arbitres. «Notre objectif est de nous améliorer constamment. Dans cette optique, nous allons travailler dur pour nous préparer au mieux en vue de la Coupe du Monde de la FIFA, Russie 2018», a indiqué le président de la commission des arbitres de la FIFA, l’Italien Pierluigi Collina.
De son côté, le responsable du Département de l’arbitrage de la FIFA Massimo Busacca insiste sur la signification de cette réunion. «Comme pour toutes les sélections, il est important pour le corps arbitral de se réunir régulièrement et de se préparer aux grandes compétitions, afin de définir une philosophie commune».
L’Argentin Nestor Pitana, l’un des arbitres les plus expérimentés du séminaire, précise qu’il y a «toujours trois équipes sur le terrain : l’équipe A, l’équipe B et l’équipe arbitrale. Les exercices prévus pour les semaines à venir seront intensifs, et chaque arbitre donnera le meilleur de lui-même pour augmenter ses chances de figurer à la Coupe du monde de la FIFA, Russie 2018», a-t-il indiqué.
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