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Les amendements de la constitution ont conféré le caractère anonyme aux réunions du Conseil du Gouvernement Le Gouvernement se transforme en simple « pare- choc » servant à protéger le palais d'El Mouradia
En vertu des derniers amendements de la constitution, les réunions du Conseil du Gouvernement se font dans le secret total, les rencontres du premier ministre avec ses ministres ne sont plus annoncées et ce dernier ne publie plus de communiqués de réunions, comme il était de tradition avant la révision de la constitution.
Chronique 50 T'as déjà vu un intello avec un 4X4 ?
Miséricorde ! Plus on avance dans le temps, moins on trouve de réponses convaincantes à quelques interrogations bassement existentialistes. Mais non moins pertinentes. Bien que ce ne soit, au fond, qu'une simple question de bon sens.
Football : La vie en « Verts » !
Le temps s'égrène, inexorable. Et les cœurs battent la chamade au fur et à mesure que l'échéance tant souhaitée et tant redoutée, de part et d'autre s'entend, approche. Egyptiens et Algériens se craignent et se respectent.
Ils étaient en possession d'un dossier judiciaire en instance Arrestation de trois personnes et audition d'un juge
Le procureur de la république près le tribunal d'Oran a ordonné, avant-hier, l'arrestation de trois personnes après la découverte chez eux, d'un dossier judiciaire n'ayant pas été mis à la disposition du tribunal de Maghnia relevant de la cour de Tlemcen.
Le ministère la justice contredit la circulaire du ministère de l'enseignement supérieur Les étudiants accusent Herraoubia de jouer avec leur avenir et menacent d'entrer en grève
Les milliers d'étudiants ayant une licence en droit attendent toujours la décision, du ministère des universités et de l'enseignement supérieur, d'annuler la précédente décision émanant du ministère, le 17 octobre dernier, décrétant l'arrêt définitif du CAPA. Justifiant sa décision par une correspondance officielle émanant du ministère de la justice, demandant l'arrêt de cette formation jusqu'à sa restructuration. Cette dernière a, cependant, démenti être a l'origine de cette circulaire.
Football : La vie en « Verts » !
Le temps s'égrène, inexorable. Et les cœurs battent la chamade au fur et à mesure que l'échéance tant souhaitée et tant redoutée, de part et d'autre s'entend, approche. Egyptiens et Algériens se craignent et se respectent.
Chirac le reconnaît dans ses mémoires « J'étais proche des partisans des de l'Algérie française »
L'ancien président de la république française, Jacques Chirac, a déclaré avoir été proches des partisans de l'Algérie française, ajoutant qu'il n'avait jamais tenté de s'en excuser, ni de son jeune âge ni de son inexpérience au moment de la guerre d'Algérie.
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Chirac le reconnaît dans ses mémoires « J'étais proche des partisans des de l'Algérie française »
L'ancien président de la république française, Jacques Chirac, a déclaré avoir été proches des partisans de l'Algérie française, ajoutant qu'il n'avait jamais tenté de s'en excuser, ni de son jeune âge ni de son inexpérience au moment de la guerre d'Algérie. Ces déclarations sont extraites des mémoires de jacques Chirac, parues le 5 novembre dernier, précisément dans le chapitre intitulé « l'impasse algérienne », relatant son expérience en Algérie, et dans lequel il critique ce qu'il qualifie « d'erreur de la quatrième république (1946-1958) dans sa politique en Algérie », déclarant : « les ordres que nous recevions sur place étaient précis. Nous les avons exécutés sans la moindre hésitation. Mon régiment s'est, en effet, conduit de façon exemplaire .nous ne méritions pas de perdre, et nous n'avons pas été perdant. Pour beaucoup d'entre nous, le plus dur était que nous étions déterminés en notre nom et au nom de la France à ne pas abandonner les habitants qui avaient rejoint nos rangs ». Mr Chirac a ajouté : « plus tard il nous a fallu, malgré notre promesse, abandonner à nos adversaires ceux qui avaient mis toute leur confiance en nous, et qui avaient risqué leur vie pour nous. J'ai quitté l'Algérie à la fin de mon service militaire, en ayant parfaitement conscience des conséquences tragiques que la politique adoptée par Paris pourrait avoir sur le terrain. Même si la logique m'a amené à être d'accord avec les actions du général De Gaulle, je me suis malgré tout senti proche des partisans de l'Algérie française, et n'essaye pas aujourd'hui de m'en excuser par mon jeune âge et mon inexpérience politique. Si je me retrouvais dans les mêmes conditions, je pense que je ressentirais le même déchirement.
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08-11-2009 Par : Salem .M/Paris
Mahmoud Abbas renonce à se représenter à la présidence palestinienne RAMALLAH (Cisjordanie) - Le président Mahmoud Abbas a annoncé jeudi qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat à la tête de l'Autorité palestinienne lors des élections prévues le 24 janvier. [Lire la suite...] [08-11-2009]
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L'Expressiondz.com
COLES, COLLÈGES ET LYCÉES EN GRÈVE AUJOURD'HUI
L'épreuve de force
Boualem CHOUALI - Dimanche 08 Novembre 2009 - Page : 4
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Les classes risquent d'être vides |
R. BOUDINA |
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Dans le but de faire reconnaître ses revendications, l'Intersyndicale a opté pour un mouvement de grève musclé et un rassemblement le jour de la tripartite.
Alors que la prochaine tripartite regroupant le gouvernement, les différentes organisations patronales et l'Ugta, seul représentant des travailleurs, est fixée au 3 décembre prochain, l'Intersyndicale de l'éducation, partie intégrante et importante de l'Intersyndicale de la Fonction publique, souligne qu'«aucune paix sociale n'est garantie sans une véritable négociation avec les représentants légitimes des travailleurs».
Déterminée à poursuivre la lutte jusqu'à la satisfaction totale des revendications mises en avant, l'Intersyndicale de l'éducation ne lâche pas prise et revient avec un mouvement de grève et de protestation musclé, et une grève d'une semaine cyclique. Même si les plates-formes de revendications diffèrent d'une organisation syndicale à l'autre, les syndicats autonomes du secteur de l'éducation sont parvenus à un consensus autour de la question salariale, notamment la revalorisation du point indiciaire et la promulgation du régime indemnitaire et son application avec effet rétroactif à partir de janvier 2008, ainsi que la question liée à la gestion des oeuvres sociales.
Les établissements scolaires tous paliers confondus risquent de connaître une véritable paralysie à partir d'aujourd'hui avec l'entrée en lice du Cnapest, du Snapest, du Satef et de l'Unpef. Ces syndicats seront rejoints demain par le CLA, le Snapap et la Coordination nationale des enseignants contractuels.
Pour le Cnapest, syndicat initiateur de la semaine de grève, l'érosion du pouvoir d'achat, le retard dans le promulgation du régime indemnitaire et la question des oeuvres sociales et la médecine du travail sont autant de facteurs contribuant au bouillonnement social. «Le ministère se contente de jouer le rôle d'intermédiaire entre nous et la direction générale de la Fonction publique, chose que nous réfutons. Alors vaut mieux s'adresser à Dieu qu'à ses saints!», déclare Arezki Mehfi, membre du bureau national du Cnapest. Ce faisant, le syndicat des enseignants du secondaire, en plus des revendications consensuelles, met en avant l'abrogation du décret 94/158 qui donne les prérogatives à la Fnte-Ugta pour la gestion des fonds des oeuvres sociales des travailleurs de l'éducation.
«Loin de nous l'idée de gérer cette structure, notre revendication se limite à la mettre entre les mains d'une commission élue par les travailleurs avec le droit de regard sur sa gestion par l'ensemble des syndicats, pour que cette commission ne constitue plus jamais un moyen de chantage et de marchandage par l'Ugta» précise notre interlocuteur avant d'ajouter que «la loi est claire, l'avis du médecin du travail est exécutoire, il est désormais le seul habilité à affecter les cas recensés à des postes aménagés contrairement à ce qui se passe actuellement».
De son côté, le Satef, qui adhère entièrement à cette grève, préconise la tenue d'une conférence nationale sur l'éducation afin d'évaluer objectivement les réformes engagées. «Seule une conférence nationale mettra un terme au bricolage et aux solutions de replâtrage qu'on essaie d'apporter à chaque fois», souligne Sadali, le secrétaire général du Satef. Lequel syndicat met en avant l'abrogation du 87 bis, la décentralisation des oeuvres sociales au niveau de wilaya et des établissements scolaires, ainsi que l'intégration des contractuels.
Pour le CLA, tout repose sur le système éducatif qui doit véhiculer un véritable projet de société. A cet effet, le CLA propose la revalorisation du point indiciaire à 91,05 afin d'avoir un Snmg à 38.300 DA. «Désormais, l'incidence de la revalorisation du Snmg ne touche pas les fonctionnaires, mais plutôt les hauts cadres et autres catégories dont le salaire est calculé par le nombre de fois le Snmg», rappelle Achour Idir, porte-parole du CLA. A cet effet, ce dernier exige l'indexation de la valeur du point indiciaire sur l'indice des prix à la consommation, l'instauration d'une indemnité de panier et de transport, une indemnité d'acquisition de logement, la modification du statut particulier dans ses chapitres relatifs à la promotion, au pouvoir des commissions paritaires et conseils de classe, la défense de l'école publique et de qualité par l'ouverture des postes budgétaires, l'allégement des programmes et du volume horaire des élèves, le reclassement des enseignants du technique et enfin mettre fin à la contractualisation par l'intégration de tous les enseignants contractuels en poste.
L'Expressiondz.com
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