Actualité 8-08-2012
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Taoufik Makhloufi remporte la finale du 1500 m des JO : De l’or pour un brave
le 08.08.12 | 10h00
Taoufik Makhloufi a donné à l’Algérie sa première médaille d’or des Jeux olympiques de Londres 2012. Cette performance le place au même niveau que ses illustres aînés qui ont réussi l’exploit de décrocher une médaille d’or dans cette grande manifestation sportive, à savoir Noureddine Morceli (1996 à Atlanta), Hassiba Boulmerka (1992 à Barcelone) et Benida Merrah (2000 à Sydney).
Hier soir au stade Olympique de Londres, notre nouveau champion olympique a dominé ses adversaires du 1500 m avec maestria. Les millions de téléspectateurs algériens rivés sur le petit écran n’ont pas douté un seul instant de sa victoire finale, tellement son aisance dans la course, ses foulées franches et sereines, son sens tactique étaient au-dessus des capacités de ses rivaux, notamment les Kényans qui ont fait une course tactique pour «ferrer» l’enfant de Souk Ahras. En vain.
C’est la seconde fois en l’espace de trois ans qu’un sportif de cette ville fait vibrer l’Algérie. La première fois c’était en novembre 2009 à Khartoum, à l’occasion de l’historique match de barrage Algérie-Egypte (1-0). Antar Yahia est entré dans la légende du football et du sport et du football algérien en inscrivant l’unique but de la partie.Hier soir, Taoufik Makhloufi lui a emboîté le pas et offert à l’Algérie la médaille d’or que tout le monde attendait. Le mérite de cet athlète est incommensurable.
La veille de la finale de l’épreuve reine de l’athlétisme, il n’était pas sûr de prendre le départ, suite à sa disqualification par les juges arbitres de la course du 800 m qu’il n’a pas terminée, lundi matin, en raison d’ennuis musculaires qui l’ont contraint à abandonner la course au bout de 200 m au grand dam des arbitres qui ont estimé «qu’il n’avait pas fait montre de combativité».
Sur le champ, ils ont décrété son exclusion et par ricochet l’impossibilité pour lui de prendre part à la course du 1 500 m.
Son entourage et les spécialistes avaient craint que sa fin avait sonné. Durant toute la journée (lundi), il a été soumis à une terrible pression. Il ne savait pas s’il allait défendre ses chances au 1 500 m. A priori, cet épisode l’a surmotivé. Au lieu de s’effondrer en voyant s’éloigner son rêve de victoire sur le 1500 m, Taoufik Makhloufi a gardé espoir. Il a puisé dans cette adversité des ressources et une motivation incroyable qui lui ont permis en définitive de s’adjuger l’or devant des adversaires qui ne manquaient pas de talent.
Le brillant parcours de Makhloufi est le fruit d’un dur labeur accompli sous les ordres d’un coach somalien, Jama Adam, qui l’entraîne avec un groupe d’athlètes arabes venus du Qatar, du Soudan, d’Arabie Saoudite, et qui se prépare en Suède.
Durant la phase préparatoire aux Jeux de Londres, Taoufik Makhloufi s’est préparé durant plusieurs jours en Ethiopie. C’est dans ce pays et en Suède qu’il a préparé son exploit de Londres.
Faut-il rappeler qu’avant le départ de la délégation pour Londres, Taoufik Makhloufi était cité comme l’un des potentiels médaillés avec Soraya Haddad et les boxeurs. Les prévisions le concernant se sont vérifiées.
En lui, le demi-fond algérien détient enfin le digne successeur du trio médaillé d’or aux Jeux olympiques (Morceli, Boulmerka, Benida Merrah).
Au-delà de la victoire personnelle de l’Algérien Makhloufi, c’est le demi-fond maghrébin qui vient rappeler au monde que cette spécialité est redevenue l’apanage des athlètes maghrébins.
Hier, les champions avaient pour nom Hassiba Boulmerka, Benida Merrah, Noureddine Morceli (Algérie), Saïd Aouita, Hicham El Guerroudj (Maroc) qui peuvent être satisfaits de voir que la relève est assurée avec Taoufik Makhloufi et Abdelaatif Iguider (Maroc) en champion du monde cadet de la distance.
A présent, il s’agit de se projeter vers l’avenir, d’établir un bilan de la participation algérienne aux Jeux de Londres, sans passion, ni polémique. L’exploit (attendu) de Taoufik Makhloufi ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt, ni servir d’alibi à ceux qui ont une responsabilité dans la déconfiture enregistrée à Londres. Makhloufi ne doit pas être l’hirondelle qui fait le printemps. Pris en charge dès l’entame de leur carrière sportive, bien accompagnés, les sportifs algériens peuvent rivaliser avec leurs homologues des autres pays.
Il y a des sportifs qui ont des prédispositions pour briller dans des disciplines qui jadis nous ont valu beaucoup de joie à l’instar du hand-ball, du judo, de la boxe, qui continue à donner satisfaction, malgré le peu de moyens mis à sa disposition, sans oublier le football, cette discipline «carnivore» qui malheureusement échoue aux épreuves qualifications aux JO avec la régularité d’une montre suisse.
Les pouvoirs publics doivent prendre à bras le corps la problématique de la formation et la préparation de l’élite représentative dès les premières heures de l’initiation et de la pratique du sport. Sur ce chapitre, l’Algérie accuse un retard qui sera difficile à combler sans une réelle volonté du sommet de l’Etat de doter le sport algérien des moyens qui peuvent garantir sa réussite à travers une stratégie résolument engagée vers l’avenir et définitivement «libérée» des «bras cassés» qui parasitent le mouvement sportif national depuis des années.
Les sportifs algériens et leur nouvelle idole ont besoin d’engagements suivis d’actes de la part de ceux qui ont le pouvoir de leur offrir les moyens de gagner des titres et du bonheur aux Algériens, bien plus que des messages de félicitations (de circonstances) même émanant du président de la République.
Le sport algérien a besoin d’une seconde réforme. Sa prise en charge ne doit plus être confiée aux trabendistes qui dilapident les deniers publics au su et au vu de tout le monde.
Une médaille en or aux Jeux olympiques, ce n’est pas beaucoup, mais ce n’est pas rien aussi. La performance de Taoufik Makhloufi a le mérite de mettre en exergue la vérité suivante. Lorsqu’ils sont placés dans d’excellentes conditions, bien, pris en charge pendant des années, les athlètes algériens, toutes disciplines confondues, peuvent nous valoir d’immenses satisfactions. Il suffit, pour cela, tout simplement le mettre le paquet pour extirper le sport algérien du marasme dans lequel l’ont confiné des apprentis sorciers.
Yazid Ouahib
Une mésaventure appelée harcèlement de rue
le 07.08.12 | 12h55 | mis à jour le 07.08.12 | 16h52
Les femmes, de plus en plus nombreuses à sortir travailler ou vaquer à leurs occupations, se font draguer par les hommes. Mais parfois et même souvent la drague vire au harcèlement. Cela se produit dans toutes les sociétés mais à des degrés divers. Toutes les femmes ont eu à subir du harcelèment dans leur vie quotidienne. Notre société n’est pas épargnée par un tel « phénomène » qui anime le rapport femmes/hommes quand il s’agit, pour les femmes, d’investir l’espace public.
Tout a commencé par un fait d'actualité. En Belgique, une jeune réalisatrice a filmé en caméra cachée le harcelement incessant dont elle était victime de la part des hommes dans la rue, de la petite remarque jusqu'aux propos injurieux.
Le harcèlement a de tout temps animé le quotidien de la femme algérienne au point de devenir un fait banal car au regard des gens, les hommes en particulier :"la femme est responsable dans la mesure où lorsqu'elle s’habille et se comporte d’une façon indécente, elle fait naturellement objet de harcèlement", estime le sociologue Nacer djabi "
Jeudi 02 août, notre collègue a laissé un post sur la page facebook d’ElWatan. Il porte sur le harcèlement de rue qu’elle raconte sous forme d’un bulletin : une scène à laquelle elle a eu affaire pour la énième fois. Elle se rendait au travail quand cela lui est arrivé.
Par le nombre de commentaires (126 commentaires) et le nombre de mentions «j’aime» (270), on a pu d’ores et déjà mesurer l’intérêt porté au sujet.
« Faire la différence entre la drague et le harcèlement ! »:
Les réactions au post de notre collègue ont été hétérogènes: les un endossent la responsablité à la jeune femme, d'autres par contre trouvent que les mentalités doivent évoluer. Il est important de signaler que les réactions des facebookers sur la page d'El Watan n'est pas forcément représentatif de ce que pense la plupart des algériens.
En tous cas ceux qui ont réagi au post de notre collègue d'une façon positive sont nombreux. La plupart ont admiré le fait que notre collègue réagisse face à son «dragueur». Un membre sous le pseudo Nacéra Lahnina a réagi ainsi: "il ne faut surtout pas se laisser intimider par des imbéciles bravo à toi.... ». Abdenour abonde dans le même sens: «bravo, c'est la meilleure manière de remettre à leur place ces énergumènes qui ne font pas la différence entre drague et harcèlement ».
Quatre façons de percevoir le harcèlement de rue:
À la lecture des nombreux commentaires postés en réaction au bulletin de notre collègue, on dénombre 4 sortes de réactions de nos amis internautes.
1-Partisans de la passivité :
- Mia Khelifa que nous avons contacté via facebook pour l’associer au débat sur le harcèlement de rue n’a pas malheureusement répondu. Nous avons jugé sa réaction intéressante dans la mesure où la commentatrice s’est montrée plutôt contre le fait de réagir face aux hommes harceleurs: «quand on répond à un jeune homme de cette façon, on suscite de l’intérêt ou on cherche la bagarre…Répondre à ce jeune homme est une erreur, moi je ne lui répondrais pas et je passerais mon chemin », commente-t-elle. Et de préciser « et ceci ne voudrait pas dire que je suis faible ».
- A son tour Danyl Danino commente par ceci : «la nana a eu de la chance qu'il baisse les yeux et se casse, wallah y en a d'autres qui n'ont pas eu cette chance et qui se sont pris soit des insultes au visage, soit pire, des coups!! Effectivement ne faut pas se laisser faire et bla bla bla, mais y a des moments où il vaut mieux laisser filer! ».
2-Ceux qui incriminent la femme :
- Lah Énoube commente: « c’est vrai on drague, on provoque les filles et même plus. Mais il faut se demander pourquoi ? Il ne suffit pas de dire que nous sommes agressifs ».
- Pour Lah Enoube, la femme est coupable lorsqu’elle est harcelée : « quand on vous voit habillées en fuseaux en mini jupes et quasi nues. Vous ne pensez pas que c’est trop. Elles mettent ces vêtements dans le but de nous séduire. Et lorsqu’on se met à leur dire des choses, elles sont mécontentes. Notre société est une société de m… ».
- En versant dans le même sens, un abonné à la page facebook d’El Watan commente par ceci: « si tu veux que les hommes te respectent respectes toi. Un homme c’est un loup. Tu ne dois jamais lui laisser l’occasion (tenue vestimentaire provocante, cheveux découverts). Moi je ne vois jamais d’hommes embêter les femmes avec le niqab ni le hidjab alors ne viens pas te plaindre. Tu vis à l’occidental. C’est toi qui le cherches ».
- Krimo Adlan met aussi la responsabilité sur le dos de la femme. Il appuie son point de vue en se référant à la religion :"Si l’homme doit être pudique, la femme doit l’être encore plus, car cette vertu est plus proche de sa nature, et la forme la plus naturelle de la pudeur chez la femme est de couvrir son corps, la pudeur de la femme c’est le Hijab.Si vous possédez quelque chose de précieux, allez-vous en prendre soin ? Si vous avez quelque pierre précieuse, allez-vous la garder loin des yeux, ou allez vous la laisser traîner partout ?".
Le sociologue Nacer Djabi, contacté par le net, donne son avis sur le harcèlement de rue :
"L'algérien est de culture rurale..."
"La plupart des algériens se sont récemment installés dans les villes. Cela s'est produit avec l'exode rural de l'année 1962.Donc la plupart des algériens sont de culture rustique par conséquent ils appréhendent mal la présence de la femme dans l'espace public. Pour cela qu'ils se donnent le droit d'agresser la femme verbalement et même physiquement."
3- Ceux qui banalisent :
- En relativisant, un membre poste ce commentaire : « il a simplement voulu tenter sa chance avec toi alors pourquoi le priver ! ». Parmi les commentateurs, ceux qui banalisent le harcèlement de rue au point d’insister sur son inutilité. Faycal Larbi réagit d’un ton désabusé « au lieu de commenter l'actualité algérienne, le terrorisme, l’état déplorable des trottoirs, la saleté d'Alger et dans le reste du pays, la corruption à tous les niveaux, l’immobilisme au sein du pouvoir. Vous vous permettez de narrer votre journée passée à Alger ! Les barbus créées par le pouvoir, en juillet 1962. C'est pas une nouveauté Madame, ça dure depuis belle lurette et sa arrange tout le monde! ».
- À Tamayoung Tama de faire un diagnostic de notrre société : « dans un pays de valeurs musulmanes, tant de frustration et de dépravation résultat de tant de restrictions .Ne pas s'étonner de tels comportements ». Amir Seridi rejoint l’avis de Faycal Larbi et conseille de ne pas en faire trop : « ce geste est devenu monnaie courante surtout chez nous et chez les mâles (à ne pas évoquer le niveau instructif des uns et des autres)! Donc, il ne pas faut s'étonner ou "faire toute une philosophie" pour rien! »
4-Admiration et encouragement :
- Nous avons relevé plusieurs commentaires qui ont admiré le fait que la femme ait réagi face à son harceleur. Aicha Bagdi poste ce commentaire comme pour répondre à ceux qui banalisent le harcèlement de rue : « à tous ceux qui disent que ce n'est rien et qu'il a seulement tenter sa chance....etc. Cette femme a eu raison de lui avoir répondu et si il a voulu autre chose que l’embêter, il n'avait qu’à s'adresser à elle poliment et à établir un contact plus civilisé! Et pour terminer. Ce qu'on subit comme harcèlement verbal dans la rue est très dure pour nous les femmes. Alors essayer de justifier le comportement de ce jeune homme n'est vraiment pas une juste cause! ».
Nacer Djabi: "Le harcèlement de rue est du à la frustration sexuelle"
"La solution aura lieu à long terme et elle se produira lorsqu’on changera notre façon de voir la femme. Et surtout quand on trouvera une solution à nos problèmes sexuels. Car le harcèlement expriment en partie une crise de sexe dont souffre la société. Les hommes extériorisent cette crise plus que les femmes".
Hamida Mechaï
Perturbations dans l'alimentaion en eau potable à Tipaza et Réghaia
le 08.08.12 | 14h56
L'alimentation en eau potable sera suspendue dans plusieurs quartiers de Réghaia (Alger), du jeudi à 21h00 au vendredi à 03h00, en raison des travaux entamés à proximité du château d'eau SIGNA, indique mercredi un communiqué de la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL).
Les quartiers concernés par la suspension de l'alimentation en eau potable sont le centre ville de Réghaia, la cité Faoussi, la cité Signa, la cité DNC, la cité 348 logements, la cité 216 logements et la cité militaire, précise la SEAAL qui met à la disposition de ses clients le numéro de son centre d'appel téléphonique, le 1594 pour toute éventuelle information.
Un dispositif d'approvisionnement par citernes sera mis en place afin d'alimenter en priorité les établissements publics et hospitaliers afin de réduire les désagréments ainsi que la population dans les limites des possibilités de la SEAAL, a ajouté la même source. La SEAAL met tout en oeuvre pour rétablir au plus vite la situation et assurer de nouveau la continuité du service, ajoute le communiqué
Par ailleurs, une perturbation dans l'alimentation en eau potable touche plusieurs communes de la wilaya de Tipaza, ce mercredi de 9h à 17h, indique un communiqué de la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL).
Les communes concernées sont celles de Tipaza, Nador, Sidi Amar, Hadjout, Meured, Cherchell et Sidi Ghiles, ajoute la même source, précisant que ces perturbations sont dues à des travaux de réparation d'une canalisation principale de production d'eau potable, localisée au niveau de la station de pompage de Boukerdane.
Un dispositif d'approvisionnement par citernes est mis en place afin d'alimenter en priorité les établissements publics et hospitaliers pour réduire les désagréments causés à la population, ajoute encore le communiqué.