Actualité Mercredi 20 Octobre 2010

-°°°°LESOIR D ALGERIE du MERCREDI 20 OCTOBRE, 2010,-*+*--Actualités ALGÉRIE-FRANCE La énième lune de miel ? SAHARA OCCIDENTAL Le calepin de Christopher Ross COOPÉRATION ALGÉROFRANÇAISE EN MATIÈRE DE RECHERCHE 10 000 boursiers en 25 ans NOUVEAU PROGRAMME DE MISE À NIVEAU DES ENTREPRISES Quelles conditions pour la réussite ? PIÈCES DE RECHANGE POUR LE SECTEUR PÉTROLIER La sous-traitance permettra d'économiser des milliards de dollars CONSOMMATION Un site pour protéger les consommateurs ENTREPRISES Un institut pour la bonne gouvernance LE TRAVAIL D'INTÉRÊT GÉNÉRAL COMME ALTERNATIVE À LA PRISON Les limites d'une formule SNPSSP-MINISTÈRE DE LA SANTÉ Retour à l'apaisement BÉCHAR Le comité des marchés devant les juges BOUTEFLIKA FIXE LA COMPOSITION DU CABINET DE ZERHOUNI En attendant les attributions… MOSTAGANEM Peine capitale pour le meurtrier de son ami COMMUNE DE CHEBAÏTA-MOKHTAR (EL-TARF) 25 cas d'empoisonnement par l'eau des camions-citernes AÏN-DEFLA Trois employés de l'APC de Aïn-Bouyahia en détention provisoire pour trafic de documents administratifs OPÉRATION COUP-DE- POING MENÉE PAR LES GENDARMES Dix individus arrêtés à Oran AÏN-DEFLA Un instituteur pédophile sous les verrous Périscoop Installation Le rappel de Me Benabid Vols de nuit Des enseignants deux en un Un maire à la barre Régions AFFAIRE DES LOCAUX COMMERCIAUX DE BEN AZZOUZ À SKIKDA La liste des bénéficiaires contestée RECRUTEMENT À L'UNIVERSITÉ DU 20-AOÛT-1955 135 postes de maîtres-assistants ouverts ENVIRONNEMENT À TIZI-OUZOU Les citoyens de Boubhir s'opposent au projet du centre d'enfouissement ALGER Les habitants du 27, lotissement Florence d'El-Biar dans la tourmente NAÂMA Saisie de 10 kg de poudre explosive à Mecheria RELIZANE Découverte d'un corps sans vie à El-Matmar GUELMA La pénurie des billets de banque perdure SIDI-BEL-ABBÈS IL S'APPRÊTAIT À FAIRE CHANTER UNE JEUNE FILLE Un jeune homme sous les verrous MOSTAGANEM Ouverture prochaine d'une auberge de jeunesse Sports FOOTBALL LA FAF NE S'EMPRESSE POINT DE SIGNER LE CONTRAT DE BENCHIKHA ET AÏT DJOUDI Le BF entérine la rétrogradation des clubs de la DNA INFRASTRUCTURES SPORTIVES L'Opow Zabana «surpeuplé», Bouakeul en piteux état PUBLICATIONS SPORTIVES Horizons à l'heure du football professionnel FOOTBALL MC ALGER Telle une auberge espagnole BAHTSOU ABED (ATTAQUANT DU CABBA) : «Nous pouvons battre la JSK» NA HUSSEIN-DEY L'attaque inquiète El-Kourdi MC ORAN C'est l'euphorie à El-Hamri ASM ORAN Kioua assumera son objectif NATATION 10e MEETING DE ROUEN Nabil Kebab (CN Marseille) s'illustre HANDBALL CHAMPIONNAT D'AFRIQUE DES CLUBS Nedjma sponsor du GSP VALENCIENNES FC Kadir prolonge de deux saisons FOOTBALL CHAMPIONS LEAGUE D'EUROPE (3e JOURNÉE DE LA PHASE DE POULES, ACTE 2) Inter-Tottenham pour se détacher, Manchester pour se relancer INTER MILAN Eto'o, buteur retrouvé Chronique du jour DECODAGES La croissance, la démocratie : où en est l'Algérie ? Le Soir Retraite ADOPTION PAR LE PARLEMENT DU PROJET DE LOI RELATIF À LA PROTECTION DES PERSONNES ÂGÉES Pénaliser «l'abandon» de ces personnes par leur famille est une hérésie Combien sont-elles ? Les travailleurs âgés au moins de 60 ans, ne justifiant pas à cet âge de la condition de travail requise mais pouvant valider au moins 5 années ou 20 trimestres d'activité salariée, ont droit à une allocation de retraite. Le montant de cette allocati Droit à l'allocation de retraite en Algérie BARKAT L'A ANNONCÉ HIER Vraie ou fausse information ? L'allocation allouée aux personnes âgées sans revenus sera de 10 000 DA en 2011 ! A nos lecteurs Le Soir Auto ESSAI NOUVEAU FORD C-MAX Confort et plaisir de conduire XAVIER PEUGEOT, DIRECTEUR DU MARKETING MONDE CHEZ PEUGEOT, AU SOIR D'ALGÉRIE : «Nous voulons renforcer notre présence en Algérie» HYUNDAI ALGÉRIE Les succursales pour mieux se redéployer Top 5 Une légère accalmie du mois de septembre 2010 ÉMISSION TÉLÉVISÉE «AÂLAM ESSAYARAT» L'attrait magique de l'automobile Culture PORTRAIT Hafida Mimi, l'artiste aux dons multiples IRAK Découverte d'objets remontant à 3 500 ans avant J.-C. Le coup de bill'art du Soir Rodolphe, ce gros bailleur de fonds ACTUCULT Femme magazine Relaxez-vous sans modération ! Gnocchis de pomme de terre Quand la digestion passe par la bouche Sauce au fromage Symptômes de l'incontinence urinaire Crumble aux pommes et raisins secs Douleur Riez. Mais oui ! ***--MERCREDI 20 OCTOBRE, 2010---http://www.lesoirdalgerie.com.-

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LLa Une du 19/10/2010ES RALLONGES BUDGÉTAIRES 2009-2010 ONT COÛTÉ UNE FORTUNE
L’Algérie perd 10 milliards de dollars
Achira MAMMERI  - Mardi 19 Octobre 2010 - Page : 3

Une vue du ministère des Finances
Cet argent aurait pu servir à la recherche scientifique, au financement des microentreprises créées par les jeunes chômeurs, ou même à la construction des écoles afin d’endiguer la surcharge des classes

Gérer les grands projets n’est pas le maillon fort de l’Exécutif. Certaines réévaluations découlant de l’insuffisante maturation des études coûtent très cher aux caisses de l’Etat. Les chiffres officiels font très peur. Les erreurs ont dépassé le seuil du tolérable. Au titre de l’année 2010 seulement, le programme en cours a enregistré une réévaluation de 815 milliards de DA, soit près de 9 milliards de dollars.
C’est à trois milliards près le budget de l’autoroute Est-Ouest. En une seule année, l’Algérie perd beaucoup d’argent au moment où le monde entier prône l’austérité, se serre la ceinture et rétrécit les budgets de fonctionnement pour faire face aux répliques de la crise financière. Une question s’impose alors: mais comment fait-on pour en arriver à cette situation?
Les 9 milliards auraient pu servir à la recherche scientifique, au financement des microentreprises créées par les jeunes chômeurs, ou encore à la construction des écoles afin d’endiguer la surcharge des classes. En Algérie, cet argent est jeté par la fenêtre. Ce gaspillage institutionnalisé a nécessité l’intervention du président de la République.
Des slogans sont lancés dès lors par le ministre des Finances ou encore le Premier ministre pour faire cesser cette hémorragie financière. Une batterie de mesures furent prises. La plus paradoxale prévoit que toute «réévaluation d’autorisation de programmes qui s’avérerait indispensable devra être précédée par la suppression d’un montant équivalent, d’un projet de la nomenclature du secteur concerné».
Les experts évoquent une fuite en avant: on sacrifie un projet au lieu d’insister sur la maturation des études. Le bilan du gouvernement qui sera présenté jeudi à l’APN, même s’il se veut positif et optimiste sur les perspectives de l’économie nationale, annonce, toutefois, des signes qui font craindre le pire sur les équilibres financiers du pays. L’on apprendra aussi que le niveau des améliorations des revenus des fonctionnaires, notamment la charge induite par le nouveau régime indemnitaire (avec ses rappels), a exigé la mobilisation de 1000 milliards de DA, soit la quasi- totalité des revenus du Trésor hors hydrocarbures. Une autre question mérite d’être posée: et si le prix du baril de pétrole chutait à 10 dollars? Les experts écartent cette possibilité, mais serait-il judicieux de planifier des augmentations sur la base d’un revenu instable qui dépend de surcroît du marché international?

Ouyahia défend les orientations du gouvernement
Malgré l’impact de la crise financière, la croissance aura été, selon le bilan du gouvernement, au rendez-vous en 2009. Avec une hausse globale du PIB de 2,4%. La croissance du PIB a connu l’effet réducteur de l’inflation qui enregistre une remontée, avec 5,7% en 2009. Cela est le résultat «d’une forte injection monétaire découlant de la dynamique d’investissement et de la hausse des salaires».
Le document détaille la croissance enregistré pour chaque secteur. Avec une priorité bien évidement au secteur des hydrocarbures, qui dépend du marché international. La reprise de la croissance dans ce secteur projetée pour 2010 «pourrait être différéee à l’année 2011 avec la baisse récente des enlèvements de gaz par les clients de l’Algérie en Europe», précise le rapport. Bon résultat par contre pour l’agriculture avec une croissance évaluée à 20% en 2009.
Le secteur du bâtiment maintient sa croissance substantielle, avec une hausse de 8,7%. La redynamisation de l’industrie relevée en 2008 s’est poursuivie en 2009 avec une progression de 5% de la valeur ajoutée. Au chapitre du pouvoir d’achat, Ouyahia n’omettra pas de souligner que les 18 derniers mois ont connu une augmentation substantielle des rémunérations de l’ensemble des salariés, des pensions et même des bourses. En premier lieu, il y a le relèvement du Snmg de 25%. Par ailleurs, les fonctionnaires perçoivent, pour certains, leurs nouveaux salaires découlant du statut général de la Fonction publique, alors que pour d’autres c’est le nouveau régime indemnitaire qui leur a déjà été servi. Près de 40 statuts particuliers et 2 régimes indemnitaires ont été promulgués.
Parmi les autres mesures défendues, il y a la revalorisation des pensions et allocations de retraites. En outre, plus d’un million de titulaires de faibles pensions directes et pensions principales de réversion, ont bénéficié, pour la deuxième fois, de relèvement substantiel financé par le budget de l’Etat.
Au total, les transferts sociaux de l’Etat ont fortement évolué durant la dernière décennie, passant de 245 milliards de DA en 1999, à 460 milliards en 2005. Enfin, le bilan de Ouyahia parle de création de 1,5 million d’emplois en 2009 (400.000 permanents), cela a réduit le taux de chômage à 10,2% en 2009.

La paix sociale et les surenchères politiciennes
Les travailleurs qui ont payé un très lourd tribut à la crise économique et à l’ajustement, savent, précise Ouyahia dans son rapport, qu’«il est de leur propre intérêt de tenir l’exercice du droit syndical loin de toute manipulation politicienne», et éviter aussi que leurs revendications sociales n’aboutissent à la mise en faillite de leurs propres entreprises.
Le gouvernement reconnaît que la réussite du saut économique qualitatif nécessaire pendant ce quinquennat, a fortement besoin d’un climat de sérénité, qui libère les énergies au travail, met en confiance l’investisseur national et étranger, «en un mot, d’une stabilité sociale et de progrès dans la productivité et dans la compétitivité économiques».
Les ressources budgétaires qui seront investies en commandes publiques ne pourront être renouvelées sans cesse: «Il importe donc que le développement économique se prépare d’ores et déjà à vivre et à prospérer par le seul fait du marché.»

Repères
Les médias
La presse écrite qui est l’une des plus dynamiques du monde arabo-africain, totalise plus de 300 titres dont 70 quotidiens, bénéficiant d’un réseau de 24 imprimeries (12 pour les journaux et 12 pour les magazines) dont une nouvelle imprimerie publique à Ouargla, en attendant l’ouverture de celle de Béchar.
Les pouvoirs publics projettent aussi d’encourager la mise sur pied d’un véritable réseau de distribution de la presse écrite.
S’agissant de la publicité, et à l’inverse d’une opinion répandue, les annonceurs privés tiennent une place majeure.
La publicité est loin d’être un monopole public ni l’objet de répartition discriminatoire.
Ainsi, sur un chiffre d’affaires global de 123 milliards de DA de publicité en 2009, seuls 2 milliards DA ont été régis par l’Agence publique (ANEP) et près de 5 milliards DA de dépenses publicitaires sont le fait d’opérateurs privés.
Le transport urbain
Pour le métro: Le réseau initial d’Alger est achevé et sera mis en circulation durant l’année 2011, alors que son extension a été entamée. L’étude du métro d’Oran est, quant à elle, en voie de lancement.
Le tramway
La première ligne d’Alger sera réceptionnée l’année prochaine, alors que les chantiers des lignes d’Oran et de Constantine sont en cours. Les études des tramways de 6 autres villes ont déjà été contractées.
L’habitat
L’année 2010 s’achèvera avec le lancement de 200.000 nouveaux logements et la réception de 200.000 unités. L’année 2009 a enregistré la livraison de 218.000 logements et la mise en chantier de 270.000 autres.

 L'Expression                                                                         

 

LE PRÉSIDENT BOUTEFLIKA À PROPOS DE SA VISITE EN HEXAGONE
«J’irai à Paris... Inchallah»
Brahim TAKHEROUBT  - Mardi 19 Octobre 2010 - Page : 2

«Les relations entre l’Algérie et la France se portent bien»
Il a également affirmé que les relations algéro-françaises se portent bien.

Interrogé hier à Alger, sur son éventuelle visite en France, le Président Bouteflika n’a ni confirmé ni infirmé ce déplacement laissant la perspective ouverte par la formule bien de chez nous «Inchallah» (si Dieu le veut, Ndlr).
Cette réponse a été donnée à un journalsite, à l’issue d’une audience que le Président a accordée à la ministre d’Etat, ministre de la Justice et des Libertés garde des Sceaux de la République française, Mme Michèle Alliot-Marie. C’est ce que les Occidentaux appellent «le fatalisme arabe».
En fait, l’expression «Inchallah» marque généralement le désir de voir se réaliser un événement dans le futur. C’est la première fois que le président de la République se prononce sur cette visite officielle de deux jours qu’il devait effectuer à Paris en février 2010.
L’argument avancé à l’époque était l’agression israélienne contre Ghaza.
Mais depuis, d’autres éléments se sont greffés et ce déplacement a pris des allures d’Arlésienne.
C’est surtout l’épisode du diplomate Hasseni et la décision de Paris d’inscrire l’Algérie sur la liste noire des pays à risque terroriste qui ont envenimé la situation.
Si bien que les relations entre les deux pays se sont refroidies et sont restées depuis deux longues années au point mort.
Seulement voilà, le Président Bouteflika fait encore une autre confidence aux journaliste toujours lors de la réception accordée à son hôte, Michèle Alliot-Marie. Il a affirmé que les relations algéro-françaises «se portent bien».
«Les relations entre l’Algérie et la France se portent bien», a déclaré M.Bouteflika en réponse à une question sur les relations entre les deux pays.
Il y a réellement un semblant de dégel dans les rapports entre les deux pays depuis ces derniers jours.
Les langues commencent à se délier, notamment par rapport à la question de la mémoire. De son côté, Mme Alliot-Marie a indiqué que les entretiens avec le Président Bouteflika ont porté sur tous les domaines, notamment ceux relatifs à la défense, l’intérieur et la justice.
«Le président de la République m’a fait le grand honneur de me recevoir longuement et nous avons évoqué tous les domaines très larges de la coopération entre la France et l’Algérie», a-t-elle précisé, qualifiant de «très profondes» et de «très intenses» les relations entre les deux pays. «Nous avons développé la coopération dans le domaine de la défense et de l’intérieur, mais également dans celui de la justice, notamment depuis 2004 où nous avons une coopération dans le domaine de la formation», a-t-elle ajouté.
Elle a exprimé son souhait de voir ces relations «se développer, non seulement dans l’intérêt de nos deux pays, mais également dans l’intérêt des autres pays voisins ainsi que pour le développement de la paix et de la sécurité parce que, a-t-elle dit, c’est notre mission profonde».


L'Expression



20/10/2010
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