Actualité | vendredi 14 octobre 2011

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Actualité | vendredi 14 octobre 2011

 

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La guerre du feu (*)


Marins otages : les négociations reprennent

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le 14.10.11 | 01h00 Réagissez

 

La libération des deux marins, algérien et ukrainien, du vraquier Blida en otage, semble avoir donné un nouveau souffle à l’affaire des 17 marins algériens enlevés par des pirates somaliens.

Hier, quelques membres des familles des marins se sont réunis avec Nacereddine Mansouri, directeur général d’International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire. Les questions des familles des otages tournaient autour des négociations qui «n’avancent pas à la vitesse souhaitée». Mais la promesse faite par le DG d’IBC a réussi, un tant soit peu, à calmer les esprits. Nacereddine Mansouri a assuré aux familles que les négociations vont être relancées entre l’affréteur jordanien et les pirates somaliens avant mercredi, jour d’une énième rencontre entre les proches des otages et le DG d’IBC.

Des négociations qui butent sur le montant de la rançon qui aurait été revu à la hausse par les auteurs de l’enlèvement. Ce qui ne rassure pas les proches qui, partagés entre espoir et angoisse, affichent une inquiétude justifiée, notamment après la libération de Azzedine Toudji. «Je ne sais si mon frère est en vie ou pas. Dans quel état de santé il est. Ma famille est malade à force d’attendre depuis 10 mois. C’est insupportable», déplore la sÅ“ur d’un marin. De son côté, Noureddine Toudji, frère de l’otage relâché, rassure ses «compagnons» : Â«J’ai eu ce matin (hier, ndlr) mon frère au téléphone qui m’a confirmé que ses camarades ne sont pas malmenés», indique-t-il. Au sujet de son frère, Noureddine précise que Azzedine se trouve dans un hôpital à Djibouti, suite à un malaise cardiaque, raison pour laquelle ses ravisseurs lui ont rendu sa liberté.

Originaire de Dellys, Azzedine Toudji, 52 ans, est père de cinq enfants. Mardi soir, c’est lui-même qui a contacté son fils pour lui apprendre la bonne nouvelle. Le désormais ex-otage sera «rapatrié à bord d’un avion militaire vers la base de Boufarik (Blida), dans trois jours, mais sa famille ne pourra le voir que quelques jours après son retour en Algérie, après un passage chez les services de sécurité pour un débriefing», selon une source proche du dossier. Le vraquier battant pavillon algérien, MV Blida, avait été victime, le 1er janvier 2011, d’un acte de piraterie en haute mer, alors qu’il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya. Le navire avait à son bord un équipage de 27 membres, dont 17 de nationalité algérienne. Le directeur général d’IBC avait indiqué, en septembre dernier, que le contact avec les pirates «n’avait jamais été rompu», citant l’affréteur (Leadarrow) qui a mis sur pied une cellule de crise à Athènes.
 

Lamia Tagzout

Syrie: manifestations pour soutenir les soldats ralliés à la contestation

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le 14.10.11 | 10h22

Les militants pro-démocratie manifestaient vendredi pour soutenir les soldats ralliés à la contestation, les organisations de défense de droits de l'Homme faisant état de nombreux cas de défection de militaires opposés à la répression qui selon l'ONU a fait plus de 3.000 morts.

Les militants pro-démocratie manifestaient vendredi pour soutenir les soldats...

Les militants pro-démocratie manifestaient vendredi pour soutenir les soldats ralliés à la contestation, les organisations de défense de droits de l'Homme faisant état de nombreux cas de défection de militaires opposés à la répression qui selon l'ONU a fait plus de 3.000 morts.
Les militants ont appelé sur leur page Facebook à manifester en l'honneur des "hommes libres de l'armée", au lendemain de la mort de 36 personnes dont 25 militaires dans des bombardements et affrontements à travers le pays.
"Les hommes libres de l'armée ne tuent pas les hommes libres du peuple qui revendiquent la liberté", peut-on lire sur la page Facebook "The Syrian Revolution".
"Nous vous avons envoyé à l'armée pour nous protéger et protéger votre terre et la nôtre face aux ennemis, mais vous nous avez trompés et trompé la patrie", poursuit le texte appelant à "scander tous aujourd'hui (...) que l'armée fait partie du peuple et réclamer la protection de notre armée face à un régime qui l'a trompée avant de nous tromper".
Cet appel survient alors que de nombreux cas de défection ont été signalés ces derniers temps et de plus en plus de militaires sont tués dans des violences à travers le pays où l'armée et les forces de sécurité font face désormais à une résistance armée.
Ainsi, 36 personnes ont été tuées jeudi dont 25 militaires et plusieurs dizaines ont été "grièvement" blessées, principalement dans des bombardements et affrontements entre soldats et hommes armés, "vraisemblablement des déserteurs", dans la ville de Banache, province d'Idleb (nord-ouest), et à Hara, dans la province de Deraa (sud), a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'OSDH, basée au Royaume-Uni, s'étonne du "silence des autorités syriennes à propos de la mort de dizaines de soldats de l'armée régulière tués ces derniers jours dans la région de Deraa, la province de Deir Ezzor (est), la ville de Qouseir et Jabal Zawiya (région d'Idleb) et du fait que leurs corps n'aient pas été remis à leurs familles".
De son côté, le quotidien gouvernemental Techrine a fait état de la "mort de 10 membres de l'armée, des forces de l'ordre et de la police, victimes les plus récentes des crimes commis par les bandes terroristes armées à Idleb".
Citant une source militaire responsable, le journal affirme que "des éléments terroristes armés ont tendu une embuscade à Banache hier (jeudi) à une équipe composée de membres des forces armées et des forces de l'ordre causant la mort de 10 d'entre eux dont un officier et faisant 19 blessés".
Disant craindre une "guerre civile", le Haut-commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme a appelé les Etats à prendre des mesures urgentes pour protéger les Syriens en révolte depuis la mi-mars contre le président Bachar al-Assad.
La haut-commissaire, Navi Pillay, citée dans un communiqué, a déclaré que "le nombre de personnes tuées depuis le début des violences en mars dépasse maintenant les 3.000, dont au moins 187 enfants".
"Plus de 100 personnes ont été tuées durant les 10 derniers jours seulement. En outre, des milliers ont été arrêtées, détenues, victimes de disparition forcée et torturées", a-t-elle souligné.
Le Haut-commissariat estime que les sanctions prises par la communauté internationale à l'égard de Damas n'ont pas modifié l'attitude des autorités syriennes jusqu'à présent, a indiqué un porte-parole, Rupert Colville, lors d'un point de presse.
"Il incombe à tous les membres de la communauté internationale de prendre des mesures de protection de manière collective et décisive, avant que la répression continue impitoyable et les assassinats conduisent le pays vers une véritable guerre civile", a déclaré Mme Pillay.
Elle a ainsi noté que "comme toujours plus de membres de l'armée refusent d'attaquer des civils" et se rangent désormais du côté des opposants, "la crise montre déjà des signes inquiétants indiquant que la situation sombre dans une lutte armée".
"La communauté internationale doit parler d'une seule voix et agir pour protéger le peuple syrien", a-t-elle déclaré, faisant valoir que le régime syrien avait failli à sa mission de protection de la population.
La Russie et la Chine --membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU-- ont opposé le 4 octobre leur veto à un projet de résolution des pays occidentaux menaçant le régime syrien de "mesures ciblées" pour qu'il cesse la répression sanglante des manifestations.
De son côté, l'Union européenne a adopté jeudi un huitième train de sanctions à l'encontre du régime syrien. L'UE a déjà interdit notamment tout nouvel investissement dans le secteur pétrolier et la fourniture au pays des billets de banque qu'il faisait imprimer en Europe.
L'agence officielle syrienne a toutefois annoncé la signature d'un contrat avec le groupe allemand Siemens portant sur l'agrandissement d'une centrale électrique au nord de Damas pour un montant de 305 millions d'euros.

AFP

Libye: les combattants du CNT peinent à conquérir Syrte

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le 11.10.11 | 09h16


Les forces du nouveau régime libyen se regroupaient vendredi pour tenter de nouveau de prendre le contrôle total de la ville de Syrte après avoir reculé de quelques kilomètres la veille face aux forces du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi, toujours en fuite.

 
Les forces du nouveau régime libyen se regroupaient vendredi pour tenter de...

La prise de Syrte se révèle ardue pour les forces du nouveau régime libyen qui butaient toujours vendredi sur la résistance acharnée des derniers soldats fidèles à Mouammar Kadhafi sans parvenir à les déloger de leurs dernières redoutes.
Les combattants du Conseil national de transition (CNT, ex-rébellion) se sont regroupés vendredi matin au QG de la police à Syrte, où ils s'étaient repliés jeudi après avoir reculé de deux kilomètres devant la violente riposte des forces pro-Kadhafi, selon un journaliste de l'AFP.
Les forces du colonel Kadhafi, retranchées dans les quartiers résidentiels "Dollar" et "N°2" dans le nord-ouest de la ville, opposent une résistance féroce inattendue, ralentissant l'avancée des combattants du CNT qui espéraient prendre le contrôle total de Syrte en quelques jours.
Le CNT attend la chute de cette ville-symbole, située à 360 km à l'est de Tripoli, pour proclamer la "libération totale" du pays et reprendre ses discussions en vue de former un gouvernement chargé de gérer la transition.
Vendredi, à la mi-journée, des tirs sporadiques à l'arme lourde et des tirs de roquettes résonnaient dans les deux quartiers, selon un journaliste de l'AFP, mais les forces du CNT n'avaient pas encore lancé un nouvel assaut.
"Hier (jeudi) soir, nous avons utilisé les canons pour bombarder les quartiers", a expliqué Nasser Moghassabi, commandant sur le front de la Brigade des "Martyrs de la Libye Libre". "La situation aujourd'hui est la même. Nous encerclons les deux quartiers", a-t-il dit à un journaliste de l'AFP.
"Nous avons tenté de nous approcher du quartier où des combats se poursuivent, mais notre équipe d'éclaireurs a dû rebrousser chemin à cause des tireurs embusqués qui ont pris position tout autour du quartier", a expliqué de son côté le docteur Youssef al-Badri.
Selon le journaliste de l'AFP, le gros des troupes du CNT à l'est des deux quartiers s'était regroupé dans le QG de la police.
"Nous attendons les ordres. La bataille de Syrte va se terminer très bientôt, mais la guerre en Libye ne s'achèvera qu'avec la capture de Kadhafi", veut croire un combattant pro-CNT, Abdessalam Farjani, alors que trois chars se préparent à bombarder un centre de commandement militaire, symbole de l'ancien régime.
Un commandant pro-CNT sur le front est, Faysal Bringo, avait affirmé jeudi que 500 fidèles au colonel Kadhafi combattaient toujours dans Syrte, dans les quartiers "N°1" et "N°2", situés au bord de la Méditerranée.
Au fur et à mesure que l'étau se resserre, les combattants pro-CNT, outre les bombardements des forces pro-Kadhafi, sont soumis au danger des tirs fratricides. Selon des sources médicales, quatre pro-CNT ont été tués et 40 blessés jeudi, en majorité par des tirs fratricides et par des balles de tireurs embusqués pro-Kadhafi.
Outre Syrte, les forces du CNT assiégeaient toujours l'oasis de Bani Walid, un autre bastion pro-Kadhafi à 170 km au sud-ouest de Tripoli, où les frappes de l'Otan ont touché jeudi quatre véhicules militaires et un lance-roquettes.
Le chef du comité local du CNT de Bani Walid, Al-Haj Mbarak Al Fatnani, a démenti jeudi qu'une des principales brigades avait reculé d'une trentaine de km, expliquant que les combats étaient suspendus pour préparer la prochaine offensive contre les 1.500 combattants pro-Kadhafi toujours présents dans Bani Walid.
Pendant ce temps, les nouvelles autorités libyennes recherchaient toujours activement Mouammar Kadhafi, en fuite depuis la chute de son QG à Tripoli le 23 août, après 42 ans au pouvoir, et ses fils, Mouatassim et Seif al-Islam, dont des combattants affirment qu'ils se trouvent respectivement à Syrte et à Bani Walid.
A Tripoli, le CNT assure que l'arrestation de l'ancien dirigeant "n'est qu'une question de temps", mais s'interroge sur de possibles manipulations après l'annonce mercredi de la capture de Mouatassim, finalement démentie.
"Il pourrait s'agir d'une stratégie, d'une rumeur répandue pour semer la confusion et lui permettre de s'échapper de Syrte", où les combattants le soupçonnent d'être réfugié, estime Abderrahmane Boussine, porte-parole militaire du CNT.
"C'est le genre de ruses dont ils ont l'habitude", confirme Ouahid Bouchane, président du Conseil local du CNT à Gharyane, dans les montagnes de Nefoussa (ouest). "Concernant Seif Al-Islam par exemple, ils ont diffusé des images le présentant avec des hommes portant l'uniforme des rebelles. Ces techniques ont souvent été utilisées par le régime" Kadhafi, indique-t-il.
Plus à l'Ouest, les véhicules n'étaient toujours pas autorisés vendredi matin à franchir le poste-frontière tunisien de Ras Jdir, à la suite de différents incidents au cours desquels deux Libyens ont été blessés par balle jeudi, a constaté un photographe de l'AFP.

AFP

*--LESOIRDALGERIE*- *-*--***--Le Jeudi 14 octobrE , 285e jour de l'année 2011 et 4è jour du mois de DHOU AL Q'IDA - - -1432--*- //** Actualités Chronique n ! -http://www.lesoirdalgerie.com *-*--***--Le Jeudi 15 NOVEMBRE , 318e jour de l'année 2007 et 4è jour du mois de DHOU AL Q'IDA ---- 1428 --- *//***



14/10/2011
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