ACTUALITES du Dimanche 10 Novembre 2019

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Dimanche 10 Novembre 2019

 

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Le Conseil Constitutionnel a validé leurs dossiers : Cinq candidats pour une élection incertaine

 incertaine-10-11-2019

 

 November 10, 2019

 

 

Dernière procédure réglementaire avant la campagne électorale pour la présidentielle, toujours incertaine, du 12 décembre prochain. Après l’annonce, il y a sept jours, de la liste des candidats retenus pour la prochaine présidentielle par l’Autorité indépendante des élections (ANIE), le Conseil constitutionnel a rendu, lui aussi, son verdict définitif. L’institution que préside Kamel Fenniche a validé les cinq candidatures déjà connues.

Il s’agit de celles du président du Front Al Moustakbel, Abdelaziz Belaïd, du président de Talaie El Hourriyet, Ali Benflis, du président du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, de l’ancien Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, et du secrétaire général par intérim du Rassemblement national démocratique (RND), Azzedine Mihoubi. Le Conseil constitutionnel a rejeté, selon son président, 9 recours introduits par des candidats à la candidature recalés, dont celui de Belkacem Sahli, secrétaire général de l’ANR, et de Fares Mesdour, présenté comme étant un économiste. «Le Conseil constitutionnel a décidé le rejet des 9 recours, car infondés et ne satisfaisant pas aux conditions de fond prévues aux articles 139 et 142 de la loi organique relative au régime électoral, modifiée et complétée», indique Kamel Fenniche.

Ainsi, la prochaine joute électorale ne verra que la participation d’un personnel politique qui a servi, durant ces 20 dernières années, sous les ordres du régime du président déchu, Abdelaziz Bouteflika. En tant que Premier ministre, chef de gouvernement, ministre ou membre influent d’organisations évoluant à la périphérie du même pouvoir, les cinq prétendants au palais d’El Mouradia sont perçus, par l’opinion nationale, comme des symboles de la continuité du même système qui tient en otage tout un pays. Point de changement ! Même si chaque concurrent tente de convaincre qu’il sera «l’artisan d’une vraie transition démocratique», ses arguments peinent à trouver un écho auprès des foules imposantes des participants au mouvement populaire, rejetant «une élection organisée par les  îssabate (bandes)».

Cinq candidats face au Hirak !

En effet, le hirak, qui a repris ses forces depuis le mois de septembre dernier et qui s’est fait rejoindre par «des partisans des élections repentis», se montre de plus en plus déterminé à faire échouer cette joute devant se tenir dans un mois. La prétendue ferveur populaire pour ce scrutin n’a aucune existence sur le terrain. C’est ce que prouve, en tout cas, la participation insignifiante aux marches encadrées pour soutenir le processus électoral lancé par le pouvoir en place. Bénéficiant d’une large couverture de la télévision publique, EPTV, et d’un encadrement des services de l’ordre, ces marches ne drainent que quelques dizaines de participants.

Il s’agit d’un indicateur important sur le climat général dans lequel se déroulera cette élection, qualifiée plutôt de passage en force des tenants du régime. C’est dans ce climat aussi que les cinq candidats en lice s’engageront à mener  leurs campagnes dans les prochains jours. Que feront-ils face à ce rejet massif de leurs candidatures et du scrutin en général par le hirak ? Comment procéderont-ils pour faire campagne ? Attendons pour voir. Mais la scène à laquelle a fait face, il y a quelques jours, Ali Benflis qui avait été pris à partie par des citoyens à Alger risque de se reproduire à l’occasion de la prochaine campagne.

L’autre interrogation concernant cette élection porte sur l’enjeu de la participation. Les candidats et le pouvoir en place savent d’ores et déjà que la légitimité populaire de cette élection et du prochain Président n’est pas facile à obtenir dans les conditions actuelles. Que faire pour convaincre le corps électoral d’aller voter, le 12 décembre prochain ? Le pouvoir en place se contentera-t-il seulement des voix de sa clientèle habituelle ?

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A LA UNE / ACTUALITÉ

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IL A PRÉSENTÉ SON PROGRAMME AUJOURD'HUI

Benflis se désigne candidat du hirak

 
Photo : ©Louiza Ammi-Sid
 

 Le candidat Ali Benflis s’est placé dans la position du candidat de la « révolution populaire » contre celui qu’il a qualifié, sans le nommer, le « candidat du cinquième mandat ».

« Si cette révolution craint le clonage du régime existant, je crains que ce système fasse des présidentielles  un cinquième mandat répété », a déclaré Benflis, qui a présenté son programme aujourd’hui, dimanche à l’hôtel Hilton (Alger). Afin que cela ne se produise pas, Benflis ajoute : « mon combat et le combat de mes camarades  ne me permet pas de lui donner une chance et de lui ouvrir la voie, et ma candidature et mon programme visent à accélérer sa disparition et à fermer les portes devant lui ».

Il est à rappeler que Ali Benflis, candidat aux élections présidentielles de 2004 et 2014, a, dans une récente déclaration, qualifié la candidature de Abdelmadjid Tebboune comme une « distorsion de l'élection présidentielle ».

Le Président de Talaie El-Houriyet a par ailleurs promis de faire de son quinquennat « un mandat d’urgence », où il jumèlerait  entre les présidentielles  et la constituante, tout en s’engageant à dissoudre le parlement actuel et organiser des élections législatives anticipées. Réitérant son soutien au soulèvement du 22 février, il a ajouté : « je me retrouve dans chaque cris du hirak, comme j’étais et je suis toujours, sans me fatiguer ni perdre espoir de porter les mêmes revendications et aspirations ».

Imène AMOKRANE

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10/11/2019
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