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A quelques mois de l'opération dégraissage des effectifs dans les entreprises algériennes ordonnée début 1998, sous la pression du FMI profitant de la situation économique aléatoire de l'Algérie, ils étaient un peu plus de 22 000 agents et cadres à occuper différents postes de travail dans les 7 filiales du groupe Sider. Ils ne sont plus que moins de 6 000 à subsister au jour le jour en 2010. Les autres sont partis, appâtés par l'indemnité de départ volontaire promise par leur employeur Sider, l'équivalent d'un salaire mensuel par année travaillée jusqu'à concurrence de 300 000 DA.
C'était l'époque de la fin des années 1990 avec la chute vertigineuse de la production souffrant d'une gestion archaïque souvent perturbée par des grèves de travailleurs revendiquant des augmentations des salaires. Il s'agissait de la conséquence de plusieurs années de politique sociale basée sur le plein-emploi faisant du complexe sidérurgique El Hadjar un bureau de recrutement ouvert majoritairement à ceux qui... ne voulaient pas travailler. Le début des années 1980 sera annonciateur de la fin d'une autre politique. Celle de l'industrialisation à outrance prônée à la fin des années 1960 par le défunt président Houari Boumediène dans sa volonté de faire de notre pays une puissance économique continentale. Une fin que rien ne justifiait d'autant plus que les cadres dirigeants du groupe Sider, menés par Messaoud Chettih, président-directeur général du groupe, avaient multiplié les missions à l'étranger pour l'acquisition d'autres équipements de production ou la réhabilitation de ceux déjà en production, études du marché extérieur de la sidérurgie, transfert du savoir-faire et technologique... Mais c'était compter sans les «nababs» du rond à béton d'importation. Ils avaient fait leur apparition début 1990 avec l'ouverture des frontières du pays aux investissements étrangers et aux partenariats. A partir de là, la déstabilisation de Chettih et consorts allait devenir une réalité de tous les jours. Déjà mal en point, dépassant rarement 800 000 tonnes/an pour une capacité installée de 2,2 millions de tonnes, la production fit le grand plongeon pour se fixer à 600 000 t/an. Les termes mauvaise gestion, bureaucratie, corruption firent leur apparition. Ils étaient appliqués à chaque opération d'acquisition ou de changement intervenue dans une quelconque entreprise. Ce qui entraîna en 1996, l'interpellation et la mise sous mandat de dépôt de Chettih et son staff de 9 cadres dirigeants. Lors d'un procès historique, tous furent condamnés à de sévères peines de prison. Quatre années après, à la suite d'un appel, ils furent tous blanchis et réintégrés à leur poste de responsabilité avec une promotion pour Chettih. C'était une manière des décideurs de préparer le terrain au partenariat. Un dossier était déjà bien ficelé et n'attendait que la signature des deux parties prenantes sous l'auspice du chef du gouvernement de l'époque, à savoir Ahmed Ouyahia. Celui-là même qui avait été cité à la barre des témoins à charge lors du procès des cadres Sider.
Un partenariat avec plus de bas que de hauts  Actualités
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«L'ENTREPRISE DOIT ÊTRE COMPÉTITIVE», SELON LE DIRECTEUR DE L'ADE
Altumet, filiale de Anabib, menacée de fermeture |
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Les travailleurs d'Altumet, filiale d'Anabib, spécialisée dans la fabrication de tubes métalliques, tirent la sonnette d'alarme et attirent l'attention sur les difficultés rencontrées par leur entreprise. Ils citent ainsi l'absence de demandes de leurs produits pour l'alimentation en eau potable. Pour sa part, M. Mechia, directeur de l'Agence de distribution de l'eau (ADE), a déclaré que l'entreprise doit être plus compétitive et doit répondre aux demandes spécifiques du secteur. Suite... |
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DEVANT LE SILENCE DE L'UGTA
Vers un syndicat autonome des intendants |
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Décidément, le bras de fer entre la Coordination nationale des personnels intendances et économes (CNPIE) et la tutelle n'est pas près de connaître son dénouement. Le ministre de l'Education nationale semblant privilégier la piste du dialogue, des syndicats automnes, à savoir l'Unpef, le Cnapest et la SNTE, seront reçus par son département dans les prochains jours. Suite... |
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MERCURIALE
Les prix repartent à la hausse |
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Pomme de terre, oignon, tomate… tous les produits alimentaires de large consommation ont connu une forte hausse des prix. Une semaine après la fête de l'Aïd, les prix n'ont toujours pas baissé. Après les dépenses du mois de Ramadan, de l'Aïd puis de la rentrée scolaire, le citoyen devra aussi payer cher son panier. La ménagère aura du mal à varier ses plats, tellement les prix qu'affichent les fruits et légumes sur les étals des marchés de la capitale sont hors de portée des bourses moyennes. Suite... |
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DE LA SNS À ARCELORMITTAL
Les clefs pour comprendre la crise |
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A quelques mois de l'opération dégraissage des effectifs dans les entreprises algériennes ordonnée début 1998, sous la pression du FMI profitant de la situation économique aléatoire de l'Algérie, ils étaient un peu plus de 22 000 agents et cadres à occuper différents postes de travail dans les 7 filiales du groupe Sider. Ils ne sont plus que moins de 6 000 à subsister au jour le jour en 2010. Les autres sont partis, appâtés par l'indemnité de départ volontaire promise par leur employeur Sider, l'équivalent d'un salaire mensuel par année travaillée jusqu'à concurrence de 300 000 DA. Suite... | |
Actualités
: UNE NOUVELLE OFFENSIVE MAURITANIENNE DANS LE NORD DU MALI CONTRE UN GROUPE TERRORISTE
Violente opération militaire à la frontière algérienne
Un nouveau raid de l'armée mauritanienne est en cours dans le nord du Mali, le deuxième du genre, contre les groupes terroristes sévissant dans la région après celui de juillet dernier. On ignore cependant le bilan exact de l'opération, qui a débuté vendredi et qui s'est poursuivie jusqu'à hier, les sources citées par les différentes agences de presse ne concordant ni sur le nombre de terroristes éliminés ni sur les pertes enregistrées dans les rangs des Mauritaniens.
«L'armée encercle actuellement une vingtaine de véhicules des éléments armés d'AQMI près de la localité malienne de Areich Hindi, non loin de Hassisidi, à une centaine de kilomètres au nord de Tombouctou, où les combats de vendredi s'étaient déroulés», a avancé hier, selon l'AFP, un militaire mauritanien de haut rang. L'offensive, qui serait selon des sources citées par l'AFP, également appuyée par les Français, s'est soldée par l'«élimination d'une bonne douzaine de terroristes». Les officiels mauritaniens ont déploré, pour leur part, comme premier bilan, la mort de «deux militaires et la blessure de quatre autres». Or, a affirmé une source algérienne ayant requis l'anonymat et citée par la même agence française, l'opération a été un fiasco. Cette source a indiqué que l'armée mauritanienne aurait subi d'importantes pertes humaines : «Au moins dix militaires ont péri au cours des affrontements et autant de blessés, contre l'élimination de seulement cinq terroristes». Un bilan confirmé par un élu malien rapporte l'AFP, faisant référence à des nomades qui n'étaient pas loin du lieu des affrontements et qui a précisé qu'il y a eu beaucoup de morts parmi les soldats mauritaniens : «Les nomades qui sont revenus d'un lieu à proximité de l'endroit où les combats se sont déroulés hier (vendredi), nous ont dit que beaucoup de militaires mauritaniens sont morts». D'autres informations ont également circulé sur une éventuelle implication, une nouvelle fois, des troupes françaises aux côtés des Mauritaniens dans cette offensive ayant débuté vendredi dernier et qui s'est poursuivie jusqu'à hier, samedi. Un officiel mauritanien a même avoué que l'opération s'est basée sur un renseignement fourni par les Français, mais sans plus. Des «habitants du nord du Mali», cités par l'AFP, ont informé qu'un avion français de reconnaissance a survolé la région à basse altitude, une information confirmée par une autre source algérienne. Un porte-parole du Quai d'Orsay (ministère français des Affaires étrangères), toujours selon l'AFP, a en tout cas démenti ces informations. Il a surtout précisé que l'opération ne visait pas la libération des otages français capturés au Niger et conduits au désert malien par les ravisseurs, et a nié tout engagement français sur le terrain : «Il n'y a pas de forces françaises sur le terrain, et ces combats sont indépendants de l'enlèvement des employés du groupe français Areva, survenu dans le nord du Niger dans la nuit de mercredi à jeudi», a-t-il déclaré. Et de saluer les «efforts» consentis par la Mauritanie pour l'éradication du terrorisme dans la bande sahélienne.
L. H.
Sports
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FOOTBALL
CAN-2012 (ELIMINATOIRES, GROUPE D, 2e JOURNÉE)
Djabou, l’invité-surprise |
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Le nouveau sélectionneur national de football Abdelhak Benchikha a convoqué vingt-trois joueurs, dont le milieu de terrain de l'ES Sétif, Abdelmoumen Djabou, en vue du match contre la Centrafrique prévu le 10 octobre à Bangui, pour le compte de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2012, a rapporté la FAF hier sur son site. Suite... |
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GHANA
Desailly veut coacher les Black Stars |
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L'ancien défenseur international français d'origine ghanéenne, Marcel Desailly, a indiqué que les hauts responsables au Ghana «sont d'accord» pour sa candidature au poste de sélectionneur des Black Stars. «Toutes les parties semblent OK sur mon projet, du ministre au président de la Fédération, mais il faut attendre. Suite... |
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TRANSFERT
Salim Kerkar presque acquis aux Rangers |
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A l’essai depuis voilà trois semaines au sein de l’équipe d’Ibrox, le jeune milieu de terrain algérien de Gueugnon, Salim Kerkar (23 ans), devrait signer dans les prochaines heures son contrat avec les Rangers. Kerkar, qui a convaincu les responsables techniques de l’équipe écossaise, devrait négocier les termes de son transfert avant de parapher son contrat. A rappeler que Karim Kerkar, le frère aîné de Salim, a évolué dans le championnat écossais, notamment sous les couleurs de Dundée United avant de s’expatrier dans les championnats des pays du Golfe. Suite... |
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ASM ORAN
Henkouche se fait désirer |
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Après dix jours passés à Aïn-Témouchent où elle effectuait son ultime stage d’intersaison, l’ASMO est rentrée à Oran. Un regroupement clôturé par un match amical face au Zidoria Sport. Cette rencontre a été jouée sous une pluie battante. Suite... |
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FOOTBALL
GROUPE B
ES SÉTIF 0 - TP MAZEMBE 0
Sortie sans gloire pour l’Entente |
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Stade du 8-Mai-1945, temps chaud, affluence faible, pelouse en bon état,
arbitrage de M. Doué Noumandiez assisté de MM. Yéo Souguifoto et Oussou Kanadio (Côte d’Ivoire).
Avertissements : Laïfaoui (12’), Bouchrit (30’), Hachoud (70’) ESS.
ESS : Chaouchi, Hachoud, Metref, Laïfaoui, Diss, Lemmouchia, Bouchrit, Djabou, Hadj Aïssa, Benmoussa puis Djallit (68’), Ghazali.
Entraîneur : Salinas.
TP Mazembe : Kidiaba, Mihayo, Nkulukuta, Kasusula, Tshani, Kimwaki, Bedi, Singuluma puis Sunzu (75’), Kaluyituka, Kabangu puis Kanda (83’), Semakweri puis Mveté (60’).
Entraîneur : Lamine Diaye Suite... |
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HANDBALL
CHAMPIONNAT NATIONAL MESSIEURS (2E JOURNÉE)
Ah, ces promus ! |
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Avec une allure qui commence à devenir régulière, les sociétaires de la division «élitiste» ont effectué, vendredi, la deuxième étape de leur long parcours handballistique. Ce qu’il faut retenir au soir de cette journée c’est, d’un côté, le plein réalisé par certains équipages et, de l’autre, les ratages des autres. Cependant, il faudra évacuer aussi l’euphorie ou le pessimisme. Et pour cause, la confirmation ou le rachat restent d’actualité car la saison est encore longue. Suite... |
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L’AS Castors renaît de ses cendres |
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D’anciens joueurs mouloudéens, dont Bendjemil, Doballah, Bensenouci et Harrat, ont décidé de réactiver le handball à partir de leur quartier de résidence «la cité des Castors familiaux», en lançant des sections de jeunes. Plus de 30 années sont passées depuis que ce groupe talentueux de handballeurs a réussi à se faire une place dans ce sport collectif, qui avait fait vibrer la capitale de l’Ouest sur les terrains en goudron des Castors à Eckmühl (El Hamri) (ASMO puis ASPTT) ainsi qu’au complexe SEPSO (handball, basket-ball, volley-ball et salle de musculation). Suite... |
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VOLLEY-BALL
CHAMPIONNAT D'AFRIQUE CADETS GARÇONS
La Tunisie conserve le titre |
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La sélection tunisienne de volley-ball cadets (garçons) a conservé le titre de champion d'Afrique des nations, après sa victoire sur son homologue marocaine (3-2), lors de la 4e et dernière journée de la 11e édition disputée du 13 au 17 septembre à Cape Town Afrique du Sud). Le six tunisien qui s'est imposé lors des précédentes journées face à l'Algérie (3-0), l'Afrique du Sud (3-0) et l'Egypte (3-0), termine ainsi en tête du classement avec 8 points et s'adjuge son 7e trophée africain après avoir été sacré en 1994, 1997, 1998, 2000, 2006 et 2008. La Tunisie est ainsi qualifiée pour la phase finale du championnat du monde prévu en 2011 dans un pays qui reste encore à désigner. Suite... | |
Sports : HANDBALL
CHAMPIONNAT NATIONAL MESSIEURS (2E JOURNÉE)
Ah, ces promus !
Avec une allure qui commence à devenir régulière, les sociétaires de la division «élitiste» ont effectué, vendredi, la deuxième étape de leur long parcours handballistique. Ce qu’il faut retenir au soir de cette journée c’est, d’un côté, le plein réalisé par certains équipages et, de l’autre, les ratages des autres. Cependant, il faudra évacuer aussi l’euphorie ou le pessimisme. Et pour cause, la confirmation ou le rachat restent d’actualité car la saison est encore longue.
Pour le groupe A, c’est vers la ville de Saïda que les regards ont convergé car il y avait le premier duel intéressant à voir entre le Mouloudia local et le Chabab d’Alger-Centre, tous deux vainqueurs au début de cet exercice. Comme attendu, les débats ont été âpres et pleins de suspense avec, à la clé, un succès étriqué des locaux. Les deux autres vainqueurs de mardi dernier, à savoir les Pétroliers et les gars de Bab- El-Oued, ont connu des fortunes diverses. Bien que les Pétroliers se soient imposés comme prévu face aux Tizi-Ouzéens, c’est cet écart de 37 buts enregistré qui laisse les observateurs perplexes. Les Kabyles, après leur précédente défaite à domicile avec un écart de 22 buts, ajoutée à celle de vendredi dernier, sont déjà dans une situation critique et le clignotant est au rouge pour cette équipe qui nous a habitués à mieux. A la surprise générale, les gars de Bab-El-Oued se sont fait piéger par ceux de Sétif, nouveaux promus, occasionnant «une douche écossaise» à leur fans. Par contre, Baraki s’est bien racheté de son échec chez lui. Les banlieusards d’Alger sont allés à El-Oued récupérer les points perdus, au grand dam des locaux. Du côté de la seconde poule, la hiérarchie prévalant actuellement est quelque peu inédite. Nous retrouvons, d’un côté, un nouveau promu et, de l’autre, un autre bien requinqué. Arrêt. Surprenant tout leur monde, les nouveaux pensionnaires de ce palier, à savoir les Auressiens d’Aïn Touta, donnent l’impression de ne pas être dépaysés par ce nouvel environnement : Skikda et, vendredi, Chelghoum Laïd ont déjà fait les frais de cet allant. Qui dit mieux ? Co-leaders, les El-Biarois affichent, après deux belles victoires, leur intention de ne pas revivre le parcours désastreux du précédent exercice. Aussi, Bechkour et ses camarades semblent avoir retenu la leçon. Ayant raté son début de saison, l’ensemble skikdi se rattrape brillamment chez lui. Ce sont les Arrouchis qui font les frais de cette réaction. L’autre équipe qui surprend et ses fans et les observateurs est celle de Bordj Bou Arréridj. Ayant débuté la compétition par une victoire à l’extérieur de ses bases, voilà qu’elle s’incline chez elle devant les Boufarikois.
O. K.
Résultats et classement
Groupe A
MC Saïda - CRBEE Alger- Centre 27-25
TRBB Bab-El-Oued - TR Sétif 27-31
GS Pétroliers - JS Kabylie 45-08
O. El-Oued - CRB Baraki 32-34
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Pt |
J |
| 1. MC Saïda |
4 |
2 |
| GS Pétroliers |
4 |
2 |
| 3. CRBEE Alger-Centre |
2 |
2 |
| -. TRB Bab El-Oued |
2 |
2 |
| -. TR Sétif |
2 |
2 |
| -. CRB Baraki |
2 |
2 |
| 7. O. El-Oued |
0 |
2 |
| -. JS Kabylie |
0 |
2 |
Groupe B
C. Chelghoum Laïd - ES Aïn Touta 21-28
HBC El-Biar - AB Barika 30-28
JSE Skikda - R El-Harrouche 36-23
CRBB Arréridj - GS Boufarik 32-34
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Pt |
J |
| 1. ES Aïn-Touta |
4 |
2 |
| -. HBC El-Biar |
4 |
2 |
| 3. CRBB Arréridj |
2 |
2 |
| -. GS Boufarik |
2 |
2 |
| -. JSE Skikda |
2 |
2 |
| 6. AB Barika |
1 |
2 |
| -. C Ch Laïd |
1 |
2 |
| 8. REA |
0 |
2 |
Culture
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EXPO AU MAMA
Signé Noir sur blanc |
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Le Collectif «Noir sur blanc, Alger-Lyon-Sétif» est en «attente» au Musée d’art moderne d’Alger. Il vient de Jijel où deux résidences de création avaient réuni plusieurs artistes algériens et français. L’exposition intitulée «L’attente» regroupe des œuvres signées par huit artistes des deux pays. Suite... |
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À LA SALLE EL-MOUGGAR
Journées du film hindou |
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La salle El-Mouggar (Alger) abritera, du 23 septembre au 2 octobre 2010, des «Journées cinématographiques du film hindou». La manifestation sera organisée par l’Office national de la culture et de l’information (Onci) en coopération avec l’ambassade de l’Inde en Algérie. Suite... |
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ACTUCULT |
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Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi (Square Port-Saïd, Alger)
*Dimanche 19 et lundi 20 septembre à 19h, spectacle chorégraphique Nyade Sofiane Abou Legraa. Suite... | |
| Malédictions ! |
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Par Hakim Laâlam
Email : laalamh@yahoo.fr |
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Culture. Dans les tout prochains jours s'ouvre au Théâtre régional de Batna un mois du monologue. Une manifestation placée bien évidemment sous le…
…haut patronage avisé
du président de la République !
Bien sûr que non ! Je ne vais quand même pas céder aux croyances bizarres, au surnaturel, aux superstitions et à l'irrationnel. Je m'y refuse. Par principe. Mais Dieu que mes principes sont ébranlés depuis que j'ai appris l'inhumation de l'islamologue Mohamed Arkoun en terre marocaine, à Casablanca. Bonté divine! Mais quelle est donc cette force terrible qui pousse nos icônes, nos artistes, nos immenses écrivains, nos illustres penseurs et essayistes à choisir d'autres dernières demeures que leur pays pour leur éternel repos ? Y a-t-il un problème majeur avec nos cimetières? Y aurait-il des interdits qui ne nous auraient pas été communiqués par les autorités et qui stipuleraient en secret que nos femmes et hommes illustres, nos femmes et hommes de l'art dans toutes ses acceptions ne peuvent prétendre à un bout de terre chez eux ? Quelle est donc cette malédiction sans nom ? Des flots ininterrompus de jeunes harraga qui préfèrent mourir en mer ou sur l'autre rive, en face, plutôt que de crever à petit feu ici. Et des «immensités» partout ailleurs reconnues, respectées, voire adulées refusant que leur corps ne revienne au pays, une fois le grand voyage terminé. Les jeunes. Les anciens. Les anonymes. Les sommités. Enfin réunis dans cette œuvre de «punition» d'une terre qui les a toujours rejetés. Terrible destin de ce caillou dont les filles et fils ne veulent même plus pour sépulture. Ça me remplit d'effroi. Mohammed Arkoun. Mohamed Dib. Slimane Azzem. Et combien d'autres qui ont chuchoté leur dernier vœu aux oreilles de leurs épouses : «S'il te plaît, pas là-bas !» L'impossible pardon, même dans la mort. Le refus d'abandonner sa sépulture à ceux qui vous ont bouté dehors, écœuré de rester, dans le temps. Dans ce temps des croyances aujourd'hui évanouies. Refuser de se laisser ensevelir dans son pays n'est pas un testament banal. Il ne s'enregistre chez aucun notaire. Il se rédige dans les pages d'histoire. Pas celle des officiels rageurs de rater l'occasion d'aller plastronner aux arrivées des aéroports, dans les zones de fret où débarquent les cercueils. Non ! L'histoire non falsifiée. Celle à écrire. Et le dernier pied-de-nez des icônes. L'œuvre majeure : Non ! Vous n'irez pas à Houari- Boumediène pleurer vos larmes de crocodiles affamés sur le bois de mon cercueil. Terrible épitaphe ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L. | |
