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Les arrestations de militants se multiplient : Inquiétant recul des libertés

 

September 29, 2019

L’arrestation de Karim Tabbou, le lendemain de sa mise en liberté conditionnelle, laisse perplexe et inquiète lourdement. Arrêté chez lui par des individus en civil sans en connaître les motifs, il a été conduit vers une destination inconnue, privé de son droit d’en informer sa famille avant d’être présenté en fin de journée devant le tribunal de Sidi M’hamed, qui l’a placé sous mandat de dépôt. Le cas Tabbou n’est pas isolé. Arrestations musclées, gardes-à-vue en violation de la loi et mises en détention systématiques des manifestants et militants politiques augurent de sombres jours pour l’Algérie et sa révolution.

Moins de 24 heures après sa mise en liberté conditionnelle par le tribunal de Koléa, Karim Tabbou se fait embarquer jeudi matin par «des individus en civil qui se sont présentés comme étant des policiers», puis conduit à bord de leur véhicule vers une destination inconnue. Durant 24 heures, aucun de ses avocats n’a pu identifier ceux qui ont procédé à cette arrestation, ni être informé du lieu vers où il a été dirigé.

Ce n’est qu’au milieu de la journée de vendredi et après avoir fait le tour des tribunaux, que Me Mustapha Bouchachi a pu avoir l’information de sa présentation devant le tribunal de Sidi M’hamed, jeudi en fin de journée, et son placement en détention à El Harrach. Pour l’instant, ni la famille ni les avocats ne connaissent les raisons de cette deuxième incarcération. Ce qui est en violation totale avec les dispositions du code de procédure pénale, qui garantissent le droit des citoyens, lorsqu’ils sont arrêtés par les services de sécurité, d’informer leur famille ou leurs avocats.

Le cas Karim Tabbou n’est malheureusement pas isolé. Plusieurs militants politiques ont fait l’objet des mêmes pratiques que l’on croyait révolues. D’abord Lakhdar Bouregaâ, cet ancien officier et héros de la Guerre de Libération nationale, âgé de 86 ans, membre actif du mouvement de protestation populaire, arrêté le 29 juin dernier dans des conditions aussi troublantes que condamnables.

Il était chez lui, parmi les membres de sa famille, lorsque des individus en civil l’ont emmené, sans lui laisser le temps de se changer, vers une destination inconnue. Personne, même pas les membres de sa famille, n’a été informé des motifs et de l’endroit où cet homme au passé révolutionnaire a été dirigé, jusqu’à ce qu’il soit présenté au parquet de Sidi M’hamed puis incarcéré à El Harrach. Il y a quelques jours, le 16 septembre, c’était au tour d’un autre activiste, Samir Belarbi, de faire l’objet d’une arrestation musclée dans la rue, à quelques encablures de sa maison à Bouzaréah. Ce n’est que 24 heures plus tard qu’il a été déféré devant le parquet de Bir Mourad Raïs, qui l’a placé sous mandat de dépôt.

Son avocat, Me Badi, parle de «kidnapping sur la voie publique, opéré par des personnes qui se sont présentées comme étant des agents des services de sécurité pour l’emmener vers une destination inconnue». Les deux amis de Belarbi, qui avaient assisté à l’arrestation, affirment que ce dernier était dans sa voiture «lorsque deux véhicules banalisés qui le suivaient lui ont barré la route. Les occupants sont descendus et lui ont ordonné de les suivre. Ils l’ont emmené vers une destination inconnue». A ce jour, Belarbi croupit à la prison d’El Harrach.

Après les arrestations de dizaines de porteurs de l’emblème amazigh, c’est au tour des activistes de la contestation populaire d’être la cible des services de sécurité. Le 18 septembre, le journaliste Fodil Boumala a été surpris comme un vulgaire délinquant au bas de son domicile, vers 20h30, par des agents en civil qui l’ont présenté le lendemain devant le tribunal de Dar El Beïda, lequel l’a placé en détention. Pour les militants des droits de l’homme, au fur et à mesure que la date du 12 décembre, prévue pour l’élection présidentielle, se rapproche, le nombre d’arrestations de manifestants et de militants politiques se multiplie.

Chaque vendredi, de nombreux manifestants sont interpellés par les services de sécurité, souvent happés loin de la foule, sans aucune raison, et bon nombre d’entre eux sont placés sous mandat de dépôt pour «attroupement non autorisé», alors que des millions d’Algériens battent le pavé chaque vendredi sans demander la permission de l’administration. Parallèlement à ces mesures arbitraires, les médias lourds aussi bien publics que privés sont soumis au chantage et à la censure pour éviter toute critique à l’égard des tenants du pouvoir.

Ces tentatives de mainmise sur la parole ont pour but d’arrêter la marche historique vers la IIe République à travers les pratiques de terreur que l’on pensait révolues. Comment peut-on arrêter des citoyens en dehors des heures prévues par la loi (entre 7h et 20h), les maintenir en garde-à-vue sans que leurs familles ne soient informées et les déférer devant les tribunaux sans la présence de leurs avocats, puis les mettre systématiquement sous mandat de dépôt ? L’Algérie semble glisser de plus en plus vers un Etat de non-droit. La situation inquiète à plus d’un titre…

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Le collectif des avocats des détenus dénonce des «lenteurs» : «Qu’attendent ces juges pour programmer le procès ?»

25 septembre 2019 à 10 h 01 min

Le Collectif des avocats des détenus dénonce «la volonté des juges de décourager les avocats qui doivent se déplacer quotidiennement pour assister aux auditions des détenus».

«Le tribunal de Sidi M’hamed et le tribunal de Bab El Oued informent les avocats de la défense des détenus, via des SMS, la veille de la comparution de deux détenus devant le juge d’instruction dans le fond. Il s’agit d’un plan bien étudié et bien organisé par la justice aux ordres qui n’a qu’un seul but : décourager les avocats qui doivent se déplacer quotidiennement pour assister aux auditions des détenus pris en otages et briser le moral des détenus et de leurs familles», a dénoncé le CNLD dans un post virulent publié sur sa page Facebook.

Il est précisé que les avocats de la défense des détenus n’ont pas pris de congé cet été, «se demandant que cache cette fois-ci la justice soumise et évidemment ces juges qui ont pris leur congé du 15 juillet jusqu’au 15 septembre». Cette situation, précise-t-on, a causé un «retard énorme» et une «lenteur» dans le traitement des dossiers.

Le collectif s’interroge : que cache réellement ces auditions (comparution dans le fond) devant le juge d’instruction du tribunal – notamment celui de Sidi M’hamed –alors que le monde entier sait qu’il s’agit de détentions arbitraires et d’accusations infondées ? Il relève que les juges d’Alger, qui ont mis sous mandat de dépôt une cinquantaine de citoyens, sont «en train de gagner du temps en attendant de recevoir des ordres d’en haut pour prendre des décisions».

Des lois de la République «différentes» ?

«Les lois de la République algérienne sont-elles différentes entre Annaba, Chlef, Mostaganem, Oran, Batna et la justice d’Alger qui est toute proche des cercles de décisions ? Pourtant, les faits et les accusations sont les mêmes un peu partout dans toutes les wilayas ! Qu’attendent ces juges pour programmer le procès de tous ces détenus dont nombreux sont à leur 95e jour de détention provisoire ?

Pourquoi un des juges d’instruction du tribunal de Sidi M’hamed a ordonné une commission rogatoire (enquête sociale) sur sept détenus résidant hors wilaya d’Alger ?» s’interrogent les rédacteurs de la déclaration. Et d’ajouter : «N’y a-t-il pas un autre moyen pour gagner du temps afin de prolonger la durée de détention provisoire limitée à quatre mois préalablement ?»

Malgré les tracasseries et les difficultés rencontrées par le collectif, les avocats et les membres du CNLD engagés pour la libération de tous les détenus d’opinion assurent être déterminés à continuer le combat. Engagé dans le collectif, MAlili a lancé un appel à ses collègues. «Nous avons besoin de vous, ce n’est pas uniquement dans les marches. De nos jours, il y a plusieurs programmations devant les juges d’instruction, des présentations, des audiences pénales, dans plusieurs tribunaux à l’échelle nationale et le nombre d’avocats ne répond pas aux besoins des détenus et non-détenus. Nous devons renforcer le collectif.

Sinon, on risque de perdre la bataille, ou bien les avocats qui restent vont lâcher et se retirer un par un du collectif», poste-t-elle sur sa page Facebook. Le CNLD a salué dans sa déclaration la mobilisation citoyenne pour exiger la libération de ces otages et informe l’opinion publique que les détenus d’opinion ainsi que leurs familles ont besoin de la solidarité de tous sans aucune exception.«Les avocats de la défense des détenus, mobilisés et engagés depuis le début de la révolution, à défendre bénévolement tous les détenus d’opinion, continuent leur noble mission et s’organisent en groupes à répartir les tâches», conclut le collectif.

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Tribunal de Sidi M’hamed : Rassemblement pour la libération des détenus d’opinion

 

September 29, 2019

29 septembre 2019 à 17 h 19 min

Le procès des détenus d’opinion incarcérés depuis le 23 juin dernier se poursuit ce dimanche 29 septembre au tribunal de Sidi M’hamed.

Un mouvement de solidarité  a été observé ce matin devant la cour de justice à la rue Abane Ramdane d’Alger pour exiger la libération de tous les détenus , incarcérés arbitrairement pour port de l’emblème amazigh durant les manifestations populaires hebdomadaires du vendredi.  Des dizaines de manifestants ont longuement attendu la décision du tribunal. Ils ont scandé des slogans hostiles à l’adresse du pouvoir et en particulier en direction de l’appareil judiciaire qui ne cesse de prendre des décisions arbitraires à l’égard des jeunes détenus lesquels avaient exprimé pacifiquement depuis le 22 février des prises de position hostiles au pouvoir en place.

Les manifestants n’ont pas manqué de fustiger les tenants du pouvoir autoritaire qui à opéré des tentatives  de museler tout ceux qui s’opposent à sa feuille de route. « Libérez les otages » ou même « libérez la justice », ont scandé les protestataires venus pour afficher leur soutien aux jeunes incarcérés. Certaines familles de détenus ont tenu à y participer afin de dénoncer l’incarcération de leurs enfants qui «  n’est justifiée par aucune loi de la république », estiment-ils.

Dans ce sens, maitre Mouhous Seddik, l’un des membres du collectifs d’avocats qui prend en charge l’affaire des détenus, a tenu à dénoncer le deux poids deux mesures affiché par la justice à l’égard des détenus. « Nous avons fait appel pour la libération des détenus, toutes les demandes ont été rejeté. Nous avons ensuite fait appel pour la détention provisoire au niveau de la chambre d’accusation, nous avons même donné tous les arguments juridiques mais en vain », s’offusque  l’avocat. 

« La justice ne veut pas prendre en considération les préoccupations des détenus dont certains trainent des maladies », a-t-il renchéri. 

En parallèle, l’avocat n’a pas manqué l’occasion de dénoncer le paradoxe de la justice. « Nous avons assisté au procès du jeune Nadir Fétissi qui a été relaxé par le juge près le  tribunal de Annaba où même les jeunes détenus des autres régions qui ont connu le même sort mais il se trouve que les jeunes incarcérés à Alger dont les faits sont similaires sont mis sous mandat de dépôt », s’est indigné l’avocat. «Il est porter à la connaissance de tous  que le port de l’emblème amazigh est une revendication identitaire reconnue par la Constitution et par les lois de ce pays, elle ne constitue nullement, par conséquent, une menace pour l’unité nationale.», conclut l’avocat Mouhous. 

Les deux militants du RAJ mis sous mandat de dépôt 

L’autre procès tant attendu pour ce dimanche 29 septembre est celui des deux militants du RAJ (Rassemblement Actions Jeunesse)incarcérés tout les deux jeudi dernier dans des cafétérias du centre ville (l’un à Abane Ramdane et l’autre au Milk Bar).

Les deux militants en l’occurrence Karim Boutat et Ahcène Kadi ont été mis sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près du tribunal de Sidi M’hamed, ’information donnée par  Abdelouahab Ferssaoui président du RAJ qui a tenu à l’annoncer sur sa page facebook. Les deux jeunes ont été inculpés pour les mêmes faits : « incitation et atteinte à l’intégrité territoriale par diffusion des vidéos sur facebook et port de pancartes et slogans attentatoire à la l’unité nationale », selon Ferssaoui qui a tenu à dénoncer ces chefs d’inculpation infondés.

Dans le même sillage, d’autres jeunes seront présentés ce lundi devant le tribunal de Sidi M’hamed (chambre d’accusation numéro 11) à l’image de Leftissi Messaoud qui sera jugé demain. Un sit-in de protestation sera organisé devant le même tribunal, annonce le CNLD (Comité National pour la Libération des Détenus) sur sa page facebook. 

Il faut rappeler, dans ce sillage, que tous les détenus auditionnés dans le fond par les magistrats d’Alger ont été renvoyés en prison et aucune ordonnance de non-lieu n’a été prononcée en leur faveur. Ces détenus, incarcérés, en majorité, depuis le mois de juin, sont accusés d’atteinte à l’unité nationale et du port de l’emblème autre que celui national. 

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(Revue de presse du mercredi 03 janvier 2018) Les Universités publiques au bord du gouffre

 

 

 

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