ACTUALITES Du JEUDI 05 Décembre 2019

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(Revue de presse du mercredi 03 janvier 2018) Les Universités publiques au bord du gouffre

 

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Point barre : Bientôt un an de hirak et déjà un grand succès

Tiens, le 13 décembre tombe un vendredi !

Point barre : Bientôt un an de hirak et déjà un grand succès

05 décembre 2019 

En toute chose il faut considérer la fin, dit dans une de ses fables La Fontaine. Courte mais incisive cette citation :avant d’entreprendre quoi que ce soit, il faut envisager une précaution essentielle, à savoir comment ça va se terminer.

Autrement dit, il faudra que nos politiques et les jeunes qui ont porté l’étendard de la contestation pendant neuf mois éprouvants sans être jamais découragés ni fatigués pensent aux premiers résultats de la révolution qu’ils ont entretenue et préservée des complots et des tentatives d’anéantissement qui se renouvelaient au même rythme que les marches admirablement pacifiques qui leur ont servi à «rameuter» toutes les couches de la société algérienne sans distinction.

On a vu des personnes à mobilité réduite se mêler aux processions des marcheurs, poussés, eux et leur fauteuil roulant par des jeunes pas encore sortis de l’adolescence mais enthousiastes rien qu’à l’idée de rendre service et faire plaisir à des personnes du troisième âge revigorées et vengées des humiliations que l’ancien mais toujours présent régime leur a fait subir.

En même temps d’ailleurs que tout le reste du peuple algérien. A rappeler, à cet égard, la goutte de trop qui avait fait déborder le vase d’Aladin. Et même la lampe de démiurge avec laquelle il l’éclairait. Adieu le vase, adieu la lampe. Le tarissement de la volumineuse manne financière alimentant une rente qu’«ils» croyaient infinie semble les avoir secoués un peu, mais alors juste un peu.

Car leur train et mode de vie les ont placés sans qu’ils s’en rendent compte dans une position de «fainéants» et d’«assistés» et naturellement donc en parias de la société. Normal quand on vit plus à Paris et Barcelone que dans ce pays où l’on vient juste pour faire le plein d’argent pour acheter des hôtels miteux, mais des palaces également, dans les villes d’Europe où il fait bon vivre. 

Ce qu’il y a d’extraordinaire dans ce vaste mouvement de contestation qui n’a pratiquement épargné aucune ville du pays, y compris souvent des bourgs et de gros villages confinés jusque-là dans un isolement qui n’a rien d’agréable, c’est cette maîtrise, vite acquise sur le terrain, de techniques qui ne sont pas sans rappeler celles des guérillas urbaines.

On touche du bois, mais c’est un miracle que la masse des manifestants s’en soit tenue à une règle d’or qui a grandement fait le succès du hirak : le pacifisme en tout temps et tout lieu, malgré les provocations et les charges violentes et souvent injustifiées des forces de l’ordre.

Si bien qu’une question était sur toutes les lèvres : jusqu’à quand nos jeunes se laisseront-ils tondre la laine sur le dos sans opposer de résistance ?

Formés à l’école de l’internet et de la parabole, les oreilles encore sonnantes des bombes et des massacres de la décennie noire, ils ont fait un autre effort tout aussi admirable que le respect absolu du pacifisme, se réapproprier les pans oubliés de l’histoire nationale et réhabiliter les héros de la Guerre de Libération nationale.

Ceux qui leur reprochent leur trop-plein de prudence et leur méfiance excessive de toute structuration devraient faire l’effort d’aller discuter avec eux. Ils seraient surpris, agréablement, d’y découvrir un niveau de conscience politique et des capacités d’analyse qui les laisseraient ébaubis et plus admiratifs encore.

Même la prison ne leur fait plus peur, ceux qui ont eu la malchance d’être embarqués et incarcérés supportent stoïquement leur sort et leur détention, selon leurs avocats, des bénévoles qui leur rendent visite chaque jour.

Erreur pour ceux qui croient à la rédemption par la seule case prison et s’y emploient à la faire goûter à de jeunes étudiants et étudiantes, sans se soucier des traumatismes inévitables qui vont longtemps perturber leur sommeil et nécessiter une somme de travail sur eux-mêmespour s’en sortir psychologiquement.

Ils sont méfiants ? Comment ne le seraient-ils pas quand des chefs d’Etat et des souverains étrangers voient d’un mauvais œil les succès engrangés en si peu de temps par des étudiants, des lycéens et des chômeurs qui, dès le départ en mars dernier, ont obtenu la démission de Bouteflika et fait tomber quelques citadelles de la haute corruption oligarchique, triste symbole de l’état de prévarication dans lequel des faux investisseurs sans foi ni loi ont installé tout un pays.

Pourtant, en dépit des rapides succès arrachés de haute lutte, les animateurs du mouvement populaire devront s’y résoudre : ils ne pourront pas, à dix jours d’une élection qui s’annonce problématique et susceptible de faire le lit à une violence qui sera difficile à contenir, continuer à faire l’économie d’un projet organique pour la première force politique du pays.

Horizontale ou verticale, sélective ou ouverte à tous, la structuration s’impose comme un passage obligé pour préserver et consolider d’inestimables acquis.

Il ne faut surtout pas qu’ils aient la mémoire courte ni être oublieux, leurs rassemblements ont fait converger, les vendredis et mardis, juqu’à 20 millions d’Algériens qui ont tout bravé pour entretenir la flamme révolutionnaire et annoncer la couleur.

https://youtu.be/RyGrd2wu_Vk?t

Soufiane Djilali. Président de Jil Jadid

«Aller à l’élection présidentielle dans ce climat aggravera la crise»

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Soufiane Djilali. Président de Jil Jadid

«Aller à l’élection présidentielle dans ce climat aggravera la crise»

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05/12/2019
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