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COUPE DE LA CAF La JSK annonce son grand retour Bachir BOUTEBINA - Lundi 04 Avril 2011 - Page : 12
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Les trois buts de Nessakh ont mis l'équipe sur orbite | La JS Kabylie s'est finalement imposée à Nouakchott aux dépens du Tevragh Zeïna, le représentant mauritanien grâce à un doublé de Nessakh, déjà auteur à l'aller de l'unique but inscrit par les Canaris.
Notre représentant en Coupe de la CAF a donc réussi à se qualifier aux 8es de finale d'une compétition africaine qu'il avait déjà remportée à trois reprises. Cette première victoire réussie en déplacement par la formation kabyle, va certainement tonifier davantage le moral des joueurs. Un effectif actuel auquel le coach Rachid Belhout accorde beaucoup de confiance depuis son arrivée à la tête de la barre technique, et qui n'a pas encore connu la moindre défaite. Il est vrai que la JS Kabylie a alterné le bon et le moins bon au niveau de ses dernières prestations en date, que ce soit en championnat ou en Coupe d'Algérie. Même lors du match aller livré à Tizi Ouzou face au modeste club mauritanien de Tevragh Zeïna de Nouakchott, la prestigieuse équipe kabyle, s'était finalement contentée d'une très courte victoire au score.
Le Missisle du Gabon comme prochain adversaire
L'équipe gabonaise de Missisle sera le prochain adversaire de la JS Kabylie en 1/8es de finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) après sa qualification aux dépens des Soudanais de El Nil (2-1), samedi, en match retour disputé au Gabon. Lors du match aller joué au Soudan, El Nil et Missisle s'étaient séparés sur un score de parité: 1 à 1. En 1/8es de finale aller de la Coupe de la Confédération, prévu entre le 22 et le 24 avril, la JS Kabylie se déplacera au Gabon pour croiser le fer avec l'équipe de Missisle, avant d'accueillir son adversaire au match retour prévu entre le 6 et le 8 mai prochain. | Ce qui avait fait dire au président Moh Chérif Hannachi, que la Coupe de la CAF ne figurait pas en réalité parmi les objectifs à atteindre cette saison par sa formation. Toutefois, prestige oblige, le boss kabyle du club cher à la ville des Genêts avait, par la suite, estimé à partir de Nouakchott qu'il n'était pas question que la JS Kabylie se fasse éliminer de manière précoce de ladite compétition. Il est vrai aussi que dès l'arrivée de la délégation kabyle à Nouakchott, les dirigeants du club mauritanien n'avaient pas hésité à user de méthodes totalement aux antipodes de celles auxquelles avait eu droit l'équipe de Tevragh Zeïna, lors de son dernier séjour à Tizi Ouzou. Il n'en fallait pas plus pour inciter les joueurs de la JS Kabylie pour montrer à leur vis-à -vis du jour, qu'ils étaient largement en mesure de s'imposer à Nouakchott, malgré l'absence de plusieurs éléments indispensables aux yeux du coach Belhout. Un Rachid Belhout qui n'a pas cessé de grincer des dents, même quand la victoire était au rendez-vous dernièrement. Selon l'actuel patron technique des Canaris, il fallait battre le MC Oran pour se rendre à Nouakchott avec un moral de fer. Il est surtout vrai aussi qu'une élimination subie d'entrée en Coupe de la CAF, et de surcroît face à un modeste adversaire, aurait certainement été très mal accueillie par les supporters de la JS Kabylie. Des fans qui avaient gardé en travers de la gorge la dernière élimination en demi-finale de la prestigieuse Champion's League. Il fallait donc de nouveau retrouver rapidement de bonnes sensations en compétition africaine, afin de créer cette émulation qui avait souvent fait défaut à l'équipe, dès l'entame du championnat en cours. La JSK revient progressivement aujourd'hui au devant de la scène footballistique, et rien ne dit que la Coupe de la CAF tournera court pour les Canaris du Djurdjura, toujours en course sur trois fronts pour le moment.
L'Expression |
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BENBOUZID AUX ENSEIGNANTS CONTRACTUELS «Vous serez régularisés dans un mois» R.N - Lundi 04 Avril 2011 - Page : 2
Le ministre a, par ailleurs, relevé que les programmes notamment des classes terminales, sont achevés à 70%.
La situation des enseignants contractuels sera régularisée, au plus tard, dans un délai «d'un mois», a annoncé, dimanche à Boumerdès, le ministre de l'Education nationale, M.Boubekeur Benbouzid. «Une commission mixte englobant les départements de l'Education nationale et de la Fonction publique sera installée au plus tard demain lundi, aux fins d'étudier et régler les dossiers de l'ensemble des contractuels concernés», a indiqué le ministre dans une déclaration en marge d'une visite d'inspection dans la wilaya. Il a, néanmoins, précisé que l'intégration de ces enseignants, au nombre de 18.000, est tributaire de «la conformité de leurs dossiers aux conditions du décret exécutif de 2001», en citant notamment «l'exigence de la licence et de la conformité de la spécialité étudiée avec la fonction exercée». Dans un autre registre, M.Benbouzid a relevé la «sérénité ayant caractérisé cette année scolaire», en l'expliquant comme étant à l'origine du «bon rendement enregistré durant ce second trimestre, où la moyenne de réussite nationale a frôlé les 70%», a-t-il souligné. «Le secteur est arrivé à l'ultime étape avant les examens de fin d'année, pour ce qui est des classes terminales, notamment», a-t-il fait observer, en signalant que les «programmes sont achevés à 70% dans ce cycle, et que les élèves exploiteront le temps restant dans les révisions et cours de soutien et rattrapage». «Les portes de la totalité des établissements éducatifs du pays demeureront ouvertes pour accueillir les élèves des classes d'examen à partir de 17 heures», a-t-il assuré. Par ailleurs, le ministre a relevé le «retard notable» enregistré dans la réalisation des projets éducatifs à Boumerdès, ces 10 dernières années, en l'expliquant, notamment, par des facteurs sécuritaires. Durant sa visite à Boumerdès, M.Benbouzid a assisté à un cours sur les catastrophes naturelles présenté, à l'occasion de la reprise des cours après les vacances de printemps. Il a, par la suite, présidé une cérémonie de distribution de 22 bus pour le transport scolaire, en plus de trois camions et équipements divers, en guise de solidarité avec de nombreuses communes de la région.
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) L'Expression
| HAINE ET ANIMOSITÉ ENVERS L'ALGÉRIE Les Egyptiens remettent ça! Said MEKKI - Lundi 04 Avril 2011 - Page : 11
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Les incorrigibles frères Hassan! | Après les actes de violence des incorrigibles supporters égyptiens contre les arbitres algériens, on comprend immédiatement, que le mal est profond malgré toutes les réconciliations possibles.
Les supporters égyptiens viennent, une fois de plus, de démontrer toute leur haine contre les Algériens en agressant les arbitres algériens, Mohamed Bichari, Mohamed Meknouz et Mohamed Ben Arrous lors du match retour des 16es de finale de la Ligue des champions ayant eu lieu au Caire entre le Zamalek et le Club Africain de Tunisie (2-1). Cette rencontre n'est pas allée à son terme, bien évidemment, et le résultat technique est en faveur des Tunisiens qui ont ainsi décroché le billet qualificatif pour les 1/8es de finale (Aller: 4-2). Des milliers de supporters du Zamalek ont envahi la pelouse pour attaquer l'arbitre algérien après le refus d'un but sur une position de hors-jeu évidente à la (90e +2). Heureusement pour Bichari et ses compatriotes assistants, ils ont été protégés par les services d'ordre égyptiens.
Le Premier ministre égyptien présente ses excuses à l'Algérie et à la Tunisie
Le Premier ministre égyptien Essam Charaf a présenté, samedi, soir ses excuses à l'Algérie et la Tunisie suite aux incidents survenus sur la pelouse du Stade du Caire dans les dernières minutes de la rencontre Zamalek-Club Africain (Tunisie) comptant pour les 1/16es de finale retour de la Ligue des champions d'Afrique. L'arbitre algérien M.Bichari a arrêté le match après l'envahissement de terrain par des supporters de l'équipe égyptienne. Son assistant, M.Houasnia, a été victime d'une tentative d'agression par les supporters de l'équipe du Zamalek.«Je présente mes excuses au peuple tunisien et à son gouvernement et aux joueurs tunisiens pour ces incidents regrettables. Je présente également à l'Algérie mes excuses pour l'intimidation subie par l'arbitre algérien», a déclaré le Premier ministre égyptien dans une déclaration à la télévision égyptienne. La rencontre entre les deux équipes a été arrêtée sur le score de 2-1 pour Zamalek. A trois minutes de la fin du temps additionnel, les supporters du Zamalek ont envahi le terrain suite à un but refusé par l'arbitre pour hors-jeu. Il est à rappeler que le match aller s'était terminé par le score de 4 buts à 2 pour le Club Africain. | Ce n'est pas la première fois que les Egyptiens montrent toute leur haine et leur animosité à l'encontre de tout ce qui est algérien, car il suffit juste de se rappeler ces douloureux évènements du caillassage du bus de l'Equipe nationale algérienne en novembre 2009 avant le match qualificatif au Mondial 2010 contre la sélection égyptienne. Des joueurs algériens ont été blessés alors que la suite de ces incidents a clairement nui aux relations entre les deux pays et peuples. Mais, selon des révélations, des responsables égyptiens ont accusé le président de la Fédération égyptienne, Samir Zaher et les Moubarak d'avoir préparé ces agressions et cette campagne anti-algérienne. Or, il s'avère qu'avant-hier, les Moubarak ne sont plus là et ne gouvernent plus. Ce qui prouve que les supporters égyptiens cherchent la moindre occasion pour «casser» et «agresser» de l'Algérien. Sinon, comment expliquer cette agression dont ont été victimes les arbitres algériens lors de ce match Zamalek-Club Africain d'avant hier? L'entraîneur Hossam Hassan s'est révolté après que l'arbitre algérien ait refusé un but d'un joueur du Zamalek pour hors-jeu. Hossam, comme à ses habitudes, a commencé à se manifester d'une manière agressive avant de voir la répétition et se convaincre que le but de son joueur était bel et bien entaché d'hors-jeu. Ces réactions de l'entraîneur du Zamalek Hossam Hassan et surtout ses déclarations incendiaires ont surchauffé les supporters égyptiens sous prétexte que le trio d'arbitres algérien était contre leur club et avantageait la formation tunisienne pour des considé-rations de voisinage. Or, le trio d'arbitres algérien s'est bel et bien acquitté de sa tâche convenablement. Mais, Hossam Hassan est le premier auteur de tout ce qui s'est passé durant et après la fin de ce match Zamalek-Club Africain de Tunis. La preuve, c'est que le même Hossam Hassan n'a cessé de fustiger la Confédération africaine de football après la désignation du trio algérien pour ce match. Et la suite, on la connaît. Plusieurs joueurs et membres du Club Africain de Tunis ont été également agressés par des supporters égyptiens en folie. Ils n'ont d'ailleurs dû leur salut, tout comme le trio d'arbitres algériens, qu'après une fuite rapide vers les vestiaires. L'enceinte du stade a connu de grandes dégradations avec destruction des panneaux publicitaires et des bancs de remplaçants, entre autres.
Les frères Hassan doivent être mis hors d'état de nuire La cause principale de ce déchaînement est cet appel, avant le match, des incorrigibles jumeaux du staff technique du Zamalek, Hossam et Ibrahim Hassan, qui ont incité les supporters du Zamalek à user de tous les moyens pour faire peur aux Tunisiens. Et pour mieux rafraîchir les mémoires courtes de certains, il est utile de rappeler les mêmes agissements de cet ex-international égyptien Hossam Hassan lors du match JSM Béjaïa - Al Masry (2-0) en décembre 2008 lorsqu'en pleine crise de nerfs il a attaqué les arbitres en les agressant sauvagement. De plus, il n'a cessé de provoquer les Algériens et surtout les supporters de Béjaïa lors de ce match retour de la coupe de la CAF pour faire sortir le match de son cadre sportif. Mais, cela n'a vraiment pas marché. Concernant les Tunisiens, il est aussi utile de se rappeler ce match comptant pour la demi-finale de la Ligue des champions africaine, qui a opposé l'Espérance Sportive de Tunis au Ahly du Caire (2-1 pour Ahly) à l'issue duquel on notait les violences entre les supporters espérantistes et les forces de l'ordre égyptiennes. Selon Nilesport tout a commencé après le deuxième but marqué par les Cairotes. Les supporters tunisiens allument alors une multitude de fumigènes, certes interdits par les grandes instances footballistiques, et les pompiers interviennent pour les éteindre. Ceci a provoqué une riposte violente du public tunisien envers les pompiers. S'ensuit alors l'intervention musclée et rapide des forces de l'ordre égyptiennes, faisant même usage de grenades lacrymogènes, ce qui engendre une bataille rangée entre policiers et supporters espérantistes, et des actes de vandalisme sur les infrastructures du stade. Les escarmouches se sont poursuivies à la sortie du stade, mais cette fois-ci les Espérantistes n'étaient pas les seuls à semer le trouble. En effet, quelques supporters ahlaouis se sont mis de la partie, malgré la victoire de leur équipe, poussés par un malaise social, ou par d'autres raisons. Ces derniers ont saccagé quelques voitures, ainsi que des vitrines de boutiques. Là , on citera également les déclarations incendiaires d'Ibrahim Hassen, ancienne gloire du football égyptien et actuel entraîneur du Zamalek, en parlant des supporters tunisiens: «Ces fous, ces boeufs, doivent être punis sévèrement pour leurs agressions sur des agents de la Protection civile qui ne faisaient que leur devoir, en intervenant avec des extincteurs, au milieu de la foule de supporters espérantistes, pour éteindre les fumigènes.» Ces propos sont loin d'être passés sous silence cette fois-ci. Et la première réaction est donc venue du Premier ministre égyptien qui, dans une déclaration à la télévision égyptienne a dit: «Je présente mes excuses au peuple tunisien et à son gouvernement et aux joueurs tunisiens pour ces incidents regrettables. Je présente également à l'Algérie mes excuses pour l'intimidation subie par l'arbitre algérien.» D'un autre côté, les responsables du sport en Egypte ne doivent en aucun cas laisser des «phénomènes nuisibles» tels les jumeaux Hassan sur les terrains de football. Par ailleurs, la Confédération africaine de football, devrait, elle aussi, frapper d'une main de fer et ne plus laisser passer ce genre de comportement incitant à la violence à répétition du côté du Caire. L'équipe du Zamalek et les frères Hassan doivent être sanctionnés d'une manière «exemplaire».
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