ACTUALITES du Samedi 18 Mai 2019

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Samedi 18 Mai 2019

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(Revue de presse du mercredi 03 janvier 2018) Les Universités publiques au bord du gouffre

L'Expression - Le Quotidien

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Trois éléments de soutien aux terroristes arrêtés à Tlemcen

18-05-2019 -

Trois éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés à Tlemcen, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique samedi le ministère de ... Lire

Hausse de la production chinoise de Pétrole

18-05-2019 -

La production chinoise de pétrole brut a augmenté de 0,6% en glissement annuel pour atteindre 63,06 millions de tonnes au cours des quatre premiers mois, ...Lire

Pétrole: le panier de l'Opep à 72,61 dollars le baril

18-05-2019 -

Le prix du panier de quatorze pétroles bruts, qui sert de référence à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), s’est élevé, jeudi à 72,61 ... Lire

La France donne le droit de vote aux handicapés mentaux

18-05-2019 -

Des milliers de Français porteurs d'un handicap mental viennent de récupérer le droit de vote, et pourront donc voter aux européennes le 26 mai: une ... Lire

Tunisie: les forces de sécurité déjouent une série d'attentats

18-05-2019 -

Le ministère tunisien de l'Intérieur a annoncé vendredi avoir déjoué un plan qualifié de "terroriste" et découvert un magasin d'explosifs dans la province de Kasserine, ... Lire

Dix pêcheurs assassinés par Boko Haram au nord-est du Nigeria

18-05-2019 -

Les corps d'au moins dix pêcheurs, apparemment assassinés à la machette par le groupe terroriste Boko Haram, ont été découverts vendredi dans la ville de ...Lire

Des pourparlers entre le Japon et la Chine sur le nucléaire

18-05-2019 -

Le Japon et la Chine vont tenir des pourparlers bilatéraux sur le désarmement nucléaire et la non-prolifération nucléaire pour la première fois en 8 ans, ... Lire

Fin de l'alerte à la pollution à Mexico

18-05-2019 -

L'alerte à la pollution sur la ville de Mexico a été suspendue, quatre jours après son déclenchement, en raison d'une amélioration de la qualité de ... Lire

Maduro célèbre "le début des discussions" avec l'opposition

18-05-2019 -

Le président du Venezuela Nicolas Maduro a célébré vendredi le "début des discussions" avec l'opposition à Oslo tout en félicitant la Norvège pour son rôle ...Lire

La Chine défend l'accord sur le nucléaire iranien

18-05-2019 -

La Chine espère oeuvrer avec l'Iran pour éliminer les facteurs de perturbation complexes et déployer des efforts en vue de l'application complète de l'accord sur ... Lire

 

INCIDENTS À L'UNIVERSITE DE TIZI OUZOU

Les vieux démons d'avril 80

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Les débats dans l'université de Tizi Ouzou ont fait écoleLes débats dans l'université de Tizi Ouzou ont fait école

Selon les premières informations, des «étudiants» connus, dont certains sont à la solde du FLN, disséminés dans l'amphithéâtre, ont annoncé par une prise de parole qui a duré un quart d'heure, leur détermination à empêcher à tout prix la conférence.

Les animateurs du printemps berbère d'avril 1980 viennent d'initier et de signer une pétition suite à l'empêchement, par la force, d'une conférence que devait animer Mouloud Lounaouci à l'auditorium de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou le 7 mai dernier. Parmi les signataires de ladite pétition, on retrouve Saïd Sadi, ex-président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, ainsi que des détenus des années 80 comme Arezki Abboute, Mohand Nait Abdellah, Saïd Doumane, etc. Les concernés rappellent ainsi que mardi 7 mai, le docteur Mouloud Lounaouci, «un des disciples de l'illustre écrivain Mouloud Mammeri et M. Arezki Kecili ont été invités par la coordination locale des étudiants (CLE) pour animer une rencontre-débat dans la même enceinte sur le thème ''D'avril 80 à février 2019''. Selon les premières informations, des «étudiants» connus, dont certains sont à la solde du FLN, disséminés dans l'amphithéâtre, ont annoncé par une prise de parole, qui a duré un quart d'heure leur détermination à empêcher à tout prix la conférence. Devant le refus d'abdiquer opposé par les organisateurs, ils ont provoqué une bagarre et lancé une bombe lacrymogène sur l'orateur pour l'empêcher de s'exprimer». Les signataires de la pétition soulignent qu'à cause de la violence de l'agression, de sa conjoncture, du lieu où elle a été perpétrée, comme de l'identité des personnes ciblées, «celle-ci se présente comme l'un des actes qui ont le plus gravement attenté à la dignité et la crédibilité de la communauté universitaire et au combat pour les libertés démocratiques qu'elle a initiées et défendues à l'époque des années de plomb». les pétitionnaires avertissent en outre: «Nous ne devons pas et ne pouvons pas laisser passer cette forfaiture. Les débats dans l'université de Tizi Ouzou ont fait école. Ils constituent une tradition pour laquelle ont été consentis les plus grands sacrifices.
Ce capital intellectuel et démocratique doit impérativement être préservé et développé.» Ils déclarent par ailleurs témoigner leur solidarité la plus active au docteur Lounaouci et M. Kecili et aux étudiants qui honorent les traditions de lutte de leur institution. «Nous attendons et exigeons de la direction de l'université qu'elle condamne ces actes indignes d'une enceinte universitaire et poursuive devant la justice les nervis et leurs commanditaires afin de protéger les franchises universitaires pour lesquelles la génération d'avril 80, dont le docteur Lounaouci et M. Kecili sont des acteurs éminents, ont payé leur tribut», concluent les signataires de la pétition en question. Il y a lieu de souligner que Ahmed Tessa, recteur de l'université de Tizi Ouzou, n'a pas tardé à réagir, hier, en rendant publique une déclaration. Le recteur de l'université Mouloud Mammeri a déploré et dénoncé avec la plus grande vigueur les deux actes de violence qui ont eu lieu ces derniers temps dans l'enceinte universitaire dont l'empêchement de la conférence de Mouloud Lounaouci ainsi que l'agression d'un étudiant à l'arme blanche. Ahmed Tessa a condamné avec la plus grande fermeté ces actes de violence. Le même responsable a révélé qu'il a engagé la procédure réglementaire pour que ce genre d'incidents graves ne se reproduisent plus dans l'université de Tizi Ouzou. Ahmed Tessa a, en outre, appelé à un maximum de vigilance pour parer à toute éventuelle tentative de mettre de l'huile sur le feu.

RASSEMBLEMENT À ALGER DE RETRAITÉS ET DE RADIÉS DE L'ANP

Un incident gravissime

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Les manifestants ont scandé des slogans montrant leur soutien à l'institution militaireLes manifestants ont scandé des slogans montrant leur soutien à l'institution militaire

Nous sommes avec l'armée comme tous les Algériens, ainsi qu'avec le peuple qui demande le départ du système et de tous ses symboles.

Un groupe de retraités et de radiés de l'Armée nationale populaire (ANP) a investi avant-hier, jeudi, la Grande Poste comme signe de soutien à l'armée et au chef d'état-major de l'armée, Gaïd Salah. Les manifestants ont scandé des slogans montrant leur soutien à l'institution militaire. Ils ont aussi pris pour cibles des personnalités politiques, en usant de propos, pour le moins, insultants.
En effet, le groupe des retraités et de radiés de l'ANP s'est attelé à proférer des insultes et des propos offensants à l'égard de Me Bouchachi et aussi Karim Tabbou. Les deux animateurs du Hirak n'ont pas été épargnés. Le président de l'UDS, Karim Tabbou en l'occurrence, à été fortement apostrophé: «Tabbou l'agent, il est temps de partir», craient les manifestants. C'est dire que ce groupe n'était pas dans une logique revendicative qui se reconnaît dans la dynamique du mouvement populaire où les mots d'ordre sont le reflet d'un contexte et d'une situation politique globale loin de la personnalisation et des attaques frontales contre des personnes parce que ils ont exprimé leur démarche et leur approche quant à l'issue et la solution à la crise dans laquelle est embourbé le pays. C'est la première fois qu'un groupe s'est scindé de sa structure initiale, c'est-à-dire, un mouvement qui a revêtu un caractère catégoriel et socio-revendicatif représentant une frange de l'institution militaire qui a connu une situation particulière lors de la décennie rouge et ses conséquences sur le pays en général et cette couche des militaires en particulier.
Les éléments de ce groupe détaché de sa structure-mère, qui dépend de son chef «emblématique», Amar Berri, a risqué une dislocation du mouvement revendicatif des droits socioprofessionnels de cette frange de la société. Il faut savoir, à ce propos, que Amar Berri a réagi à cette manifestation en pointant du doigt un groupe qui «voulait utiliser notre mouvement dans le but de porter atteinte à d'autres Algériens. Nous sommes avec l'armée comme tous les Algériens, ainsi qu'avec le peuple qui demande le départ du système et de tous ses symboles. Le groupe qui a pris l'initiative de se rassembler en notre nom, ne nous représente pas», a-t-il déclaré.

 

IL L'A INVITÉ PUBLIQUEMENT À DÉPOSER SA DÉMISSION

Djemaï s'acharne contre Bouchareb

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Ne vous fiez pas à la photoNe vous fiez pas à la photo

Voulant adresser un message clair à son adversaire, le secrétaire général du FLN a déclaré que «l'époque de tenir le bâton par le milieu est révolue et il n y a pas de place aux forces anticonstitutionnelles».

Il revient à la charge pour réclamer publiquement son départ. Le secrétaire général du FLN, Mohamed Djemaï, a invité ouvertement le président de l'APN Mouad Bouchareb à présenter sa démission. Convoquant une réunion avec les députés du parti, qui s'est tenue en dehors de l'Assemblée populaire nationale jeudi dernier, le nouveau patron du parti majoritaire a saisi l'occasion pour adresser un message clair au troisième homme politique l'invitant à répondre aux revendications du mouvement populaire qui demande un changement radical des symboles du système. «C'est un appel fraternel que j'adresse à l'actuel président de l'APN et je lui demande de faire prévaloir l'intérêt suprême du pays et de l'Etat sur tout intérêt personnel et de s'engager avec courage à mettre en oeuvre les revendications du peuple algérien qui demande le changement du président de l'APN et le reste des symboles du régime», a déclaré Djemaï à la presse à l'issue de cette réunion. Djemaï a exhorté Mouad Bouchareb à se retirer de son poste de façon civilisée soulignant que sa démission serait «une position historique» portée en sa faveur. Le patron du FLN a laissé entendre qu'il compte même retirer la couverture politique au concerné en cas où il continue à s'entêter. Il y a lieu de rappeler qu'avant cet appel, le secrétaire général a envoyé à plusieurs reprises des émissaires pour demander au président de l'APN de se retirer de son poste, mais ce dernier a refusé de céder à la pression. «En lançant un appel publiquement, le secrétaire général veut mettre le président de l'APN devant ses responsabilités et le pousser coûte que coûte à la porte», affirme un député sous couvert de l'anonymat. Le secrétaire général a même appelé les députés du parti à «assumer leurs responsabilités et à remettre l'institution législative sur les rails en réactivant son rôle au service du peuple algérien». Le FLN étant majoritaire au sein de la chambre basse, le secrétaire général soutient que le parti «doit oeuvrer à donner un nouvel élan à la légitimité de l'APN en vue d'accomplir ses missions». Djemaï n'exclut pas de recourir aux sanctions contre tous ceux qui n'appliqueront pas les règles fixées par sa direction. «Des sanctions disciplinaires seront prises à l'encontre de quiconque s'oppose aux orientations du parti, qui découleront des revendications populaires», a-t-il averti. voulant adresser un message clair à son adversaire, Djemaï a déclaré que «l'époque de tenir le bâton par le milieu est révolue et il n' y a pas de place aux forces anticonstitutionnelles». Revenant sur la situation que traverse le pays, le premier responsable du FLN a mis en garde contre «les tentatives d'infiltration du mouvement populaire pacifique par des lobbies qui cherchent à frapper l'institution militaire». Tout en réitérant son soutien au chef d'état-major de l'ANP, Djemaï s'est attaqué à ceux qui revendiquent une sortie du cadre constitutionnel, les accusant de vouloir mener le pays à la dérive. Il a estimé que la sortie de la crise politique nécessite «beaucoup d'efforts pour trouver des solutions dans un cadre constitutionnel». Concernant les enquêtes ouvertes par la justice sur des affaires de corruption, Djemaï s'est dit «confiant» en la justice algérienne.

 

IL L'A INVITÉ PUBLIQUEMENT À DÉPOSER SA DÉMISSION

Djemaï s'acharne contre Bouchareb

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Voulant adresser un message clair à son adversaire, le secrétaire général du FLN a déclaré que «l'époque de tenir le bâton par le milieu est révolue et il n y a pas de place aux forces anticonstitutionnelles».

Il revient à la charge pour réclamer publiquement son départ. Le secrétaire général du FLN, Mohamed Djemaï, a invité ouvertement le président de l'APN Mouad Bouchareb à présenter sa démission. Convoquant une réunion avec les députés du parti, qui s'est tenue en dehors de l'Assemblée populaire nationale jeudi dernier, le nouveau patron du parti majoritaire a saisi l'occasion pour adresser un message clair au troisième homme politique l'invitant à répondre aux revendications du mouvement populaire qui demande un changement radical des symboles du système. «C'est un appel fraternel que j'adresse à l'actuel président de l'APN et je lui demande de faire prévaloir l'intérêt suprême du pays et de l'Etat sur tout intérêt personnel et de s'engager avec courage à mettre en oeuvre les revendications du peuple algérien qui demande le changement du président de l'APN et le reste des symboles du régime», a déclaré Djemaï à la presse à l'issue de cette réunion. Djemaï a exhorté Mouad Bouchareb à se retirer de son poste de façon civilisée soulignant que sa démission serait «une position historique» portée en sa faveur. Le patron du FLN a laissé entendre qu'il compte même retirer la couverture politique au concerné en cas où il continue à s'entêter. Il y a lieu de rappeler qu'avant cet appel, le secrétaire général a envoyé à plusieurs reprises des émissaires pour demander au président de l'APN de se retirer de son poste, mais ce dernier a refusé de céder à la pression. «En lançant un appel publiquement, le secrétaire général veut mettre le président de l'APN devant ses responsabilités et le pousser coûte que coûte à la porte», affirme un député sous couvert de l'anonymat. Le secrétaire général a même appelé les députés du parti à «assumer leurs responsabilités et à remettre l'institution législative sur les rails en réactivant son rôle au service du peuple algérien». Le FLN étant majoritaire au sein de la chambre basse, le secrétaire général soutient que le parti «doit oeuvrer à donner un nouvel élan à la légitimité de l'APN en vue d'accomplir ses missions». Djemaï n'exclut pas de recourir aux sanctions contre tous ceux qui n'appliqueront pas les règles fixées par sa direction. «Des sanctions disciplinaires seront prises à l'encontre de quiconque s'oppose aux orientations du parti, qui découleront des revendications populaires», a-t-il averti. voulant adresser un message clair à son adversaire, Djemaï a déclaré que «l'époque de tenir le bâton par le milieu est révolue et il n' y a pas de place aux forces anticonstitutionnelles». Revenant sur la situation que traverse le pays, le premier responsable du FLN a mis en garde contre «les tentatives d'infiltration du mouvement populaire pacifique par des lobbies qui cherchent à frapper l'institution militaire». Tout en réitérant son soutien au chef d'état-major de l'ANP, Djemaï s'est attaqué à ceux qui revendiquent une sortie du cadre constitutionnel, les accusant de vouloir mener le pays à la dérive. Il a estimé que la sortie de la crise politique nécessite «beaucoup d'efforts pour trouver des solutions dans un cadre constitutionnel». Concernant les enquêtes ouvertes par la justice sur des affaires de corruption, Djemaï s'est dit «confiant» en la justice algérienne.

 

UN MILLIER DE PERSONNALITÉS POLITIQUES FRANÇAISES APPELLENT À SA LIBÉRATION

L'affaire Louisa Hanoune s'internationalise

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La secrétaire générale du PTLa secrétaire générale du PT

L'appel, le premier du genre à l'étranger pour la libération immédiate de Louisa Hanoune, a été signé par de grosses pointures.

L'incarcération de la secrétaire générale du Parti des travailleurs prend une nouvelle tournure. Elle s'internationalise. Selon le magazine Le Point, un millier de personnalités françaises, militants politiques et syndicaux, défenseurs des droits de l'homme, universitaires, ont signé un appel réclamant «la libération immédiate» de la secrétaire générale du PT dont l'incarcération est qualifiée d'«arrestation arbitraire qui suscite une légitime émotion». L'appel, le premier du genre à l'étranger pour la libération immédiate de Louisa Hanoune, a été signé par de grosses pointures. L'on cite, notamment l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, le patron de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez et le président d'honneur de la Ligue des droits de l'homme, maître Henri Leclerc.
La chef du PT bénéficie d'une grande popularité à l'étranger connue partout depuis des années pour ses prises de position et son combat intransigeant en défense de la démocratie, des libertés, des droits des femmes.
Le Parti des travailleurs (PT) a annoncé que le comité national qui a été créé la semaine dernière comme conséquence de l'arrestation de la secrétaire générale, Louisa Hanoune par le tribunal militaire, va organiser un si-in aujourd'hui, c'est-à-dire le 18 mai 2019, à la Grande Poste pour exprimer la solidarité des sympathisants et les militants à Louisa Hanoune qui est à son 10e jour d'incarcération dans la prison de Blida et d'exiger sa libération immédiate. «De nombreux citoyens sont venus au siège du PT pour apporter leur soutien à la secrétaire générale du Parti des travailleurs. Des partis de l'opposition et des personnalités nationales ainsi que des associations de la société civile et des syndicats ont signé la pétition où ils expriment leur indignation de l'arrestation arbitraire de Louisa Hanoune»,», précise-t-on.Il faut signaler que le mouvement de solidarité avec la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune émane aussi de l'étranger, une campagne internationale a vu le jour, les parlementaires portugais ont affiché leur «solidarité avec la détenue politique Louisa Hanoune et ont voté une demande de sa libération», lit-on dans un communiqué émanant desdits parlementaires portugais.
La participation des représentants du Front des forces socialistes (FFS) à la deuxième réunion du comité national pour la libération de la détenue politique Louisa Hanoune, se veut comme une manière de rappeler à la classe politique que le combat doit être maintenu pour que «les libertés et la démocratie et le pluralisme soient consacrés comme éléments de l'Etat de droit».
Quant à la question liée à la cause de l'incarcération de Louisa Hanoune par le tribunal militaire, les responsables du PT apportent un éclairage à ce niveau en soulignant: «On nous dit que la secrétaire générale de notre parti, Louisa Hanoune, a été arrêtée parce qu'elle comploté contre le régime. Si c'est bien ça le chef d'inculpation, on est tous contre le régime et nous voulons le changer le plus rapidement», a précisé Youcef Taâzibt. Pour les responsables du PT, Louisa Hanoune est victime de ses «positions par rapport à la révolution du 22 février et son implication d'une manière forte au sein de ce mouvement qui exige le changement du système et de tous ses symboles», a rétorqué Youcef Taâzibt. Le PT est membre de l'Entente internationale des travailleurs (EIT), cette affiliation lui a permis d'avoir des soutiens des partis ouvriers et des syndicats au niveau international.

https://youtu.be/_YRZH0bJbTQ?t=12 </div https://youtu.be/IBlUM-0NZZU https://youtu.be/IBlUM-0NZZU ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++   

https://youtu.be/_YRZH0bJbTQ?t=12

 



19/05/2019
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