Algérie: le président Bouteflika n'a pas convaincu sur sa volonté de réforme

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Algérie: le président Bouteflika n'a pas convaincu sur sa volonté de réforme


Des Algériens suivent à la télévision le discours de Bouteflika le 15 avril 2011 à Telemcen (Photo Farouk Batiche/AFP)

Les réformes politiques annoncées vendredi par le président algérien Abdelaziz Bouteflika, prévoyant notamment une révision de la Constitution, ont déçu médias et société civile qui les jugeaient samedi très en deçà de l'exigence de changement du "système" exprimée par l'opposition.

Les "unes" de la presse indépendante illustraient largement ce sentiment: "loin des attentes des Algériens" (El Watan), "Bouteflika ignore l'opposition" (El Khabar), "Bouteflika déçoit" (Le Soir).

Samedi 16 avril 2011, 17h17
Le président "s'est fait la voix d'un système qui veut garder les choses en main en faisant miroiter des réformes qui ne le sont pas", analyse El Watan, qui soupçonne le chef de l'Etat de chercher à "gagner du temps".

"Le système ne changera pas et ne tolérera pas l'ouverture de nouveaux espaces démocratiques", renchérit El Khabar en qualifiant les réformes annoncées de "poudre aux yeux".

Alors que l'Algérie a été, en janvier dernier, l'un des premiers foyers de la contestation arabe après la Tunisie, son président a attendu plus de trois mois pour s'adresser à ses concitoyens, sans doute selon El Watan pour ne pas donner l'impression de "céder sous la pression" de la rue.

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika le 29 novembre 2010 au sommet Afrique-Union européenne (Photo Mahmud Turkia/AFP/Archives)

M. Bouteflika, manifestement fatigué, n'a pas parlé dans son discours d'une vingtaine de minutes des manifestations et des mouvements sociaux qui agitent son pays depuis des semaines, mais a annoncé une modification de la Constitution de 1996 et une révision de la loi électorale, de la loi sur les partis politiques et du code de l'information.

Des réformes à mettre en oeuvre d'ici un an, par voie parlementaire ou référendaire.

Le Chef de l'Etat, âgé de 74 ans, qui a fait amender en 2009 la Constitution afin de pouvoir briguer un troisième quinquennat alors que les mandats présidentiels étaient limités à deux, n'a pas évoqué son avenir à la tête de l'Etat après 2014.

Il n'a pas non plus évoqué un changement du gouvernement ou une dissolution de l'Assemblée nationale, largement dominée par les trois partis de l'Alliance présidentielle, à leur tête l'ex-parti unique du Front de Libération Nationale (FLN).

Des Algériens écoutent le discouts de Bouteflika le 15 avril 2011 à Telemcen (Photo Farouk Batiche/AFP)

"Je pense que changer des textes ou amender la constitution n'est pas la meilleure façon pour aller vers un changement du système en Algérie parce que le problème en Algérie est que les institutions civiles et militaires agissent en dehors des lois", a regretté Mustapha Bouchachi, président de la Ligue pour la défense des droits de l'Homme (LADDH, indépendante).

Interrogé par l'AFP, il a estimé que les réformes "ne doivent pas être conduites par des institutions mal élues qui symbolisent la régression démocratique en Algérie".

"Nous considérons que les promesses du président ne reflètent pas une volonté politique réelle de changer le système algérien qui est une démocratie de façade", a insisté M. Bouchachi, qui a participé à Alger aux tentatives de manifestations, empêchées par la police, en faveur d'un changement du système.

Abdelhamid Mehri, un ancien dirigeant du FLN qui avait conduit l'ancien parti unique à une cure d'opposition dans les années 90 en s'opposant à l'armée, s'est montré tout aussi sceptique, dans une déclaration envoyée à la presse.

"Réduire la réforme à la révision des textes revient à ignorer une grande vérité: l'impuissance du régime et ses imperfections découlent plus de ses pratiques et de ses règles de travail que des textes, qu'il s'agisse de la constitution ou des lois", a observé M. Mehri.

Abderezak Mokri, un vice-président du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP, islamiste), pourtant membre de l'Alliance présidentielle, a lui-même des doutes. "Je ne pense pas qu'il existe une réelle volonté de réforme", a-t-il confié.

Syrie: Assad annonce l'abrogation de la loi d'urgence d'ici une semaine


Le président syrien Bachar al-Assad lors d'une allocution à la télévision le 16 avril 2011 à Damas (Photo /AFP)

Le président syrien Bachar al-Assad a promis samedi que la loi d'urgence, dont l'abrogation est l'une des principales revendications des contestataires, serait abolie dans "une semaine maximum", alors que la pression de la rue et de l'étranger monte.

"La commission juridique sur la loi d'urgence a élaboré une série de propositions en vue d'une nouvelle législation. Ces propositions seront soumises au gouvernement qui promulguera des lois (...) dans une semaine maximum", a dit M. Assad, qui présidait le premier conseil des ministres de son nouveau gouvernement formé jeudi.

Samedi 16 avril 2011, 22h48
La loi d'urgence, en vigueur depuis 1963, réduit les libertés publiques, impose des restrictions sur la liberté de réunion et de déplacement, et permet l'arrestation de "suspects ou de personnes menaçant la sécurité".

Dans son discours retransmis par la télévision, M. Assad a exprimé sa "peine" pour les personnes mortes et blessées, "civils ou forces armées", depuis le début le 15 mars d'un mouvement de contestation sans précédent qui a été durement réprimé.

Selon Amnesty International, au moins 200 personnes ont été tuées, la plupart par les forces de sécurité ou par des policiers en civil. Les autorités accusent des bandes "criminelles" ou "armées".

Dans sa première allocution depuis le début des troubles, le 30 mars, Bachar al-Assad avait dénoncé avec force une "conspiration" contre son pays. La "conspiration est toujours présente", a-t-il déclaré samedi.

Mais il a appelé à un "dialogue approfondi" dans le pays. "Nous avons constaté ces derniers jours un fossé entre le citoyen et les institutions (...) ce fossé doit être rapidement comblé", a-t-il reconnu.

Il a énuméré une série de problèmes qui ont conduit selon lui les gens à sortir dans la rue, notamment le chômage et la corruption.

S'agissant du multipartisme, une mesure très attendue, il a souligné qu'une loi sur la question devait être "minutieusement examinée" car il s'agit d'une "question sensible touchant l'unité du pays".

Il a promis une loi autorisant les manifestations qui "protège les biens privés et publics de tout acte de sabotage", et assuré qu'une nouvelle loi sur la presse était "presque prête". Pour lui, "cette série de réformes (...) élargira les libertés".

Alors que le pays souffre d'un chômage élevé, il a estimé que lorsque "les gens ont le sentiment que leur horizon est limité, cela peut conduire au désespoir".

Sur le terrain, des milliers de personnes ont participé samedi à Banias (nord-ouest) aux obsèques d'un homme ayant succombé après avoir été blessé par balles le 10 avril, selon des témoins et des militants des droits de l'Homme.

Elles ont scandé des slogans pour les libertés, contre le parti Baas au pouvoir depuis près de 50 ans, et appelant à la chute du régime, selon ces sources. Quelque 2.000 femmes ont ensuite manifesté dans le centre-ville aux cris de "Dieu, liberté et c'est tout" et "l'armée et le peuple ensemble", selon le président de la Ligue syrienne des droits de l'Homme.

Des manifestations avaient rassemblé vendredi des dizaines de milliers de personnes à travers tout le pays, l'une des mobilisations les plus importantes depuis le début du mouvement.

Alors que M. Assad avait annoncé jeudi la libération de "tous les détenus" arrêtés dans les manifestations, "sauf ceux qui ont commis des actes criminels", de "nombreux militants" sont toujours détenus, a affirmé la Ligue syrienne pour les droits de l'Homme.

Des centaines de personnes ont été arrêtées dans tout le pays depuis un mois, selon Human Rights Watch qui accuse les services de sécurité d'avoir torturé nombre d'entre elles.

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait exhorté vendredi le régime à "cesser de réprimer ses citoyens et à satisfaire leurs aspirations". L'ONU a aussi appelé les autorités à "stopper immédiatement" la "répression brutale".


Côte d'Ivoire: le camp Gbagbo appelle les siens à en finir avec la "violence"


Un soldat de l'ONU monte la garde devant la résidence de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo à Abidjan le 15 avril 2011 (Photo Issouf Sanogo/AFP)

Le parti de Laurent Gbagbo a appelé samedi à Abidjan ses partisans à "arrêter la guerre et l'escalade de la violence", après l'arrestation lundi de l'ex-président ivoirien.

En outre, près de 70 personnes, membres de la famille et employés de maison, qui avaient été arrêtées lundi à Abidjan avec l'ex-président Laurent Gbagbo, ont été libérées samedi, a annoncé le gouvernement du président Alassane Ouattara à la télévision ivoirienne.

Samedi 16 avril 2011, 23h27
Un total de "120 personnes environ" avaient été arrêtées avec M. Gbagbo à sa résidence et amenées au Golf hôtel, QG de M. Ouattara, a déclaré le ministre de la Justice Jeannot Ahoussou Kouadio sur la chaîne TCI.

Parmi elles, "trente" membres de sa famille, dont ses petits-enfants, ont été "conduits aujourd'hui à une destination que nous gardons comme confidentielle", a-t-il poursuivi.

"Des employés de maison", notamment ses cuisinières et jardiniers, qui "étaient au nombre de trente-huit", sont également "partis, chacun est rentré chez lui", a ajouté le ministre.

M. Gbagbo se trouve depuis mercredi en résidence surveillée dans le nord du pays, tandis que son épouse Simone demeure au Golf hôtel.

L'ex-président ivoirien a été arrêté dans la résidence présidentielle à Abidjan, après quatre mois d'une crise née de la contestation des résultats de l'élection remportée par Alassane Ouattara, et dix jours de guerre dans la métropole ivoirienne. Le conflit a fait quelque 900 morts depuis fin 2010, selon l'ONU.

 A LA UNE 

Libye: les rebelles avancent vers l'ouest, Misrata pilonné


Des rebelles libyens arrivent du front à Ajdabiya le 16 avril 2011 (Photo Marwan Naamani/AFP)

Les rebelles libyens ont progressé samedi vers l'ouest depuis Ajdabiya à la faveur des raids aériens de l'Otan, tandis que le pilonnage se poursuivait à Misrata, où l'armée régulière utilise des bombes à sous-munitions.

A Misrata, grande ville côtière à 200 km à l'est de Tripoli assiégée depuis près de deux mois par les forces gouvernementales, les combats ont fait au moins six morts et 31 blessés, selon des sources médicales.

Samedi 16 avril 2011, 21h19
"Aujourd'hui a été très difficile, il y a eu beaucoup de blessés", y compris des enfants, a déclaré samedi à l'AFP Paolo Grosso, un médecin italien envoyé par l'association "Emergency".

Les restes de bombes à sous-munitions de 120, dont les rebelles et l'organisation Human Rights Watch ont dénoncé vendredi l'usage, étaient visibles dans différents quartiers de cette ville, selon un photographe de l'AFP.

Les bombes à sous-munitions peuvent tuer ou mutiler à des dizaines de mètres à la ronde, sur le moment ou longtemps après si les sous-munitions n'ont pas explosé tout de suite. Elles sont interdites par une convention internationale depuis 2010.

"Hier (vendredi), nous avons eu cinq blessés qui ont dû subir une amputation", trois à un pied et deux à une main, a déclaré Mustafa, un kinésithérapeute devenu assistant aux urgences à l'hôpital Hikma.

Un rebelle le 15 avril 2011 dans une rue de Misrata (Photo Phil Moore/AFP)

Une usine de produits laitiers a été bombardée samedi à l'aube. En début d'après-midi, elle était toujours en flammes. "Ils essaient de nous affamer, en attaquant l'usine de produits laitiers, le site de purification de l'eau...", a dénoncé Jiraal, un Libyen installé en Angleterre mais revenu se battre.

Selon un médecin présent sur les lieux, les rebelles ont détruit quatre chars --dissimulés dans des maisons pour éviter les tirs de l'Otan-- lors de l'attaque d'un camp de l'armée régulière.

Sur le plan humanitaire, l'ONG Médecins Sans Frontières (MSF) a annoncé l'évacuation samedi de 99 blessés, dont 10 dans un état "critique", acheminées par mer jusqu'au port tunisien de Zarzis, où ils ont été pris en charge par les autorités sanitaires locales et le Croissant-Rouge tunisien.

Et l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé samedi le départ d'un deuxième bateau pour poursuivre l'évacuation des milliers de migrants entassés dans des conditions particulièrement précaires dans un camp près du port de de Misrata.

Dans l'Est, longtemps bloqués autour d'Ajdabiya, noeud de communication stratégique à 160 km au sud de leur fief Benghazi, les rebelles ont avancé samedi d'une quarantaine de kilomètres à l'ouest, en direction du site pétrolier de Brega.

Anders Fogh Rasmussen, Alain Juppé et Guido Westerwelle le 14 avril 2011 à Berlin (Photo John Macdougall/AFP)

Mais à mi-chemin entre les deux villes, distantes de 80 km, des tirs de roquettes des forces gouvernementales ont fait au moins six morts et 20 blessés, selon des responsables de l'hôpital d'Ajdabiya, où les victimes ont été transportées.

Trois morts étaient carbonisés, et de nombreux blessés portaient des marques de brûlures. Certains avaient le corps couvert de pansements et plusieurs devaient être évacués à Benghazi, selon un journaliste de l'AFP.

"J'étais là-bas, au km 40. Il y a beaucoup de petites roquettes Grad qui nous sont tombées dessus", a raconté à l'AFP Maher Salim, un combattant de 30 ans.

Les avions de l'Otan ont intensifié leur activité dans la zone ces trois derniers jours. Selon les rebelles, ils ont mené des raids aériens afin de leur dégager le terrain et faciliter leur progression vers Brega.

Plus à l'ouest, des raids aériens de l'Otan ont visé Syrte, ville natale du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, et la région d'Al-Hira, au sud-ouest de Tripoli, selon l'agence officielle libyenne Jana.

Selon de hauts responsables américains et de l'Alliance atlantique cités vendredi par le Washington Post, les forces de l'Otan se trouvent à court de bombes de précision et d'autres types de munitions, une pénurie qui révèle les limites du Royaume-Uni, de la France et des autres pays européens engagés à mener dans la durée une opération militaire relativement modeste.

Dans une tribune commune publiée vendredi dans quatre quotidiens, le président américain Barack Obama, le Premier ministre britannique David Cameron et le président français Nicolas Sarkozy ont déclaré qu'il était "impossible d'imaginer que la Libye ait un avenir avec Kadhafi".

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a répété vendredi que l'Otan outrepassait le mandat de l'ONU et qu'il fallait vite "avancer vers un règlement politique et diplomatique".

Mais le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a assuré que la coalition n'avait "nul besoin d'une nouvelle résolution" de l'ONU pour contraindre Mouammar Kadhafi au départ dans la mesure où le dirigeant libyen avait "perdu toute légitimité".


 ACTUALITE DERNIERE HEURE   

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16/04/2011
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