121-/-Jeudi 01 Mai 2014
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Syrie: la violence redouble en Syrie à un mois de la présidentielle L'aviation du régime syrien a mené des frappes mercredi sur un quartier rebelle d'Alep, faisant au moins 18 morts dont 10 enfants dans une école, les civils... |
La majorité des Irakiens défient les violences pour élire leurs députés
Les Irakiens ont défié les violences mercredi et se sont rendus aux urnes pour élire leur Parlement lors des premières élections législatives depuis le...
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La nouvelle sensation belge, Stromae, l’auteur des hits Alors, on danse , Papaoutai, Formidable et de l’album au succès..
«La Coupe a toujours figuré dans les objectifs du club»
le 30.04.14 | 10h00 Réagissez
Fouad Bouali en est à sa 4e finale de Coupe d’Algérie comme entraîneur. Il en a perdu deux et remporté une avec le WA Tlemcen, le club de sa ville. Comme tout coach qui se respecte il est (un peu) superstitieux. Il a perdu la 1re et la 3e et gagné la 2e. La 4e sera-t-elle la bonne, comme la seconde ? C’est tout le mal qu’il se souhaite. A la veille de la finale face à la JS Kabylie, il s’est aimablement plié à l’exercice des questions-réponses
Le Mouloudia d’Alger remporte sa 7 eme coupe d’Algérie
le 01.05.14 | 19h33 8 réactions
Le Mouloudia d’Alger (MCA) a remporté, ce jeudi 1er mai, sa septième coupe d’Algérie de footbal, dans le match de la finale jouée contre la JSK au stade Mustapha Tchaker de Blida. Le mouloudia a gagné aux tirs aux buts 5 à 4.
Le temps réglementaire et les prolongations se sont terminés sur le score d’un but partout. Les deux buts ont été marqués par le joueur de la JSK, Ali Rial. Le premier contre son camp à la 4eme minute, et le second dans les filets du MCA, suite à un penalty sifflé par l’arbitre à la 88 eme minute.
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La police disperse un rassemblement devant le port d’Alger
le 01.05.14 | 12h41
Des dizaines de personnes se sont rassemblées, ce jeudi 1er mai devant le port d’Alger, à l’appel du Collectif pour une politique ouvrière indépendante.
La police a accordé cinq minutes aux manifestants pour brandir leurs pancartes et scander leurs slogans appelant notamment à l’adoption d’« une grille de salaire mobile » et à l’augmentation du SNMG à 40 000 dinars.
A 11h 5, les agents de police dispersent le rassemblement dominé par les militants du Parti socialistes des travailleurs (PST).
Ce parti a estimé, dans une déclaration distribuée sur les lieux, que la forte abstention qui a marquée le scrutin présidentiel du 17 avril dernier, « révèle l’ampleur du rejet des travailleurs et des masses populaires de la politique libérale désastreuse et autoritariste du régime Bouteflika ».
Pour le PST, les grèves observées par les cheminots et les travailleurs du métro, du port d’Alger, de Samsung Sétif et de Lafarge Mascara « rappellent en ce 1er mai que qu la résistance contre le libéralisme est la seule alternative pour imposer une autre politique ».
Plusieurs figures connues de la société civile algérienne ont pris part à ce rassemblement à l’instar de Hakim Addad, ancien leader de RAJ, et Hocine Zehouane, président de l’une des factions de Laddh.
Farouk Djouadi
La majorité des Irakiens défient les violences pour élire leurs députés
le 30.04.14 | 05h19 | mis à jour le 30.04.14 | 20h25
Les Irakiens ont défié les violences mercredi et se sont rendus aux urnes pour élire leur Parlement lors des premières élections législatives depuis le retrait des troupes américaines fin 2011, le Premier ministre sortant Nouri al-Maliki se disant "sûr de sa victoire".
Environ 60% des 20 millions d'électeurs inscrits ont voté, a annoncé la commission électorale dans la soirée, alors que les violences qui ont tué près de 90 personnes dans les 48H précédent le scrutin faisaient craindre un fort taux d'abstention.
Il était impossible dans la soirée d'obtenir un taux plus précis en l'absence d'information sur la participation dans certaines zones du pays, qualifiées de "sensibles".
Le décompte des voix a commencé immédiatement après la fermeture des bureaux de vote, mais les premiers résultats ne sont pas attendus avant la mi-mai.
Le chef de la diplomatie américaine John Kerry a félicité les millions d'Irakiens qui ont "courageusement voté", estimant qu'ils avaient envoyé "un puissant message de revanche aux extrémistes violents qui tentent de saboter les progrès de la démocratie et de semer la discorde".
L'envoyé spécial de l'ONU en Irak Nickolay Mladenov a également salué le peuple irakien qui "a montré sa détermination à exercer son droit de vote".
Les bureaux de vote, ouverts de 07H00 à 18H00 (04H00 à 15H00 GMT), ont été étroitement surveillés tout au long de la journée pour prévenir tout risque d'attentat.
Les voitures avaient interdiction de circuler dans Bagdad depuis mardi soir, et un couvre-feu total a été décrété dans la capitale pour la nuit de mercredi à jeudi.
Le scrutin a cependant été marqué plus de 50 attaques qui ont fait au moins 14 morts, dont deux membres de la commission électorale, et 36 blessés.
- 'Pour un avenir meilleur' -
Cela n'a pas empêché les Irakiens d'aller voter, comme Abou Achraf, 67 ans. Cet ancien comptable de l'ouest de Bagdad veut "chasser la plupart des politiciens, parce qu'ils n'ont rien fait, à part se disputer depuis des années".
Appuyé sur ses béquilles, Jawad Saïd Kamaleddine, 91 ans, a lui aussi glissé son bulletin dans l'urne dans l'espoir que "tous les politiciens changent. Ce sont tous des voleurs".
M. Maliki, qui espère un troisième mandat, a voté tôt dans la matinée à l'hôtel Rachid, au cœur de la "zone verte", un secteur fortifié de Bagdad, et a déclaré aux journalistes être "sûr de la victoire".
Le Premier ministre sortant est donné favori, malgré un bilan très critiqué en matière de lutte contre le chômage et la corruption, ou encore de modernisation des services publics, alors que le pays est plongé dans des violences qui font en moyenne 25 morts chaque jour.
"Si on ne vient pas voter, à qui va-t-on laisser le pouvoir? ... aux ennemis", affirmait Oum Jabbar, après avoir glissé un bulletin pour le camp Maliki dans la ville sainte chiite de Najaf.
- Tensions instrumentalisées -
Pour convaincre les électeurs, les 9.039 candidats ont tapissé le pays d'affiches, sur lesquelles chacun met en avant son appartenance ethnique et confessionnelle, plus que son programm
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Stromae en exclusivité à El Watan : «Chanter à Alger… formidable !»
le 30.04.14 | 10h00
La nouvelle sensation belge, Stromae, l’auteur des hits Alors, on danse, Papaoutai, Formidable et de l’album au succès fou, Racine carrée, 1, 5 millions de copies vendus dans le monde, à un mois de son concert événement en Algérie, le 30 mai 2014, à la Coupole Mohamed Boudiaf à Alger, se livre exclusivement à El Watan.
Et ce, grâce à Farid Bellagha, producteur franco-algérien, travaillant des deux côtés de la Méditerranée. Ayant déjà ramené en Algérie, Diam's, David Guetta, Cerrone et ayant participé activement à la production de la comédie musicale Robin des Bois, succès en France, Suisse et Belgique, avec plus de 800.000 spectateurs à chaque représentation. Pour l'organisation du concert de Stromae à Alger, il travaille en collaboration avec la société algérienne Think Factory. Formidable !
-Stromae, c’est la toute première fois que vous donnez un concert en Algérie. C’est le concert-événement par excellence de l’année, à Alger, le 30 mai prochain…
Bonjour ! Je suis content de venir enfin sur le territoire algérien. Je suis déjà venu au Maghreb mais je n’ai pas donné de vrais concerts. C’est-à-dire de longue durée. J’y avais fait deux, trois chansons à Carthage (Tunisie). J’étais passé au Marrakech du rire. C’était ponctuel et très court. Là, à Alger, c’est la première fois au Maghreb pour un vrai concert.
-Savez-vous que vous êtes adulé, ici, tant par les jeunes que les personnes âgées ? Une «Stromaemania», n’est-ce pas «formidable» ?
Ah ! Merci, Algériennes et Algériens. Merci beaucoup ! Je suis touché et honoré en tout cas d’avoir cette espèce de nomination en Algérie.
-Vous êtes d’origine rwandaise, belge de nationalité. Comment vous sentez-vous ? Africain ? Touareg ? West Indies ?
(Rire). Oui, c’est vrai, peut-être qu’on pourrait croire que je suis Algérien, Touareg, ou je ne sais pas. Et puis comme je suis hypermince, j’ai aussi des origines éthiopiennes par ma grand-mère. Pour l’anecdote, j’ai des origines rwandaises. Je crois, pour être honnête, je ne pourrais pas dire que je me sens plus africain. J’ai grandi à Bruxelles (Belgique). Ce serait mentir que de dire que je suis plus Africain qu’Européen. J’ai grandi évidemment avec la culture pas uniquement rwandaise, mais aussi avec celle nord-africaine. Quand on est à Bruxelles, on grandit un peu avec le Maroc, le Congo, le flamand, le français… Une espèce de mélange culturel venant de partout. Mais géographiquement, on est quand même en Europe. Mon éduction ressemble plus à une culture européenne qu’africaine. J’ai majoritairement vécu à Bruxelles, quoi.
-On vous compare souvent à Jacques Brel. Cela est-il lourd à porter ou à «supporter» ?
Euh, je trouve cela lourd ! Je crois, pour lui, c’est lourd à supporter (rires). Moi, ça va ! C’est un beau compliment. Je ne vais pas m’en plaindre. Non ! C’est un superbe compliment ! Après, je trouve triste pour lui et pour toute sa carrière d’être comparé à un «gamin» de 29 ans qui a fait deux albums. Sinon, cela reste un très beau compliment que je prends très bien.
-Sans galvauder le sens, êtes-vous un chanteur «à texte» de votre temps, pop… ulairement et électroniquement parlant ?
الخميسـ 1 رجب 1435 ه
الخميس 1 ماي 2014 م