LE "SOCIAL"

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RetraitĂ©, lĂšve ta tĂȘte, ya baa !!

 

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Le Soir Retraite : 

 

Courrier des lecteurs

Retraité, lève ta tête, ya baa !!

 

Dans ma dernière contribution dans cet espace réservé aux «retraités», traduit à l’arabe «mouta-kaâdine» qui signifie «morts-assis», j’avais lancé un appel à cette «bande» de citoyens pour un débat national à l’effet de s’organiser pour se faire entendre, proposer des idées, communiquer à la génération montante nos insuffisances et nos réussites, nos points faibles et nos points forts, car la relève n’a pas été du tout préparée. Pour des postes spécifiques (je précise «spécifiques»), nous assistons à l’installation de flen, de would-flen, de l’ami de flen, et j’en passe. Tout cela, pourvu que ça continue à fonctionner avec l’expérience de subalternes intimidés et contraints au silence, sans amélioration aucune de la situation de l’entreprise, mais des dégâts pour reprendre à zéro quelques années après, à la veille de leur départ à la retraite. Et l’Algérie continue… sa misère... Nous devons nous organiser aussi, dans un cadre réglementaire, pour contrer cette mort lente née d’une flagrante complicité du syndicat unique, du parti unique, du pouvoir unique, mais, soyez certains, là-haut, nous mourrons dignement. Hé! hé ! Ce syndicat unique est membre de plein droit au conseil d'administration de notre «pôôôvre» caisse de retraite et celui des autres «pôôôvres» caisses mutuelles. Depuis cet espace, j’invite mon ami Maâmar de «Madaure» à se passer de temps en temps de ses billets «lourds» et de réserver, parfois, un tout petit de ses billets à cette bande de retraités qui fait peur dans les placettes et jardins publics comme Daesh, par exemple. Hé ! ton billet, nous le lirons ensemble autour d’un café chez Berrabah (allah yaharmou), et à Chaouki-Ramoul de Bouchegouf de soutenir cette «bande» de retraités par tes billets burlesques. Depuis cet espace, je réitère mon appel aux membres de cette bande à un débat patent et fructueux. Les problèmes et questions personnels (service national, IRG, annuités non comptabilisées, DQV, etc.) trouveront les solutions dans ce cadre organisationnel que je propose au débat. A. Ayachi

NB : s’agissant de la relève, des nominations de remplacement, ainsi que des effets actuels et futurs sur la vie des entreprises, ils feront l’objet d’une contribution hors de cet espace, avec des cas concrets qui seront étayés. Prise en charge pour une cure Même si ça ne concerne pas directement la CNR, et comme c'est le seul espace où le retraité peut s'exprimer et je vous remercie beaucoup, je me permets de vous écrire pour dénoncer des pratiques réservées aux retraités qui doivent suivre des cures au niveau des stations thermales et notamment celle de Hammam guergour. Les faits sont les suivants : étant retraité et malade chronique, ma femme souffrant de rhumatismes, mon médecin traitant m’a préconisé une cure de 21 jours à la station thermale de Hammam Guergour près de Sétif. Après avoir reçu l’accord de la demande faite au niveau de la Cnas de Birkhadem, et je remercie par la même occasion tout le personnel de cette agence qui sont tous sans exception très serviables et très professionnels, j’ai appelé la station pour avoir de plus amples renseignements et leur réponse était la suivante : «Vous devez payer 92 000 DA» ! Lorsque j’ai demandé des explications le réponse était : «Ce sont les instructions reçues de nos responsables.» Je voudrais dire à ces responsables ce qui suit : 1) Le montant demandé représente 4 à 5 fois le salaire d’un retraité. 2) Comment ils ont calculé ce montant sachant que sur leur site il est mentionné que le tarif de 7 jours en pension complète avec soins compris pour un couple sans prise en charge est de 62 000 DA soit pour 21 jours 62 000 X 3 = 186 000 DA ? Les 20% représentent donc 37 200,00 DA pour un couple, nous sommes loin des 92 000 DA demandés. 3) Pourquoi un retraité qui a des maladies chroniques et qui est pris en charge au niveau de la Cnas à 100 % doit payer au niveau des stations thermales? 4) J’ai rencontré plusieurs retraités qui n’ont pas pu suivre des cures de soins alors qu’ils en ont vraiment besoin car ils ne peuvent pas s’acquitter de cette somme. Nous voudrions, par l’intermédiaire de cette rubrique, que les responsables se penchent sur ce sujet. Salutations les meilleures. Yahia talbi Pension complémentaire de retraite des «pétroliers» Appel au président de la République et au Premier ministre : les retraités de Sonatrach vivent le calvaire avec le président du conseil administratif de la mutuelle MIP, M. Hazbellaoui Abderrezak, et le représentant de la Sonatrach, M. Heguehoug Younes (Directeur exécutif des ressources humaines) et le représentant du syndicat national SH, M. Touahria Hamou (secrétaire général). Ces représentants veulent réduire la Pension complémentaire de retraite (PCR) de moitié (elle passe d'un taux initial de cotisation annuel de 1% à 0,625%). Cette décision a été prise sans l'avis de l'ensemble des retraités. Vous devez comprendre, Monsieur le Président et Monsieur le Premier ministre, que la situation est à l'urgence. Les retraités ont l'intention de lancer une grande mobilisation et opération de sin-in devant les sièges des directions générales de la Sonatrach et de la MIP dans toutes les villes du pays, jusqu'à ce que leurs préoccupations soient levées et le problème réglé. Intervenez Monsieur le Président et Monsieur le Premier ministre, la situation est grave, elle touche aux droits légitimes et aux intérêts des retraités, c'est leur source de vie et de leurs familles. Salutations cordiales. Chérif Ould amer, Oran Source de cet article : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/04/14/article.php?sid=177246&cid=12

14/04/2015
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RETRAITES Hausse des demandes de départ à la retraite anticipée

Hausse des demandes de départ à la retraite anticipée

Ça se bouscule à la CNR !

le 15.09.16 | 10h00

 
 

Depuis que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a annoncé il y a quelques mois que la loi fixant l’âge de départ à la retraite à 60 ans entrera en vigueur l’année prochaine, le nombre de dépôts de dossier de retraite anticipée ne cesse de croître.

Nous avons pu le constater dans les différentes agences de la Caisse nationale des retraites (CNR) de la capitale et particulièrement à celle située sur le boulevard Colonel Bougara (Alger-Centre). Des centaines de demandeurs viennent par vagues pour demander des renseignements, compléter un dossier ou le déposer en attendant d’en bénéficier. La majorité justifie cette décision par la pénibilité de leur travail, le fait d’avoir le sentiment de ne pas «tenir le coup jusqu’à 60 ans», et d’autres redoutent que l’Etat prolonge l’âge de la retraite au-delà de 60 ans.

Le Conseil des ministres qui a examiné en juillet dernier l’avant-projet de loi «rétablissant l’obligation d’un âge minimal» de retraite à 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes confirme la constatation d’une forte augmentation des départs en retraite sans condition d’âge ou en retraite proportionnelle.

Il faut savoir que pour l’année en cours, 96% des départs à la retraite d’enseignants sont des retraites anticipées, si l’on comptabilise les autres catégories de ce corps, le taux atteint les 93%. C’est l’aveu de Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale, qui explique les raisons de ce phénomène par «l’amélioration des conditions financières» des enseignants suite à l’augmentation des salaires intervenue depuis 2010.

Plusieurs témoignages confirment la tendance

«Lorsque j’ai appris que l’Etat allait supprimer la retraite anticipée, j’ai immédiatement commencé à préparer le dossier de départ. Je ne pouvais pas continuer à travailler jusqu’à 60 ans avec un bas salaire mensuel de 35 000 DA. En plus, l’ambiance de travail s’est détériorée. Même si j’étais le chauffeur du directeur d’une entreprise publique de construction basée à Alger, mon salaire n’a pas évolué. Cela m’a totalement démotivé», avoue D. M. Dans ce contexte, poursuit-il, «la retraite anticipée est pour moi une délivrance et un soulagement.

En plus, à 50 ans, cela va me permettre de me consacrer à ma santé et à mes deux filles dont une est universitaire». Contrairement à beaucoup d’autres, il n’a pas voulu «replonger dans le travail en tant que chauffeur ou autre pour un ridicule salaire de contractuel. Je me contente de ma pension de retraite au lieu d’être exploité par les sociétés ou des particuliers au détriment de ma santé.»

De son côté, un récent retraité de Sonatrach qui a travaillé dans les chantiers du Sud et qui est parti en retraite à 56 ans explique les raisons qui l’y ont poussé : «Comme la plupart des travailleurs de Sonatrach, on a demandé de partir en retraite afin de bénéficier de la prime de départ. Car avec la crise économique qui se fait ressentir suite à la baisse du prix du pétrole, on craignait que les responsables de l’entreprise prennent la décision de revoir le taux de la prime de départ à la baisse. Au-delà du souci de perdre certains avantages sociaux, jamais les travailleurs du Sud n’ont exercé jusqu’à 60 ans.

La rumeur a provoqué le départ massif des travailleurs tant au Centre qu’au Sud. Actuellement, d’anciens collègues sont en train de constituer leurs dossiers de retraite avant 2017. C’est la panique à travers les bases de Sonatrach», nous confie A. B., ancien cadre à Sonatrach. L’avant-projet de loi «rétablissant l’obligation d’un âge minimal» de retraite à 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes, prévoit des départs anticipés pour les travailleurs «en poste de haute pénibilité» et différés de cinq ans sous condition pour certaines catégories à haute expertise ou déficitaires.

Cet avant-projet modifiant et complétant la loi n°83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite vise essentiellement à préserver l’avenir de la CNR et les intérêts des retraités ; il tient compte aussi des préoccupations exprimées par les représentants des travailleurs. Pour ce qui est du départ à la retraite sans condition d’âge, l’ordonnance 97-13 du 31 mai 1997 reste en vigueur jusqu’à la fin de l’année. La CNR continue, de ce fait, de recevoir et de traiter les dossiers liés à la demande de départ à la retraite proportionnelle et sans condition d’âge.

Les départs à la retraite sans condition d’âge ou proportionnelle sont deux dispositifs mis en place dans les années quatre-vingt-dix, à titre exceptionnel et transitoire, alors que le pays était confronté à une importante vague de dissolutions d’entreprises et de compression de personnel. La décision de rétablir le départ à la retraite à 60 ans a fait l’objet de concertation lors de la réunion de la tripartite, en juin dernier, dans «le souci de préserver et consolider le système national de retraite», d’autant plus que les conditions actuelles ne permettent plus le maintien du dispositif de départ à la retraite sans condition d’âge.

Sauvegarder le système national de retraite

Le maintien de cette disposition entraîne «des conséquences dommageables» aussi bien aux équilibres financiers de la CNR qu’à l’outil de production, qui enregistre chaque année d’importantes déperditions de ses ressources humaines, notamment les plus qualifiées, dans un dispositif qui s’est avéré souvent «inégalitaire», a-t-on précisé lors de la dernière tripartite.

Mohamed El Ghazi, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, avait divulgué récemment que sur les 1,7 million de retraités, 890 000 sont partis en retraite anticipée, soit 52% des moins de 60 ans, auxquels la CNR verse annuellement 405 milliards de dinars. En Algérie, il y a 2,1 d’actifs pour un retraité, alors que la norme internationale est de 5 actifs pour un retraité. Pour les pouvoirs publics, la retraite sans condition d’âge a favorisé le départ en masse de cadres compétents et d’une main-d’œuvre qualifiée des entreprises nationales vers les sociétés étrangères.

Le projet de loi propose ainsi «la suppression de ces dispositifs exceptionnels» conçus pour une période transitoire et le retour à la règle de l’âge minimum de la retraite à 60 ans en vigueur depuis 1983. Des mesures, selon le gouvernement, qui «permettent de sauvegarder le système national de retraite basé sur le principe de solidarité intergénérationnelle». Le texte en question propose par ailleurs le droit des travailleurs à poursuivre volontairement leur activité au-delà de l’âge de 60 ans, dans la limite de cinq années. Cette disposition permettra aux travailleurs concernés de valider notamment des années de travail supplémentaires au titre de leur retraite.

Mais si les pouvoirs publics ont décidé de recourir à ces mesures, ce n’est pas uniquement à cause de l’effondrement des prix du pétrole. Elles sont justifiées également par les données démographiques nationales, qui montrent une évolution significative de l’espérance de vie à la naissance qui est passée de 62,5 ans en 1983 à 72,5 ans en 2000 et à 77,1 ans en 2015.
En outre, le projet de texte intègre des règles spécifiques concernant les travailleurs occupant des postes de travail à haute pénibilité, qui pourront bénéficier de la retraite avant l’âge de 60 ans.

Ce projet intègre également des dispositions pour les travailleurs exerçant des professions hautement qualifiées ou des métiers déficitaires qui pourront bénéficier, à leur demande, d’un recul de l’âge de leur retraite. Enfin, le projet de loi prévoit le principe de sources additionnelles de financement des dépenses de retraite, qui pourraient apporter un appoint à la source naturelle de financement de ces dépenses, constituées des cotisations sociales, tout comme il prévoit l’entrée en vigueur de la loi à compter du 1er janvier 2017.

«L’assiette de calcul pour la pension de retraite en Algérie est faite sur les 5 dernières années ou les 5 meilleures années, contrairement à d’autres pays où l’assiette des cotisation est de 10 ou 20 années, voire toute la carrière. Elle est déjà très avantageuse et les revalorisations apportent des avantages. Nous n’avons pas de retraite en-dessous du SNMG, il y a une contribution de l’Etat dans ce sens avec un complément différentiel», avait déclaré il y a quelques mois à «L’Invité de la rédaction» de la Chaîne 3, Slimane Melouka, directeur général de la CNR. 

 

Kamel Benelkadi
 http://www.elwatan.com/une/ca-se-bouscule-a-la-cnr-15-09-2016-328655_108.php

16/09/2016
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Retraites 2017 Nouvelle loi sur les retraites publiée «in extremis» Ce qui a changé depuis le 1er janvier 2017

 
Le Soir Retraite : 
Nouvelle loi sur les retraites publiée «in extremis»

Ce qui a changé depuis le 1er janvier 2017


La nouvelle loi sur les retraites a été publiée dans le n°78 du Journal officiel, le dernier JO de l’année 2016, daté du dernier jour de l’année, le 31 décembre 2016 et qui est entrée en vigueur dès le 1er janvier 2017. Mais le JO en question n’a été mis en ligne sur le site web du JO que le samedi 14 janvier…
La loi 16-15 du 31 décembre 2016 modifiant et complétant la loi 83-12 relative à la retraite est publiée dans le Journal officiel. Cette loi, qui a pris effet depuis le 1er janvier 2017, a été adoptée, à la majorité, par les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) en date du 30 novembre 2016. Elle a été par la suite adoptée le 21 décembre par les membres du Conseil de la nation.
Le texte de loi stipule que «le travailleur prétendant au bénéfice de la pension de retraite doit obligatoirement réunir les deux (2) conditions suivantes : être âgé de soixante (60) ans, au moins ; toutefois, la femme travailleuse peut être admise, à sa demande, à la retraite à partir de l'âge de cinquante-cinq (55) ans révolus, et avoir travaillé pendant quinze (15) ans, au moins», indique l'article 6 de cette loi.
Il est expliqué que «pour pouvoir bénéficier de la pension de retraite, le (la) travailleur (se) doit avoir accompli un travail effectif dont la durée doit être, au moins, égale à sept ans et demi (7,5) et verser les cotisations de la sécurité sociale».
Il est également précisé que «sous réserve des dispositions de l'article 10 ci-dessous, le (la) travailleur (se) peut opter volontairement pour la poursuite de son activité, au-delà de l'âge cité ci-dessus, dans la limite de cinq (5) années, au cours desquelles l'employeur ne peut prononcer sa mise à la retraite».
L'article 7 de ce texte indique que «le (la) travailleur (se) occupant un poste de travail présentant une haute pénibilité, peut bénéficier de la pension de retraite avant l'âge prévu à l'article 6 ci-dessus, après une durée minimale passée à ce poste». 
La liste des postes de travail et les âges correspondants ainsi que la durée minimale passée dans ces postes, visés à l'alinéa 1er ci-dessus, sont fixés par voie réglementaire. 

Les professions hautement qualifiées
«Pour les professions hautement qualifiées et les métiers déficitaires, l'âge de la retraite, cité à l'article 6 ci-dessus, peut être reculé à la demande de (la) travailleur (se) concerné(e)», indique l'article 7 bis. 
La liste des professions hautement qualifiées et des métiers déficitaires ainsi que les conditions et modalités d'ouverture de droit à la prorogation de l'âge de la retraite et aux règles spécifiques de liquidation de la pension y afférentes, sont fixées par voie réglementaire.
L'article 10 souligne que «le (la) travailleur (se) remplissant les conditions prévues aux articles 6, 7, 7 bis et 8 de la présente loi a droit à la mise à la retraite. Néanmoins, la mise à la retraite ne peut être prononcée avant la notification attributive de la pension». Le texte stipule aussi, dans son article 61 bis que «sans préjudice des dispositions de la présente loi et pour une période transitoire de deux (2) années, le bénéfice de la pension de retraite peut être accordé, avec jouissance immédiate, lorsque le travailleur salarié a accompli une durée de travail effectif ayant donné lieu au versement de cotisations égales à trente-deux (32) ans au moins, et a atteint ou dépassé, l'âge minimal fixé ci-après : cinquante-huit (58) ans en 2017, cinquante-neuf (59) ans en 2018».
L'admission à la retraite dans les cas prévus à l'alinéa ci-dessus, intervient à la demande exclusive du travailleur salarié, note le texte, qui ajoute que «l'âge prévu à l'article 6 de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, est applicable aux travailleurs cités dans le présent article, à compter du 1er janvier 2019».
LSR

Loi telle que publiée au Journal officiel
Loi n° 16-15 du aouel rabie ethani 1438 correspondant au 31 décembre 2016 modifiant et complétant la loi n°83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite.

Le Président de la République, 
Vu la Constitution, notamment ses articles 136, 140, 143 (alinéa 2) et 144 ;
Vu la loi n° 83-11 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relative aux assurances sociales ;
Vu la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relative à la retraite ;
Vu la loi n° 83-13 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relative aux accidents du travail et aux maladies professionnelles ;
Vu la loi n° 83-14 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relative aux obligations des assujettis en matière de sécurité sociale ;
Vu la loi n° 90-11 du 21 avril 1990, modifiée et complétée, relative aux relations de travail ;
Vu le décret législatif n° 94-12 du 15 dhou el hidja 1414 correspondant au 26 mai 1994, modifié et complété, fixant le taux de cotisation de sécurité sociale ;
Vu l’ordonnance n° 95-01 du 19 chaâbane 1415 correspondant au 21 janvier 1995 fixant l’assiette des cotisations et des prestations de sécurité sociale ;
Vu la loi n° 08-08 du 16 safar 1429 correspondant au 23 février 2008 relative au contentieux en matière de sécurité sociale ;
Après avis du Conseil d’Etat ;
Après adoption par le Parlement ;
Promulgue la loi dont la teneur suit :
Article 1. La présente loi a pour objet de modifier et de compléter certaines dispositions de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite.
Art. 2. Les dispositions de l’article 6 de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont modifiées, complétées et rédigées comme suit : «Art. 6. Le travailleur prétendant au bénéfice de la pension de retraite doit obligatoirement réunir les deux (2) conditions suivantes : être âgé de soixante (60) ans, au moins. Toutefois, la femme travailleuse peut être admise, à sa demande, à la retraite à partir de l’âge de cinquante-cinq (55) ans révolus ; avoir travaillé pendant quinze (15) ans, au moins. Pour pouvoir bénéficier de la pension de retraite, le (la) travailleur (se) doit avoir accompli un travail effectif dont la durée doit être, au moins, égale à sept ans et demi (7,5) et versé les cotisations de la sécurité sociale. Sous réserve des dispositions de l’article 10 ci-dessous, le (la) travailleur (se) peut opter volontairement pour la poursuite de son activité au-delà de l’âge cité ci-dessus, dans la limite de cinq (5) années, au cours desquelles l’employeur ne peut prononcer sa mise à la retraite. Les modalités d’application du présent article sont définies, en tant que de besoin, par voie réglementaire».
Art. 3. Les dispositions de l’article 7 de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont modifiées, complétées et rédigées comme suit : «Art. 7. Le (la) travailleur (se) occupant un poste de travail présentant une haute pénibilité peut bénéficier de la pension de retraite avant l.âge prévu à l’article 6 ci-dessus, après une durée minimale passée à ce poste.
La liste des postes de travail et les âges correspondants ainsi que la durée minimale passée dans ces postes, visés à l.alinéa 1er ci-dessus, sont fixés par voie réglementaire».
Art. 4. Les dispositions de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont complétées par un article 7 bis rédigé comme suit : «Art. 7 bis. Pour les professions hautement qualifiées et les métiers déficitaires, l’âge de la retraite, cité à l’article 6 ci-dessus, peut être reculé à la demande de (la) travailleur (se) concerné(e). 
La liste des professions hautement qualifiées et des métiers déficitaires ainsi que les conditions et modalités d’ouverture de droit à la prorogation de l’âge de la retraite et aux règles spécifiques de liquidation de la pension y afférentes, sont fixées par voie réglementaire».
Art. 5. Les dispositions de l’article 10 de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont modifiées, complétées et rédigées comme suit : «Art. 10. Le (la) travailleur (se) remplissant les conditions prévues aux articles 6, 7, 7 bis et 8 de la présente loi a droit à la mise à la retraite. Néanmoins, la mise à la retraite ne peut être prononcée avant la notification attributive de la pension...(le reste sans changement)...».
Art. 6. Les dispositions de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont complétées par un article 48 bis rédigé comme suit : «Art. 48 bis. Le financement des dépenses de retraite prévu à l’article 48 ci-dessus, peut être augmenté par des sources additionnelles conformément à la législation en vigueur».
Art. 7. Les dispositions de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, sont complétées par un article 61 bis rédigé comme suit : «Art. 61 bis. Sans préjudice des dispositions de la présente loi et pour une période transitoire de deux (2) années, le bénéfice de la pension de retraite peut être accordé avec jouissance immédiate lorsque le travailleur salarié a accompli une durée de travail effectif ayant donné lieu à versement de cotisations égales à trente-deux (32), ans au moins, et atteint ou dépassé l’âge minimal fixé ci-après : 
- Cinquante-huit (58) ans en 2017 ; cinquante-neuf (59) ans en 2018.
- L’admission en retraite dans les cas prévus à l’alinéa ci-dessus, intervient à la demande exclusive du travailleur salarié. 
- L’âge prévu à l’article 6 de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, susvisée, est applicable aux travailleurs cités dans le présent article, à compter du 1er janvier 2019 ».
Art. 8. Sont abrogées toutes les dispositions contraires à la présente loi, notamment l’article 6 bis de la loi n° 83-12 du 2 juillet 1983, modifiée et complétée, relative à la retraite. 
Art. 9. La présente loi prend effet à compter du 1er janvier 2017.
Art. 10. La présente loi sera publiée au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire.
Fait à Alger, le aouel rabie ethani 1438 correspondant au 31 décembre 2016
Abdelaziz Bouteflika


18/01/2017
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Retraités, prenez votre mal en patience !



Le Soir Retraite :
 Libre débat
Retraités, prenez votre mal en patience !


C’est après l’annonce relative à la revalorisation des pensions de retraite au titre de l’année 2014 faite par le biais des chaînes de télévision et la lecture de l’exposé de M. Benmoumène dans le Soir d’Algérie du 29 avril intitulé «Encore une fois, retraités ne vous détrompez pas quant au taux entre 10% et 15 %» et de l’article de Yazid Alilat dans le Quotidien d’Oran intitulé «Maigre consolation pour les retraités», que je me suis décidé à solliciter une place pour ma lettre afin d’exprimer ce que je ressens et pense comme beaucoup de retraités.
Que quelqu’un nous explique à quoi sert le conseil d’administration de la CNR dont l’une des missions est de fixer le taux de revalorisation annuelle des pensions. Au titre de 2014, il a proposé 16%. Alors de quel droit use M. le ministre du Travail pour réduire de 4% le taux proposé par le conseil d’administration ? Cela suppose une non-application de la réglementation en vigueur. Sinon, pour rester dans la légalité, qu’il procède à sa dissolution. Ba hechma, il a été annoncé aux retraités que le taux de revalorisation des pensions est de 12%
. Ya bouguelb, khlet, l’Etat va demander un prêt à la Banque mondiale pour couvrir l’incidence financière. Ne manque-t-on pas totalement de sérieux et de décence envers ces mal-aimés en vie par la grâce de Dieu et leur résistance contre le pouvoir d’achat insupportable? Pourtant, ils ne représentent que 6,75% de la population car ils ne font pas partie de la catégorie des Algériens ayants droit. Il est inutile de prouver que lorsqu’il s’agit de retraités, l’Etat évalue l’incidence financière au centime près y a sidi hebibi ; pourtant, il n’est pas à démontrer qu’en matière d’effacement de dettes, non-recouvrement des impôts, insolvabilité des bénéficiaires d’avances pour les investissements, réévaluations éternelles des projets tels que l’autoroute Est-Ouest, budgets faramineux de fonctionnement des administrations, octroi d’autorisations de programmes complémentaires dont la majorité ne sont ni justifiées ni justifiables, le cas du périple précampagne, salaires d’exception aux fonctionnaires et parlementaires, rappels avec effet rétroactif de 2008, sans omettre ce qui se passe et qu’on couve, etc. Alors messieurs qui détenaient la vie et la mort des retraités, que représente une revalorisation digne de respect dû à cette frange d’Algériens qui ont servi ce pays plus que vous ne l’imaginez? 

«Retraités, personne ne pense à vous !»
Messieurs d’en haut et ceux qui les aident ont pour devise : chebahek oua rbahek miet naâdja fi mrahek tesaâ ou tesîîn lia ouahda lik (ton décor et ton essor, 100 brebis sont ton trésor, 99 sont miennes et une pour toi), alors retraités, personne ne pense à vous, prenez votre mal en patience, ni la FNTR qui vit à nos dépens, ni l’UGTA, sa patronne, devenue parti soutenant un programme politique au détriment du reste qui est sa raison d’être, ni les députés et sénateurs qui ont pour devise nefsi nefsi et en qui vous avez mis votre confiance, ni les cinq candidats à l’élection présidentielle qui ne voient que ce qu’ils se proposent de faire avec une évidence pour les gains familiaux et claniques, ni les délégués du sixième détenteurs de tous les robinets d’arrêt à sens unique descendant. 
En effet, pas un des candidats ou intérimaires-délégués n’a eu l’obligeance, ni par politesse ni par éducation professionnelle, de prononcer un seul mot de réconfort pour ces indigents nécessiteux qui manque du nécessaire même, pourtant, ils ont le droit de bénéficier d’une part des richesses du sol et du sous-sol de leur pays, de surcroît, producteur de pétrole dont le baril se négocie à plus de 100 dollars US. 
Ce ne sont pas les retraités qui sont le gouffre budgétivore, le problème de l’Algérie n’est pas financier mais un problème d’hommes. Oui, chez nous la préférence est donnée aux dépenses productives de voix, non de richesses, ou encore, pour faire taire les actifs tous secteurs confondus pouvant bloquer les administrations, l’éducation nationale, la santé, l’industrie et le reste qui créent des situations embarrassantes, donc gênantes, il ne faut pas lésiner sur les moyens financiers kayene el khir el hamdoulillah, atilhoum bach yessouktou (il y a les moyens grâce à Dieu, donnez-leur pour qu’ils se taisent). Je ne veux pas citer le vrai gouffre tourbillon avaleur de deniers publics. Je me rappelle un jour, feu le président Boumediène, Allah yarahmou, avait dit : «Si chaque Algérien économisait 10 g de pain par jour soit (10 x 365 x 37 000 000) le pays gagnerait, actuellement, 13 550 tonnes. Le franc français ne valait que 0,66 DA et que l’Algérien se permettait de passer ses vacances en France. 

«Messieurs les tenants du pouvoir qui vivez dans une bulle d’air» 
Ouallah y a khaouti, depuis 2003, date de ma mise à la retraite, je continue de constater que les services des finances calculent au centime près l’incidence pour la couverture de la soi-disant revalorisation qui, en vérité, n’est qu’une aumône offerte à un mendiant, alors que les retraités n’ont jamais, à ma connaissance, tendu la main, ils ont leur fierté, leur dignité et satisfaits d’avoir participé à la grande édification de notre cher pays en travaillant dans des conditions très pénibles pour le remettre, informatisé et avec le Net, sur un plateau non pas d’argent mais d’or, à ceux qui méprisent aujourd’hui ces laissés-pour-compte sans reconnaître la grandeur de leur œuvre et surtout la douceur du fruit qu’il savourent actuellement. Croyez et faites ce que bon vous semble, messieurs les tenants du pouvoir qui vivez dans une bulle d’air avec des avantages inimaginables et en prime une oxygène spéciale sans influence de la couche d’ozone d’où les retraités puisent l’air qu’ils respirent. 
Mesdames et messieurs les parlementaires, censés représenter ceux qui ont mis leur confiance en vous et que vous avez délaissés à votre profit, mesdames et messieurs les chefs de partis, continuez de vivre sur le dos du peuple et celui de vos militants en hibernant puis en ressuscitant à chaque présidentielle et ainsi de suite, tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir. Noumou ! noumou ! messieurs de l’UGTA, votre mission, je pense, consiste à défendre les intérêts communs des travailleurs (actifs et ceux qui les ont précédés), qu’en est-il en dehors de vos intérêts propres en qualité de rentiers éternels? Je proposerai à l’Etat de concevoir un statut particulier et de vous intégrer au statut général de la Fonction publique puisque votre carrière est à vie. Messieurs et mesdames les membres du conseil d’administration de la CNR qui décidez du taux de revalorisation des pensions, c’est de la fumisterie dont on ne peut être fiers, car c’est que les retraités font l’objet de moquerie de votre part, pour un taux pareil qui se chiffre en centaines de dinars seulement et que le pouvoir d’achat galope en milliers de dinars. De même, l’injustice vécue par ces gêneurs par rapport aux travailleurs actifs, tant mieux pour eux, qui ont bénéficié d’augmentations dont eux-mêmes ne s’attendaient pas. 
Pourquoi cette politique des deux poids, deux mesures ? Messieurs de la FNTR bravo ââlikoum ! Votre existence à la fédération n’est ni justifiée ni justifiable, vous occupez les lieux sans résultat aucun, profitez du soleil avant qu’il ne pleuve de très gros tebrouri !

«Les retraités ne demandent pas à s’enrichir»
Je ne saurais terminer ma lettre sans dire que je compare notre pays à un grand chêne où le peuple est le tronc et tous les hauts responsables (les décideurs et leurs assistants, les parlementaires des deux Chambres, les chefs de partis politiques, l’exécutif de l’UGTA et le secrétariat de la FNTR) ne sont que les feuilles qui verdissent au printemps et tombent en automne dont une partie s’envole dans les airs au gré des vents vers l’inconnu, et l’autre se colle au sol, là viendront les balayeurs avec leurs râteaux nettoyer la place en les jetant aux endroits invisibles sans que personne se rappelle de leur ombre. Il en est de même pour les juristes qui légifèrent et pondent des textes sur mesure uniquement dans le sens de bénéficier du plus gros morceau. Les retraités n’ont été pour l’ensemble des élus qu’un réservoir de voix qui a servi à leur promotion par les urnes à leur entière satisfaction. 
Les 2 500 000 âmes propres, honnêtes et naïves, ont servi le pays avec dévouement, amour et abnégation souvent en hypothéquant leur santé, beaucoup en sont morts pour que vive l’Algérie ma kamrouch biha. 
Ces êtres qui n’attendaient qu’un geste honorable que méritent leur foi et leur dignité pour une fin de vie à l’abri des besoins minimes. Sah, les retraités ne demandent pas à s’enrichir mais refusent d’être miséreux dans leur patrie. Aux yeux des autres peuples, nous sommes des Saoudiens ou Qataris compte tenu de nos richesses, alors qu’elles ne profitent qu’à ceux qui vivent dans les cieux supérieurs.
Seuls les gens qui ont fait hommage à un chef dont ils ont reçu pas mal de choses et continuent de recevoir, à qui ils doivent divers autres services sont les bénéficiaires des élections, on ne court pas, on ne s’égosille pas comme des zaghratète gratuitement, les retraités n’attendent plus rien de vous, seulement par correction n’oubliez pas que ces gens ont participé à votre promotion. 
Même si les retraités côtoient les jeunes et occupent les trottoirs pour lire leur journal ou font la chaîne avant l’ouverture des bureaux de poste, leurs honneur et dignité sont intacts et préservés n’en déplaisent à ceux qui les privent et éprouvent de l’aversion pour eux, malgré qu’on peut faire la comparaison entre le comportement professionnel et disciplinaire de notre temps et l’actuel, l’engagement vis-à-vis de la chose publique dans le passé et maintenant. 
Retraités, il est vain de parler ou faire des appels à qui ? (On dit souvent que les chiens aboient, la caravane passe). Il est tard pour nous de manifester. L’insensibilité aux difficultés d’autrui complétée par la surdité des responsables se traduit par la privation rendant la vie ce qu’elle est. Puisqu’on est appelé à vivre ensemble, le proverbe dit : le seul couple qui réussit est celui qui unit un homme sourd à une femme aveugle et muette). Alors résignons-nous et remettons nos doléances à notre CÒ‹réateur !
Ammari Ali, retraité, El-Affroun

 http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2014/05/20/article.php?sid=163673&cid=12

 


20/05/2014
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réunion générale du souk aura lieu jeudi 18 mars 2010 au niveau de la faculté biomédicale

Soukistes et amis du souk, bonjour

Dans quelques semaines, 800 enfants auront la joie de passer une journée au parc d'attraction de Ben Aknou. Mais pour se faire, nous avons besoin de votre aide, de vos idées et participation.

N'hĂ©sitez pas Ă  nous contacter sur le 0771 35 99 99 begin_of_the_skype_highlighting              0771 35 99 99      end_of_the_skype_highlighting ou lesouk@lesouk.org

Sans plus tarder, voici les news de notre association

 

Bilan d la semaine passée :

Cinésouk Ecole des Jeunes Sourds de Telemly
En raison de problÚmes techniques et administratif, le cinésouk prévu pour le mardi 09 mars est reporté au mardi 16 mars 2010.

Actions de la semaine prochaine

Samedi 13 mars 2010 : Cinésouk au niveau du Centre Chirurgie Infantil du CHU Belfort
Nos besoins :
- Gùteaux en quantité suffisante pour 30 enfants.
- Décoration
- Animation

Mardi 16 mars 2010 : Cinésouk au niveau de l'Ecole des Jeunes Sourds de Telemly
Nos besoins
- Gùteau en quantité suffisante pour 90 enfants
- Limonade ou jus
- Animations : les garçons vĂȘtus en cravate et les filles en classique!!!!
- Cadeaux
Pour tout renseignement, aide, contactez nous sur le 0771 35 99 99 begin_of_the_skype_highlighting              0771 35 99 99      end_of_the_skype_highlighting ou scouc@lesouk.org

Actions Ă  venir

Parc d'attraction édition 2010
Pour la 6Úme année consécutive, le souk souhaiterait réitérer sa grande action au parc d'atttraction de Ben Aknoun au profit de 800 enfants.
Nos besoins :
- Bus
- Déjeuner et Collation
- Cadeaux
- Toute idée pouvant faire passer une agréable journée aux enfants.
Pour tout renseignement, aide, contactez nous sur le 0771 35 99 99 begin_of_the_skype_highlighting              0771 35 99 99      end_of_the_skype_highlighting ou scouc@lesouk.org

jeudi 18 mars 2010 : Journée Portes ouvertes du Souk à la faculté Biomédicale de Dergana
Le but étant de faire connaitre l'association aux étudiants de 1Úre année de médecine et de chirurige dentaire.
La réunion générale s'y tiendra à partir de 14h00.
Pour tout renseignement, contacter Soheib sur le 0550 41 78 43 begin_of_the_skype_highlighting              0550 41 78 43      end_of_the_skype_highlighting ou scouc@lesouk.org

Comité SCORA

Y-Peer Ă  Blida : Se tiendra une formation de formateur, Y-Peer Ă  Blida le 14; 15 et 16 mars 2010.

Y-Peer à Alger : Une formation Y-Peer basic aura lieu la deuxiÚme semaine des vacances sur alger. Le lieu n'a pas été identifié.
Pour tout renseignement, insciption, contacter Youcef sur le 0554 657 756 begin_of_the_skype_highlighting              0554 657 756      end_of_the_skype_highlighting ou youcef@lesouk.org


Exceptionnellement, la prochaine réunion générale du souk aura lieu jeudi 18 mars 2010 à partir de 13h30 au niveau de la faculté biomédicale de Dergana


24/03/2010
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