Dossier : Examens scolaires 2010

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Dossier : Examens scolaires
Edition du Mercredi 26 Mai 2010
Par : MALIKA BEN
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La commission nationale chargĂ©e du suivi et de la mise en Ɠuvre des programmes, prĂ©sidĂ©e par le ministre de l’Éducation, se rĂ©unira ce matin pour rendre le verdict tant attendu par les candidats au BEM et au bac.

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Par : Malika Ben
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MĂȘme si les programmes restent inachevĂ©s et les connaissances de l’an dernier toujours pas fructifiĂ©es  et actualisĂ©es, l’école est bel et bien finie dans quelques semaines. Les grandes vacances scolaires commenceront par le suivi des prestations des Verts au Mondial-2010.


Par : Malika Ben
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Ils seront 615 602 candidats à postuler, jeudi 27 mai, à l’examen de fin de cycle primaire, ex-6e, dont 321 304 garçons (52,19%) et 294 298 filles (47,80%).

Coup d’envoi jeudi de l’ex-6e, du Bem et du bac
Les examens scolaires affectés par les grÚves ?
Par : MALIKA BEN
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La commission nationale chargĂ©e du suivi et de la mise en Ɠuvre des programmes, prĂ©sidĂ©e par le ministre de l’Éducation, se rĂ©unira ce matin pour rendre le verdict tant attendu par les candidats au BEM et au bac.
La commission est chargĂ©e de faire l’évaluation de l’annĂ©e scolaire et dresser le bilan de la mise  en Ɠuvre des programmes scolaires. Un bilan dĂ©terminant puisqu’il servira de rĂ©fĂ©rence pour l’élaboration des sujets d’examens.

C’est fini. La page de l’annĂ©e scolaire 2009/2010 est sur le point d’ĂȘtre tournĂ©e. Les vacances scolaires pointent dĂ©jĂ  le nez et pour une longue durĂ©e. Mais, avant cela, une seule et importante Ă©tape pour certains Ă©lĂšves : les examens de fin d’annĂ©e. Le coup d’envoi des Ă©preuves officielles sera donnĂ© demain par l’examen de fin de cycle primaire. Il sera suivi par le Brevet d’enseignement moyen prĂ©vu le 1er juin prochain et enfin le tant attendu baccalaurĂ©at le 6 juin. Contrairement aux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, cette annĂ©e, les examens ont lieu dans une ambiance empreinte d’angoisse, de pression et de fortes apprĂ©hensions. Ce n’est plus la traditionnelle peur de l’examen en tant que telle, que l’on soit brillant ou paresseux ou pas du tout portĂ© sur les Ă©tudes, mais la perte de confiance en soi ainsi que l’angoisse et le stress d’une courte et trĂšs mouvementĂ©e annĂ©e scolaire.  Il est vrai que les examens ont toujours Ă©tĂ© synonymes de trac, mĂȘme pour les plus brillants des postulants. NĂ©anmoins, cette annĂ©e, l’apprĂ©hension des candidats est plus grande en raison de la perturbation qui a marquĂ© le cursus scolaire. Les postulants au BEM et au bac ne se sentent pas prĂȘts. “Je me suis bien prĂ©parĂ©, mais je ne peux m’empĂȘcher d’avoir ce sentiment d’avoir ratĂ© quelque chose d’important en raison des arrĂȘts de cours incessants”, confie Imen. Sa copine Sara enchaĂźne : “Nous avons travaillĂ© en groupe depuis le deuxiĂšme trimestre, et nos profs nous ont rĂ©ellement aidĂ©s, car quelque part, ils se sentaient coupables. Mais le trac est lĂ  pour diverses raisons.” En fait, ce que les candidats redoutent le plus, c’est de dĂ©couvrir sur les sujets d’examens une question se rapportant Ă  un cours qu’ils n’ont pas eu le temps d’aborder ou qui a Ă©tĂ© enseignĂ© Ă  une vitesse grand V pour passer au suivant.
Mais le ministre de l’Éducation nationale s’est engagĂ© Ă  ce que “les sujets des Ă©preuves ne portent que sur les programmes enseignĂ©s” ; donc, il n’y a pas de raison d’avoir peur ? “Les collĂšges ne se sont pas arrĂȘtĂ©s au mĂȘme cours. J’ai des copines dans un autre CEM qui n’ont pas fait certains cours, alors que nous les avons faits et vice versa”, rĂ©torquent les collĂ©giennes du CEM Mohamed-LaĂŻd-El-Khalifa de Garidi. Selon ces postulantes Ă  une place pĂ©dagogique au lycĂ©e et des candidats au BAC, “les responsables de l’Éducation nationale auraient pu nous Ă©pargner tout le troisiĂšme trimestre et se contenter des cours des deux premiers trimestres”. En fait, la question qui angoisse tant parents et candidats sera tranchĂ©e aujourd’hui lors de la rĂ©union de la Commission nationale chargĂ©e du suivi et de la mise en Ɠuvre des programmes, prĂ©sidĂ©e par le ministre de l’Éducation nationale. La commission est chargĂ©e de faire l’évaluation de l’annĂ©e scolaire et dresser le bilan de la mise en Ɠuvre des programmes scolaires. Un bilan dĂ©terminant puisqu’il servira de rĂ©fĂ©rence pour l’élaboration des sujets d’examens.
Des sources nous ont indiquĂ© que la commission a fixĂ© au 20 mai comme date des derniers cours dispensĂ©s au niveau des collĂšges et des lycĂ©es, et que des recommandations pour que les sujets ne portent que sur les cours enseignĂ©s au niveau de tous les Ă©tablissements seront faites. De mĂȘme que la nĂ©cessitĂ© de prĂ©voir le plus gros des questions d’examens sur les cours du deuxiĂšme trimestre. “Les candidats sont le plus souvent plus aptes Ă  apprendre mieux ce qui se fait au milieu de l’annĂ©e scolaire, c’est-Ă -dire le deuxiĂšme trimestre, donc il faut accentuer sur les cours de cette pĂ©riode”, nous dit un enseignant. Et d’ajouter qu’il serait aussi question de mettre de cĂŽtĂ© “tous les cours non dispensĂ©s au niveau de l’établissement. Ceci mĂȘme si certains Ă©lĂšves ont eu l’occasion de les faire en groupe ou lors de cours de soutien qu’ils se sont payĂ© pour augmenter leurs chances de rĂ©ussite.”
À quelques jours des examens, le moral des postulants est loin d’ĂȘtre aux derniĂšres rĂ©visions, mais beaucoup plus Ă  tout ce qui se dit et se dĂ©cide autour des examens. Une dure et inattendue Ă©preuve dont ils auraient prĂ©fĂ©rĂ© volontiers se passer.

La cloche des grandes vacances sonnera bientĂŽt
Une année scolaire inachevée
Par : Malika Ben
Lu : (63 fois)

MĂȘme si les programmes restent inachevĂ©s et les connaissances de l’an dernier toujours pas fructifiĂ©es  et actualisĂ©es, l’école est bel et bien finie dans quelques semaines. Les grandes vacances scolaires commenceront par le suivi des prestations des Verts au Mondial-2010.

Plus que quelques semaines et le rideau tombera sur l’annĂ©e scolaire 2009/2010. Juste le temps de passer les Ă©preuves et de rendre publics les rĂ©sultats des trois examens. Les responsables de l’Éducation nationale ne manqueront pas de lancer un ouf de soulagement. L’annĂ©e scolaire aura Ă©tĂ© sauvĂ©e difficilement certes et au prix fort, mais l’essentiel, c’est d’avoir Ă©vitĂ© l’annĂ©e blanche. Tant pis si le calendrier scolaire a Ă©tĂ© Ă©courtĂ©, on tentera de rattraper le retard la prochaine rentrĂ©e. Ce qui n’est pas trĂšs Ă©vident.
Il est vrai qu’en 2010/2011, la “contrainte” de la Coupe du monde sera levĂ©e, mais ce ne sera pas le cas pour les nombreuses revendications de la famille de l’Éducation nationale qui sont restĂ©es en suspend. ChamboulĂ©e en premier lieu, notamment pour l’épreuve du baccalaurĂ©at, par le coup d’envoi de la Coupe du monde, l’annĂ©e scolaire a Ă©tĂ© amputĂ©e de plusieurs semaines en raison des grĂšves cycliques des enseignants.
Ces derniers Ă©taient dĂ©terminĂ©s Ă  aller jusqu’au bout de leurs revendications, quitte Ă  prendre en otage l’avenir de milliers d’élĂšves. Jamais le spectre de l’annĂ©e blanche n’a Ă©tĂ© aussi menaçant et proche. Si la paralysie des Ă©tablissements persiste encore une dizaine de jours, l’annĂ©e blanche sera inĂ©vitable, avaient averti les pĂ©dagogues lors du dernier dĂ©brayage des syndicats autonomes de l’éducation, au mois de mars dernier.
Il fallait donc trouver une solution pour Ă©viter le pire. Les pouvoirs publics qui s’étaient confinĂ©s dans un silence religieux dĂ©cident de frapper fort. La grosse artillerie a Ă©tĂ© mĂȘme dĂ©battue en Conseil du gouvernement le 2 mars. Le lendemain, le ministĂšre de l’Éducation nationale rendait public un brĂ»lant communiquĂ©. Le ton Ă©tait donnĂ© et n’était plus Ă  la discussion, mais Ă  des actions concrĂštes.
Les enseignants n’avaient plus que quelques jours pour rejoindre leur poste de travail. Le 7 mars 2010 Ă©tait la date butoir, faute de quoi ils s’exposeraient “à la radiation des effectifs de la Fonction publique” et seraient remplacĂ©s par les nombreux demandeurs d’emploi. Les deux principaux syndicats ayant parrainĂ© le mouvement de grĂšve n’avaient d’autre choix que de lancer des appels Ă  la reprise. Ce qui fut d’ailleurs fait. Cette dĂ©monstration de force des pouvoirs publics, tant contestĂ©e par les syndicats, a permis de mettre fin Ă  un mouvement qui n’a fait qu’accĂ©lĂ©rer davantage la descente aux enfers du secteur. Les cours ont repris, mais le cƓur n’ y Ă©tait pas, ni du cĂŽtĂ© des Ă©lĂšves ni de celui des enseignants.
Les premiers habituĂ©s Ă  d’autres occupations que les devoirs scolaires et les seconds n’arrivaient toujours pas Ă  digĂ©rer la sortie de leur tutelle et la non-satisfaction de leurs revendications. Il leur fallait Ă  tous les deux un temps aussi long que la durĂ©e des grĂšves cycliques pour se rĂ©habituer Ă  la reprise. Mais que restait-il de ce temps ? Peu.  Surtout au vu de ce qui Ă©tait au programme : rattrapage des cours, devoirs et compositions en quelque deux mois seulement.
La tutelle avait insistĂ© sur le “non-bourrage” des Ă©lĂšves, mais, de l’avis des pĂ©dagogues, c’était la seule et inĂ©vitable mĂ©thode pour
tenter de finir le programme scolaire. “On passe d’un cours Ă  l’autre sans se soucier de sa comprĂ©hension par les Ă©lĂšves. Le but Ă©tait de finir les pages des manuels et non d’ĂȘtre sĂ»rs que l’élĂšve a tout compris”, nous confie une enseignante. Et de regretter que les syndicats “n’aient pas trouvĂ© un autre moyen de pression que les Ă©lĂšves”. Conclusion : le bilan de l’annĂ©e scolaire 2009/2010 est loin d’ĂȘtre reluisant. Selon un enseignant, si l’on devait Ă©valuer ce cursus, “la note ne dĂ©passerait pas 4 sur 10. En calculant bien, on peut dire que l’annĂ©e scolaire effective n’a pas dĂ©passĂ© les quatre mois ; le reste on peut le diviser entre les pĂ©riodes de vacances scolaires et de grĂšves cycliques”.
Que peut-on enseigner en ce laps de temps trĂšs court ? Peut-on y prĂ©parer des candidats Ă  des examens scolaires ? AssurĂ©ment pas. On peut d’ores et dĂ©jĂ  dire que les rĂ©sultats ne reflĂ©teront pas forcĂ©ment le rendement d’une annĂ©e studieuse. Reste Ă  savoir si les Ă©lĂšves payeront pour leurs enseignants ou tireront profit de leur grĂšve. Les pronostics penchent pour la deuxiĂšme probabilitĂ©. Bon courage tout de mĂȘme.

L’examen de l’ex-6e par les chiffres
615 602 candidats et une enveloppe de 515 000 000 DA
Par : Malika Ben
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Ils seront 615 602 candidats Ă  postuler, jeudi 27 mai, Ă  l’examen de fin de cycle primaire, ex-6e, dont 321 304 garçons (52,19%) et 294 298 filles (47,80%). Soit une baisse lĂ©gĂšre par rapport Ă  l’an dernier de 3,25%. Le nombre de postulants issus des Ă©coles privĂ©es est de 1 908 candidats. 131 candidats aux besoins spĂ©cifiques dont 65 handicapĂ©s moteurs et 66 handicapĂ©s visuels seront Ă©galement au rendez-vous jeudi. Pour ce faire, pas moins de 3 193 centres d’examen sont prĂ©vus, ainsi que 70 centres de correction. Les rĂ©sultats seront proclamĂ©s le 7 juin et une session de rattrapage est prĂ©vue pour le 24 juin. Le document chiffrĂ© Ă©laborĂ© par le ministĂšre de l’éducation nationale ne manquera pas de prĂ©ciser en dernier lieu que “toutes les dispositions ont Ă©tĂ© prises pour verser Ă  temps les indemnitĂ©s aux 49 248 personnels chargĂ©s de la surveillance et aux 12 309 maĂźtres correcteurs mobilisĂ©s”. Pour ce qui est du coĂ»t de cet examen, il est de l’ordre de 515 000 000 DA.



26/05/2010
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