Edition du Dimanche 16 Mai 2010

 
 
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Dilem du Dimanche 16 Mai 2010 | Vu 4783 fois

LE RADAR
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Dans une analyse des Ă©quipes qui reprĂ©senteront l’Afrique au Mondial, Le Journal du Mali a Ă©crit ce qui suit Ă  propos de l’AlgĂ©rie.


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 Une quarantaine de marques internationales commercialisĂ©es en AlgĂ©rie seront prĂ©sentes au 3e Salon du vĂ©hicule utilitaire et industriel de l’Ouest (VU-VI-2010)


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Quelques mois d’émission lui ont suffi pour battre Ă  domicile l’ENTV. La chaĂźne de tĂ©lĂ©vision privĂ©e, Nessma TV, est devenue indĂ©sirable en AlgĂ©rie.


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Consciente des difficultés que rencontrent nos réalisateurs et producteurs de films, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a décidé de mettre en place un projet de construction de studios.


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La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a dĂ©clarĂ© hier sur les ondes de la Radio nationale qu’elle fera tout pour encourager les AlgĂ©riens lĂ  oĂč ils se trouvent Ă  travers le monde Ă  s’impliquer dans l’amĂ©lioration et le dĂ©veloppement du cinĂ©ma algĂ©rien.


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L’étau se resserre de plus en plus sur les syndicats autonomes qui sont poussĂ©s dans leurs derniers retranchements par une administration qui se croit encore au temps du parti unique


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 En faisant le choix des vĂȘtements qu’il allait porter le jour du match JS Kabylie - USM Alger, l’entraĂźneur usmiste, Noureddine SaĂądi

Actualité
Par : MALIKA BEN
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L'intervention du SG de la Centrale syndicale, vendredi soir, auprĂšs des travailleurs et l'appel Ă  la reprise et au gel de la grĂšve, en se portant garant pour l'application de l'article 52 de la convention collective, n'ont fait que verser de l'huile sur le feu.

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Par : Chabane BOUARISSA
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Au lendemain du sĂ©isme meurtrier qui a frappĂ© vendredi dernier le nord-ouest de la wilaya de M’sila, la ville donne l’image d’un champ de ruines.

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Par : NEÏLA B.
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PrĂšs de 3 mois aprĂšs l’assassinat du directeur de la SĂ»retĂ© nationale, Ali Tounsi, son successeur n’est toujours pas connu. Le poste du DGSN par intĂ©rim est toujours assurĂ© par Abdelaziz Affani, directeur gĂ©nĂ©ral de la Police judiciaire.

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Par : Neila B
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La Gendarmerie nationale effectuera ses manƓuvres 2010 comme chaque annĂ©e. Mais cette fois-ci, les prioritĂ©s ont Ă©tĂ© redĂ©finies pour mettre en valeur les facteurs majeurs


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Des universitaires anglais pensent que le nouveau gouvernement entretiendra le mĂȘme type de relations avec notre pays que son prĂ©dĂ©cesseur, surtout en matiĂšre de coopĂ©ration sĂ©curitaire.

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Par : Moussa Ouyougoute
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Le Centre de documentation sur les droits de l’Homme de BĂ©jaĂŻa, affiliĂ© Ă  la LADDH, a abritĂ©, hier, les travaux d’un sĂ©minaire, riche en enseignements.


Par : F. Lamia/B. BoumaĂŻla
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“Sur les 1 800 dossiers Ă©tudiĂ©s, selon des critĂšres pĂ©dagogiques et universels par les trois commissions rĂ©gionales, seuls 800 Ă©tudiants rĂ©pondant aux critĂšres ont Ă©tĂ© retenus et intĂ©grĂ©s dans les universitĂ©s algĂ©riennes”


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Dans l’air du temps, le remaniement ministĂ©riel, qu’on dit imminent et dont tout le monde parle mais que personne ne voit, semble inĂ©luctable si l’on ose une lecture des propos tenus hier


Par : Samir LESLOUS
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Devant un tel constat, le premier responsable du plus vieux parti d’opposition estime qu’il ne faut ni capituler ni abdiquer.

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Par : R. A.
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Pas moins de 14 villages ont rĂ©agi par rapport Ă  la situation d’insĂ©curitĂ© qui rĂšgne dans leur localitĂ©, Souk El-Thenine, Ă  travers une dĂ©claration parvenue Ă  notre rĂ©daction.


Par : K. BouabdAllah
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Les services de police de la commune de Oued Athmania, au sud de la wilaya de Mila, ont réussi à déjouer, jeudi, une tentative d'enlÚvement d'une adolescente de 17 ans


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Les organisations syndicales internationales ont vivement dĂ©noncĂ© la dĂ©cision des autoritĂ©s administratives algĂ©riennes de fermer la Maison des syndicats Ă  Alger, et ce, la veille de l’organisation du Forum syndical maghrĂ©bin Ă  la Maison des syndicats les 14 et 15 mai courant.


Par : M. O. T.
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Suite Ă  des renseignements communiquĂ©s au commandement de la Gendarmerie nationale de Mostaganem, faisant Ă©tat de l’activitĂ© d’un groupe d’individus s’adonnant Ă  des transactions illĂ©gales d’armes Ă  feu Ă  travers

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Edition du Dimanche 16 Mai 2010

Editorial

Succession difficile ?

Au-delĂ  de l’enquĂȘte sur les circonstances de l’assassinat qui semble se poursuivre dans la discrĂ©tion la plus totale, la dĂ©signation d’un patron de la police revĂȘt une importance particuliĂšre dans le contexte actuel surtout que l’État est engagĂ© dans une lutte sans merci contre la grande criminalitĂ© et le terrorisme qui, mĂȘme en ayant diminuĂ©, tente de reprendre du poil de la bĂȘte en rĂ©activant ses rĂ©seaux de soutien.

Est-il difficile de dĂ©signer le futur patron de la Police nationale ? Trois mois aprĂšs le dĂ©cĂšs dans des circonstances tragiques de Ali Tounsi, les autoritĂ©s peinent Ă  trouver un homme qui puisse gĂ©rer la SĂ»retĂ© nationale. Pourquoi ce retard ? Alors que le ministre de l’IntĂ©rieur avait affirmĂ© avec certitude “nous avons un nom”, une dĂ©claration confirmĂ©e plus tard par le Premier ministre qui avait mĂȘme fixĂ© un dĂ©lai pour l’installation du nouveau DGSN, voilĂ  que les choses semblent traĂźner.
Au-delĂ  de l’enquĂȘte sur les circonstances de l’assassinat qui semble se poursuivre dans la discrĂ©tion la plus totale, la dĂ©signation d’un patron de la police revĂȘt une importance particuliĂšre dans le contexte actuel surtout que l’État est engagĂ© dans une lutte sans merci contre la grande criminalitĂ© et le terrorisme qui, mĂȘme en ayant diminuĂ©, tente de reprendre du poil de la bĂȘte en rĂ©activant ses rĂ©seaux de soutien.
Et vu les différents chantiers lancés par le défunt, il est plus que probable que les candidatures qui se bousculent au portillon sont appelées à avoir les compétences nécessaires afin de prendre en charge une institution aussi stratégique que sensible, vu les missions qui lui incombent et sa proximité directe avec la population.
Il va sans dire que l’intĂ©rimaire, installĂ© au lendemain de la tragĂ©die, veille comme il se doit Ă  ce que les choses fonctionnent le plus normalement au sein du corps de la police, et le ministre de l’IntĂ©rieur n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  lui rendre hommage eu Ă©gard Ă  son expĂ©rience sur le terrain, notamment dans la lutte antiterroriste. Alors pourquoi n’est-il pas confirmĂ© dĂ©finitivement dans son poste ? La question est peut-ĂȘtre sans rĂ©ponse ou peut-ĂȘtre qu’elle suscite tellement de rĂ©ponses qu’on a du mal Ă  trouver la bonne.
Et Ă  en croire le ministre dĂ©lĂ©guĂ© aux CollectivitĂ©s locales qui a effacĂ© d’un trait toutes les hypothĂšses avancĂ©es jusque-lĂ  sur la succession de Tounsi, seul le chef de l’État est Ă  mĂȘme de procĂ©der Ă  la dĂ©signation d’un patron de la police. Alors la question se pose d’elle-mĂȘme. Qu’attend le prĂ©sident Bouteflika pour le faire ? À moins que



Edition du Dimanche 16 Mai 2010

Actualité

Les cheminots interpellent le président Bouteflika
La grĂšve des travailleurs de la SNTF boucle sa premiĂšre semaine

Par : MALIKA BEN


L'intervention du SG de la Centrale syndicale, vendredi soir, auprĂšs des travailleurs et l'appel Ă  la reprise et au gel de la grĂšve, en se portant garant pour l'application de l'article 52 de la convention collective, n'ont fait que verser de l'huile sur le feu.

Le bras de fer, opposant les cheminots Ă  la direction gĂ©nĂ©rale de la SNTF, n'est pas prĂšs de connaĂźtre son Ă©pilogue. C'est le pourrissement. La grĂšve boucle aujourd'hui sa premiĂšre semaine sans que les deux parties en conflit n'arrivent Ă  un consensus. En fait, il semblerait que la paralysie totale du rĂ©seau ferroviaire ne dĂ©range point les responsables de la SNTF. Encore moins les pouvoirs publics qui, en dĂ©pit de cette crise, n'ont pu renoncer Ă  leur week-end en vue de tenter de trouver une solution avec les travailleurs qui se sont retrouvĂ©s seuls avec le SG de la FĂ©dĂ©ration nationale des cheminots. “Les gens soucieux de l'avenir de l'entreprise sont lĂ  mĂȘme le week-end mais la direction gĂ©nĂ©rale est au repos”, fulmine un cheminot. Et d'ajouter : “Avec qui doit-on nĂ©gocier si nos responsables ont
pris leur journĂ©e de repos sans se soucier de ce qui se passe ?” Allant plus loin, les travailleurs de la SNTF dont la colĂšre a atteint son paroxysme samedi iront jusqu'Ă  rĂ©clamer la dĂ©mission du DG et de DRH.
Ils se tournent en dĂ©sespoir de cause vers le premier magistrat du pays. “Nous demandons l'intervention urgente du prĂ©sident de la RĂ©publique en vue de l'application de l'article 52 de la convention collective.” Une revendication primordiale sur laquelle les travailleurs ne comptent pas marchander. La rĂ©ponse des cheminots aux tentatives de rĂšglement du conflit n'a pas changĂ© d'un iota. “Seule l'application de l'article 52 fera rouler les trains.” Las des engagements sans lendemain, les grĂ©vistes exigent un protocole d'accord pour la concrĂ©tisation de cette revendication d'ici mardi prochain signĂ© par la DG.
Faute de quoi, ils ne reculeront devant rien. Il faut noter Ă  ce propos qu'au lieu d'ouvrir des nĂ©gociations avec les travailleurs, les pouvoirs publics ont prĂ©fĂ©rĂ© se tourner vers le prĂ©cieux soutien du SG de la Centrale syndicale. Sidi-SaĂŻd a Ă©tĂ© sollicitĂ©, comme d'habitude, pour raisonner les travailleurs. Mais un mouvement lancĂ© par la base est beaucoup plus difficile Ă  faire reculer que celui d'un syndicat chapeautĂ© par la Centrale. Il semble mĂȘme impossible. Car les 10 000 cheminots “ne font confiance Ă  personne”. Le secrĂ©taire de l'UGTA, qui a tentĂ© une sortie de crise, a essuyĂ© un Ă©chec cuisant de la base. En effet, Sidi-SaĂŻd s'est rĂ©uni vendredi soir avec le SG de la FĂ©dĂ©ration des cheminots et des reprĂ©sentants des travailleurs. Un appel Ă  la reprise du travail samedi dernier et “le gel du mouvement en vue de favoriser la nĂ©gociation dans la sĂ©rĂ©nitĂ©â€ a Ă©tĂ© mĂȘme signĂ©. Le SG de l'UGTA s'est engagĂ© “à prendre en charge les dolĂ©ances des cheminots et particuliĂšrement l'article 52 de la convention collective”. Le communiquĂ© a Ă©tĂ© paraphĂ© Ă  la surprise des cheminots par le chef de cabinet du SG de l'UGTA. Il n’en fallait pas plus pour provoquer l'ire des travailleurs.
Ces derniers n'arrivaient pas Ă  comprendre pourquoi Sidi-SaĂŻd n'a pas signĂ© son appel-engagement. “Il y a quelque chose qui cloche”. Le doute et la mĂ©fiance s'installent. Les grĂ©vistes refusent le document et exigent la signature de Sidi-SaĂŻd tout en lui signifiant qu'il n’y aura point de reprise sans un engagement concret. Le SG de l'UGTA signe l'appel mais demande un service minimum aux travailleurs. Les reprĂ©sentants ont, Ă  leur tour, proposĂ© de faire deux trains de banlieue avant 11 heures et si les pourparlers prĂ©vus cette matinĂ©e avec le DG ne donnent rien, la grĂšve sera relancĂ©e. Mais les travailleurs des rails sont Ă©chaudĂ©s et ne cĂšdent pas en dĂ©pit de l'insistance du membre de la cellule de crise.  “L'article 52 contre la reprise”, persistent les cheminots. À signaler enfin que les membres du bureau fĂ©dĂ©ral de la FĂ©dĂ©ration des cheminots ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©s en raison de “leur dĂ©faillance et mauvaise gestion de la grĂšve” avec l'aval du SG de la Centrale syndicale.

 

www.liberte-algerie.com



16/05/2010
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