Edition du Jeudi 07 Avril 2011




 




 



 

 

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Edition du Jeudi 07 Avril 2011

RADAR

Un enfant de 12 ans remet en cause la théorie de la relativité
Il ose défier le plus grand physicien de tous les temps

Jacob Barnett, un surdouĂ© de 12 ans, serait sur le point de dĂ©molir la thĂ©orie de la relativitĂ© Ă©tablie par Albert Einstein en 1905. Le jeune AmĂ©ricain, dont le QI a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© Ă  170, prĂ©tend pouvoir Ă©tendre la thĂ©orie de la relativitĂ© du cĂ©lĂšbre Albert Einstein. Sa mĂšre aurait adressĂ© ses calculs Ă  l'universitĂ© de Princeton, une rĂ©fĂ©rence mondiale en matiĂšre de physique et d'astrophysique. Les professeurs ont validĂ© ses Ă©quations et auraient admis que l'adolescent Ă©tait sur la piste d'une thĂ©orie de la relativitĂ© entiĂšrement nouvelle. Jacob Barnett serait atteint de la maladie d'Asperger. Cette forme d'autisme, mĂȘme si elle isole le malade, procure certaines capacitĂ©s intellectuelles hors du commun. À 3 ans, selon ses parents, Jacob rĂ©solvait des puzzles de 5 000 piĂšces. DĂšs l'Ăąge de 8 ans, il Ă©tudiait dĂ©jĂ  l'astrophysique Ă  l'universitĂ© d'Indiana. Il est aujourd'hui chercheur dans cet Ă©tablissement et enseigne mĂȘme Ă  ses camarades. Le garçon a prĂ©sentĂ© sur Internet une vidĂ©o exposant sa thĂ©orie, dĂ©jĂ  vue plus d'un million de fois.


 
 
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Par : MALIKA BEN
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Par : FARID BELGACEM
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Par : D. S.
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Edition du Jeudi 07 Avril 2011

RADAR

L’instruction de la wilaya
Stationnement dans les rues d’Alger

Une rĂ©cente instruction de la Direction des transports de la wilaya d’Alger vient d’ĂȘtre adressĂ©e Ă  la police chargĂ©e de la rĂ©gulation du trafic routier dans la capitale. Cette instruction lĂšve l’interdiction de stationnement dans certaines ruelles. Selon un responsable de la wilaya d’Alger, cette mesure aura pour effet de fluidifier la circulation, au sens oĂč beaucoup d’automobilistes, qui tournaient Ă  la recherche d’un stationnement, trouveront plus facilement des endroits oĂč garer leur vĂ©hicule. De plus, cette mesure attĂ©nue un peu la tension sur les parkings de la capitale qui affichent souvent “complet” Ă  peine la journĂ©e commencĂ©e. Il est vrai que l’interdiction de stationnement dans certaines ruelles Ă©tait dictĂ©e par des considĂ©rations d’ordre sĂ©curitaire.     


 


 
 
  


Edition du Jeudi 07 Avril 2011

Actualité

Pourquoi l’euro flambe
Il s’est Ă©changĂ© hier Ă  la bourse de l’informel Ă  145 DA

Par : FARID BELGACEM


Les succursales de plusieurs banques publiques n’arrivent plus Ă  assurer Ă  leurs clients l’achat de devises, comme l’euro et le dollar, mais surtout l’euro. La raison : pĂ©nurie des imprimĂ©s et manque de liquiditĂ©s. ParallĂšlement, au marchĂ© informel, les cambistes dictent leur loi.

C’était prĂ©visible : l’euro a atteint la barre de 141 DA (petites sommes) et 142 DA (grosses sommes) Ă  la vente et 140 et 145 DA Ă  l’achat au marchĂ© informel. Cette flambĂ©e “voulue” et “dictĂ©e” par une conjoncture politique et Ă©conomique du pays n’est pas sans consĂ©quence sur les lobbies de l’économie informelle aux abois depuis que la Banque d’AlgĂ©rie a dĂ©cidĂ© de prendre des dĂ©cisions restrictives pour faire face Ă  un trafic Ă  grande Ă©chelle qui obĂ©it Ă  la seule logique d’une fuite des capitaux avĂ©rĂ©e. D’autres mesures ont Ă©galement Ă©tĂ© prises, Ă  titre de rappel Ă  l’ordre, Ă  tous les niveaux pour contrĂŽler le flux de devises en circulation. Ainsi, dans les aĂ©roports comme dans les ports, et au niveau des frontiĂšres terrestres, les services des douanes exigent systĂ©matiquement la somme Ă  dĂ©clarer et les documents y affĂ©rents. Faute de quoi, le dĂ©tenteur d’une somme supĂ©rieure Ă  500 euros, sans justificatif, sera soumis Ă  la rĂ©glementation en vigueur. C’est-Ă -dire la saisie de l’argent et le paiement d’une amende. Et au pire des cas, si la somme est supĂ©rieure au seuil tolĂ©rĂ©, le mis en cause sera traduit devant la justice. Lundi dernier, la tension Ă©tait perceptible au marchĂ© de la devise. Les cambistes guettaient les passants Ă  la chasse Ă  l’euro. Le dollar, autrefois trĂšs demandĂ©, n’est pas aussi sollicitĂ© que la monnaie europĂ©enne. Au niveau des succursales de plusieurs banques publiques, les chefs d’agence n’arrivent plus Ă  assurer Ă  leurs clients l’achat de devises, comme l’euro et le dollar, mais surtout l’euro. Évoquant la pĂ©nurie des imprimĂ©s spĂ©cifiques et exclusivement dĂ©livrĂ©s par la Banque d’AlgĂ©rie et le manque de liquiditĂ©s, les banques observent une panne sĂšche dans le change. Dans certaines succursales, les tableaux Ă©lectroniques de change de monnaies Ă©trangĂšres sont carrĂ©ment Ă©teints. ParallĂšlement, au marchĂ© informel, les cambistes dictent leur loi et les lobbies passent Ă  la vitesse supĂ©rieure pour glaner le maximum de devises. Du tac au tac, la mĂšre des banques, sur instruction du ministĂšre des Finances et du gouvernement, impose un filtre pour juguler le phĂ©nomĂšne. D’oĂč la crise de “la Bourse d’Alger” et la panique qui s’en est suivie dans le segment de l’import-import. À en croire certains cambistes rencontrĂ©s au square Port-SaĂŻd, “cette flambĂ©e ne va pas s’estomper dans l’immĂ©diat. Il y a une vĂ©ritable crise de liquiditĂ©s chez les clients habituels qui prĂ©fĂšrent la rĂ©tention de la monnaie au lieu de la mettre sur le marchĂ©. En outre, il y a de grands rĂ©seaux basĂ©s dans les capitales europĂ©ennes qui interceptent de grosses sommes et les achĂštent Ă  prix fort. C'est-Ă -dire que le change est dĂ©jĂ  fait Ă  notre dĂ©triment. Il y a quelque temps, on refusait le change des devises en piĂšces. Aujourd’hui, on accepte tout. Pourvu qu’on maintient le cap”, nous avoue un cambiste vraisemblablement au fait des cours de l’euro. Selon notre interlocuteur, les nouveaux cours de devises sont praticables mĂȘme dans les contrĂ©es Ă©loignĂ©es du pays Ă  travers les circuits du marchĂ© informel. “Autrefois, les gens prĂ©fĂ©raient venir Ă  Alger car le cours de l’euro est assez Ă©levĂ©. Avec la crise, on retrouve le mĂȘme taux de change partout en AlgĂ©rie”, nous dira encore notre interlocuteur. Lors de sa prestation tĂ©lĂ©visĂ©e, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avait abordĂ© la surĂ©valuation de la devise sur le marchĂ© parallĂšle en pointant du doigt “la contrebande et le commerce illicite”. Il avait alors prĂ©cisĂ© que l’État ne pouvait pas dĂ©clarer une guerre frontale contre cette pĂšgre prĂ©conisant, du coup, un dĂ©mantĂšlement progressif des filiĂšres de trafic de devises et de fuite des capitaux. Le message passĂ©, la Banque d’AlgĂ©rie, en premiĂšre ligne, ferme les vannes non sans causer des dĂ©gĂąts collatĂ©raux en privant des citoyens du droit au minimum de change tolĂ©rĂ© par la loi. Du discours Ă  la mĂ©thode, l’étau semble se resserrer sur les lobbies de l’euro. Place Ă  la fermetĂ©, mais surtout Ă  la transparence


FARID BELGACEM


Edition du Jeudi 07 Avril 2011

Actualité

Vers des actions de protestation communes
Les grandes Ă©coles maintiennent le cap

Par : MALIKA BEN


Les Ă©tudiants des facultĂ©s de pharmacie d’Alger, de Blida et de Tizi Ouzou ont, de leur cĂŽtĂ©, tenu hier un sit-in devant le ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur.

La protestation estudiantine n’est pas finie. Les Ă©tudiants persistent et signent : pas de cours, pas de rĂ©pit tant que nos revendications ne sont pas satisfaites. Le spectre de l’annĂ©e blanche, brandi par ceux qui veulent pousser au retour dans les amphithĂ©Ăątres, n’inquiĂšte pas outre mesure les Ă©tudiants. D’autant, justifie un des dĂ©lĂ©guĂ©s que “seuls les Ă©tudiants en fin de cursus sont sensibles Ă  ce discours. Et leur problĂšme a Ă©tĂ© rĂ©glĂ© du moment que tous ceux qui doivent ĂȘtre prĂ©sents aux ateliers ou reprendre les cours dans le cadre de leurs projets de fin d’études le font. Nous les reprĂ©sentons sur le terrain de la rĂ©volte sans problĂšme”. Il faut savoir que si la question de la reprise des cours ou du maintien de la grĂšve n’est toujours pas tranchĂ©e au niveau de certaines grandes Ă©coles, le principe de la relance d’actions de protestation communes est acquis. Hier, les Ă©tudiants de l’école de commerce d’Alger oĂč 67% se sont prononcĂ©s pour la poursuite du dĂ©brayage, se sont rassemblĂ©s Ă  l’entrĂ©e de l’établissement en scandant les slogans que le dĂ©partement de Harraoubia croyait avoir enterrĂ©s par la ConfĂ©rence nationale. À en croire les dĂ©lĂ©guĂ©s de certaines Ă©coles, les actions de contestation feront leur retour dĂšs la semaine prochaine. RĂ©unis avant-hier, les dĂ©lĂ©guĂ©s de la majoritĂ© des grandes Ă©coles ont, en effet, dĂ©cidĂ© de revenir Ă  la case dĂ©part de leur combat. C'est-Ă -dire rĂ©investir le terrain par de nouvelles formes de protestation. Une panoplie de propositions est soumise Ă  dĂ©bat au niveau de ses Ă©tablissements. “Cela va de la grĂšve de la faim, sit-in non-stop devant la PrĂ©sidence, rassemblement devant la tutelle
 Nous ne sommes pas encore fixĂ©s mais ce sera fait d’ici la semaine prochaine”, confie un des dĂ©lĂ©guĂ©s. 
Les Ă©tudiants des universitĂ©s ne comptent pas, Ă©galement, se contenter de la poursuite de la grĂšve. Eux aussi examinent en assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales les meilleurs moyens de faire pression sur la tutelle. AssiĂ©ger de nouveau le dĂ©partement de Rachid Harraoubia est l’une des options envisagĂ©es par les grĂ©vistes de l’universitĂ© d’Alger 3. Les Ă©tudiants en sciences Ă©conomiques et gestion du systĂšme classique ne dĂ©colĂšrent pas : “Nous voulons un Ă©crit : un nouveau dĂ©cret en remplacement de celui qui a Ă©tĂ© abrogĂ©â€, souligne un reprĂ©sentant. Les Ă©tudiants en pharmacie des dĂ©partements d’Alger, Blida et Tizi Ouzou sont passĂ©s Ă  l’action en tenant hier un sit-in devant la tutelle. Ils rĂ©clament la satisfaction de la plate-forme de revendications communes dont la principale est l’octroi du statut de “docteur en pharmacie” et le classement dans la catĂ©gorie 16.

MAL

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Actualité

Les “rĂ©sistants” ont eu gain de cause
Bouteflika s’engage à satisfaire les revendications des gardes communaux

Par : Farid Abdeladim


“Nous avons gagnĂ©â€, ont annoncĂ© les reprĂ©sentants des gardes communaux, Ă  leur retour d’un round de nĂ©gociations. Comme Ă  l’issue d’une bataille gagnĂ©e au maquis, ce fut le moment des accolades et des cris de joie.

L’épilogue, enfin ! AprĂšs prĂšs d’une semaine de “campement”, de jour comme de nuit, Ă  la place des Martyrs, les gardes communaux ont fini par avoir gain de cause. À la bonne heure ! La prise en charge de leurs revendications vient d’ĂȘtre dĂ©cidĂ©e par le prĂ©sident de la RĂ©publique, ont fait savoir dans l’aprĂšs-midi d’hier, les dĂ©lĂ©guĂ©s des protestataires Ă  leur sortie du dernier round de nĂ©gociations, tenu, cette fois-ci, avec le DGSN, M. Hamel. Ce dernier a invitĂ© les reprĂ©sentants des gardes communaux en sit-in depuis samedi dernier Ă  la place des Martyrs Ă  une entrevue. En effet, ils Ă©taient huit dĂ©lĂ©guĂ©s Ă  ĂȘtre “embarquĂ©s’’ hier vers 12h, dans une voiture de police, pour aller rencontrer le DGSN. À cet instant prĂ©cis, les concernĂ©s, et encore moins leurs collĂšgues restĂ©s Ă  la place des Martyrs, ne savaient pas encore pour quel motif les policiers Ă©taient venus les chercher. Il a fallu attendre jusqu’aux alentours de 18h pour voir enfin le vĂ©hicule bleu qui les a emmenĂ©s revenir et les redĂ©poser. AussitĂŽt, ils rejoignirent le kiosque Ă  musique de la placette pour annoncer au mĂ©gaphone : “Nous avons gagnĂ© ! Le raĂŻs s’engage en personne Ă  prendre en charge nos revendications.” Et les ovations fusent alors de partout. Comme Ă  l’issue d’une bataille gagnĂ©e au maquis, les accolades et les cris de joie ne se sont pas fait attendre. Une fois le calme revenu, les dĂ©lĂ©guĂ©s ont poursuivi leur discours, non sans fĂ©liciter le “raĂŻs” d’avoir dĂ©jugĂ© ainsi son ministre de l’IntĂ©rieur qui ne voulait rien concĂ©der aux protestataires. Mieux, il les avait menacĂ©s de radiation.
Ce qui n’avait fait qu’attiser le feu de la protestation. Qu’est-ce qu’a gagnĂ© en fin de compte M. Daho Ould Kablia, si ce n’est son propre dĂ©saveu, dit un garde communal. Avant l’accord trouvĂ© entre le DGSN et les dĂ©lĂ©guĂ©s des protestataires, la situation Ă©tait trĂšs tendue dans la matinĂ©e d’hier. “H’na imout Kaci” (ici meurt Kaci) ! Ă©tait l’adage populaire pris comme mot d’ordre par les gardes communaux qui ne comptaient guĂšre quitter la place des Martyrs avant la satisfaction de toutes leurs revendications. En effet, ni les menaces de la tutelle ni les provocations “occultes” ne semblaient avoir eu raison de la dĂ©termination des protestataires faisant de cette placette du centre d’Alger, sise Ă  quelques encablures de la DGSN, leur quartier gĂ©nĂ©ral depuis dĂ©jĂ  prĂšs d’une semaine. L’on songeait mĂȘme Ă  ramener des tentes pour y camper aussi longtemps que durera la rĂ©ponse des autoritĂ©s Ă  leur requĂȘte. “Oui ! Nous sommes prĂȘts Ă  ramener des tentes et les installer ici et y habiter jusqu’à l’aboutissement de notre combat. Nous sommes prĂȘts Ă  y rester autant qu’ils veulent, un mois, deux mois, une annĂ©e
”, a vocifĂ©rĂ© H. C. qui s’est dĂ©tachĂ© de la haie formĂ©e par des dizaines de ses collĂšgues hissant l’emblĂšme national et des banderoles, maniĂšre de rĂ©pondre par la discipline au dispositif musclĂ© de sĂ©curitĂ© dĂ©pĂȘchĂ© sur les lieux. Dans la soirĂ©e de mardi, les protestataires, trĂšs vigilants, ont mĂȘme rĂ©ussi Ă  dĂ©jouer une attaque opĂ©rĂ©e par des jeunes “inconnus” dans l’objectif de “perturber (leur) mouvement”. L’incident, raconte-t-on, survenu aux environs de minuit, dans la nuit du mardi Ă  mercredi, a fait une dizaine de blessĂ©s parmi les gardes communaux. “N’eurent Ă©tĂ© notre vigilance et la maĂźtrise de nos nerfs, la situation aurait Ă©tĂ© catastrophique. Nous avons Ă©tĂ© attaquĂ©s par des jets de pierres et de gros pĂ©tards par un groupe de jeunes. Ça a failli dĂ©gĂ©nĂ©rer. Mais nous avons aussitĂŽt compris que c’était de la provocation visant la perturbation de notre mouvement. Étant habituĂ©s Ă  des attaques plus violentes au maquis, nous n’avons pas Ă©prouvĂ© de grandes difficultĂ©s Ă  dĂ©jouer ce
 chahut de gamins. Heureusement pour nous et pour ces jeunes inconscients”, nous a confiĂ© l’un des coordinateurs protestataires, chargĂ© de recueillir toute information se rapportant Ă  leur action. Ce n’était pas fini pour autant car la matinĂ©e d’hier n’était pas moins agitĂ©e. Une fois le cĂ©rĂ©monial de la levĂ©e des couleurs accompli, les “soldats” de la place des Martyrs auront affaire, cette fois-ci, Ă  un renfort de casques bleus venus rĂ©cupĂ©rer les haies mĂ©talliques encerclant depuis samedi les protestataires. Mais lĂ  aussi, les gardes communaux ont pu rĂ©sister
 eux, qui ont rĂ©sistĂ© Ă  toute une dĂ©cennie noire !

Farid Abdeladim


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Jeudi 07 Avril 2011


07/04/2011
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