Edition du Jeudi 30 Septembre 2010

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LE RADAR
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Lady Olga Maitland, prĂ©sidente du Conseil d’affaires algĂ©ro-britannique (UKABC) et prĂ©sidente du Forum dĂ©fense et sĂ©curitĂ© (DSF), sera Ă  Alger les 4 et 5 octobre prochain.


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Insolite dĂ©couverte d’un enseignant du lycĂ©e Sahoui de la ville d’Azzazga, (Tizi Ouzou). Il s’agit d’un nid de guĂȘpes accrochĂ© Ă  un mur de parpaings.

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Le CHU de BĂ©ni-Messous innove. L’installation d’un nouveau service de rĂ©animation fait l’actualitĂ© depuis quelques jours dans cette enceinte hospitaliĂšre


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 Partis en RĂ©publique tchĂšque pour participer aux championnats du monde de powerlifting, sans financement du ministĂšre de la Jeunesse et des Sports


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la cĂ©lĂ©bration de la journĂ©e mondiale contre la rage a eu lieu mardi Ă  MĂ©dĂ©a. Deux mĂ©decins ont dĂ©crit Ă  l’assistance, dans un “amphi”, la conduite Ă  tenir en cas de morsure par un animal susceptible d'ĂȘtre enragĂ©.


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Un forum chargĂ© de dĂ©signer les mauvais Ă©lĂšves de la lutte contre l'Ă©vasion fiscale et le secret bancaire doit publier, aujourd’hui, ses premiĂšres Ă©valuations au moment oĂč la pression contre les paradis fiscaux nĂ©e du G20 semble retomber


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 L’Agence française de dĂ©veloppement (AFD) a accordĂ© un prĂȘt de 20 millions d’euros pour le financement de la crĂ©ation de trois instituts de formation professionnelle dans le secteur automobile Ă  KĂ©nitra et Tanger, au Maroc.

 
Actualité
Par : Azzeddine Bensouiah
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Annoncée et réclamée depuis longtemps, la révision du code communal aura finalement lieu. Le Conseil des ministres de mardi a donné son feu vert.

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Par : Ahmed Benbitour
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Par crise, il faut entendre la crise multidimensionnelle que vit l’AlgĂ©rie. Cette crise se manifeste par cinq dimensions : 1- la dimension politique caractĂ©risĂ©e par un pouvoir autoritariste et patrimonialiste

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Par : NEÏLA B.
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L’enquĂȘte portera sur les exercices 2007 Ă  2009 et pourrait durer des mois.

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Tayeb BelaĂŻz devrait plastronner : les rapporteurs, un Français et un Tunisien, de l’Union internationale des magistrats, en visite en AlgĂ©rie depuis quelques jours pour Ă©tablir un rapport sur le Syndicat national des magistrats prĂ©sidĂ© par Djamel AĂŻdouni


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 Le Conseil d’état a confirmĂ©, hier, les rĂ©sultats des Ă©lections pour le renouvellement du Conseil de l’Ordre du barreau d’Alger organisĂ©es en mars 2009.


Par : S. LESLOUS/A. HAMMOUCHE
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C’est comme Ă  son habitude, un discours des plus virulents qu’a tenu le premier secrĂ©taire national du FFS, Karim Tabbou, Ă  l’encontre du pouvoir, hier, Ă  l’occasion de la cĂ©rĂ©monie commĂ©morative du 47e anniversaire de la crĂ©ation du FFS


Par : Merzak Tigrine
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Les derniers Ă©vĂ©nements au Sahel, avec l’enlĂšvement des otages français par Al-QaĂŻda Maghreb, semblent avoir rĂ©veillĂ© les services de sĂ©curitĂ© occidentaux

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En visite de quelques jours avec une dĂ©lĂ©gation d’hommes d’affaires amĂ©ricains, venus Ă  Alger prospecter le marchĂ© national, Marc Princen


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Le SG du ministĂšre de l’Éducation nationale a reçu, hier, les responsables du Syndicat national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest).


Par : A. Allia
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RĂ©affirmant la position de la Centrale syndicale Ă  propos du conflit fratricide, qui oppose le conseil syndical et le comitĂ© de participation d’ArcelorMittal Annaba


Par : M. T.
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“Nous continuerons Ă  dĂ©noncer la dilapidation des terres agricoles, nous n’allons pas nous taire”, a martelĂ©, hier, le prĂ©sident de l’APW en marge d’une sĂ©ance consacrĂ©e Ă  l’examen des plans d’urbanisme de plusieurs communes


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Est-il possible de faire abstraction des divergences politiques dans la région du Maghreb pour avancer ensemble sur la voie économique ?

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Ce sont 30 entreprises allemandes et 35 autres algériennes avec les institutions qui seront présentes lors de cette manifestation qui abritera en parallÚle un congrÚs concernant les changements climatiques et le développement durable


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La mesure accordant Ă  l’État le droit de dĂ©tenir une action spĂ©cifique dans le capital des banques et Ă©tablissements financiers Ă  capitaux privĂ©s ne dĂ©range pas SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale AlgĂ©rie.


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Sur 100 demandes de visa, 72 reçoivent un avis favorable. Le nouveau consul général de France en Algérie veut réduire les délais de traitement des dossiers et ramener le taux de refus à une norme acceptable.

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Les dĂ©clarations du P-DG d’Air AlgĂ©rie n’ont pas laissĂ© indiffĂ©rents les responsables de l’ambassade d’Arabie saoudite Ă  Alger. Dans un communiquĂ©, ces derniers ont mis en cause “la dĂ©sorganisation”


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Dans le cadre du renforcement de la coopĂ©ration bilatĂ©rale aglĂ©ro-saoudienne et du parachĂšvement du dispositif conventionnel, les experts des deux pays se sont rĂ©unis au siĂšge du ministĂšre de la Justice les 28 et 29 septembre 2010, en vue d’examiner ce projet d’accord sur l’entraide en matiĂšre pĂ©nale.

 

Dilem du Jeudi 30 Septembre 2010 | Vu 8446 fois


Edition du Jeudi 30 Septembre 2010

Actualité

Des visas plus rapides avec moins de refus
Le nouveau consul gĂ©nĂ©ral de france en AlgĂ©rie s’engage dans une nouvelle dynamique

Sur 100 demandes de visa, 72 reçoivent un avis favorable. Le nouveau consul général de France en Algérie veut réduire les délais de traitement des dossiers et ramener le taux de refus à une norme acceptable.

Le nouveau consul gĂ©nĂ©ral de France en AlgĂ©rie, M. Michel Dejaegher, entend rĂ©duire davantage le dĂ©lai de traitement des dossiers de visa. Lors d’une rencontre conviviale avec les reprĂ©sentants de la presse nationale, le consul gĂ©nĂ©ral a indiquĂ© que les dĂ©lais seront ramenĂ©s Ă  une norme beaucoup plus satisfaisante d’autant qu’un travail est dĂ©jĂ  en cours dans ce sens Ă  travers une sĂ©rie de mesures introduites. Aujourd’hui, il vous faut seulement 24 heures pour obtenir un rendez-vous au centre visas-France. Ce qui fait que les choses s’amĂ©liorent de plus en plus.
Pour Michel Dejaegher, 40% des demandes sont traitĂ©s en moins d’une semaine et 97% le sont en moins de deux semaines. “On aura du mal Ă  faire mieux”, dira-t-il, affirmant que depuis sa prise de fonction, en mai dernier, il a mis en place une mĂ©thode qui permet d’éviter Ă  l’avenir les goulots d’étranglement qui surviennent gĂ©nĂ©ralement Ă  la veille de la pĂ©riode estivale ou de la rentrĂ©e universitaire. D’ailleurs, pour les visas Ă©tudes, le consul gĂ©nĂ©ral a prĂ©cisĂ© que le consulat aura terminĂ© le travail le 1er octobre prochain. “Tous les dossiers ont Ă©tĂ© traitĂ©s et nous l’avons fait rapidement”, a-t-il encore ajoutĂ©. Le successeur de Francis Heude est un spĂ©cialiste du visa. ÂgĂ© de 61 ans, il Ă©tait sous-directeur des visas Ă  la direction de l'immigration au ministĂšre de l'Immigration.
Il a exercĂ© la fonction de consul gĂ©nĂ©ral Ă  Abidjan (CĂŽte-d’Ivoire, 2002 Ă  2006), Ă  Vancouver (Canada, 1998 Ă  2002). Il a Ă©tĂ© aussi consul de France Ă  Tokyo et Ă  San Francisco. Comme il a occupĂ© de nombreux postes au sein de l'administration centrale. À la question de savoir si les services du consulat gĂ©nĂ©ral apposent la mention “visa refusĂ©â€ sur le passeport en cas oĂč la demande est rejetĂ©e, le consul a Ă©tĂ© catĂ©gorique : “jamais. Il a affirmĂ© que c’est contraire au droit communautaire europĂ©en. Quant Ă  la polĂ©mique soulevĂ©e par le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la communautĂ© algĂ©rienne Ă  l’étranger, M. Halim Benatellah, qui avait remis implicitement en cause le statut juridique du centre visas-France, Michel Dejaegher a soulignĂ© que le consulat n’a pas Ă©tĂ© destinataire d’une quelconque correspondance du ministĂšre algĂ©rien des affaires Ă©trangĂšres dans ce sens. Le consul, qui a abordĂ© l’amĂ©lioration du service des visas, a indiquĂ© que sur 100 demandes, 72 reçoivent un avis favorable. Ce qui lui fera dire que le taux de refus est de 28%. Ce qui est, Ă  ses yeux, assez Ă©levĂ© comparativement Ă  la moyenne qui est, selon lui, de l’ordre de 10,89%. “La France dispose de 150 consulats Ă  travers le monde qui traitent 2 millions de dossiers par an et le taux de refus est de 10,89%”, a expliquĂ© le consul gĂ©nĂ©ral, qui a tenu Ă  prĂ©ciser que le taux actuel est beaucoup mieux que celui enregistrĂ© en 2006 lorsque les dossiers Ă©taient toujours envoyĂ©s Ă  Nantes pour ĂȘtre traitĂ©s. “À l’époque, le taux de refus Ă©tait de 44%”, a encore soulignĂ© M. Dejaegher, qui a saisi cette occasion pour souligner le rĂŽle du centre visas-France dans la baisse du taux de refus. “La rĂ©duction est due aussi en partie Ă  la prestation de Visas-France qui fait un travail de vĂ©rification des documents avant d’envoyer le dossier au consulat”, a-t-il dit.
Quant aux motifs de refus, le consul a rappelĂ© qu’il en existe quatre. D’abord, le manque ou l’insuffisance de ressources, le motif qui ne serait pas crĂ©dible du demandeur, le risque d’immigration clandestine et le risque de demande de prestation sociale essentiellement dans le domaine mĂ©dical.


Edition du Jeudi 30 Septembre 2010

Actualité

Le dossier des Ɠuvres sociales à la chefferie du gouvernement
Le ministre de l’éducation poursuit ses rencontres avec les syndicats autonomes

Le SG du ministĂšre de l’Éducation nationale a reçu, hier, les responsables du Syndicat national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest). “Que peut-on dire de ces rencontres, Ă  part que le dialogue, qui s’est arrĂȘtĂ© l’annĂ©e derniĂšre, a repris. Nous avons eu, encore une fois, des promesses et nous allons suivre de prĂšs les dossiers discutĂ©s lors de cette rencontre”, a dĂ©clarĂ© M. Meziane Meriane, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Snapest.
Le dĂ©bat de ce rendez-vous a portĂ© essentiellement sur les dossiers qui n’ont pas Ă©tĂ© pris en charge par la tutelle, notamment les Ɠuvres sociales, la mĂ©decine du travail, le logement de fonction, la revalorisation des heures supplĂ©mentaires et le rĂ©gime indemnitaire.
Pour le dossier de la revalorisation, la tutelle a promis au syndicat que les prix des heures supplĂ©mentaires seront calculĂ©s selon leur salaire de base. “Concernant le rĂ©gime indemnitaire, le SG du ministĂšre nous a dĂ©clarĂ© que ce qui devait ĂȘtre fait est dĂ©jĂ  fait”, a dĂ©clarĂ© Meriane. Au sujet des Ɠuvres sociales, il a indiquĂ© que le dossier est Ă  l’étude Ă  la chefferie du gouvernement. Pour les autres dossiers, tels que le logement dans les wilayas du sud, la tutelle a promis que “ce dossier sera Ă©tudiĂ© et les primes seront identiques Ă  celles attribuĂ©es aux travailleurs des autres secteurs”, a-t-il ajoutĂ©.


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Edition du Jeudi 30 Septembre 2010

Actualité

Le code communal sera enfin révisé
Il vise à promouvoir le rÎle des collectivités locales

Par : Azzeddine Bensouiah


Annoncée et réclamée depuis longtemps, la révision du code communal aura finalement lieu. Le Conseil des ministres de mardi a donné son feu vert.

Selon le communiquĂ© de la prĂ©sidence de la RĂ©publique, “la commune occupe une place majeure dans la rĂ©forme de l’État”, lit-on dans le communiquĂ© rendu public Ă  l’issue de cette rĂ©union. “Les finances communales ont Ă©tĂ© largement remises Ă  niveau avec le concours du budget de l’État, Ă  travers d’importants rachats de dettes et des soutiens annuels substantiels, et la rĂ©gulation de la gestion financiĂšre des communes a Ă©tĂ© consolidĂ©e, notamment par l’affectation de contrĂŽleurs financiers qui sera gĂ©nĂ©ralisĂ©e en 2012”, ajoute le communiquĂ©.
L’on annonce aussi que “la rĂ©vision de la lĂ©gislation relative aux finances locales viendra renforcer le rĂŽle Ă©conomique des collectivitĂ©s locales, y compris dans la promotion de l’investissement”.
C’est dans ce processus de modernisation que s’inscrit le projet de loi sur la commune comme Ă©tape transitoire dans la promotion du rĂŽle et de la place des assemblĂ©es locales. Le projet de loi portant code communal propose des rĂšgles qui visent notamment, selon le communiquĂ©, “à conforter les attributions de l’AssemblĂ©e populaire communale et le statut de son prĂ©sident et clarifier davantage les compĂ©tences de l’AssemblĂ©e populaire communale dans sa relation avec l’administration locale, placĂ©e sous l’autoritĂ© du wali reprĂ©sentant le gouvernement sur la base des objectifs de consolidation de la dĂ©mocratie locale (
)”. Il s’agit, Ă©galement, d’“assurer la continuitĂ© du service public en renforçant la stabilitĂ© des AssemblĂ©es populaires communales, par une meilleure dĂ©finition des rĂšgles applicables Ă  l’élection de leurs prĂ©sidents respectifs”. C’est ainsi que le projet Ă©nonce, prĂ©cise-t-on, “des rĂšgles transparentes Ă  mĂȘme de permettre le dĂ©passement de blocages Ă©ventuels”.
Il s’agit, en fait, de deux volets importants de la gestion locale : l’aspect Ă©conomique, oĂč les communes devraient avoir plus de marge de manƓuvre et des entrĂ©es supplĂ©mentaires d’argent, et l’aspect politico-administratif qui devrait prĂ©ciser davantage les prĂ©rogatives des Ă©lus par rapport Ă  l’administration locale.
Conçue dans l’esprit du grand chantier de rĂ©forme de l’État, lancĂ© par le prĂ©sident Bouteflika, Ă  son arrivĂ©e au pouvoir, la rĂ©vision du code communal vise Ă  dĂ©passer les blocages actuels dont se plaignent les Ă©lus, mais surtout les populations. Les Ă©lus locaux se sont souvent plaints du fait que leurs prĂ©rogatives soient extrĂȘmement limitĂ©es et que la gestion des affaires de leurs communes Ă©tait quasi impossible du fait de l’omnipotence de l’administration. De fait, le rĂŽle des Ă©lus locaux a, souvent, Ă©tĂ© rĂ©duit Ă  une simple prĂ©sence symbolique, avec tous les tracas concernant la confection des listes de demandeurs de logements, d’emploi et autres aides sociales. PointĂ©s du doigt par les populations, las d’attendre des solutions Ă  leurs problĂšmes, les Ă©lus locaux sont dĂ©jĂ  affaiblis par un mode de reprĂ©sentation qui les gĂȘne grandement. À chaque Ă©lection locale, l’on assiste au mĂȘme spectacle : des dizaines de communes ont du mal Ă  dĂ©signer leur prĂ©sident. Des situations de blocage peuvent durer plusieurs mois, voire plusieurs annĂ©es, en raison des confusions contenues dans la loi.
Le projet de loi devrait clarifier tout cela et prĂ©venir d’éventuels blocages Ă  l’avenir. Mais c’est surtout la confirmation du principe de la “dĂ©mocratie participative” retenu dans le projet de loi, qui mĂ©rite toute l’attention. En effet, les Ă©lus locaux devraient associer la population, ou ses reprĂ©sentants, concernant les principaux dossiers qui intĂ©ressent la commune. VoilĂ  qui permettrait une gestion plus transparente des affaires de la citĂ© et impliquerait davantage la sociĂ©tĂ© civile.
Sur le plan Ă©conomique, les choses devraient Ă©galement bouger, notamment en ce qui concerne la fiscalitĂ© locale. Cependant, l’application sur le terrain ne serait pas de tout repos. Si, pour les communes nanties, la fiscalitĂ© locale devrait constituer un atout majeur, il n’en est pas de mĂȘme pour celles enclavĂ©es et dĂ©pourvues de la moindre activitĂ© Ă©conomique. Des communes comme Hassi-Messaoud, Arzew ou Rouiba, par exemple, devraient ĂȘtre en mesure de financer des programmes grĂące aux importantes rentrĂ©es fiscales. Ce n’est pas le cas des communes qui ne disposent d’aucune richesse, d’aucune activitĂ© Ă©conomique sur leur territoire.
Le dĂ©veloppement Ă  deux vitesses sera difficile Ă  gĂ©rer, de mĂȘme que la possibilitĂ© offerte aux Ă©lus locaux de nĂ©gocier des projets d’investissements. Dans un pays oĂč l’État, avec tous ses moyens et toute son armĂ©e de fonctionnaires, a du mal Ă  trancher sur des projets d’investissements qui sommeillent dans les tiroirs depuis des annĂ©es, il est difficilement imaginable de voir des APC prendre des dĂ©cisions en la matiĂšre.

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30/09/2010
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