Edition du Lundi 10 Mai 2010

 
 
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Dilem du Lundi 10 Mai 2010 | Vu 2785 fois

LE RADAR
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 RĂ©agissant Ă  l’information publiĂ©e dans notre Ă©dition du Radar du 5 mai 2010, sous l’intitulĂ© â€œNos artistes se cachent pour
 mourir”


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En solidaritĂ© avec les femmes agressĂ©es Ă  Hassi-Messaoud, un rassemblement sera organisĂ© aujourd’hui de 18 Ă  20 heures, devant l’ambassade d’AlgĂ©rie


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 Les clients de l’agence postale du 1er-Mai doivent avoir la patience bien solide. Eux qui font face tous les jours que Dieu fait Ă  un service des plus exĂ©crables


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Le dĂ©putĂ© UMP des Alpes-Maritimes, Lionel Luca, l'un des instigateurs de la campagne contre le dernier film de Rachid Bouchareb, Hors-la-loi


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Dans le cadre de la FĂȘte nationale de la jeunesse, et sous le patronage du wali de SĂ©tif, l’APC de Harbil (daĂŻra de Guenzet, SĂ©tif) organisera le 3 juillet prochain, le 2e Marathon des montagnes d’Ath YaĂąla


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TV5 Monde sera le partenaire de la 7e Ă©dition de MED-IT, le Salon international sur les technologies de l’information qui se tient Ă  Alger du 10 au 12 mai.


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 En association avec Ubifrance et les missions Ă©conomiques, Icex, l’Institut italien du commerce extĂ©rieur, Bayern international et Italia (Institut du commerce extĂ©rieur)

Actualité
Par : MALIKA BEN
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L’appel lancĂ© par les travailleurs du secteur des cheminots a eu un large Ă©cho. Aucun train n’a quittĂ© la gare hier. C’est ce que nous avons constatĂ© de visu, mais la DRH de la SNTF parle de 50% de suivi et compte “ester en justice les grĂ©vistes et appliquer loi dans toute sa rigueur”.

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La crise grecque Ă  peine calmĂ©e, la crainte d’une contagion au reste de l’Europe, tout particuliĂšrement Ă  l’Espagne, fait rechuter l’euro et toutes les Bourses europĂ©ennes.


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C’est aujourd’hui que s’ouvre la 2e Ă©dition du Forum maghrĂ©bin des hommes d’affaires qui se tiendra au siĂšge de la Centrale de Tunis en Tunisie. PlacĂ© sous le haut patronage du prĂ©sident tunisien Zine El-Abidine Ben Ali


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Pas une ville, pas un quartier en AlgĂ©rie qui n’auraient pas encore leur vendeur de logiciels ou films, Ă©missions, variĂ©tĂ©s, documentaires piratĂ©s.

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“Optimiser vos achats et rĂ©duire vos coĂ»ts” est le slogan choisi par VIP/Groupe formation pour le 1er symposium sur les achats et logistique


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Trente personnes arrĂȘtĂ©es et 36 tonnes de produits alimentaires saisis, tel est le rĂ©sultat de plusieurs opĂ©rations menĂ©es en moins d’une semaine par les gendarmes sur les voies de communication et les bandes frontaliĂšres algĂ©ro-marocaine et algĂ©ro-tunisienne.

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Par : H. A.
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Dans une lettre, parvenue hier Ă  la rĂ©daction, le citoyen A. B., se prĂ©sentant comme “otage” Ă  la fois d’El Khalifa Bank et des gouvernements algĂ©rien et britannique, interpelle le chef de l’État


Par : L. OUBIRA
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La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune, a choisi la ville de Béjaïa pour commémorer, samedi dernier, les événements du 8 Mai 1945 en animant un meeting à la maison de la culture Taous-Amrouche


Par : DJAMILA L.
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Dans la rue, les scĂšnes de violence Ă  l’égard des femmes sont de plus en plus banalisĂ©es. Que dire des violences qui se dĂ©roulent Ă  huis clos, au sein de la famille ou au sein du domicile conjugal ?

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Par : Ahmed Chenaoui
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Au cours de la cĂ©rĂ©monie d’ouverture des assises rĂ©gionales de la pĂȘche et de l’aquaculture que la wilaya de Chlef a abritĂ© dimanche au siĂšge de l’APN, le ministre de la pĂȘche et des ressources halieutiques, M. SmaĂŻl Mimoune


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“Djezzy, leader de la tĂ©lĂ©phonie mobile en AlgĂ©rie, est le principal sponsor de la premiĂšre Ă©dition du Mobile Monday dans le cadre de ce grand carrefour des technologies de l’information et de la communication qu’est le MED-IT


Edition du Lundi 10 Mai 2010

Actualité

L’AlgĂ©rie, troisiĂšme pays pirate au monde
LOGICIELS ET INFORMATIQUE

Pas une ville, pas un quartier en AlgĂ©rie qui n’auraient pas encore leur vendeur de logiciels ou films, Ă©missions, variĂ©tĂ©s, documentaires piratĂ©s.

Il n’y a qu’à voir partout oĂč l’on se promĂšne, la profusion de ces Ă©tals qui ornent les allĂ©es les plus frĂ©quentĂ©es d’Alger au vu et au su des autoritĂ©s sans que cela ne suscite la moindre rĂ©action. À se demander alors Ă  quoi servent l’Onda et l’Inapi qui Ă©taient d’ailleurs tout aussi absents sur le terrain qu’au dĂ©bat initiĂ© hier par El Moudjahid dans le cadre de son forum.
En dĂ©pit du manque de teneur des interventions, le sujet portant sur “les technologies de l’information et de la communication et la propriĂ©tĂ© intellectuelle” constituait une occasion propice pour dĂ©battre de cette problĂ©matique qui prend tout son sens dans la rĂ©alitĂ© actuelle. Celle-ci d’ailleurs fait Ă©tat d’un constat critique Ă  l’égard de l’AlgĂ©rie classĂ©e aujourd’hui Ă  la 3e position au monde parmi les pays qui ont recours au piratage comme indiquĂ© par M. Hadef, conseiller auprĂšs du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (MPTIC).
ConsĂ©quence presque logique Ă  une situation anarchique qui rĂšgne au pays depuis l’explosion d’Internet et des nouvelles technologies. Si nos dĂ©cideurs ont le mĂ©rite d’avoir tentĂ© coĂ»te que coĂ»te de dĂ©mocratiser l’utilisation de l’outil informatique et d’Internet avec une certaine libertĂ©, ils ne sont pas moins condamnables de ne pas avoir accompagnĂ© cette ouverture avec le cadre lĂ©gislatif adĂ©quat pour mieux apprĂ©hender cette Ă©volution numĂ©rique. Le taux de piratage aurait atteint des seuils record estimĂ©s jusqu’à 84% qu’il s’agisse de systĂšmes d’exploitation (Windows notamment), des applications les plus ordinaires (Word, Excel, Photoshop, antivirus, etc.) ou des jeux et autres didacticiels, toutes les formes de piratage sont pratiquĂ©es en AlgĂ©rie. Le plus grave est quand cela prend la forme de la copie Ă  l’identique et Ă  une Ă©chelle gĂ©nĂ©ralisĂ©e jusqu’à englober  certaines institutions de l’État et mĂȘme des sociĂ©tĂ©s de renom, y compris dans le secteur de la presse oĂč il est de coutume d’utiliser l’abus de licence ou carrĂ©ment le recours Ă  des logiciels piratĂ©s. Viennent ensuite les activitĂ©s qui sont Ă  la portĂ©e du premier venu, Ă  travers la copie servile, soit les CD gravĂ©s ou les tĂ©lĂ©chargements Ă  partir du Net alors que l’AlgĂ©rie a ratifiĂ© les conventions internationales. La propriĂ©tĂ© intellectuelle est l’ensemble des droits exclusifs accordĂ©s sur les crĂ©ations intellectuelles. Sa premiĂšre branche est la propriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique, qui s’applique aux Ɠuvres de l’esprit, et est composĂ©e du droit d’auteur, du copyright et des droits voisins. La seconde branche de la propriĂ©tĂ© intellectuelle est la propriĂ©tĂ© industrielle. Celle-ci regroupe elle-mĂȘme, d’une part, les crĂ©ations utilitaires, comme le brevet d’invention et le certificat d’obtention vĂ©gĂ©tale et, d’autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l’appellation d’origine.
Aujourd’hui plus que jamais au vu des attaques perpĂ©trĂ©es contre des institutions de l’État, des banques, des compagnies aĂ©riennes, des journaux et autres, l’AlgĂ©rie devrait se prĂ©munir Ă  plus forte raison que le pays est investi dans un grand chantier de la e-AlgĂ©rie 2013. Celui-ci suppose, entre autres, le dĂ©veloppement de nombreux services en ligne avec pour objectif l’instauration de la e-administration, le e-commerce, e-banking, etc.
Aussi, le MPTIC prĂ©sentera au SGG avant la fin du 1er semestre 2010 deux projets de loi portant sur la protection des donnĂ©es de bases Ă  caractĂšre personnel et de personnes vulnĂ©rables. En d’autres termes, l’AlgĂ©rie va bientĂŽt lĂ©galiser toute transaction Ă©lectronique. Un chapitre vaste qui englobe le volet commercial et administratif (signature Ă©lectronique et cryptage etc.). “L’AlgĂ©rie tente d’harmoniser sa lĂ©gislation de façon Ă  atteindre le standard international en la matiĂšre”, dira Mme Bouzidi, reprĂ©sentante du MPTIC spĂ©cialisĂ©e des questions juridiques prĂ©cĂ©dant Mme Bouder, reprĂ©sentante du Cerist qui dĂ©veloppera, pour sa part, l’aspect sĂ©curitĂ©.
Elle dira, Ă  ce propos, qu’un projet en cours concerne la mise en place d’une infrastructure qui garantira la protection de tout ce qui est Ă©changĂ© via rĂ©seau. “C’est un travail de longue haleine”, dira M. Hadef, visiblement conscient de la difficultĂ© d’appliquer les lois promulguĂ©es plaidant Ă  l’occasion pour un travail de sensibilisation. La solution rĂ©siderait Ă©galement dans l’encouragement de production d’un contenu local.

Actualité

Une grĂšve surprise paralyse les trains
LES CHEMINOTS DE LA SNTF LANCENT LE MOUVEMENT

Par : MALIKA BEN


L’appel lancĂ© par les travailleurs du secteur des cheminots a eu un large Ă©cho. Aucun train n’a quittĂ© la gare hier. C’est ce que nous avons constatĂ© de visu, mais la DRH de la SNTF parle de 50% de suivi et compte “ester en justice les grĂ©vistes et appliquer loi dans toute sa rigueur”.


Si jusque-lĂ  tous les innombrables mouvements de protestation qui ont marquĂ© le front social ont Ă©tĂ© parrainĂ©s par des formations syndicales, la contestation qui a Ă©clatĂ© du cĂŽtĂ© des cheminots est Ă  l’initiative des travailleurs loin de toute bataille syndicale. En effet, les travailleurs de la SociĂ©tĂ© nationale des transports ferroviaires ont lancĂ©, dĂšs les premiĂšres heures de la matinĂ©e, une grĂšve illimitĂ©e pour protester contre leur marginalisation des augmentations salariales. Le secteur fait face Ă  moult contraintes depuis des annĂ©es certes, mais les travailleurs qui s’appuyaient jusque-lĂ  sur la fĂ©dĂ©ration nationale des cheminots et ses contacts et nĂ©gociations avec le syndicat mĂšre et la tutelle, ont perdu tout espoir le jour de leur “fĂȘte”. En effet, c’est Ă  l’annonce, le 1er Mai dernier, de la signature de 20 conventions de branches que les cheminots qui n’en faisaient pas partie ont “compris le message des pouvoirs publics”, nous dit un conducteur rencontrĂ© Ă  la gare du Caroubier.

Une grĂšve et des interrogations
Le plus bizarre dans le mouvement de grĂšve des cheminots est que le dĂ©brayage, comme nous l’avons constatĂ© de visu au niveau des principales gares de la capitale (El-Harrach, Hussein-Dey, Agha et Place des Martyrs), Ă©tait suivi aux environs de 11 heures du matin Ă  100%. Il n’y avait pas la foule quotidienne qui prenait d’assaut ces stations. C’était, en un seul mot, des gares fantĂŽmes dont les portails d’habitude grands ouverts Ă©taient fermĂ©s et “gardĂ©s” par un appariteur qui accueillait les usagers non informĂ©s par un sempiternel refrain : “y a pas de train, ils sont en grĂšve.” Cependant, Ă  la grande question de savoir qui a lancĂ© le mouvement de grĂšve, il n’y a pas eu de rĂ©ponse. Questions : s’agit-il d’une grĂšve sauvage ? Pourquoi et dans quel but ? Qu’est-ce qui pousse ses initiateurs Ă  s’en cacher et de qui ? Les rares travailleurs qui daignent rĂ©pondre se contentent de nous lancer :  “Personne n’est derriĂšre ce mouvement. Ce sont les simples travailleurs qui ont pris l’initiative au vu de l’accumulation des contraintes et la dĂ©gradation de leur pouvoir d’achat.” Au niveau de la gare d’El-Harrach, un travailleur avoue : “je suis chef de service, j’ai travaillĂ© cette nuit et je ne suis pas au courant de ce mouvement.” Les agents de sĂ©curitĂ© nous renvoie aux autres gares. “Essayer de voir Ă  la gare Agha, ce sera mieux. Sinon avec le syndicat.”
Du cĂŽtĂ© du syndicat du secteur de la SNTF, dont le siĂšge est Ă  quelques encablures de la direction gĂ©nĂ©rale, on entend le mĂȘme discours. “Nous ne pouvons pas appeler Ă  un mouvement de grĂšve alors que nous sommes affiliĂ©s Ă  l’UGTA”, justifie M. Bichikhi Djamel, le chargĂ© de communication au niveau de la fĂ©dĂ©ration nationale des cheminots. Et de prĂ©ciser qu’une telle action est en porte-Ă -faux avec le pacte social que l’UGTA a signĂ© avec les pouvoirs publics. Il insistera sur le fait que “la grĂšve a Ă©tĂ© lancĂ©e par les travailleurs. C’est leur propre initiative pas la nĂŽtre”. Le chargĂ© de communication du syndicat des cheminots se lancera dans la justification du mouvement en soulignant que “nous avons approchĂ© toutes les instances concernĂ©es pour dĂ©fendre les droits des travailleurs, mais nous n’avons rien eu. Nous sommes des laissĂ©s-pour-compte”. Selon lui, “les pouvoirs publics nous ont trahis sur le parcours. pour preuve, des entreprises plus dĂ©structurĂ©es que la SNTF, Ă  l’exemple de la SNVI, ont pu bĂ©nĂ©ficier d’augmentations consĂ©quentes, ce qui n’est pas le cas pour nous.”

Les menaces de l’administration
Contrairement au mode de gestion des grĂšves auquel les tutelles nous ont habituĂ©s, le mouvement lancĂ© par les travailleurs a tout de suite suscitĂ© la rĂ©action de la direction gĂ©nĂ©rale. ContactĂ©e pour d’éventuelles informations sur cette action, nous avons Ă©tĂ© surpris d’ĂȘtre invitĂ©s Ă  une confĂ©rence de presse de la direction des ressources humaines de la SNTF. Le DRH ne parlera mĂȘme pas de mouvement de grĂšve. “Nous avons constatĂ© un arrĂȘt de travail au niveau de certains points.” Il enchaĂźnera en prĂ©cisant que “de toutes les façons c’est un mouvement illĂ©gal car il n’a pas respectĂ© les procĂ©dures lĂ©gales.”
Le DRH indiquera que la grĂšve, qui a Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ©e Ă  5 heures du matin, n’a pas Ă©tĂ© largement suivie. “Nos statistiques montrent que jusqu’à 13 heures la grĂšve a Ă©tĂ© suivie Ă  50% Ă  Alger ; moins de 40% Ă  Oran, 60% Ă  Annaba et 40% Ă  Constantine.” Selon le confĂ©rencier, 20% des trains de banlieue ont circulĂ©. Pour ce qui est des trains rĂ©gionaux (Chlef, BĂ©jaĂŻa et SĂ©tif), 3 sur 4 Ă©taient opĂ©rationnels. Selon le DRH,“en dĂ©pit de la grĂšve illĂ©gale, nous avons fait des efforts pour faire circuler nos trains et ne laisser personne en rade, et ce, grĂące Ă  la mobilisation du personnel d’encadrement. D’ailleurs, un service minimum sera assurĂ© pour le transport en banlieue et celui des marchandises stratĂ©giques au cas oĂč la grĂšve persisterait”. Revenant sur le caractĂšre “illĂ©gal de la grĂšve”, le confĂ©rencier dira que “nous ne sommes pas des hors la loi. Nous sommes en train de recenser les travailleurs qui ont fait grĂšve pour appliquer les dispositions de loi et recourir Ă  la justice”. Pour ce qui est de la revendication des cheminots, il prĂ©cisera que “des efforts ont Ă©tĂ© faits par la SNTF en dĂ©pit de sa situation financiĂšre qui n’est pas trĂšs reluisante pour une augmentation de 16% en 2008”.

www.liberte-algerie.com




10/05/2010
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