Edition du Mardi 22 Mars 2011

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LE RADAR
 
 
 
 
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Edition du Mardi 22 Mars 2011

RADAR

Une autre distinction internationale pour Socothyd
BoumerdĂšs

 Encore une fois, le leader mondial de l’inspection, de la vĂ©rification, de l’analyse et de la certification (SGS) attribue Ă  l’entreprise Socothyd des Issers, spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication de produits parapharmaceutiques, les codifications Iso 9001 version 2008 et Iso 13485 relatives aux dispositifs mĂ©dicaux, ainsi que la certification marquage europĂ©en des produits Socothyd (CE).
Ainsi, Socothyd demeure toujours le n°1 national dans la fabrication des produits paramĂ©dicaux et d’hygiĂšne.



Edition du Mardi 22 Mars 2011

RADAR

57 milliards de dollars transférés à l'étranger en huit ans
Égypte : Fuite des capitaux

 Des experts ont Ă©valuĂ© les capitaux Ă©gyptiens transfĂ©rĂ©s Ă  l'Ă©tranger durant la pĂ©riode 2000-2008 Ă  57,2 milliards de dollars, soit une moyenne de 6,34 milliards de dollars par an. Lors d'une rencontre organisĂ©e au Caire sur le thĂšme “La fuite des capitaux et son impact sur l'Ă©conomie Ă©gyptienne”, l'expert financier et Ă©conomiste, Nabil Hachad, a soulignĂ© que la seule annĂ©e 2007 a connu la fuite de 13 milliards de dollars contre 4,7 milliards de dollars en 2008 du fait de la crise financiĂšre mondiale. L'organisation internationale Global Financial Integrity avait Ă©valuĂ© les capitaux illicites transfĂ©rĂ©s Ă  l'Ă©tranger en 2006 entre 900 et 1,1 trillion de dollars contre 1,26 et 1,44 trillion de dollars en 2008, soit une moyenne de 725 Ă  810 millions de dollars par an et deux trillions de dollars en 2010. L'expert Ă©gyptien a prĂ©cisĂ© que son pays vient en troisiĂšme position sur le plan africain en ce qui concerne la fuite des capitaux. La rĂ©cupĂ©ration des capitaux illicites transfĂ©rĂ©s Ă  l'Ă©tranger exige une volontĂ© politique et une coopĂ©ration internationale avec les pays oĂč sont dĂ©posĂ©s ces capitaux, a-t-il  soulignĂ©.



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Edition du Mardi 22 Mars 2011

Actualité

Pour l’abolition des privilùges et de l’exclusion
Une proposition de loi Ă©lectorale a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e par 29 dĂ©putĂ©s Ă  l’AssemblĂ©e

Par : Nissa Hammadi 


Tout en estimant qu’il faut commencer par l’éradication de la fraude Ă©lectorale, les 29 dĂ©putĂ©s proposent des dispositions Ă  mĂȘme de permettre une meilleure reprĂ©sentation des femmes, des jeunes et des compĂ©tences.

Un groupe de 29 dĂ©putĂ©s de diffĂ©rentes sensibilitĂ©s politiques proposent une sĂ©rie d’amendements Ă  la loi Ă©lectorale en vigueur. Dans un communiquĂ© rendu public, hier, signĂ© par le dĂ©lĂ©guĂ© de ces parlementaires,  Ali Brahimi, les initiateurs de cette proposition de loi amendant la loi Ă©lectorale actuelle  expliquent que “les Ă©volutions rĂ©gionales, Ă  l’extĂ©rieur, et la montĂ©e de la contestation populaire, Ă  l’intĂ©rieur” interpellent les pouvoirs publics sur la fraude Ă©lectorale et sur l’institution, Ă  travers la rĂ©vision de la loi Ă©lectorale de juillet 2007, du “monopole de l’accĂšs aux institutions au profit des partis du FLN, RND, HMS, FFS, RCD, FNA, PT, Islah et Nahda, dispensĂ©s du recueil des signatures sur la base de rĂ©sultats Ă©lectoraux fossilisĂ©s” remontant pour certains Ă  juin 1997. Tout en estimant que toute rĂ©vision structurelle de la loi Ă©lectorale reste conditionnĂ©e par l’éradication de la fraude, les 29 dĂ©putĂ©s proposent l’intĂ©gration des dispositions suivantes : asseoir la prĂ©sence de l’élĂ©ment fĂ©minin dans les postes â€œĂ©ligibles” des listes Ă©lectorales Ă  raison d’une place dans les deux premiers rangs d’une liste municipale, quatre places dans les huit premiers rangs d’une liste Ă  l’APW, deux places dans les deux premiers rangs d’une liste APN.
Instituer la prĂ©sence de l’élĂ©ment jeune (28 Ă  45 ans) dans les postes â€œĂ©ligibles” des listes Ă©lectorales Ă  raison de cinq places sur les dix premiers rangs de toute liste de candidature aux Ă©lections locales (APC et APW) et de trois places sur les six premiers rangs d’une liste APN. Consacrer un coefficient de compĂ©tence technique en rendant obligatoire la dĂ©tention d’un niveau universitaire chez au moins 50% des postulants Ă  une Ă©lection locale (APC et APW) et 70% des candidats Ă  l’APN. Abolir le privilĂšge du monopole de dispense du recueil de signatures accordĂ© aux neufs partis suscitĂ©s.
Tout parti ayant tenu son congrĂšs constitutif pourra prĂ©senter des listes sur un pied d’égalitĂ© avec les partis plus anciens, dĂ©verrouiller l’accĂšs Ă  la candidature aux citoyens qui prĂ©fĂšrent se prĂ©senter sans Ă©tiquette partisane en ramenant Ă  un seuil raisonnable le nombre de signatures exigĂ©es d’eux pour prĂ©senter des listes ainsi que le pourcentage des signatures (pas plus de 2%) soumises obligatoirement au contrĂŽle physique du juge, laquelle vĂ©rification peut se dĂ©rouler dans tous les siĂšges de tous les tribunaux de la wilaya.
Dans l’exposĂ© des motifs de ces propositions d’amendement de la loi organique relative au rĂ©gime Ă©lectoral, ces parlementaires mettent en avant le fait que plus de la moitiĂ© de la population est constituĂ©e de femmes et de 75% de jeunes, Ă  qui il faut donner leur chance pour permettre le renouvellement de la classe politique Ă  travers l’ouverture institutionnelle. Ils considĂšrent, Ă©galement,  comme une discrimination injuste l’accĂšs  institutionnel aux seules structures partisanes ou Ă  un groupe de formations politiques. Cette discrimination, poursuivent ces dĂ©putĂ©s, non seulement “rĂ©trĂ©cit, au dĂ©triment de l’état et la nation, les possibilitĂ©s de rĂ©gĂ©nĂ©rescences institutionnelles, mais aussi  l’abandon de ces choix, stĂ©rilisant pour toute compĂ©tition politique, conditionne toute reprise et rĂ©ussite du processus dĂ©mocratique”. Enfin, les parlementaires en question, pensent que “la derniĂšre mesure constitutionnelle prise en faveur d’une plus grande intĂ©gration de la femme dans l’espace institutionnel doit se traduire dans la lĂ©gislation par une  dĂ©marche publique volontariste Ă©volutive. Cette option doit ĂȘtre Ă©largie au profit de la jeunesse pour capter les Ă©nergies qui ne demandent qu’à se mobiliser pour l’édification d’un Ă©tat dĂ©mocratique et social promis par les textes fondateurs”.

 


Edition du Mardi 22 Mars 2011

Editorial

Vulnérable consensus
 

AprĂšs s’ĂȘtre piĂ©gĂ©s dans le contenu de la rĂ©solution 1973 du Conseil de sĂ©curitĂ©, celle “empressĂ©e” de la Ligue arabe, ils semblent tous vouloir revenir sur ce consensus et le remplacer par un autre dont les motivations seraient liĂ©es Ă  des intĂ©rĂȘts personnels et particuliers.

L’indĂ©trĂŽnable secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Ligue arabe, Amr Moussa, vient de rĂ©viser sa position sur la Libye. AprĂšs avoir rĂ©ussi Ă  arracher un consensus autour de la zone d’exclusion aĂ©rienne et son insistance pour que le Conseil de sĂ©curitĂ©, qui dispose ainsi de la caution arabe, agisse rapidement, ce qui est fait, le mĂȘme Moussa vient de marquer le pas, remettant en cause, en son nom personnel ou au nom de la ligue, on ne le saura pas dĂšs Ă  prĂ©sent, la position unie des 22. 
Ce revirement surprenant n’est pas, semble-t-il, sans lien avec le revers qu’a vĂ©cu Al-BaradeĂŻ, potentiel candidat Ă  la prĂ©sidentielle, Ă  la place Tahrir, qui l’a rejetĂ© Ă  coups de pierre. Le mĂȘme scĂ©nario a Ă©tĂ© d’ailleurs rĂ©servĂ© Ă  Ban-Ki moon venu “vendre” une autre image de l’ONU. 
L’on se demande alors si Amr Moussa ne tente pas, par cette position, inopportune, vue sous un autre angle, de se placer dans la perspective de la prĂ©sidentielle qui se dessine, profitant Ă  l’occasion, du premier “dĂ©saveu” de son concurrent immĂ©diat, Al-BaradeĂŻ, pour succĂ©der Ă  Moubarak.
La mĂȘme tendance s’est dĂ©gagĂ©e, ces deux derniers jours, avec les “critiques” de deux poids lourds du Conseil de sĂ©curitĂ© : la Chine et la Russie qui se sont contentĂ©es d’une abstention lors du vote de la rĂ©solution contre Kadhafi. Alors que la Chine dĂ©plore les attaques de l’aviation de l’alliance, la Russie a mis en marche sa machine diplomatique dans le but de “coordonner” avec les pays de la rĂ©gion pour arriver Ă  un rĂšglement des conflits. Cela est dictĂ© par “sa prĂ©occupation” de ce qui se passe dans ces pays. 
Ainsi, aprĂšs s’ĂȘtre piĂ©gĂ©s dans le contenu de la rĂ©solution 1973 du Conseil de sĂ©curitĂ©, celle “empressĂ©e” de la Ligue arabe, ils semblent tous vouloir revenir sur ce consensus et le remplacer par un autre dont les motivations seraient liĂ©es Ă  des intĂ©rĂȘts personnels et particuliers. 
Les Russes sont-ils en train de revoir leur position en tenant compte de la promesse de Kadhafi de rompre avec l’Occident ? La Chine Ă©galement. Quant Ă  Amr Moussa, il recule pour mieux sauter
 sur la prĂ©sidentielle Ă©gyptienne.


 


Edition du Mardi 22 Mars 2011

Chronique

Résolution 1973 et
 irrésolutions généralisées
 

DĂšs les premiĂšres frappes de la coalition de mise en Ɠuvre de la rĂ©solution 1973 du Conseil de sĂ©curitĂ©, les bombes ont rĂ©veillĂ© l’Union africaine.
Dimanche, Lamamra dĂ©clarait que les “voies pacifiques ne sont pas Ă©puisĂ©es”. Puis, le mĂȘme jour, sur TV5 Monde, il parlait de “la conviction” de l’Union africaine quant Ă  la nĂ©cessitĂ© d’une “action africaine urgente”, sous deux cautions : “la cessation de toutes les hostilitĂ©s” et “la coopĂ©ration des autoritĂ©s libyennes pour faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire”.
AprĂšs plus d’un mois de combat et six mille victimes, l’UA en est encore Ă  une vague notion d’hostilitĂ©s. Et lĂ  oĂč il est question d’arrĂȘter le massacre, elle parle d’aide humanitaire !
Voyons pour l’urgence version africaine : c’est le 23 fĂ©vrier, aprĂšs cinq jours et plus de deux cents morts parmi les manifestants que le ComitĂ© pour la sĂ©curitĂ© et la paix de l’Union se contraint Ă  un communiquĂ© dans lequel il “prend note, souligne, lance un appel” et “dĂ©cide” enfin “de dĂ©pĂȘcher urgemment une mission du Conseil en Libye afin d'Ă©valuer la situation sur le terrain” et de “rester activement saisi de la question” !
La Commission n’ayant “jamais Ă©tĂ© sur le terrain”, on ajoute Ă  la “Haute-Commission ad hoc sur la CĂŽte d’Ivoire”, la Libye. Et “rester activement saisi de la question”, ce sont des rĂ©unions Ă  Nouakchott qui n’en finissent pas, jusqu’au jour oĂč les bombardements de l’OTAN rĂ©veillent les cinq chefs d’État qui, avec Jean Ping, prĂ©sident de la Commission de l’UA, composent cette haute commission. Entre-temps, les avions, les Katiouchkas et les chars de Kadhafi ne les avaient pas trop importunĂ©s. 
Entre-temps, ladite commission avait demandĂ© Ă  son prĂ©sident d’inviter les autres partenaires (ONU, Ligue arabe et Organisation de la ConfĂ©rence islamique), en plus des cinq pays membres de la commission, Ă  une rĂ©union Ă  Addis Abeba pour le
 25 mars ! C’est-Ă -dire pour bien aprĂšs que Benghazi eut Ă©tĂ© rasĂ©e et que le nombre de victimes eut encore sensiblement augmentĂ©, si ce n’était la mise en Ɠuvre de la rĂ©solution du Conseil de sĂ©curitĂ© dĂšs le 19 mars, aprĂšs tant de temps — et de vies — perdus. C’est cela “la conviction de l’UA pour une action africaine urgente” !  Cette rĂ©action Ă  l’africaine ne diffĂšre pas tant de la rĂ©action Ă  l’arabe ! La Ligue, par la voix de Amr Moussa, trouve que la coalition est allĂ©e au-delĂ  du mandat de l’ONU, un peu comme s’il Ă©tait rĂ©aliste de vouloir sauver les insurgĂ©s en stoppant les avions, mais pas l’artillerie et les chars ! Tout se passe comme si la Ligue s’est trouvĂ©e contrainte d’ouvrir la voie Ă  une rĂ©solution et tente de s’en laver les mains a posteriori, de crainte des retombĂ©es politiques sur ses rĂ©gimes si l’intervention devait s’éterniser.
La position de l’AlgĂ©rie qui, depuis le dĂ©but, oscille entre le rappel du principe de non-ingĂ©rence, la nĂ©cessitĂ© de â€œprendre acte” de la rĂ©solution et de l’accord tĂ©lĂ©phoniquement signifiĂ© par Ouyahia Ă  Joe Biden, est significative de ce balancement. 
RĂ©sultat : on sait ce que veulent les États-Unis et l’Europe pour la Libye. Mais leur intention fut-elle malveillante, il ne serait pas sĂ©rieux de vouloir lui opposer un concert de valses-hĂ©sitations.        

 M. H.
musthammouche@yahoo.fr         

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Dilem du Mardi 22 Mars 2011 | Vu 4532 fois

 


Edition du Mardi 22 Mars 2011

Actualité

Encore un transfert provisoire
École prĂ©paratoire sciences et techniques d’Alger

Par : MALIKA BEN


Les Ă©lĂšves de l’EPSTA auront un pied Ă  Garidi pour leurs cours et un autre Ă  Bab El-Oued pour les travaux pratiques.  

En grĂšve depuis prĂšs de deux mois, les Ă©lĂšves de l’École prĂ©paratoire science et technique ont finalement arrĂȘtĂ© leur mouvement. PrĂ©cision de taille : c’est Ă  l’École nationale supĂ©rieure des travaux publics que les Ă©tudiants de premiĂšre annĂ©e ont repris, voire commencĂ©, leurs cours. 
En effet, le transfert vers une nouvelle structure, pour lequel la tutelle s’est engagĂ©e, est effectif depuis dimanche dernier. 
Au moment oĂč tous les Ă©tudiants sont en vacances, ceux de l’École prĂ©paratoire science et technique (EPSTA) sont contraints de sacrifier une semaine de vacances pour se familiariser avec les nouveaux lieux. 
Une semaine d’initiation pour se changer les idĂ©es et s’initier aux Ă©tudes au sein d’une vĂ©ritable Ă©cole et non dans un lycĂ©e car, faut-il le rappeler, l’EPSTA est domiciliĂ©e au lycĂ©e Émir-Abdelkader Ă  Bab El Oued. Le fait d’ĂȘtre dans un lycĂ©e est l’une des nombreuses raisons qui ont poussĂ© les Ă©lĂšves Ă  la contestation. Cependant, cette valorisation tant rĂ©clamĂ©e ne sera que de courte durĂ©e puisque le transfert n’est que provisoire. 
“Le transfert a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© par la tutelle en rĂ©ponse Ă  la volontĂ© des Ă©lĂšves et leurs parents”, nous dit-on au niveau de la direction de l’école. Et d’ajouter que “ce transfert est momentanĂ©. C’est pour achever l’annĂ©e en cours. L’an prochain, l’école ouvrira ses portes au niveau du lycĂ©e Émir”. 
Les enseignants de l’EPSTA n’étaient pas trĂšs emballĂ©s de cette dĂ©cision de la tutelle. “Ce n’est pas le transfert qui va rĂ©gler le problĂšme. L’école dispose de tous les moyens pour des Ă©tudes de qualitĂ©. Le seul inconvĂ©nient est la restauration du lycĂ©e dont les travaux ne sont pas achevĂ©s”, arguent-ils. Et de prĂ©ciser que l’École nationale supĂ©rieure des travaux publics ne dispose pas de certains moyens pĂ©dagogiques tels les labos de chimie. Ce qui est vrai puisque, selon la direction, “les Ă©lĂšves feront leurs cours Ă  l’ENSTP et les TP dans les labos de l’EPSTA Ă  Bab El Oued”.  
Autrement dit, ils auront un pied Ă  Garidi et un autre Ă  Bab El Oued et seront incapables de suivre le rythme accĂ©lĂ©rĂ© que la direction a programmĂ© en vue de rattraper le long retard causĂ© par la grĂšve. Pour la premiĂšre journĂ©e des Ă©lĂšves dans leur “nouvelle” Ă©cole, il semblerait qu’elle ne fut pas Ă  la hauteur de leurs attentes. “Il y a des Ă©lĂšves qui n’ont pas eu cours car leurs enseignants Ă©taient absents”, nous dit un Ă©tudiant. 
La plupart d’entre eux ne comprennent pas pourquoi l’administration a eu recours Ă  la surcharge des sections qui comptent dĂ©sormais environ 100 Ă©lĂšves alors qu’auparavant elles ne dĂ©passaient pas la quarantaine. “Les Ă©lĂšves comptent patienter jusqu’à la reprise aprĂšs les vacances pour se dĂ©cider.” 
Un transfert provisoire des classes de premiĂšre annĂ©e uniquement vers une structure qui manque de moyens pĂ©dagogiques, sans le renforcement du corps enseignant, principale revendication des Ă©lĂšves, peut laisser croire qu’en prenant cette dĂ©cision, la tutelle voulait plutĂŽt en finir avec un des nombreux fronts de contestation de son secteur.    

 


Edition du Mardi 22 Mars 2011

Actualité

Un excédent commercial de 3,93 milliards de dollars
L’AlgĂ©rie l’a rĂ©alisĂ© en janvier-fĂ©vrier 2011

Par : Hafida Ameyar 


L'AlgĂ©rie a rĂ©alisĂ© un excĂ©dent commercial de 3,93 milliards de dollars (soit 2,77 milliards d'euros) en janvier et fĂ©vrier de cette annĂ©e. Ce rĂ©sultat, annoncĂ© hier par les responsables des Douanes, est en hausse de 36,09% par rapport Ă  la mĂȘme pĂ©riode de 2010. Quant aux exportations, essentiellement des hydrocarbures (98%), elles ont atteint 10,47 milliards de dollars (7,3 milliards d’euros) durant les deux premiers mois de l'annĂ©e, d’aprĂšs le Centre national de l'informatique et des statistiques des douanes (Cnis). Ce dernier a en outre informĂ© que l’annĂ©e passĂ©e, Ă  la mĂȘme pĂ©riode, les exportations Ă©taient de l’ordre de 9,28 milliards de dollars, soit une hausse de 12,75%. Pour ce qui est des importations, elles sont estimĂ©es Ă  6,54 milliards de dollars (4,62 milliards d’euros) contre 6,4 milliards de dollars, pour les mĂȘmes pĂ©riodes, en hausse de 2,22%, a encore rĂ©vĂ©lĂ© le Cnis.


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22/03/2011
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