Edition du Mercredi 06 Avril 2011

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LE RADAR

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Edition du Mercredi 06 Avril 2011



Au-delĂ  d’ĂȘtre une ingĂ©rence dans le fonctionnement du Parlement, les propos de Daho Ould Kablia, qui sonnent presque comme une mise en garde aux membres de la commission des affaires administratives de l’AssemblĂ©e, tĂ©moignent, Ă  l’évidence, de l’état d’esprit du pouvoir, plus que jamais rĂ©tif Ă  tout changement politique.


Le ministre de l’IntĂ©rieur a-t-il commis un gros impair en affirmant lundi qu’il n’accepterait pas les amendements des dĂ©putĂ©s, au projet de code communal, qui remettraient en cause l’équilibre des pouvoirs ? En tout cas, par cette dĂ©claration, il vient de tordre le cou Ă  la sacro-sainte rĂšgle de sĂ©paration des pouvoirs, inventĂ©e au 17e siĂšcle par Montesquieu, et nĂ©anmoins inscrite dans la Constitution algĂ©rienne, en vertu de laquelle le Parlement est souverain dans ses dĂ©cisions. Une souverainetĂ© de façade en AlgĂ©rie, mais qui a le mĂ©rite, jusque-lĂ , de sauver les formes face Ă  l’omnipotence de l’ExĂ©cutif.
Les dĂ©putĂ©s, qu’on a vus pendant les dĂ©bats faire assaut d’arguments et dĂ©fendre leurs amendements avec la derniĂšre des Ă©nergies, sont censĂ©s aller au bout de leur dĂ©marche pour ĂȘtre cohĂ©rents avec eux-mĂȘmes. Quitte Ă  engager pour une fois l’épreuve de force avec le ministre de l’IntĂ©rieur, qui leur donne lĂ , d’ailleurs, une occasion en or de se racheter de leur compromission, surtout que les lĂ©gislatives de 2012 s’approchent Ă  grands pas. Nos dĂ©putĂ©s sont-ils capables d’une telle audace ? À moins d’un miracle, la rĂ©ponse est “non”. Car on les voit mal se rebiffer en fin de mandat (Ă  l’exception de certains dĂ©putĂ©s de l’opposition), alors que, depuis quatre ans, ils ont acceptĂ© d’avaler toutes les couleuvres, en Ă©change d’un statut de notables.
Mais, au-delĂ  d’ĂȘtre une ingĂ©rence dans le fonctionnement du Parlement, les propos de Daho Ould Kablia, qui sonnent presque comme une mise en garde aux membres de la commission des affaires administratives de l’assemblĂ©e, tĂ©moignent, Ă  l’évidence, de l’état d’esprit du pouvoir, plus que jamais rĂ©tif Ă  tout changement politique. Ahmed Ouyahia, lors de son passage Ă  la tĂ©lĂ© mercredi dernier, avait bien dit que l’AlgĂ©rie ne vivait pas de crise politique. Juste une poussĂ©e de fiĂšvre sociale bĂ©nigne Ă  faire retomber par injection de milliards de dinars.
En vĂ©ritĂ©, ce projet de code communal, coulĂ© dans le moule du pur centralisme bureaucratique, qui jure avec le pluralisme politique et qui fait du maire, au mieux, un secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral bis, n’est, en dĂ©finitive, que le rĂ©vĂ©lateur du souci morbide de ce pouvoir de jouer Ă  fond les prolongations. Mais gare Ă  la mort subite !

O. O.


www.liberte-algerie.com

 


Edition du Mercredi 06 Avril 2011

Chronique

Ould Kablia et le progrÚs démocratique
 

Le ministre de l’IntĂ©rieur ne fait pas dans la dentelle en matiĂšre de sĂ©paration des pouvoirs. Par candeur ou par toupet, il nous fait clairement part de son intention de censurer Ă  la source les propositions d’amendements que la commission des affaires juridiques et administratives aura synthĂ©tisĂ©es au sujet de la mouture gouvernementale du projet de rĂ©vision du code communal. “Nous allons voir, avec elle, ce qui doit ĂȘtre acceptĂ© et ce qui ne le sera pas”, a simplement dit Daho Ould Kablia. 
Les dĂ©putĂ©s pourront se faire plaisir en propositions d’amendements en faveur des Ă©lus locaux, le ministre, lĂ©gislateur ultime en la matiĂšre, sera lĂ  pour faire le tri de ce qui est acceptable et de ce qui ne l’est pas. Ould Kablia s’engage Ă  veiller en particulier Ă  ce que soient retirĂ©s “les amendements qui touchent Ă  l’équilibre du pouvoir entre l'État et la collectivitĂ©â€. Rien de surprenant, bien sĂ»r, dans le fait que la “reprĂ©sentation nationale” n’ait droit qu’à d’éventuels amendements de forme et de se conformer Ă  l’orientation de l’ExĂ©cutif qui, seul, traduit la rĂ©elle volontĂ© politique. Ce qui surprend quelque peu, c’est la franchise avec laquelle cette prĂ©potence du pouvoir exĂ©cutif, comme expression du pouvoir rĂ©el et total, s’énonce, parfois de si franche maniĂšre, Ă©talant devant l’opinion le caractĂšre superfĂ©tatoire du Parlement et rappelant aux dĂ©putĂ©s, dans notre cas, l’usage ustensilaire que le pouvoir fait de leur institution.
Le ministre de l’IntĂ©rieur semble s’ĂȘtre rendu Ă  l’AssemblĂ©e pour contrebalancer l’effet Ă©ventuel de la pression des Ă©lus locaux, et des maires en particulier, qui exhibaient la menace de massives dĂ©missions au cas oĂč le code communal rĂ©visĂ© ne leur conviendrait pas. Au demeurant, dans leur requĂȘte, les Ă©lus “locaux” ne s’adressaient pas aux Ă©lus “nationaux”, sachant les limites partagĂ©es du pouvoir des institutions Ă©ligibles et dĂ©libĂ©rantes. Ils n’ont pas demandĂ© de plus amples prĂ©rogatives, bien qu’ils se plaignent de leur caractĂšre restreint ; ils ont demandĂ©, comme leurs homologues nationaux, de plus consistantes indemnitĂ©s et une
 immunitĂ©.
Ce qui est comprĂ©hensible, quand on sait le nombre d’élus locaux emprisonnĂ©s. Le privilĂšge Ă©tant plus accessible que la prĂ©rogative, le dialogue indirect n’a pas trop portĂ© sur le contenu des fonctions dĂ©libĂ©ratives et exĂ©cutives locales.
C’est dans cet Ă©tat d’esprit, explicitement exposĂ© par son ministre de l’IntĂ©rieur, que le pouvoir s’apprĂȘte Ă  concevoir une nouvelle rĂ©vision constitutionnelle. Les prĂ©cautions dĂ©jĂ  prises pour maintenir les rapports de pouvoir entre le central et le local, entre le cooptĂ© et l’élu, vient nous rappeler l’impossible autorĂ©forme d’un systĂšme par essence tendu vers l’attraction du total pouvoir vers le sommet de l’ExĂ©cutif. On peut donc prĂ©dire, sans risque de se tromper, que les “rĂ©formes” annoncĂ©es ne seront qu’un cocktail de subterfuges visant Ă  retricoter les mailles de la nasse politique dont le pouvoir enserre la volontĂ© populaire.
Ce qui est proposĂ©, c’est que, pour Ă©viter une Ă©ventuelle rĂ©volution tapageuse, une Ă©volution dĂ©mocratique conçue et servie par Bouteflika avec la contribution de dĂ©mocrates, comme Belkhadem, Ouyahia ou Ziari. Un des acteurs du sĂ©rail restreint, Ould Kablia en l’occurrence, vient de nous en donner, lĂ , l’avant-goĂ»t.

M. H.www.liberte-algerie.com



Dilem du Mercredi 06 Avril 2011 | Vu 158 fois

 

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Edition du Mercredi 06 Avril 2011


Les universités et écoles, qui ont entamé le dernier semestre, se comptent sur le bout des doigts.
Nous citerons, entre autres, l’USTHB, l’ENS de BouzarĂ©ah, l’école polytechnique et celle d’agronomie.
Le reste, c’est la paralysie totale soit en raison de la grùve, soit à cause des AG qui se terminent.

Quatre jours aprĂšs le retour des vacances, les campus sont toujours en Ă©bullition et le dernier semestre n’est toujours pas entamĂ©. Dans l’espoir de faire baisser la pression, les administrations des diffĂ©rents Ă©tablissements du supĂ©rieur sont allĂ©s jusqu’à menacer de permettre aux enseignants d’entamer les cours avec les opposants au dĂ©brayage. Mais rien n’y fit.
Pour l’heure, c’est la grande pagaille dans les universitĂ©s et les grandes Ă©coles. Cependant, si la paralysie des universitĂ©s est due au maintien de la grĂšve, celle de la plupart des grandes Ă©coles est liĂ©e Ă  la division et Ă  l’indĂ©cision des Ă©tudiants par rapport au maintien ou Ă  l’arrĂȘt du dĂ©brayage. En effet, les dĂ©lĂ©guĂ©s des grandes Ă©coles ne savent plus oĂč donner de la tĂȘte.
Les opinions et les justificatifs divergent à telle enseigne que les assemblées qui se tiennent quotidiennement ont lieu dans une ambiance électrique et finissent dans la cacophonie.
Les grandes Ă©coles (exception faite pour l’agronomie et polytechnique qui avaient repris avant les vacances), qui n’ont eu aucune difficultĂ© Ă  faire front commun face Ă  la tutelle et lancer des actions de protestation de grande envergure durant deux longs mois, faisant mĂȘme incliner le dĂ©partement de Harraoubia, ont du mal aujourd’hui Ă  trouver un consensus. Entre opposants et partisans de la poursuite de la grĂšve, les dĂ©lĂ©guĂ©s ont du mal Ă  dĂ©partager les deux et Ă  en convaincre une majoritĂ©. Pourtant, tous les moyens ont Ă©tĂ© utilisĂ©s pour tenter de trouver un compromis. Du dialogue Ă  la concertation en passant par le vote Ă  main levĂ©e
 Les Ă©tudiants de l’école nationale supĂ©rieure des travaux publics de Garidi (Alger) sont allĂ©s jusqu’à inventer un nouveau mode de scrutin, Ă  savoir distinguer deux emplacements au niveau de l’amphithĂ©Ăątre : un cĂŽtĂ© pour les opposants Ă  la grĂšve et un autre pour les partisans.
Mais mĂȘme ceci n’a pu rĂ©pondre clairement Ă  la grande question : pour ou contre la grĂšve ? L’imbroglio Ă©tait total et le dĂ©lĂ©guĂ© de l’école nationale supĂ©rieure des travaux publics n’avait d’autre choix que “de remercier et de s’excuser auprĂšs de ses camarades” d’avoir Ă©tĂ© contraint de rendre le tablier. “Nous nous sommes mobilisĂ©s pendant deux mois pour rĂ©ussir le mouvement, chose faite d’ailleurs, mais aujourd’hui la pression est trop grande. ça me dĂ©passe”, avoue Abou Bakr. Voulant couper la pomme en deux, le mĂȘme dĂ©lĂ©guĂ© avait proposĂ© Ă  ses camarades de l’Enstp et des autres Ă©coles de reprendre les cours tout en poursuivant la protestation pendant une ou deux journĂ©es par semaine. Cette proposition n’a, cependant, pas fait l’unanimitĂ© lors des diffĂ©rentes assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales des grandes Ă©coles car les Ă©tudiants sont scindĂ©s en deux groupes.
Le premier, qui craint le spectre de l’annĂ©e blanche, prĂ©fĂšre renoncer au combat pour sauver son cursus universitaire, notamment les Ă©tudiants en derniĂšre annĂ©e qui doivent prĂ©senter des projets de fin d’études, et le second qui prĂ©fĂšre sauver son avenir et sa future carriĂšre quitte Ă  ce que le prix soit une annĂ©e d’études.
Les deux positions s’affrontent depuis dimanche et, selon certains dĂ©lĂ©guĂ©s, les partisans de la poursuite de la protestation sont majoritaires. En tout Ă©tat de cause, grĂšve ou pas, les cours n’ont toujours pas lieu. Les Ă©tudiants en 5e annĂ©e de l’Enstp et les partisans de l’arrĂȘt du dĂ©brayage ont repris hier.

MALIKA BEN 


 
 


Edition du Mercredi 06 Avril 2011

Actualité

Les non-dits d’une visite
Le président Bouteflika à Tamanrasset

Par : Azzeddine Bensouiah


C’est Ă  midi et 40 minutes que le prĂ©sident Bouteflika est arrivĂ© Ă  la place Illamane pour donner le coup de starter symbolique Ă  l’arrivĂ©e de l’eau puisĂ©e d’In Salah vers la capitale de l’Ahaggar.

Les deux cents mĂštres que devait effectuer le chef de l’état Ă  pied devant les camĂ©ras de l’Entv pour prouver que sa popularitĂ© Ă©tait toujours intacte ont Ă©tĂ© remplis, avant neuf heures, essentiellement par des Ă©coliers, des lycĂ©ens et des enfants, dont beaucoup Ă©taient pieds nus. Le baroud et les troupes folkloriques ont fait le reste. Le prĂ©sident Bouteflika ne fera aucune dĂ©claration, juste des inaugurations, notamment celle du “projet du siĂšcle” devant alimenter Tamanrasset en eau potable, et le pĂŽle urbain d’Adrian, ainsi que le tronçon de la Transsaharienne entre Tamanrasset et In Guezzam. MĂȘme si l’arrivĂ©e de l’eau Ă  Tamanrasset devrait mettre fin au calvaire de ses habitants, la noria de camions-citernes qui vendent l’eau aux citoyens poursuit son travail, sachant que beaucoup de quartiers de la ville devraient prendre leur mal en patience, le temps qu’on rĂ©alise le rĂ©seau d’AEP. Toujours est-il que le projet est prĂ©sentĂ© comme Ă©tant grandiose (1 300 kilomĂštres de canalisations) qui, de plus, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© dans les dĂ©lais (trois ans), contrairement Ă  l’autre projet du siĂšcle, qu’est l’autoroute Est-Ouest, qui traĂźne toujours et dont les coĂ»ts sont constamment revus Ă  la hausse. La venue du prĂ©sident Bouteflika s’inscrit dans le cadre de sa riposte aux partisans du changement et une sorte de rĂ©ponse Ă  tous ceux qui estiment que rien ne va dans le pays. Une sortie qui devrait ĂȘtre suivie par d’autres. L’on Ă©voque celle devant le mener Ă  Tlemcen pour l’ouverture de la manifestation “Tlemcen, capitale de la culture islamique”, mais aussi Alger oĂč il devrait donner le coup d’envoi au premier tronçon du tramway. Mais, contrairement Ă  ce qui Ă©tait attendu, le chef de l’état ne prononcera aucun mot Ă  partir de Tamanrasset et laissera le soin Ă  son ministre de l’IntĂ©rieur de louer les efforts consentis par l’état en faveur de la wilaya de Tamanrasset en particulier, et du Sud en gĂ©nĂ©ral. Les citoyens venus, avec leurs lettres de dolĂ©ances, attendre l’arrivĂ©e du PrĂ©sident, repartiront déçus.
Le prĂ©sident de la RĂ©publique, comme Ă  son habitude, a dĂ©cidĂ© d’octroyer une rallonge budgĂ©taire au profit de la wilaya de Tamanrasset, Ă  l’issue de sa visite et dont le montant s’élĂšve Ă  16 milliards de dinars, pour une soixantaine de projets proposĂ©s par les responsables locaux, une prioritĂ© sera donnĂ©e Ă  la crĂ©ation de nouveaux villages tout le long de la RN1, entre In Salah et Tamanrasset, surtout dans la zone d’Arak, oĂč une piste d’atterrissage est prĂ©vue. Dans une confĂ©rence de presse organisĂ©e Ă  l’issue de la visite, le ministre de l’IntĂ©rieur a reconnu que la wilaya de Tamanrasset, tout comme le Sud en gĂ©nĂ©ral, connaĂźt d’énormes retards en matiĂšre de dĂ©veloppement. C’est pour quoi il prĂ©conise “une certaine prioritĂ© ou une prioritĂ© certaine” Ă  cette rĂ©gion.MĂȘme s’il affirme que sa visite Ă  Tamanrasset ne concerne pas l’aspect sĂ©curitaire, Dahou Ould Kablia, qui se dĂ©place aujourd’hui Ă  In Guezzam, y rencontrera les notables de la rĂ©gion pour les sensibiliser sur la nĂ©cessitĂ© de s’impliquer dans la sĂ©curitĂ© de la rĂ©gion, du moins Ă  travers leurs liens avec les populations des pays voisins et des renseignements dont ils disposeraient. Le ministre est revenu sur sa trĂšs controversĂ©e rencontre avec des notables du Sud Ă  Alger. “Je suis libre de rencontrer qui je veux. J’ai reçu des reprĂ©sentants du Sahara et pas seulement les reprĂ©sentants des Touaregs. Ce n’est pas Ă  moi de dĂ©signer l’Amenokal des Touaregs.” Il fera remarquer qu’il sera le premier ministre de l’IntĂ©rieur Ă  visiter In Guezzam et Debdeb. Ceci dit, le ministre de l’IntĂ©rieur insiste sur la vigilance des citoyens des zones frontaliĂšres : “Ce qui se passe chez nos voisins nous prĂ©occupe. On ne se mĂȘle pas de leurs affaires, mais lorsque les troupes libyennes basĂ©es le long des frontiĂšres ont dĂ©sertĂ© leurs positions, des terroristes essayent de s’introduire, avec des armes, profitant de la situation
 Lorsque nos intĂ©rĂȘts sont menacĂ©s, il faut qu’on se prĂ©pare Ă  y faire face.”

A. B.


www.liberte-algerie.com


 

 

Par : M. R.
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06/04/2011
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