Edition du Mercredi 06 Juillet 2011
La 32 Légère secousse tellurique à l’est d’Alger
L’épicentre localisé près de Aïn Taya
Par : Rédaction de Liberte
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Un tremblement de terre d'une magnitude de 3,3 degrés sur l'échelle ouverte de Richter s'est produit hier à 16h49 locales (15h49 GMT) non loin d'Alger, a annoncé le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). |
LE RADAR
Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Par : Rubrique Radar
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Dilem du Mercredi 06 Juillet 2011 | Vu 190 fois
Chronique Jeunesse, histoire et système
Par : Mustapha Hammouche
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L’éditorial de notre confrère El Moudjahid appelait, hier, à l’occasion du quarante-neuvième anniversaire de l’Indépendance, à accélérer l’écriture de l’Histoire pour que les jeunes, forcément tous nés après 1962, puissent s’y référer et prendre de la graine de la génération de Novembre. |
www.liberte-algerie.com
Editorial La main invisible
Par : Omar Ouali
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L’impact psychologique de cette attaque est immense et vient épaissir le climat d’insécurité qui sévit dans la région où l’enchaînement d’embuscades, de descentes et autres attaques terroristes fait quasiment partie du train ordinaire |
Actualité
Par : Salim Koudil
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Par : A. Allia
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Par : K. Tighilt
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Par : K. K.
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Par : Arab CHIH
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Par : FARID BELGACEM
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Actualité Mohamed Gharbi libéré
La mobilisation citoyenne a fini par payer
Par : Salim Koudil
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La fin du calvaire de l’ancien maquisard est aussi la victoire d’une mobilisation citoyenne impressionnante.
Créé le 13 septembre 2010, le collectif LMG (Libérez Mohamed Gharbi) a été sur tous les fronts. Après 10 ans d’emprisonnement, Mohamed Gharbi, 75 ans, est libre. L’ancien maquisard, devenu Patriote dans les années 1990, avait été arrêté en février 2001 pour le meurtre d’un repenti de l’AIS, à Souk-Ahras, à 615 kilomètres à l’est d’Alger. Un acte qui lui a valu d’être condamné en 2004 à 20 ans de réclusion, avant de voir sa peine aggravée, dans un procès en appel en juin 2009 à une peine de mort. Toutefois, Mohamed Gharbi a obtenu, en décembre dernier, une grâce présidentielle et sa peine a été commuée à 20 ans de réclusion. Contacté par Liberté, son fils, Mourad, ne cachait pas sa joie. “C’est vraiment une excellente nouvelle qui nous fait plaisir à nous tous. Enfin, le cauchemar est terminé”, s’est-il réjoui. Peu bavard, il se contentera de nous préciser que son père n’allait pas rentrer directement chez lui. “Il ne viendra pas à Souk-Ahras, il est en route pour Alger”, dit-il, sans plus de précisions. La discrétion de Mourad s’explique par des raisons évidentes de sécurité, peut-être aussi par la crainte de la famille de voir le père assailli par les journalistes, surtout qu’il est très fatigué. Faut-il rappeler qu’il est très malade. La fin du calvaire de l’ancien maquisard est aussi la victoire d’une mobilisation citoyenne impressionnante. Créé le 13 septembre 2010, le collectif LMG (Libérez Mohamed Gharbi) a été sur tous les fronts. Plusieurs manifestations ont d’ailleurs été organisées depuis plusieurs mois. Que ce soit à Souk-Ahras, à Alger, et même à Paris, le collectif n’a pas cessé de demander la libération de celui qui est désormais identifié à ces deux initiales : MG. C’est cette mobilisation citoyenne qui avait permis de “transformer” la peine de mort en une condamnation à 20 ans de réclusion, alors que le 22 juillet 2010, la Cour suprême confirmait la peine de mort en rejetant le pourvoi de la défense. Les jeunes de LMG étaient hier aux anges. Khaled Babaci, 26 ans, membre fondateur, avait beaucoup de mal à formuler ces phrases quand Liberté l’a contacté. “Gharbi est libre et nous avec lui parce que c’est la fin d’une aventure pénible pour tous et qui a été pour nous tous une expérience humaine inoubliable”. Reprenant son souffle, il a insisté à lancer un message : “On a surtout donné un exemple pour que tous les jeunes Algériens arrêtent d’être défaitistes et qu’ils puissent croire en leur capacité de mobilisation sur tout ce qui se passe dans le pays”. Amine Menadi, 29 ans, qui se définit lui-même comme “sympathisant de LMG depuis 2010 et militant engagé depuis janvier 2011”, était tout autant excité. “Pour la première fois de l’histoire de l’Algérie indépendante, des jeunes de l’ère post-indépendance ont eu l’occasion de renvoyer l’ascenseur à ceux qui ont libéré le pays”. Il nous précisa qu’il avait eu vent de la “grande nouvelle” grâce à la famille Gharbi. “Son fils a reçu un appel de la part du directeur de la prison de Babar à Khenchela, qui lui a demandé de passer prendre son père en gardant l’information secrète pour des raisons de sécurité”. |
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