Edition du Mercredi 13 Octobre 2010

 
 
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LE RADAR
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Plusieurs associations françaises militant contre l’oubli des crimes commis par la France coloniale ont lancĂ©, hier, un appel pour un rassemblement le 17 octobre Ă  la place Saint-Michel Ă  Paris


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Les laboratoires LAD-Pharma assurent avoir pris en charge des diabĂ©tiques souffrant du pied au niveau d’un hĂŽpital (dont le nom n’est pas citĂ©) qui ne disposait pas du mĂ©dicament Heberprot-P


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Lors de la cĂ©rĂ©monie d’accueil organisĂ©e en son honneur dimanche dernier au siĂšge de l’APW, Mme Nouria Yamina Zerhouni s’est exprimĂ©e devant une assistance nombreuse composĂ©e des cadres civils et militaires de la wilaya


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AnnoncĂ©es par le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi, il y a quelques semaines, les mesures et facilitations Ă  l’accĂšs Ă  la connexion ADSL


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L’AlgĂ©rie participera par un pavillon national au Salon international de l’alimentation qui s’ouvrira Ă  Paris le 17 octobre.


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Un juge d'instruction parisien a perquisitionné cet été le siÚge de la Dgse, les services secrets français, afin de saisir des dossiers d'archives relatifs à l'enlÚvement de l'opposant marocain


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Selon des informations fiables, en provenance de Tolga, les producteurs de dattes de la rĂ©gion de Biskra, Tolga, El-Oued et mĂȘme Touggourt, la campagne de cueillette de dattes Deglet Nour


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Une quinzaine de centres de cure de désintoxication destinés aux toxicomanes seront réalisés d'ici à la fin 2011, selon le ministÚre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitaliÚre.


Edition du Mercredi 13 Octobre 2010

RADAR

Lorsque la PCH boude un opérateur national
MĂ©dicament contre l’ulcĂšre du pied diabĂ©tique

Les laboratoires LAD-Pharma assurent avoir pris en charge des diabĂ©tiques souffrant du pied au niveau d’un hĂŽpital (dont le nom n’est pas citĂ©) qui ne disposait pas du mĂ©dicament Heberprot-P. Ce mĂ©dicament, indispensable pour le traitement de l’ulcĂšre du pied diabĂ©tique, demeure, selon le laboratoire, introuvable au niveau des hĂŽpitaux alors que LAD-Pharma affirme qu’il est disponible dans ses stocks.
Cette situation nous pousse Ă  nous poser une question : qu’est-ce qui empĂȘche les structures hospitaliĂšres de s’approvisionner en mĂ©dicaments dont ont besoin les malades malgrĂ© le fait que le produit existe et en stock suffisant chez un opĂ©rateur national ?


Dilem du Mercredi 13 Octobre 2010 | Vu 1887 fois
 
Actualité
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Sur les 20 concessionnaires qui forment l’AC2A, seuls 5 voient leur croissance Ă©voluer vers le haut, tous les autres ont rĂ©gressĂ©, a fait savoir le prĂ©sident de l’association.

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L’Agence nationale d’intermĂ©diation et de rĂ©gulation fonciĂšre (Aniref) a concĂ©dĂ© 5 actifs situĂ©s, entre autres, dans les zones industrielles de Oued Smar et d’El-Harrach, totalisant 41 847 mĂštres carrĂ©s de terrain lors de l’opĂ©ration d’adjudication aux enchĂšres publiques rĂ©alisĂ©e, avant-hier


Par : SmaÏl BOUDECHICHE
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 On apprend, de source proche de milieux cĂ©rĂ©aliers, que les mesures de restriction des quotas d’approvisionnement en blĂ©, ayant touchĂ© ces derniers mois des transformateurs


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“Pour l’AlgĂ©rie, il est reconnu que la majoritĂ© des flux emprunte les canaux informels et, de ce fait, les statistiques officielles ne reprĂ©sentent qu’une petite part du total des flux”, relĂšve un document publiĂ© par Invest in Med, sur “les attentes des migrants en matiĂšre de transferts d’argent dans la zone euromĂ©diterranĂ©enne.”

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Par : MALIKA BEN
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La session criminelle du tribunal prĂšs la cour d’Alger, ouverte officiellement le 10 octobre dernier, a entamĂ© son planning par une affaire qui avait dĂ©frayĂ© la chronique au dĂ©but de l’an 2000.


Par : B. Badis
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Alors que le verdict du procĂšs intentĂ© par le mouhafadh FLN d’Annaba contre une centaine de militants Ă©tait trĂšs attendu,  hier aprĂšs-midi, le tribunal, aprĂšs dĂ©libĂ©ration, s'est dĂ©clarĂ© incompĂ©tent dans cette affaire et renvoie les deux parties dos Ă  dos.

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Par : Madjid T
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Un atelier de fabrication de bombes et plus de 14 casemates ont Ă©tĂ© dĂ©couverts ces derniers jours par les forces de  sĂ©curitĂ© au lieu-dit Laouatite, dans les maquis de Khemis El-Khechna


Par : MaĂąlem Hafid
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 5 personnes, dont le directeur de wilaya des travaux publics, Chibane Abdelmadjid (53ans), ont trouvĂ© la mort, hier matin, dans un attentat Ă  la bombe, dans la rĂ©gion d’Oum El-Kamakem


Par : O. GhilĂšs
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Il y a quatre ans, jour pour jour, tombait sous les balles des terroristes l'ex-prĂ©sident de l’APW de Tizi Ouzou, Rabah AĂŻssat, sur une terrasse de cafĂ© Ă  AĂŻn Zaouia


Par : Merzak Tigrine
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L’affaire du gaz entre Sonatrach et Gas Natural n’a eu, contrairement Ă  certaines affirmations, aucune incidence sur les relations algĂ©ro-espagnoles


Edition du Mercredi 13 Octobre 2010
ATTENTAT PRÈS DE TÉBESSA
Trois cadres et deux entrepreneurs assassinés
Par : MaĂąlem Hafid
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 5 personnes, dont le directeur de wilaya des travaux publics, Chibane Abdelmadjid (53ans), ont trouvĂ© la mort, hier matin, dans un attentat Ă  la bombe, dans la rĂ©gion d’Oum El-Kamakem, relevant de la commune de T’lidjen Ă  environ 50 km au sud-ouest de la wilaya de TĂ©bessa. L’attentat a eu lieu dans la matinĂ©e au moment oĂč le directeur des travaux publics, accompagnĂ© de deux cadres de la direction, Bouachi Mourad (46 ans) et Sari Zine (37 ans) ainsi que de deux entrepreneurs, effectuait une mission de contrĂŽle des chantiers lancĂ©s depuis quelques semaines dans la rĂ©gion. La bombe a explosĂ© au passage du vĂ©hicule qui transportait l’équipe.
Bilan : 5 morts et 1 blessĂ©. L’engin a Ă©tĂ© actionnĂ© Ă  distance, selon des sources concordantes, par les terroristes, probablement renseignĂ©s sur l’itinĂ©raire de leurs victimes. Ces victimes dont les corps ont Ă©tĂ© complĂštement dĂ©chiquetĂ©s en raison de la force de la dĂ©flagration ont Ă©tĂ© transportĂ©es Ă  la morgue de l’hĂŽpital Mohamed-Chebouki de ChrĂ©a. Si l’identitĂ© du premier entrepreneur est en cours, le second est Belabess Mohamed-Seghir. Quant au chauffeur, Guellil Khemici, il a Ă©tĂ© blessĂ© et ses jours ne sont pas en danger. Rappelons, enfin, que le directeur des travaux publics, victime de l’attentat, venait tout juste d’ĂȘtre installĂ© dans ses nouvelles fonctions dans la wilaya de TĂ©bessa.


Edition du Mercredi 13 Octobre 2010

Sport (Mercredi 13 Octobre 2010)
Il parle de la déroute des verts contre la république centrafricaine
SaĂądane : “Il s’est forcĂ©ment passĂ© quelque chose
”
Par : Samir Lamari
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InvitĂ© lundi soir de la chaĂźne Nessma TV, l’ex-coach national, Rabah SaĂądane, a indiquĂ© que “le comportement des joueurs contre la RĂ©publique centrafricaine nous laisse tous perplexes”. “Je n’ai pas vu le match dans la mesure oĂč dimanche j’étais dĂ©jĂ  en Tunisie, mais selon les Ă©chos que j’ai eus, l’équipe est passĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de son sujet. Personnellement, je suis perplexe car je m’attendais plutĂŽt Ă  ce que la forme des joueurs soit meilleure par apport Ă  la premiĂšre rencontre contre la Tanzanie. Ă  partir de lĂ , il y a lieu effectivement de se poser des questions. Ă  mon sens, il a dĂ» se passer quelque chose avant le match. Je ne peux pas rĂ©pondre Ă  cette question car je ne suis plus dans l’équipe, mais il faut analyser objectivement les raisons de cette dĂ©faite. Il faut chercher Ă  savoir exactement ce qui s’est passĂ©. est-ce que le stage de prĂ©paration pour cette rencontre a Ă©tĂ© bien menĂ© ? Est-ce que les joueurs ont Ă©tĂ© bien prĂ©parĂ©s psychologiquement ?” s’interroge-t-il. Et d’ajouter : “L’entraĂźneur n’a-t-il pas Ă©tĂ© obligĂ© finalement de changer de tactique de jeu, vu qu’il a subi une grande pression, pour mettre fin Ă  celle qui existait auparavant.” SaĂądane fait allusion au fameux 3-5-2 utilsĂ© sous son rĂšgne. Une option tactique qui, selon SaĂądane, “permettait de colmater les brĂšches laissĂ©es par Belhadj”. “J’apprends que les deux buts centrafricains sont venus du cĂŽtĂ© droit oĂč Ă©volue Belhadj, or tout le monde sait que Belhadj est faible dĂ©fensivement. Il lui faut une couverture et c’est pour cela que j’avais adoptĂ© le 3-5-2, avec le trio Bougherra, Halliche et Antar et un milieu de terrain chargĂ© de couvrir ce flanc droit”, fait-il remarquer. Pour SaĂądane, “l’absence de Halliche a dĂ» peser beaucoup sur la balance”. En outre, SaĂądane a averti que “cette dĂ©faite peut faire trĂšs mal Ă  l’équipe si elle n’est pas analysĂ©e objectivement, loin de toute passion”. “Il faut calmer les esprits et ne pas tirer sur tout ce qui bouge. Il faut chercher comment redresser la barre dans cette Ă©quipe Ă  la veille d’une rencontre capitale contre le Maroc et profiter des deux dates Fifa de novembre et de fĂ©vrier pour bien prĂ©parer l’équipe et lui donner les moyens de se ressaisir”, dit-il. Expliquant la baisse de forme des joueurs, SaĂądane souligne que “le fait d’avoir pris un repos passif (sans plan de prĂ©paration individuel) pendant un mois aprĂšs le Mondial a Ă©tĂ© fatal aux joueurs. contre le Gabon et la Tanzanie, ils sont arrivĂ©s largement diminuĂ©s, ce qui explique le mauvais rendement et donc les faibles performances. Il faut trois Ă  quatre mois pour qu’un joueur puisse revenir Ă  sa forme habituelle, aprĂšs un repos passif d’un mois”. Une analyse qui a donnĂ© l’occasion, du reste pertinente, Ă  l’animateur de l’émission nass sport de poser la question suivante : “Pourquoi alors n’avoir pas utilisĂ© des joueurs de la JSK et de l’ESS qui participaient Ă  la Ligue des champions d’Afrique au lieu de compter sur des joueurs dont vous dites vous-mĂȘme qu’ils n’étaient pas prĂȘts ?” SaĂądane rĂ©pond : “Nous avons pensĂ© Ă  cela au dĂ©but, mais finalement je me suis dit que je ne pouvais pas raisonnablement changer d’équipe du jour au lendemain. et puis, les gens n’auraient pas compris un tel changement surtout si on avait perdu contre la Tanzanie.” Une belle façon pour SaĂądane d’esquiver la question du reste dĂ©jĂ  posĂ©e par la presse nationale bien avant le match contre la Tanzanie, car ce qui Ă©tait demandĂ© Ă  SaĂądane, c’est d’injecter des Ă©lĂ©ments de la JSK et de l’ESS Ă  l’image de Hadj AĂŻssa, Metref, Djabbou, Tedjar et autres Ghezzali et Rial, pour palier des absences et non pas de changer l’équipe complĂštement. Enfin, SaĂądane a rappelĂ© : “je voulais quitter l’EN Ă  la fin de la Coupe du monde, mais les responsables de la fĂ©dĂ©ration m’ont demandĂ© de rester privilĂ©giant la stabilitĂ©.” La suite vous la connaissez !


Edition du Mercredi 13 Octobre 2010

Editorial

L’informel et le blanchiment d’argent

Des rĂ©seaux maffieux, qui se sont constituĂ©s, ont toujours tirĂ© leur Ă©pingle du jeu en maintenant un certain contrĂŽle sur les cercle informel du dinar et de la devise dont certains servent des entreprises multinationales non respectueuses des lois algĂ©riennes au transfert illĂ©gal de capitaux vers l’étranger.

Lorsqu’on sait que le secteur informel absorbe plus de la moitiĂ© de la masse monĂ©taire qui circule en AlgĂ©rie et qu’aucune mesure concrĂšte n’est engagĂ©e pour rĂ©former le systĂšme financier, on ne peut que s’étonner de la persistance du comportement des AlgĂ©riens qui continuent de favoriser les circuits non officiels dans toutes les transactions. Mais avant d’arriver au transfert d’argent Ă  partir de l’étranger, il faut d’abord se poser la question de savoir pourquoi le chĂšque de banque est systĂ©matiquement refusĂ© dans les diverses transactions oĂč l’on favorise en revanche le liquide pour ĂȘtre, bien entendu, plus sĂ»r d’avoir reçu la contrepartie financiĂšre.
Si le systĂšme financier est mis en cause, il n’en reste pas moins que l’attitude des citoyens pousse Ă  perpĂ©tuer ce mode de fonctionnement. Et les vieux rĂ©flexes ont la peau dure. Cette situation, qui semble perdurer, favorise des phĂ©nomĂšnes nouveaux qui menacent sĂ©rieusement aujourd’hui la sĂ©curitĂ© publique. En l’occurrence la grande criminalitĂ©. Le secteur informel est l’un des bastions les plus importants du blanchiment d’argent. Des rĂ©seaux maffieux, qui se sont constituĂ©s, ont toujours tirĂ© leur Ă©pingle du jeu en maintenant un certain contrĂŽle sur le cercle informel du dinar et de la devise dont certains servent des entreprises multinationales non respectueuses des lois algĂ©riennes au transfert illĂ©gal de capitaux vers l’étranger.
C’est dire que l’urgence d’une rĂ©forme du systĂšme financier s’impose. La traçabilitĂ© des opĂ©rations financiĂšres et des diffĂ©rents transferts peut aider Ă  mieux cerner tous ceux qui seraient tentĂ©s par le trafic.
Les autorités algériennes ont pour ainsi dire du pain sur la planche. Le gouvernement a décidé, à partir de mars 2011, que toute transaction dépassant les 500 000 DA doit passer par un chÚque bancaire. La mesure sera-t-elle respectée ?


www.liberte-algerie.com

 
 
 


13/10/2010
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