Edition du Mercredi 13 Octobre 2010
Dilem du Mercredi 13 Octobre 2010 | Vu 1887 fois
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Edition du Mercredi 13 Octobre 2010
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5 personnes, dont le directeur de wilaya des travaux publics, Chibane Abdelmadjid (53ans), ont trouvĂ© la mort, hier matin, dans un attentat Ă la bombe, dans la rĂ©gion dâOum El-Kamakem, relevant de la commune de Tâlidjen Ă environ 50 km au sud-ouest de la wilaya de TĂ©bessa. Lâattentat a eu lieu dans la matinĂ©e au moment oĂč le directeur des travaux publics, accompagnĂ© de deux cadres de la direction, Bouachi Mourad (46 ans) et Sari Zine (37 ans) ainsi que de deux entrepreneurs, effectuait une mission de contrĂŽle des chantiers lancĂ©s depuis quelques semaines dans la rĂ©gion. La bombe a explosĂ© au passage du vĂ©hicule qui transportait lâĂ©quipe.
Bilan : 5 morts et 1 blessĂ©. Lâengin a Ă©tĂ© actionnĂ© Ă distance, selon des sources concordantes, par les terroristes, probablement renseignĂ©s sur lâitinĂ©raire de leurs victimes. Ces victimes dont les corps ont Ă©tĂ© complĂštement dĂ©chiquetĂ©s en raison de la force de la dĂ©flagration ont Ă©tĂ© transportĂ©es Ă la morgue de lâhĂŽpital Mohamed-Chebouki de ChrĂ©a. Si lâidentitĂ© du premier entrepreneur est en cours, le second est Belabess Mohamed-Seghir. Quant au chauffeur, Guellil Khemici, il a Ă©tĂ© blessĂ© et ses jours ne sont pas en danger. Rappelons, enfin, que le directeur des travaux publics, victime de lâattentat, venait tout juste dâĂȘtre installĂ© dans ses nouvelles fonctions dans la wilaya de TĂ©bessa.
Edition du Mercredi 13 Octobre 2010
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InvitĂ© lundi soir de la chaĂźne Nessma TV, lâex-coach national, Rabah SaĂądane, a indiquĂ© que âle comportement des joueurs contre la RĂ©publique centrafricaine nous laisse tous perplexesâ. âJe nâai pas vu le match dans la mesure oĂč dimanche jâĂ©tais dĂ©jĂ en Tunisie, mais selon les Ă©chos que jâai eus, lâĂ©quipe est passĂ©e Ă cĂŽtĂ© de son sujet. Personnellement, je suis perplexe car je mâattendais plutĂŽt Ă ce que la forme des joueurs soit meilleure par apport Ă la premiĂšre rencontre contre la Tanzanie. Ă partir de lĂ , il y a lieu effectivement de se poser des questions. Ă mon sens, il a dĂ» se passer quelque chose avant le match. Je ne peux pas rĂ©pondre Ă cette question car je ne suis plus dans lâĂ©quipe, mais il faut analyser objectivement les raisons de cette dĂ©faite. Il faut chercher Ă savoir exactement ce qui sâest passĂ©. est-ce que le stage de prĂ©paration pour cette rencontre a Ă©tĂ© bien menĂ© ? Est-ce que les joueurs ont Ă©tĂ© bien prĂ©parĂ©s psychologiquement ?â sâinterroge-t-il. Et dâajouter : âLâentraĂźneur nâa-t-il pas Ă©tĂ© obligĂ© finalement de changer de tactique de jeu, vu quâil a subi une grande pression, pour mettre fin Ă celle qui existait auparavant.â SaĂądane fait allusion au fameux 3-5-2 utilsĂ© sous son rĂšgne. Une option tactique qui, selon SaĂądane, âpermettait de colmater les brĂšches laissĂ©es par Belhadjâ. âJâapprends que les deux buts centrafricains sont venus du cĂŽtĂ© droit oĂč Ă©volue Belhadj, or tout le monde sait que Belhadj est faible dĂ©fensivement. Il lui faut une couverture et câest pour cela que jâavais adoptĂ© le 3-5-2, avec le trio Bougherra, Halliche et Antar et un milieu de terrain chargĂ© de couvrir ce flanc droitâ, fait-il remarquer. Pour SaĂądane, âlâabsence de Halliche a dĂ» peser beaucoup sur la balanceâ. En outre, SaĂądane a averti que âcette dĂ©faite peut faire trĂšs mal Ă lâĂ©quipe si elle nâest pas analysĂ©e objectivement, loin de toute passionâ. âIl faut calmer les esprits et ne pas tirer sur tout ce qui bouge. Il faut chercher comment redresser la barre dans cette Ă©quipe Ă la veille dâune rencontre capitale contre le Maroc et profiter des deux dates Fifa de novembre et de fĂ©vrier pour bien prĂ©parer lâĂ©quipe et lui donner les moyens de se ressaisirâ, dit-il. Expliquant la baisse de forme des joueurs, SaĂądane souligne que âle fait dâavoir pris un repos passif (sans plan de prĂ©paration individuel) pendant un mois aprĂšs le Mondial a Ă©tĂ© fatal aux joueurs. contre le Gabon et la Tanzanie, ils sont arrivĂ©s largement diminuĂ©s, ce qui explique le mauvais rendement et donc les faibles performances. Il faut trois Ă quatre mois pour quâun joueur puisse revenir Ă sa forme habituelle, aprĂšs un repos passif dâun moisâ. Une analyse qui a donnĂ© lâoccasion, du reste pertinente, Ă lâanimateur de lâĂ©mission nass sport de poser la question suivante : âPourquoi alors nâavoir pas utilisĂ© des joueurs de la JSK et de lâESS qui participaient Ă la Ligue des champions dâAfrique au lieu de compter sur des joueurs dont vous dites vous-mĂȘme quâils nâĂ©taient pas prĂȘts ?â SaĂądane rĂ©pond : âNous avons pensĂ© Ă cela au dĂ©but, mais finalement je me suis dit que je ne pouvais pas raisonnablement changer dâĂ©quipe du jour au lendemain. et puis, les gens nâauraient pas compris un tel changement surtout si on avait perdu contre la Tanzanie.â Une belle façon pour SaĂądane dâesquiver la question du reste dĂ©jĂ posĂ©e par la presse nationale bien avant le match contre la Tanzanie, car ce qui Ă©tait demandĂ© Ă SaĂądane, câest dâinjecter des Ă©lĂ©ments de la JSK et de lâESS Ă lâimage de Hadj AĂŻssa, Metref, Djabbou, Tedjar et autres Ghezzali et Rial, pour palier des absences et non pas de changer lâĂ©quipe complĂštement. Enfin, SaĂądane a rappelĂ© : âje voulais quitter lâEN Ă la fin de la Coupe du monde, mais les responsables de la fĂ©dĂ©ration mâont demandĂ© de rester privilĂ©giant la stabilitĂ©.â La suite vous la connaissez !
Editorial Lâinformel et le blanchiment dâargent
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Des rĂ©seaux maffieux, qui se sont constituĂ©s, ont toujours tirĂ© leur Ă©pingle du jeu en maintenant un certain contrĂŽle sur les cercle informel du dinar et de la devise dont certains servent des entreprises multinationales non respectueuses des lois algĂ©riennes au transfert illĂ©gal de capitaux vers lâĂ©tranger. Lorsquâon sait que le secteur informel absorbe plus de la moitiĂ© de la masse monĂ©taire qui circule en AlgĂ©rie et quâaucune mesure concrĂšte nâest engagĂ©e pour rĂ©former le systĂšme financier, on ne peut que sâĂ©tonner de la persistance du comportement des AlgĂ©riens qui continuent de favoriser les circuits non officiels dans toutes les transactions. Mais avant dâarriver au transfert dâargent Ă partir de lâĂ©tranger, il faut dâabord se poser la question de savoir pourquoi le chĂšque de banque est systĂ©matiquement refusĂ© dans les diverses transactions oĂč lâon favorise en revanche le liquide pour ĂȘtre, bien entendu, plus sĂ»r dâavoir reçu la contrepartie financiĂšre. |
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