Edition du Samedi 02 Octobre 2010

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LE RADAR
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Une formation sur la protection des antiquités et la lutte contre la contrebande s'est déroulée à Alger, du 26 au 30 septembre, dans le cadre de la coopération algéro-américaine


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Quatre instituts nationaux et un institut d’enseignement professionnel (IEP) seront rĂ©alisĂ©s dans la wilaya de Tipasa dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014.


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 Le ministre de la SantĂ©, de la Population et de la RĂ©forme hospitaliĂšre, Djamel Ould-AbbĂšs, a dĂ©clarĂ©, jeudi Ă  Alger, que l'AlgĂ©rie pouvait accueillir 1 000 Ă©tudiants malaisiens dans le cadre d'une formation dans le domaine de la mĂ©decine.


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 Une nouvelle radio privĂ©e Shems FM (Soleil FM) a Ă©tĂ© rĂ©cemment lancĂ©e en Tunisie Ă  l'initiative de Cyrine Ben Ali-Mabrouk, fille du prĂ©sident tunisien Zine El-Abidine Ben Ali.


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Une journĂ©e scientifique de sensibilisation sur le cancer du systĂšme lymphatique, notamment chez l’enfant, a Ă©tĂ© organisĂ©e, jeudi, Ă  Batna. InitiĂ©e par l’association nationale Nour Ed-Douha


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Al-Jazeera a affirmé, jeudi, que le brouillage de la retransmission par sa chaßne sportive de la Coupe du monde


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Un rapport publié par l'Institut de l'audiovisuel et des télécoms en Europe (Idate) démontre que la TV à péage a représenté 46% des recettes du média dans le monde en 2009


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 Petite innovation dans la foulĂ©e du mouvement des walis : l’APS a donnĂ©, pour la premiĂšre fois, les bio express de chacun.


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Edition du Samedi 02 Octobre 2010

Actualité

L’ex-chef de SW d’Alger dĂ©signĂ© inspecteur gĂ©nĂ©ral de la DGSN
Un mouvement partiel dans le corps de la police

Par : NEÏLA B.


Le  gĂ©nĂ©ral-major, Hamel, directeur gĂ©nĂ©ral de la SĂ»retĂ© nationale, vient d’opĂ©rer en cette fin de semaine des changements au sein de l’institution policiĂšre.

Le mouvement a touché certains chefs de sûreté de daïra ainsi que des chargés de communications au niveau de plusieurs sûretés de wilaya et quelques responsables des services de la Police judiciaire (PJ).
Le plus important dans ce changement partiel, le “retour” de l’ex-chef de sĂ»retĂ© de wilaya d’Alger, le commissaire divisionnaire Sebbouh Abou Bakr Seddik, dĂ©signĂ© au poste d’inspecteur gĂ©nĂ©ral de la police Ă  la place du commissaire divisionnaire Lahoualef Mohamed qui serait dĂ©signĂ©, selon notre source, directeur de la Police des frontiĂšres (PAF).
Pour rappel, le commissaire divisionnaire Sebbouh a Ă©tĂ© suspendu suite Ă  une enquĂȘte sur une affaire de drogue, il sera innocentĂ© et relaxĂ© par la justice. Cette dĂ©signation s’inscrit, elle, dans la perspective de la rĂ©intĂ©gration des hauts cadres de la police Ă©cartĂ©s ?
Ce mouvement partiel vient Ă  peine quelques jours aprĂšs la promotion de 20 commissaires en grade de commissaires divisionnaires. 
Selon certaines indiscrĂ©tions, le DGSN a procĂ©dĂ© Ă  ces changements dans les sĂ»retĂ©s de daĂŻra (SD) suite Ă  des inspections qu’il a effectuĂ©es personnellement durant le mois de Ramadhan ou sur la base des rapports sur les rĂ©sultats de la lutte contre la criminalitĂ© ainsi que la gestion de la  communication.
La capitale a Ă©tĂ© la plus touchĂ©e par ce mouvement. Selon notre source, le chef de SD de Birtouta a Ă©tĂ© mutĂ© au mĂȘme poste Ă  la SD de Skikda. Le chef de SD d’El-Harrach a Ă©tĂ©, lui aussi, mutĂ© Ă  Laghouat. On croit savoir qu’il faisait l’objet d’un rapport “nĂ©gatif” lors d’une inspection effectuĂ©e par le DGSN qui aurait relevĂ© des insuffisances et une mauvaise gestion. C’est le mĂȘme cas du chef de SD de ChĂ©raga mutĂ© Ă  Ouargla. Cette daĂŻra a connu d’ailleurs une certaine instabilitĂ© avec une rotation de plusieurs chefs Ă  sa tĂȘte ces derniĂšres annĂ©es. Les chefs de SD de Sidi-M’hamed et de BouzarĂ©ah ont Ă©tĂ©, quant Ă  eux, mutĂ©s respectivement au mĂȘme poste Ă  la SW d’Oran. Le chef de SD de Hussein-Dey et celui de Rouiba, mutĂ©s  au mĂȘme poste au sud du pays, Ă  GhardaĂŻa et Ă  El-Oued. Des changements ont touchĂ© aussi la SW de BĂ©jaĂŻa dont le chef de SD de Kherrata remplacĂ©  et mutĂ© Ă  M’sila et celui de la SD de Souk El-Tenine a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© dans le mĂȘme poste Ă  Constantine, alors que la chargĂ©e de communication a Ă©tĂ© mutĂ©e Ă  la SD de Chelghoum-LaĂŻd Ă  Mila. Le commissaire principal Adel, le chef de la PJ d’Oran, a remplacĂ© dans le mĂȘme poste le chef de la PJ de la wilaya de BĂ©jaĂŻa. Cette mutation est considĂ©rĂ©e, selon certains observateurs, comme “une promotion” d’autant que ses rĂ©sultats en matiĂšre de lutte contre le crime organisĂ© ont Ă©tĂ© satisfaisants. En quelques jours Ă  peine, il a rĂ©ussi Ă  dĂ©manteler un important rĂ©seau international de trafic de drogue. Selon une source sĂ»re, 89% des affaires d’homicide Ă  BĂ©jaĂŻa n’ont pas Ă©tĂ© Ă©lucidĂ©s, ce qui justifie ce remplacement Ă  la tĂȘte de la PJ.
Le mouvement, qui a touchĂ© les SD de Maghnia, Sabra et Ghazaouet Ă  Tlemcen, a Ă©tĂ© d’ordre interne dans la mĂȘme wilaya. Le chef de SD de Maghnia a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© Ă  la tĂȘte de Sabra. Le chef de SD de Ghazaouet Ă  la tĂȘte de la SD de Maghnia. Alors que celui de Chetouane a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© Ă  la tĂȘte de la SD sĂ»retĂ© de daĂŻra de Ghazaouet, tandis qu’un nouveau commissaire a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© chef de la BMPJ de Sabra. Les chefs de SD de Mohammadia et Bouhanifia Ă  Mascara et Miliana Ă  AĂŻn Defla ont Ă©tĂ© remplacĂ©s eux aussi.
Selon notre source, le gĂ©nĂ©ral-major Hamel va effectuer trĂšs bientĂŽt un large mouvement qui va toucher les chefs de sĂ»retĂ© de wilaya et les directeurs centraux, et les directeurs des Ă©coles de la police. 12 chefs SW seront remplacĂ©s et mutĂ©s Ă  savoir Constantine, Guelma, TĂ©bessa, El-Tarf, Blida, AĂŻn TĂ©mouchent, Oran, Sidi Bel-AbbĂšs, et ainsi que les directions des renseignements gĂ©nĂ©raux et la formation. “La liste est Ă  l’étude”, nous dit-on. 
Le DGSN avait récemment opéré des nouvelles nominations au niveau de son cabinet et les URS de Kouba et Bachjarah, ainsi que la direction de la communication et des relations publiques.


www.liberte-algerie.com

 


Edition du Samedi 02 Octobre 2010

Actualité

L’intox et la manipulation pour contrer l’AlgĂ©rie
Prises d’otages français au Sahel

Par : Merzak Tigrine


Le rĂŽle important de l’AlgĂ©rie au Sahel semble dĂ©ranger Ă©normĂ©ment certaines capitales qui ne ratent aucune occasion de distiller de fausses informations dans l’espoir d’ouvrir la porte Ă  un pays, le Maroc en l’occurrence, qui n’est concernĂ© ni de prĂšs ni de loin par ce qui se passe dans la rĂ©gion, notamment son Ă©loignement gĂ©ographique, sa politique militaire avec l’OTAN, et sa qualitĂ© de pays non membre de l’Union africaine.

L’affaire des otages français entre les mains d’Al-QaĂŻda au Maghreb islamique a constituĂ© une opportunitĂ© saisie au vol par certains pays, Ă  savoir la France et le Maroc, pour se replacer dans la rĂ©gion afin d’y rĂ©duire le rĂŽle de l’AlgĂ©rie qui dĂ©range leurs intĂ©rĂȘts. Dans cette perspective, l’on s’active Ă  multiplier les dĂ©clarations de quelques personnalitĂ©s et Ă  distiller de fausses informations, comme celles rĂ©duisant l’importance des rĂ©unions tenues en AlgĂ©rie entre les chefs d’état-major des armĂ©es des pays du Sahel, et celle de leurs chefs de renseignements. Alors qu’elles ont concernĂ© les sept pays du Sahel, que sont la Mauritanie, le Niger, le Mali, la Libye, le Burkina Faso, le Tchad et l’AlgĂ©rie, les sources d’informations françaises se sont amusĂ©es Ă  rĂ©duire ces rencontres Ă  quatre seulement, omettant de citer la Libye, le Burkina Faso et le Tchad, dont le rĂŽle dans la rĂ©gion est loin d’ĂȘtre nĂ©gligeable. Il est clair que les intĂ©rĂȘts de la France au Tchad et au Burkina Faso, particuliĂšrement, sont les raisons de ces agissements. Par ailleurs, l’on a tentĂ© vainement d’imposer la thĂšse de la nĂ©cessitĂ© de joindre le Maroc aux sept pays du Sahel, connus gĂ©ographiquement et historiquement. Pourtant, rien ne permet au royaume marocain de se considĂ©rer comme faisant partie du Sahel. En effet, sur la carte gĂ©ographique, le Maroc est trĂšs loin de cette partie de l’Afrique, car son argument du territoire du Sahara occidental n’est pas recevable juridiquement car l’annexion n’est reconnue par aucun État. Pis, il s’agit d’un cas de dĂ©colonisation traitĂ© en tant que tel actuellement par les Nations unies. Donc, jusqu’à preuve du contraire, la monarchie alaouite n’a aucun argument gĂ©ographique Ă  faire valoir pour se faire reconnaĂźtre en tant que pays faisant partie du Sahel. En outre, Rabat a fait un choix politique qui la lie militairement Ă  l’Europe et Ă  l’OTAN, ce que les pays membres du Sahel n’acceptent pas, car cela ouvrirait la voie Ă  une intervention Ă©trangĂšre. Pour couronner le tout, le Maroc n’est mĂȘme pas membre de l’Union africaine, Ă©tendard sous lequel activent l’AlgĂ©rie, la Mauritanie, le Niger, le Mali, la Libye, le Burkina Faso et le Tchad. En d’autres termes, tous ces agissements ne sont que peine perdue car l’AlgĂ©rie a toujours agi dans un cadre juridique bien dĂ©terminĂ© dans le respect de la charte de l’Union africaine. Ceci Ă©tant, alors qu’un ancien chef de la diplomatie mauritanienne loue les mĂ©rites de l’AlgĂ©rie en insistant sur le fait qu’“elle peut faire plus” dans la coopĂ©ration contre Aqmi, le prĂ©sident malien considĂšre que “mon pays est otage et victime” et se cache derriĂšre ce qu’il a appelĂ© le “dĂ©ficit de coopĂ©ration rĂ©gionale”. Ainsi, le rĂŽle de l’AlgĂ©rie dans la lutte contre al-QaĂŻda au Maghreb islamique au Sahel est diversement apprĂ©ciĂ© par ses voisins dans cette rĂ©gion, comme l’indiquent ces dĂ©clarations contradictoires d’un ancien chef de la diplomatie mauritanienne et du prĂ©sident du Mali. Pour l’ex-ministre des Affaires Ă©trangĂšres mauritanien, Ahmedou Ould-Abdallah, “le gouvernement algĂ©rien peut faire plus car il a les institutions les plus expĂ©rimentĂ©es, les plus professionnelles, le plus de moyens financiers et humains”. C’est qu’il a plaidĂ©, jeudi Ă  Paris, en marge d’une rĂ©union de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF). Reconnaissant les faiblesses en matiĂšre de lutte contre le terrorisme des autres pays du Sahel, le diplomate mauritanien ajoutera qu’“Alger doit aussi ĂȘtre plus patient, tolĂ©rant et gĂ©nĂ©reux avec les voisins du sud”, le Niger et le Mali, en les aidant Ă  “se mettre Ă  niveau” et “à monter Ă  bord” d’opĂ©rations communes. L’ancien reprĂ©sentant spĂ©cial de l'ONU en Somalie jugera une “opĂ©ration militaire” contre Aqmi “nĂ©cessaire”, mais pas pour autant “une rĂ©ponse suffisante”, car “il faut d'abord consolider les fronts intĂ©rieurs”. Entre-temps, le prĂ©sident malien a tirĂ© Ă  boulets rouges sur ses voisins sahĂ©liens en regrettant le “dĂ©ficit de coopĂ©ration rĂ©gionale” au Sahel dans la lutte contre Al-QaĂŻda au Maghreb islamique (Aqmi), dans une interview publiĂ©e hier dans le quotidien LibĂ©ration. Bombant le torse en affirmant que “les forces terroristes actuelles ne sont pas au-dessus de nos capacitĂ©s”, Amadou Toumani TourĂ© martĂšlera qu’“il faut un plan sous-rĂ©gional”. Passant ensuite au rĂŽle de la victime, le chef de l’état malien dira : “je le rĂ©pĂšte, mon pays est otage et victime. Ces gens ne sont pas Maliens. Ils sont venus du Maghreb avec des idĂ©es que nous ne connaissons pas.” Persistant dans sa fuite en avant, il dĂ©clarera que “le problĂšme, c’est le dĂ©ficit de coopĂ©ration rĂ©gionale. Chacun se plaint du voisin, et les actions isolĂ©es sont vouĂ©es Ă  rester ponctuelles”, et se cachant toujours derriĂšre l’immensitĂ© du territoire, il ajoutera que le nord du Mali, oĂč sont dĂ©tenus les otages, “c'est aussi le sud de l'AlgĂ©rie, l'est de la Mauritanie et l'ouest du Niger”.

 


Edition du Samedi 02 Octobre 2010

Actualité

Un master ou un magister pour les enseignants de lycée
Benbouzid l’a dĂ©clarĂ© jeudi Ă  l’APN

Le ministre de l’Éducation nationale n’a pas niĂ© “l’existence de problĂšmes et de dĂ©passements dans les concours de recrutement des enseignants”. C’est en tout cas ce qu’il a laissĂ© entendre jeudi Ă  l’APN. Ce faisant, pour le membre du gouvernement, “ces dĂ©passements sont Ă©galement enregistrĂ©s dans d’autres secteurs et Ă  tous les niveaux, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’y remĂ©dier”. Le ministre, qui intervenait en rĂ©ponse Ă  une question posĂ©e par un dĂ©putĂ© Ă  l’APN lors d’une sĂ©ance plĂ©niĂšre dĂ©diĂ©e aux questions orales, a aussi Ă©voquĂ© la crĂ©dibilitĂ© des concours. “Elle est en gĂ©nĂ©ral difficile Ă  assurer”, a-t-il indiquĂ©, non sans faire remarquer que les parties en charge veillent d’annĂ©e en annĂ©e Ă  les amĂ©liorer. Dans ce cadre, le ministre se dit totalement rĂ©fractaire aux cas avĂ©rĂ©s de manipulation ou de dĂ©passement enregistrĂ©s lors de ces concours. Sur les Ɠuvres sociales du secteur de l’éducation,
M. Benbouzid expliquera que le dossier se trouve actuellement “au niveau du gouvernement qui examine chacun de ses aspects”. Le dossier ne concerne, en aucun cas, le ministĂšre de l’Éducation, a prĂ©cisĂ© le ministre, soulignant que les parties en charge actuellement de ce dossier prenaient en compte les intĂ©rĂȘts des travailleurs de l’éducation. Le pluralisme syndical, dit-il, “incite Ă  plus d’ouverture pour que chaque syndicat contribue Ă  la gestion des fonds des Ɠuvres sociales”. La dĂ©termination de son dĂ©partement ministĂ©riel Ă  Ɠuvrer de concert avec tous les syndicats, sans exception aucune, a Ă©tĂ© soulignĂ© par le ministre. Par ailleurs, le ministre de l’Éducation nationale a expliquĂ© que le recrutement des enseignants du cycle secondaire se basera, Ă  partir de cette annĂ©e, sur l’obtention d’un master ou d’un magister. “Le recrutement des enseignants du cycle secondaire est tributaire de l’obtention par le candidat Ă  ce poste, d’un master ou d’un magister, en vue d’amĂ©liorer la qualitĂ© de l’encadrement, qui a un effet direct sur la qualitĂ© des rĂ©sultats obtenus Ă  la fin de l’annĂ©e”, a-t-il dit, en substance.


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02/10/2010
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