election 2o12 APC de Rouiba liste FLN2o12
التحرير الوطني قسمة الرويبة ( FLN Rouiba )
2o12 election APC
29 novembre 2o12
APC de Rouiba liste FLN
liste delection de la pc novembre 2o12
APC de Rouiba liste
Gus Houaoui | 19 novembre 23:54 |
Adjoudj leila. |
Aili redouane. |
Aoudia nadia |
Assoul samir |
Athmani leila |
Belhal farida. |
Berbiche nabila |
Branci mahfoud |
Chabi kahina |
Chenfaoui mohamed |
Gacem ali |
Houaoui abdelrezak |
Houari nadia. |
Koudri kheiredine |
Merabet aissa |
Mouassi makhlouf. |
Nadjem noura |
Negaz hassen |
Taoutaoui moussa. |
Tazekrit sid ali |
Tchina ahmed |
Temzi djamel |
Touileb mohamed |
|
Elections locales : Compte à rebours
La date butoir approche à grande vitesse et les partis politiques s’investissent pleinement et avec des fortunes diverses dans les élections locales du 29 novembre 2012. Certains d’entre eux ont de réelles difficultés à dresser les listes de candidatures.
AUTOUR des élections locales en Algérie
La cagnotte de Rouiba intéresse les candidats
Plusieurs communes «riches» en Algérie sont convoitées par des candidats lors des élections locales. La majorité des partis politiques essaye, par tous les moyens, de faire passer les candidats tête de liste au niveau des communes où on enregistre des recettes financières annuelles importantes et qui parviennent des collectes des impôts et taxes. Parmi ces communes, celle de Rouiba, située à 25 km à l’est d’Alger, et qui doit sa célébrité à sa zone industrielle qui s’étale sur une superficie de 1000 hectares en est un exemple. Jadis, sur les territoires de la wilaya de Boumerdès, Rouiba a intégré la capitale au lendemain de la création du gouvernorat du Grand-Alger à la fin de l’année 1997. Les candidats convoitent cette commune pour ses richesses. Ils essayent de briguer un mandat au sein de cette localité non pas pour contribuer à améliorer le niveau de vie de la population mais pour profiter de son argent. Selon un syndicaliste d’une usine implantée à Rouiba, «la commune de Rouiba est très convoitée par les candidats pas pour le bien de la population mais pour son argent». Selon toujours notre source, il y a à boire et à manger dans cette commune.
Selon lui, «le cumul d’argent durant un mandat électif de 5 ans dépasse les 800 milliards de centimes». La majorité des partis politiques sont implantés dans la commune de Rouiba et ont présenté une liste de candidats pour les élections locales du 29 novembre prochain. Selon le syndicaliste, «c’est la cagnotte de la commune qui les intéresse, ni plus ni moins». C’est l’une des plus importantes zones du pays. Elle regroupe 202 unités, dont 70% relèvent du secteur privé, en plus de celles nouvellement installées sur les extensions à l’entrée de la ville de Rouiba. La zone industrielle de Rouiba totalise plus de 27 000 travailleurs avec près de la moitié à la seule usine de la SNVI.
Mohammed Zerrouki
ÉLECTIONS LOCALES
La Cnisel prévient contre la fraude
Six communes ont laissé fuir les bulletins de vote du FLN avant le vote de demain à Souk Ahras.
La Commission nationale de surveillance des élections locales (Cnisel) a enregistré dans son rapport provisoire plus de 700 dépassements durant la campagne électorale qui s'est achevée le 25 novembre dernier.
Mohamed Seddiki, président de la Cnisel fait état de nombreux dépassements. «Le FLN et le RND et l'administration de certaines wilayas n'ont pas respecté les règles du jeu démocratique», a-t-il regretté hier, lors d'une conférence de presse au siège de l'ex-Cpva à Alger.
Revenant sur le pré-bilan de la campagne électorale, M Seddiki défend sa position bec et ongles, malgré la limitation des prérogatives et le manque de moyens. «Je regrette que l'on dise n'importe quoi sur nous, et ce, rien que pour diminuer de notre crédibilité et engagement sur le terrain», dit-il avant de d'évoquer de graves dérives du parti de Abdelaziz Belkhdem. Revenant sur les fuites de bulletins de vote du FLN, Seddiki affirme que six communes de la daïra de Souk Ahras, au total, sont concernées.
Le président de la Cnisel a saisi le ministre de l'Intérieur en plus d'une une lettre qu'il a adressée au président de la République, afin de décider des sanctions et des suites à donner à de tels dépassements qui portent atteinte, aussi bien à l'administration, qu'à la crédibilité des élections. Le seul moyen pour faire face à la fraude dit-il, «c'est de rester mobilisés au niveau de tous les bureaux de vote le jour J, afin de contrôler et suivre de près toutes les opérations de dépouillement, quitte à passer toute la nuit dans les 25.000 bureaux de vote», rappelle-t-il.
Répondant au sujet de la relation de la Cnisel avec la commission de supervision des élections, M.Seddiki affirme défendre l'indépendance de la justice au niveau national, sans pour autant prendre position en faveur de la commission des magistrats. Les deux commissions sont limitées dans leurs prérogatives. D'ailleurs, «nous souhaitons de tout coeur constituer un ensemble grâce à l'union et le rassemblement des deux commissions, afin de renforcer davantage les dispositifs loyales pour garantir la transparence des prochaines élections», affirme-t-il.
Le retrait des membres de la Cnisel à cause des détachements qui ont fait défaut, notamment pour les deux sociétés, à savoir Sonatrach et Sonelgaz, seront remplacés par d'autres éléments, conformément à la loi portant organisation de la commission. Répondant au sujet des critiques portées contre sa personne et la commission par Daho Ould Kablia, M.Seddiki réagit:«Nous n'avons jamais demandé des indemnités, mais un minimum de moyens pour répondre aux besoins des charges quotidiennes», dit-il, avant ajouter que «je suis honoré par Daho Ould Kablia qui m'a qualifié de perturbateur». En tous cas, ce ne sont pas ses louanges qui font avancer la cause. «En politique, il faut s'attendre à tout», dit-il en guise de réponse au ministre de l'Intérieur.