euro 2008:La RUSSIE élimine la HOLLANDE 3-1

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Euro 2008

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EURO 2008 - Pays Bas - Russie en live comme à la maison...

   
 
  • Pays Bas-Russie: Le caviar russe

     

    Direct : Pays-Bas - Russie en live comme-à-la-maison

    Euro-2008: Pays-Bas-Russie, un quart de finale alléchant

    sam 21 jui, 22h38


    BÂLE (AFP) - Les Pays-Bas et la Russie, deux des équipes les plus séduisantes de cet Euro-2008, proposent samedi à Bâle (18h45 GMT) un quart de finale alléchant, à savourer avec une sauce hollandaise en raison de la présence sur le banc russe de Guus Hiddink.

    L'entraîneur néerlandais, considéré comme un dieu vivant à Moscou, est au centre de toutes les attentions ces derniers jours et avoue lui-même qu'il va vivre "un moment particulier" face à une équipe dont il fut le sélectionneur de 1995 à 1998.

    "Je connais l'entraîneur, plusieurs joueurs, l'encadrement. Mais je n'aurai aucun scrupule à les battre. Je n'éprouve aucun sentiment patriotique, je ne joue pas pour un drapeau", a prévenu Hiddink.

    En face, Marco van Basten se méfie sans doute de la roublardise de son alter ego, souvent qualifié de "faiseur de miracles" ou d'entraîneur "le plus chanceux de la planète". Mais le sélectionneur Oranje prévient: "Nous allons jouer contre la Russie, pas contre Hiddink".

    'San Marco' veut ainsi éviter que ses joueurs fassent une fixation sur la personnalité du coach adverse qui connaît forcément tout d'eux. "Pensons à notre jeu. Nous avons un statut à honorer. Et nous avons tout en mains pour gagner ce match", affirme Van Basten qui endosse sans fausse modestie le costume de favori.

    Avec l'assentiment unanime de ses adversaires. "L'équipe hollandaise est pour l'instant la meilleure du tournoi", concède le capitaine Sergei Semak.

    "Le jeu néerlandais est difficile à lire. Autant ce fut facile de décrypter le jeu de la Suède (ndlr: que la Russie a battue 2-0 au premier tour), autant les Oranje sont imprévisibles", constate Hiddink, qui trouvera dans le camp adverse onze joueurs plus solidaires que jamais.

    Le décès jeudi de la fille, née prématurée, du défenseur Khalid Boulahrouz "va souder encore un peu plus les Néerlandais", estime Hiddink, qui redoute aussi la fraîcheur physique des Sneijder et autre Van Nistelrooy.

    La plupart des titulaires néerlandais n'ont pas disputé le dernier match sans enjeu de la phase de groupe face à la Roumanie (2-0) mardi à Berne, s'offrant ainsi sept jours de repos contre seulement deux pour les Russes.

    "Cela n'est pas sans importance", regrette Hiddink. Car la force de son équipe réside dans la qualité des combinaisons, dans la rapidité des joueurs de couloirs, dans la générosité physique de ses atouts offensifs Andrei Arshavin et Roman Pavlyuchenko.

    "Ils jouent, comme nous, un football moderne tourné vers l'attaque et qui demande une condition physique irréprochable", note le gardien et capitaine des Pays-Bas Edwin van der Sar. "Ce sera un match spectaculaire", promet-il en se souvenant que la dernière confrontation entre les deux équipes avait tourné à la déroute pour les Russes.

    En février 2007, les Néerlandais s'étaient imposés (4-1) en match amical à Amsterdam. "Mais les temps ont changé. Nous avons fait d'énormes progrès", prévient le milieu de terrain Igor Semchov, qui estime que ce quart de finale "ne sera pas un terminus".

    Une manière de positiver -la patte d'Hiddink, une nouvelle fois- en se projetant déjà vers une éventuelle demi-finale face à l'Espagne ou l'Italie.

    Vendredi, la Turquie s'est hissée pour la première fois de son histoire en demi-finales de l'Euro de football, grâce à son succès sur la Croatie aux tirs au buts (3 à 1) (1-1 après prolongation; 0-0 à la fin du temps réglementaire) en quarts de finale, vendredi à Vienne. En demi-finales, les Turcs affronteront l'Allemagne, le mercredi 25 juin (18h45 GMT) à Bâle. La dernière confrontation entre les deux équipes dans une grande compétition remonte à la Coupe du monde 1954.

    Le dernier quart de finale opposera dimanche l'Italie et l'Espagne.

    ¦ Dmitry Torbinsky inscrit le deuxième but des Russes face aux Pays-Bas, en quart de finale de l'Euro.

     

    Retenez bien son nom, Andreï Archavine est la nouvelle merveille du football est la nouvelle merveille du football européen. A lui tout seul, ou presque, le temps d’une prolongation exceptionnelle, il anéanti l’impressionnante armada batave.

    Marco Van Basten pourra aussi méditer tout l’été cette règle de base du métier: on ne change pas une défense qui ne prend pas de but. Retour sur la 56e minute ou le match bascule une première fois. Incompréhension sur la droite de la défense batave, où Boulahrouz venait de laisser sa place à Heitnga. Semak s’échappe et centre pour Pavlyuchenko, qui ajuste tranquillement Van der Sar.

    Le reste, pas grand-chose de réussi. On attendait beaucoup de ce quart de finale entre deux des équipes qui avait fourni le meilleur jeu lors de la phase de poule. Sans doute trop. Souvent éliminés dès le début des matchs K.O., comme disent les Britanniques, les Oranges étaient peut-être tétanisés par l’enjeu. Empruntés, les Bataves n’étaient qu’une pâle copie de l’équipe qui avait désossé la France et L’Italie. Contrôles ratés, passes mal assurés, les Néerlandais peinent à assurer le contrôle du match.
    http://fr.sports.yahoo.com/21062008/1/euro-2008-pays-bas-russie-un-quart-de-finale-allechant.html



    La faute surtout à une équipe russe, adepte du pressing tout-terrain, et capable de développer des contres supersoniques. Derrière, la défense néerlandaise souffre devant la vivacité d’Archavine, déjà. Le petit meneur de jeu, révélation de l’année, est tout prêt d’ouvrir le score sur une frappe enroulée qui prenait la direction du petit filet. Mais Van der Sar veille, et le gardien orange est là aussi pour repousser dans la foulée un missile de Kolodin pleine lucarne.

    Les néerlandais craquent finalement à la 56e minute. Marco Van Basten peut méditer tout l’été cette règle de base du métier: on ne change pas une défense qui ne prend pas de but. Incompréhension sur la droite de la défense batave, où Boulahrouz venait de laisser sa place à Heitnga. Semak s’échappe et centre pour Pavlyuchenko, qui ajuste tranquillement Van der Sar.

    1% de la population néerlandaise à Bâle

    Menés pour la première fois dans le tournoi, les Bataves accusent le coup. En retard sur chaque ballon, ils peinent à sortir de l’étau mis en place par Guus Hiddink. Au contraire Pavlyuchenko aurait plusieurs fois pu faire le break sans un grand Van der Sar. Il peut s’en mordre les doitgs. Car sur un nouveau coup-franc, Ruud Van Nistelrooy trouve finalement la faille alors que l’espoir avait quitté l’armée orange, venue en masse (Peut-être 140.00 supporters dans la ville, soit 1% de la population des Pays-Bas, tout de même).

    Avec un jour de récupération en plus, et une équipe-type sur le banc pour le dernier match, les Oranges, plus frais pourraient prendre la prolongation en main. Mais c’est sans compter sur ce diable d’Archavine est toujours aussi dangereux. Pavlyuchenko trouve d’abord la barre. Puis sur un énième contre, Andreï Archavine, encore lui sert dans un angle impossible un caviar que Dimitri Torbinski déguste allègrement (2-1, 113e). Andre Archavine parachève lui-même son triomphe d’un tir entre les jambes de Van der Sar (3-1, 115e). L’Europe du football réapprend à parler russe.


    A Bâle, Pierre Koetschet

  o 2008 - Phase finale

Quart Finale

 
Pays-Bas 1 - 3 Russie 21/06/2008 euro 2008
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22/06/2008
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