Sports : Quand la politique s’invite dans le football L'ONU demande à la Fifa de faire une Coupe du monde 2014 plus écologique
Le Programme des Nations unies pour l'environnement (Pnue) a demandé, mardi, à la Fifa de s'investir davantage pour faire une Coupe du monde «verte» en 2014 dans un rapport publié à Brasilia. «L'effort fourni en matière de gestion environnementale n'est pas suffisant. Cela mérite d'être pris en compte sérieusement par la Fédération internationale de football (Fifa)», souligne l'étude qui analyse l'action de l'Afrique du Sud dans ce domaine pour le Mondial 2006 et les défis du Brésil pour celui de 2014. «La Fifa doit envisager de compenser sa propre empreinte carbone (émissions de gaz nocives pour le climat) et encourager ses partenaires à en faire de même», a souligné l'étude financée par le Fonds mondial pour l'environnement (GEF). L'étude cite les efforts que l'Afrique du Sud a fournis pour réduire et compenser ses émissions de CO2 et souligne parmi ses succès l'efficacité énergétique et les transports. Le Brésil s'est engagé à organiser la première Coupe du monde où tous les stades auront un «certificat vert», a rappelé mardi dernier le responsable de l'environnement pour la Coupe du monde 2014, Claudio Langone, lors de la présentation du rapport à la presse. Ces certificats tiennent compte de la réutilisation du matériel de démolition pour la rénovation des stades, de l'éclairage et de l'énergie efficaces, ainsi que de la gestion de l'eau.
Sports : HANDBALL 18e CONGRبS ORDINAIRE DE LA CONFةDةRATION AFRICAINE DE HANDBALL (CAHB) Le Béninois Aremo Mansourou reconduit pour un autre mandat
Comme attendu du moment qu’il était le seul candidat, le Béninois Mansourou Aremou a été réélu à la tête de la Confédération africaine de handball (Cahb) lors du 18e congrès ordinaire qui s’est achevé dernièrement à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. En effet, lors de ces travaux abrités par l’hôtel Palace, présidés par le ministre burkinabé des Sports, Yacouba Ouédraogo, et rehaussés par la présence du président de la Fédération internationale de handball (IHF), l’Egyptien Hassan Moustapha, les congressistes, après avoir apprécié l’investissement du Dr béninois pour l’essor de la discipline dans le continent, l’ont plébicité pour un deuxième mandat consécutif de quatre ans. Tout comme l’élection à la présidence, le comité exécutif était concerné par le renouvellement de sa composante. Le seul changement notable opéré au sein de ce comité est l’éviction du poste de secrétaire général de l’instance continentale, de la Gabonaise, le Dr Assélé Nicole, car battue logiquement par le Congolais Omboumahou Charles. Il faut dire que la Gabonaise a payé pour sa mauvaise gestion du dernier championnat d’Afrique des nations des U21 qui s’est déroulé en Côte d’Ivoire. Quant aux membres, ils ont été reconduits à leurs postes. Il s’agit du premier vice-président, le Dr Glover Lanre du Nigeria, de l’Egyptien Elbeltagy Medhat comme deuxième vice-président et du Togolais Dogbo Yawovi Auguste comme trésorier. La troisième élection était celle des présidents des sept zones. Une fois réélu, le Béninois a, dans son message à l’assistance, tendu la main à tout un chacun pour «construire le handball africain». Pour l’orateur, chaque membre de cette instance et de chacune des fédérations nationales sportives est utile et son engagement sur le terrain sera nécessaire. Enchaînant, il soulignera qu’ il est normal de marquer un temps d’arrêt, après quatre ans de travail pour faire une évaluation. Il n’omet pas de lancer un appel aux membres pour aller dans le sens de promouvoir des actions à même de permettre au handball africain d’aller de l’avant, de réduire le fossé qui le sépare du référentiel du handball européen. «A partir de là, affirme- t-il, nous prouverons au monde entier que nous pouvons accéder, un de ces jours, à une des marches du podium.» Notons que ce congrès a démarré avec la réunion du comité exécutif, lundi dernier, suivie le lendemain par celle du conseil. O. K. Sports
Sports
-
FOOTBALL
-
GUGLIELMO ARENA, ENTRAÎNEUR DU CRB :
-
«Je sais que je suis sur un siège éjectable»
-
-
NOUVELLES DE LA LIGUE PROFESSIONNELLE DE FOOTBALL
-
Smaïl Bouzid officiellement qualifié à l'USM Alger
-
-
LA VIE DES CLUBS MC ORAN
-
Alors que Larbi Abdelilah prend la présidence provisoire du CA…
-
-
CA Batna
-
Rouabah remplace Bouarrata à la barre technique
-
-
USM Alger
-
Haddad conforte le coach Gamondi : «Je n'ai contacté aucun entraîneur»
-
-
SPONSORING
-
SONATRACH SORT DE SA RÉSERVE SUR LES CLUBS À RACHETER
-
Un choix fait sous «la seule responsabilité» de l'entreprise
-
-
Djamel Mesbah pourrait quitter l'AC Milan au mercato
-
-
La presse portugaise encense Soudani après ses deux premiers buts
-
-
HANDBALL
-
18e CONGRÈS ORDINAIRE DE LA CONFÉDÉRATION AFRICAINE DE HANDBALL (CAHB)
-
Le Béninois Aremo Mansourou reconduit pour un autre mandat
-
-
Quand la politique s’invite dans le football
-
L'ONU demande à la Fifa de faire une Coupe du monde 2014 plus écol+
PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE
-
Une femme ou un Nord-Américain ?
-
-
1er SALON NATIONAL DU TAPIS À KHENCHELA
-
«Un pan du patrimoine»
-
-
TÉBESSA
-
Réception prochaine de 5 nouvelles bibliothèques
-
-
Le coup de bill’art du Soir
-
Arabo ou islamophobie ?
-
-
ACTUCULT
|
Par Maamar Farah Des amis lecteurs, approuvant tout ce que j’ai dit à propos de Destruktor, se demandent si les choses vont rester au même stade et s’il n’y a pas d’espoir de renverser la vapeur. L’un d’eux a même écrit : «A quand l’apparition de Construktor ?» Je sais que Construktor viendra tôt ou tard. Mais j’ai bien peur qu’un nouveau Boumaârafiktor ne sorte de derrière un rideau pour nous rejouer un remake de la fameuse pièce «un acte isolé»… En attendant, posons-nous la question de savoir si le peuple algérien est composé, dans sa majorité, de Destruktors ou de Construktors. C’est de cette réponse que découle la solution. maamarfarah20@yahoo.fr «C'est curieux les anniversaires : c’est quand on a le plus de bougies, qu’on a le moins de souffle.» (Philippe Geluck)
Les experts du FMI sont extrêmement pessimistes sur lesperspectives
de notre croissance. Et en plus, on leur…
… refile du fric pour qu’ils nous disent ça !
C’est là, comme le nez rouge au milieu du visage du clown Bozo et pourtant, nous n’y faisons même plus attention : l’Algérienne et l’Algérien vivent coincés entre la surveillance d’un chef d’Etat malade et que l’on dit finissant et les enterrements de ses prédécesseurs ! C’est tout de même terrible cette ambiance mortifère dans laquelle nous sommes confinés. Même au Venezuela, un pays dirigé pour quelques années encore par un homme atteint et soigné pour un grave cancer, il n’y a pas cette odeur de mort qui flotte autour des citoyens. Chez nous, si ! Au Venezuela, la réélection d’Hugo Chavez a donné lieu à des scènes de liesse réelle dans les rues de Caracas et des autres villes du pays, les gens ont chanté, dansé et bu. Ici, chez nous, nous sommes régulés par les processus de morts, de disparitions par maladie ou par acte violent. C’est stressant cette manie acquise par la force des choses de ne percevoir, de ne retenir des apparitions du raïs, de ces discours, de ces entrevues que son teint, son rythme de marche, son allure, ses mains, l’intensité de son regard et sa locution. De manière insidieuse, nous sommes tous devenus cliniciens au chevet de leur chef d’Etat. Et les rares moments où nous ôtons nos blouses de légistes, c’est pour endosser un costume noir et aller chialer tout notre saoul sur la tombe d’un ex-président. Avec en sus, un peu de culpabilité, car nous ne l’aurions pas assez scruté celui-là, pas assez surveillé, et il nous aura échappé ! Bon Dieu ! Quand un peuple voit sa vie collective et individuelle ainsi quadrillée par les instants de maladies et de morts, alors qu’une nation, c’est d’abord la vie, il faut se poser des questions. Et ne surtout pas perdre de temps à interroger les tombes. D’autres l’ont fait, et ça ne leur a pas servi à grand-chose. Non ! Il faut se résoudre à ce constat terrible : la population ultra-jeune de l’Algérie, une majorité de bambins à l’aube de leur floraison est condamnée à vivre dans l’idée de la mort de ses dirigeants. C’est là quasiment l’unique perspective réelle, palpable qui lui est donnée. C’en est même devenu ces dernières années programmatique ! Bonjour l’ambiance ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
|