290-Jeudi 17 Octobre 2013
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الخميس 17 أكتوبر 2013 م
le 17.10.13 | 10h51
L'Organisation chargée de superviser la destruction de l'arsenal chimique syrien a annoncé jeudi avoir vérifié près de la moitié des sites devant être détruit d'ici à la mi-2014.
"Nous avons fait pratiquement la moitié du travail de vérification des sites déclarés", a dit à la presse à La Haye Malik Ellahi, un conseiller politique sur la Syrie de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).
En dépit des progrès, Ellahi a souligné que la sécurité restait une des principales préoccupations pour cette mission menée pour la première fois dans un pays en guerre.
"Une de nos préoccupations est évidemment la situation sécuritaire", a dit Malik Ellahi, citant des tirs de mortiers et des attaques à la voiture piégée à proximité de l'hôtel de Damas où résident les inspecteurs.
L'OIAC, qui a obtenu la semaine dernière le prix Nobel de la paix, avait indiqué mercredi avoir vérifié onze sites et détruit des équipements de production sur six sites.
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le 17.10.13 | 09h25 | mis à jour le 17.10.13 | 10h48
c.
"Tragiquement, nous nous attendons à ce qu'il n'y ait aucun survivant", a déclaré jeudi le PDG de Lao Airlines, Somphone Douangdara, dans un communiqué, présentant ses condoléances après cette "terrible tragédie".
L'ATR 72-600 de la compagnie publique laotienne, qui assurait un vol entre la capitale Vientiane et Pakse, ville prisée des touristes située dans la province de Champasak, dans le sud du Laos, s'était écrasé mercredi après-midi, avant de couler au fond du fleuve.
Selon la liste officielle fournie par la compagnie, il y avait à bord 44 passagers (seize Laotiens, sept Français, six Australiens, cinq Thaïlandais, trois Sud-Coréens, deux Vietnamiens, un Américain, un Canadien, un Chinois, un Malaisien et un Taïwanais) ainsi que cinq membres d'équipage. Le pilote était cambodgien.
Des débris flottaient jeudi matin sur le fleuve et des valises étaient enfoncées dans la boue sur les rives, selon un journaliste de l'AFP.
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De la place de l’islam et des musulmans en France
les Français sont-ils islamophobes ?(OUI)
le 17.10.13 | 10h00
Qu’est-ce que l’islamophobie ? Quels sont ses ressorts ? Pourquoi se banalise-t-elle alors que les actes qui lui sont imputés sont en recrudescence. Ce dossier que nous consacrons à l’islamophobie ne prétend pas à l’exhaustivité, il esquisse une problématique controversée et sensible qui se pose à la société française. Nommer et identifier un problème ne peut que contribuer à sa résolution, comme l’affirment chercheurs et universitaires qui se sont penchés sur son étude.
L’islam : le mal-aimé de la classe politique française
L’islamophobie est devenue un racisme acceptable en France, à en croire les sondages d’opinion qui font état d’une forte inquiétude en France par rapport à la visibilité de la religion musulmane. Plus de 70% des Français ont une mauvaise image de l’islam. Selon le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), membre consultatif des Nations unies, «les actes islamophobes envers les institutions et les individus ont augmenté de 57,4% entre 2010 et 2012».
La cause principale de ce racisme antimusulman galopant, c’est le discours politique, véhiculé par la droite, toutes tendances confondues, et par une certaine gauche dite «laïque». Ainsi, Marine Le Pen, présidente du Front National (FN), qui focalise tout son discours contre l’immigration et l’Islam, est portée par des sondages flatteurs de plus 30% de sympathisants. Sa nouvelle posture de femme politique fréquentable, voire admirée, est tellement confortable qu’elle veut désormais saisir la justice pour s’innocenter de l’étiquette d’extrême-droite.
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le 17.10.13 | 10h00
Amnesty International pense que son incarcération est d’ordre politique.
L’ONG britannique Amnesty International (AI) demande aux autorités algériennes de libérer le blogueur Abdelghani Aloui, âgé de 24 ans et originaire de Tlemcen (500 km à l’ouest d’Alger). Il est incarcéré depuis le 15 septembre 2013 dans l’aile des suspects terroristes de la prison Serkadji, à Bab J’did, dans la Haute-Casbah. «Les autorités algériennes doivent immédiatement relâcher un blogueur placé en détention sur la base d’accusations de terrorisme et de diffamation après avoir partagé des photos et des caricatures du président et du Premier ministre sur son compte facebook», indique un communiqué rendu public hier par la section algérienne d’AI.
Selon l’ONG, «l’avocat de Abdelghani Aloui a déposé dimanche dernier une demande de libération d’ici l’ouverture du procès. Une décision doit être rendue cette semaine». Pour Amnesty International, l’arrestation du blogueur est liée au contexte politique national. «Les autorités algériennes semblent essayer d’étouffer les critiques, en cette période d’incertitude précédant l’élection présidentielle. Abdelghani Aloui doit être immédiatement remis en liberté et toutes les poursuites engagées contre lui doivent être abandonnées», estime Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à Amnesty International. Et de poursuivre : «Les autorités réagissent de manière vraiment excessive à ce qui relève simplement de l’expression légitime. Retenir des chefs d’accusation en relation avec le terrorisme afin d’incarcérer une personne qui a partagé des images sur les réseaux sociaux crée un précédent très dangereux.»
En outre, l’ONG appelle les autorités algériennes à réviser «les lois érigeant la diffamation en infraction pénale» et «à mettre fin au recours à la législation antiterroriste pour sanctionner les critiques non violentes à l’égard de représentants de l’Etat». «Cette infraction est définie en termes si vagues dans le code pénal algérien qu’elle peut recouvrir les critiques non violentes à l’égard des autorités», observe Amnesty International. Il est à noter que lors de la perquisition du domicile de Abdelghani Aloui, «les forces de sécurité auraient trouvé chez lui une écharpe sur laquelle était inscrite la proclamation : ‘Il n’y a de dieu que Dieu’». «S’il est reconnu coupable d’apologie du terrorisme, il encourt jusqu’à 10 ans d’emprisonnement», lit-on dans le document.
Bsikri Mehdi
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LE CNAPEST tient aujourd’hui son conseil national
Le Cnapest tient aujourd’hui un conseil national décisif. A l’issue de cette réunion, le syndicat autonome décidera de la poursuite ou pas du mouvement de grève entamé dimanche dernier. Le refus de réhabiliter le membre radié de Bouira risque de peser lourd sur la décision du Cnapest. Suite... |
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