JEUDI 19 Septembre 2019

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9(Revue de presse du mercredi 03 janvier 2018) Les Universités publiques au bord du gouffre

 

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Actualités / Actualités

2 EX-PREMIERS MINISTRE, 14 ANCIENS MINISTRES, DES WALIS, 3 P-DG DE BANQUE ET 12 HOMMES D’AFFAIRES Y SÉJOURNENT

La prison d’El-Harrach s’adapte à ses nouveaux pensionnaires
L’afflux important de nouveaux détenus au pénitencier d’El-Harrach a contraint les autorités compétentes à procéder à des réaménagements et à la prise de
décisions qu’impose désormais la nouvelle situation.
Abla Chérif - Alger (Le Soir) - Une situation incroyable, difficile à imaginer quelques mois auparavant et qui fait par conséquent peser une très grosse
pression sur la plus célèbre prison d’Alger.
19/09/2019 https://www.lesoirdalgerie.com/actualites/la-prison-del-harrach-sadapte-a-ses-nouveaux-pensionnaires-30432/print/1
https://www.lesoirdalgerie.com/actualites/la-prison-del-harrach-sadapte-a-ses-nouveaux-pensionnaires-30432/print/1 2/2
Déjà réputée pour sa surcharge, El Harrach a accueilli près de deux cents personnes depuis la fin du mois de mars dernier. Ici, croupissent depuis plusieurs
mois quatorze anciens ministres, dont deux ex-chefs du gouvernement, des walis dans leur majorité, trois P-dg de banques nationales, douze hommes
d’affaires considérés comme étant le noyau dur de l’oligarchie bâtie durant le règne de Bouteflika et une cohorte de cadres, fonctionnaires d’institutions, de
banques ou d’entreprises étatiques et privées poursuivis pour complicité avec leurs patrons ou pour abus de fonction.
Les noms qui figurent sur cette liste exhaustive constituent le fruit de la lutte anti-corruption déclenchée moins d’une semaine après la chute des Bouteflika.
Une autre liste s’y est cependant ajoutée : celle des détenus d’opinion, de militants et de manifestants incarcérés pour avoir bravé l’interdiction de porter le
drapeau amazigh durant les manifestations du vendredi et du mardi. Soixante-deux personnes sont concernées. Vingt-deux manifestants arrêtés ce week-end
ont été placés sous mandat de dépôt, dimanche, et transférés eux aussi à El-Harrach.
La qualité de tous ces nouveaux détenus, leur nombre et les perspectives de voir la liste des prisonniers s’élargir ont rendu obligatoire le réaménagement du
bâtiment.
La première mesure a été prise cet été avec le transfert d’une grande partie des détenues femmes vers d’autres prisons du pays. Récemment, décision a été
prise de transférer tous les prisonniers ayant fait l’objet d’une condamnation définitive vers d’autres pénitenciers. Plusieurs d’entre eux ont été placés dans le
centre de détention de Koléa, un lieu sur lequel commence cependant à peser également une grosse pression car constituant la seconde destination prise par
les prisonniers incarcérés dans le cadre des évènements que traverse le pays.
Des détenus célèbres au nom bien connu s’y trouvent déjà : Karim Tabbou, Skander, Ould Abbès et ses acolytes… Dans les tout prochains jours, les autorités
pénitentiaires d’El-Harrach vont également procéder au transfert des détenus ayant introduit un pourvoi en cassation, «une procédure connue pour être lente
et qui peut prendre des mois, voire des années», nous dit-on à ce propos. Comme tous les détenus concernés par ces transferts, ils ignorent encore où ils
seront emmenés. Des sources bien informées indiquent qu’ils seront dispatchés à travers les grandes prisons du pays : Berrouaghia, Chlef, Tizi-Ouzou,
Lambèse et probablement Oran.
Les dispositions prises dans cette nouvelle situation ne s’arrêtent pas là. Le pénitencier d’El-Harrach est également soumis à des travaux de réaménagement
devant permettre aux nouveaux pensionnaires de purger leur peine dans des conditions «correctes». Un sujet sur lequel intervient
Me Miloud Brahimi qui déclare : «Il est vrai qu’une prison reste une prison, mais je témoigne : tout est fait en général, et à El-Harrach en particulier, pour
que les droits des détenus soient sauvegardés et que leur détention se déroule dans de bonnes conditions.»
Les réaménagements en question consistent, nous dit-on, à élargir les ailes où sont conduits les nouveaux détenus et y placer naturellement des sanitaires et
des douches. Les autorités pénitentiaires ont été également amenées à réorganiser la programmation des droits de visite et des heures de parloir.
Contrairement aux détenus de droit commun, les anciens ministres, hauts responsables et les membres de leur famille également incarcérés communiquent
avec leurs avocats ou leurs proches à des horaires différents de ceux des autres prisonniers. Les hommes d’affaires, ceux que l’on appelle les oligarques, les
plus connus sont soumis au même régime.
Le système est à ce moment très rigoureux. Aucune communication, même avec un autre avocat n’est tolérée. Des connaissances d’anciens ministres venus
rendre visite à leur proches incarcérés se sont vu ainsi refuser catégoriquement le droit de saluer Abdelmalek Sellal récemment. L’ancien chef du
gouvernement et les ex-ministres détenus sont maintenus dans un état d’isolation quasi permanente. Pour des raisons de sécurité, nous dit-on, ces derniers ont
été placés dans des ailes «à part», des cellules où ils sont regroupés à plusieurs, loin des détenus de droit commun qui séjournent dans des salles beaucoup
plus vastes et surtout plus peuplées. Ces salles, apprend-on, sont aussi celles où séjournent tous les cadres et directeurs généraux incarcérés.
Le nombre et la qualité des nouveaux pensionnaires d’El-Harrach impliquent aussi une affluence record de visiteurs les jours de parloir, et décision a été
prise de renforcer le dispositif de sécurité mis en place tout autour d’une prison qui continue à attirer un grand nombre de curieux…

 

 

 

 

 

 

 Le chef d’état-major l’a affirmé

«On a déjoué le complot»

Qui peut expliquer certaines «poussées de fièvre» et des actions fomentées par des groupes, dont on ignore la véritable obédience… ?

«Nous avons préservé ensemble les institutions de l’Etat»«Nous avons préservé ensemble les institutions de l’Etat»

A revoir les séquences du «feuilleton» algérien de ces sept derniers mois, l’on ne peut que se féliciter de voir que les choses n’aient pas dérapé. La détermination des Algériens à garder intact leur mode de vie pour se donner, disaient certains, du souffle, renseignait plutôt sur leur grande vigilance. Tout le monde doit se souvenir des premiers pas dans les rues des villes et villages du pays. Les appréhensions étaient grandes et ce n’était pas une vue de l’esprit. Les Algériens, les services de sécurité et l’ANP ont très justement su déjouer des tentatives de faire embraser la situation. Personne n’en parle ces dernières semaines, mais l’on ne doit pas oublier les tentatives d’investir la présidence de la République, les appels à la désobéissance civile, les provocations dont se rendaient auteurs des groupes de jeunes à l’endroit des forces de l’ordre.
à ce jour d’ailleurs, personne ne peut expliquer certaines «poussées de fièvre», la simultanéité de quelques actions fomentées par des officines, dont on ignore, à ce jour, la véritable obédience. De même qu’on ne parvient pas à trouver le «chaînon manquant» de ce long, très long mouvement populaire. Les explications politiques foisonnent, mais personne n’a été capable de produire une lecture «opérationnelle» de l’ensemble des évènements qui ont fait l’actualité algérienne. Le civisme des Algériens aura certainement été un puissant antidote au «poison» que l’on a tenté d’introduire dans le corps social. Mais en même temps, l’attitude responsable et patriotique des services de sécurité et de l’ANP a très largement contribué à «annihiler» les effets attendus dudit poison.
Aujourd’hui, près de 7 mois après l’éclatement de la colère citoyenne, on en est encore à se demander, «par quel miracle le pays tourne encore?». La réponse à cette question se trouve, à n’en pas douter, dans le discours d’hier du chef d’état-major. En affirmant qu’«un complot se tramait en secret contre l’Algérie et son peuple», Ahmed Gaïd Salah apporte l’explication «opérationnelle» qui manque à toute analyse à froid de ce qui se déroule sous nos yeux, depuis bientôt sept mois. «Nous avons dévoilé ses tenants et aboutissants au bon moment», a annoncé le vice-ministre de la Défense qui ne manque pas de souligner : «Nous nous sommes engagés devant Allah et la patrie, d’accompagner le peuple et les institutions de l’Etat et nous avons tenu parole.» La parole tenue est une réalité du moment. Et pour cause, même si certains «observateurs» s’amusent à mettre le pacifisme du Mouvement populaire au seul crédit des manifestants, il est cependant indéniable qu’au sommet de l’Etat, il existe une véritable volonté de protéger les Algériens.
Dans d’innombrables autres pays, pareil fait est inexistant. Aucun gouvernement n’a supporté plus de cinq ou six manifestations avant de donner l’ordre de charger. En Algérie ce ne fut pas le cas. Et ce n’est pas par «peur», mais par souci de déjouer le piège. Cependant, ce serait faire montre de «paternalisme» stérile que de se suffire de protéger, sans alerter sur le danger. Les discours du chef d’état-major auront justement eu ce rôle. «Nous avons adopté, en nous adressant aux fidèles citoyens de cette chère patrie, un discours clair et franc, tel que nous l’a appris notre glorieuse Révolution de Libération». Le propos de Gaïd Salah est, en effet clair et même si la franchise du propos a provoqué de «l’urticaire», chez certains, il aura eu le mérite de dire les choses comme elles devaient être dites. L’homme n’est pas un politique et n’a jamais l’intention de le devenir, mais sa mission l’a mis au-devant de la scène et il a dit avec ses mots, ce que les Algériens étaient censés entendre.
Hier, après toutes les réactions qu’ont suscité ces discours, le général de corps d’armée a affirmé : «Nous avons préservé ensemble les institutions de l’Etat et sauvegardé leur bon fonctionnement.» Dans le mot «ensemble», il y a tous les Algériens, indépendamment de leur qualité civile ou militaire. Cela pour dire que le complot existe, qu’il a été combattu, que les citoyens, l’armée et les services de sécurité ont joué, chacun son rôle, mais que la bataille n’est pas finie. Il faut dire néanmoins que le «pays se dirige avec force et constance vers un avenir meilleur», comme le souligne le chef d’état-major. L’avenir commencera par la présidentielle du 12 décembre prochain, qui se trouve être «une grande opportunité pour transcender cette phase charnière et construire son avenir prometteur en toute liberté et conscience», souhaite Gaïd Salah.

s  boucetta

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Manifestation d\'étudiants contre la tenue de l\'élection présidentielle. Alger, le 17 septembre 2019. 

 

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La prison d’El-Harrach s’adapte à ses nouveaux pensionnaires
L’afflux important de nouveaux détenus au pénitencier d’El-Harrach a contraint les autorités compétentes à procéder à des réaménagements et à la prise de
décisions qu’impose désormais la nouvelle situation.
Abla Chérif - Alger (Le Soir) - Une situation incroyable, difficile à imaginer quelques mois auparavant et qui fait par conséquent peser une très grosse
pression sur la plus célèbre prison d’Alger.
19/09/2019 https://www.lesoirdalgerie.com/actualites/la-prison-del-harrach-sadapte-a-ses-nouveaux-pensionnaires-30432/print/1
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Déjà réputée pour sa surcharge, El Harrach a accueilli près de deux cents personnes depuis la fin du mois de mars dernier. Ici, croupissent depuis plusieurs
mois quatorze anciens ministres, dont deux ex-chefs du gouvernement, des walis dans leur majorité, trois P-dg de banques nationales, douze hommes
d’affaires considérés comme étant le noyau dur de l’oligarchie bâtie durant le règne de Bouteflika et une cohorte de cadres, fonctionnaires d’institutions, de
banques ou d’entreprises étatiques et privées poursuivis pour complicité avec leurs patrons ou pour abus de fonction.
Les noms qui figurent sur cette liste exhaustive constituent le fruit de la lutte anti-corruption déclenchée moins d’une semaine après la chute des Bouteflika.
Une autre liste s’y est cependant ajoutée : celle des détenus d’opinion, de militants et de manifestants incarcérés pour avoir bravé l’interdiction de porter le
drapeau amazigh durant les manifestations du vendredi et du mardi. Soixante-deux personnes sont concernées. Vingt-deux manifestants arrêtés ce week-end
ont été placés sous mandat de dépôt, dimanche, et transférés eux aussi à El-Harrach.
La qualité de tous ces nouveaux détenus, leur nombre et les perspectives de voir la liste des prisonniers s’élargir ont rendu obligatoire le réaménagement du
bâtiment.
La première mesure a été prise cet été avec le transfert d’une grande partie des détenues femmes vers d’autres prisons du pays. Récemment, décision a été
prise de transférer tous les prisonniers ayant fait l’objet d’une condamnation définitive vers d’autres pénitenciers. Plusieurs d’entre eux ont été placés dans le
centre de détention de Koléa, un lieu sur lequel commence cependant à peser également une grosse pression car constituant la seconde destination prise par
les prisonniers incarcérés dans le cadre des évènements que traverse le pays.
Des détenus célèbres au nom bien connu s’y trouvent déjà : Karim Tabbou, Skander, Ould Abbès et ses acolytes… Dans les tout prochains jours, les autorités
pénitentiaires d’El-Harrach vont également procéder au transfert des détenus ayant introduit un pourvoi en cassation, «une procédure connue pour être lente
et qui peut prendre des mois, voire des années», nous dit-on à ce propos. Comme tous les détenus concernés par ces transferts, ils ignorent encore où ils
seront emmenés. Des sources bien informées indiquent qu’ils seront dispatchés à travers les grandes prisons du pays : Berrouaghia, Chlef, Tizi-Ouzou,
Lambèse et probablement Oran.
Les dispositions prises dans cette nouvelle situation ne s’arrêtent pas là. Le pénitencier d’El-Harrach est également soumis à des travaux de réaménagement
devant permettre aux nouveaux pensionnaires de purger leur peine dans des conditions «correctes». Un sujet sur lequel intervient
Me Miloud Brahimi qui déclare : «Il est vrai qu’une prison reste une prison, mais je témoigne : tout est fait en général, et à El-Harrach en particulier, pour
que les droits des détenus soient sauvegardés et que leur détention se déroule dans de bonnes conditions.»
Les réaménagements en question consistent, nous dit-on, à élargir les ailes où sont conduits les nouveaux détenus et y placer naturellement des sanitaires et
des douches. Les autorités pénitentiaires ont été également amenées à réorganiser la programmation des droits de visite et des heures de parloir.
Contrairement aux détenus de droit commun, les anciens ministres, hauts responsables et les membres de leur famille également incarcérés communiquent
avec leurs avocats ou leurs proches à des horaires différents de ceux des autres prisonniers. Les hommes d’affaires, ceux que l’on appelle les oligarques, les
plus connus sont soumis au même régime.
Le système est à ce moment très rigoureux. Aucune communication, même avec un autre avocat n’est tolérée. Des connaissances d’anciens ministres venus
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été placés dans des ailes «à part», des cellules où ils sont regroupés à plusieurs, loin des détenus de droit commun qui séjournent dans des salles beaucoup
plus vastes et surtout plus peuplées. Ces salles, apprend-on, sont aussi celles où séjournent tous les cadres et directeurs généraux incarcérés.
Le nombre et la qualité des nouveaux pensionnaires d’El-Harrach impliquent aussi une affluence record de visiteurs les jours de parloir, et décision a été
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