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LA GRÈVE DE LA COORDINATION DES SYNDICATS AUTONOMES PERCEPTIBLE EN MILEU HOSPITALIER
LA SANTÉ GRIPPÉE |
A l'appel de la Coordination nationale des syndicats autonomes, la grève dans la fonction publique a été, selon ses initiateurs, une grande réussite. «Le taux de suivi dans le secteur de l'Éducation nationale a été de l'ordre de 70%, alors que le secteur de la Santé a été totalement paralysée avec un taux de suivi avoisinant les 90% », nous a déclaré, hier le porte-parole de la coordination Meziane Meriane. Un constat que nous avons nous-mêmes établi après vérification lors de notre virée dans la capitale en cette première journée de grève qui s'étalera jusqu'au 11 de ce mois. Les établissements hospitaliers, du moins ceux que nous avons visités à l'image de l'Hôpital Parnet ou celui de Mustapha Bacha ont été tout bonnement paralysés. «Aucune consultation, aucune intervention ne sont inscrites pour aujourd'hui (hier). Tous les médecins et autres maîtres-assistants ont répondu favorablement à l'appel de la grève. D'après les premiers échos qui nous sont parvenus, même les structures limitrophes ont été paralysées par ce mouvement de protestation», nous a indiqué sur les lieux Allouache Rafik, maître-assistant et membre du Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique. Pour ce dernier les pouvoirs publics, par leur politique de la sourde oreille faite à nos revendications des plus légitimes, sont à l'origine de ce nouveau bras de fer. Explication : «La tutelle a renvoyé nos doléances aux calendes grecques.
Amokrane Hamiche
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LA DIVERSITÉ FRANÇAISE EN QUESTION
Un Noir à la Maison Blanche, pourquoi pas un Arabe à l’Elysée ? |
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PANNE TECHNIQUE SUR LE VOL FRANKFURT-ALGER
L’avion dérouté sur Marseille |
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ABDEREZAK BOUHARA À PROPOS
DE LA RÉVISION DE LA CONSTITUTION |
«LA FIN DU BICÉPHALISME
AU NIVEAU DE L’EXÉCUTIF» |
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| Intervenant, hier, sur les ondes de la radio nationale chaîne III, le président de la commission mixte du Parlement chargée de la révision de la Constitution, Abderezak Bouhara, a indiqué, au sujet de l’amendement de la loi fondamentale, que le nouveau texte y afférent «permettra une application cohérente et efficace des décisions». Ainsi, la suppression du poste de chef du gouvernement et son remplacement par celui de Premier ministre mettra fin au bicéphalisme au niveau de l’Exécutif. «Les amendements apportés ne portent atteinte ni aux principes fondamentaux qui régissent le pays ni aux droits et libertés des citoyens», a, en outre, soutenu M. Bouhara. |
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| Propos légers |
| N’allez surtout pas contredire cette affirmation exhibée par les mauvais perdants. Si elle était vraie, comment le Président n’aurait pas eu recours cette fois-ci au référendum ? Si toutes les consultations étaient entachées d’irrégularités, que le trafic soit un jeu d’enfant, pourquoi y renoncer ? On aurait pu obtenir tout autant des résultats préfabriqués. L’essentiel est heureusement ailleurs. Le nouveau projet introduit ainsi plus de lisibilité dans la répartition des pouvoirs. La création d’un poste de Premier ministre qui appliquera le programme du président de la |
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République élimine une source de dilution des responsabilités. L’existence d’un poste de chef du gouvernement, qui peut être issu d’une majorité parlementaire que celle du Président, s’avérerait dans notre contexte contreproductive. On n’a pas encore la culture de la cohabitation. Le processus de démocratisation a davantage besoin d’être apaisé, enraciné et conforté et ne pas s’égarer sur les chemins des ressentiments politiques. La révision partielle de la Constitution ouvre la voie à l’expression de la volonté populaire. Au niveau |
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des assemblées élues, du Parlement, les mandats électifs ne sont pas limités. Seul compte le choix du peuple. Nous n’avons pas affaire à ces régimes qui ont mis en place le système des «républiques héréditaires». Le choix en Algérie appartient au peuple qui doit se prononcer en toute souveraineté. Il ne s’agit pas de se mettre à sa place ; de croire qu’il partage nos choix et nos options. Il s’agit d’abord de créer les conditions d’une compétition saine et transparente où le meilleur l’emportera.
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| H. Rachid. |
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| ALGÉRIE-JORDANIE |
Le roi Abdallah II en visite
de travail aujourd’hui à Alger |
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Le souverain du royaume hachémite de Jordanie, Abdallah II Ben al-Hussein Ben Tallal, effectuera, aujourd’hui, une visite de travail en Algérie à la tête d'une importante délégation, à l'invitation du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, indique hier la présidence de la République dans un communiqué. Cette visite s'inscrit dans le cadre de la tradition de concertation et de coordination entre les dirigeants des deux pays frères sur la situation dans le monde arabe et les questions d'intérêt commun aux plans régional et international, précise la même source. |
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ZERHOUNI RENDANT HOMMAGE
AU P/APC ASSASSINE DE TIMEZRIT |
«On a visé les meilleurs de ceux qui pouvaient
réussir la construction démocratique» |
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| SELON LE PDG D’AIR D’ALGÉRIE |
| Le vol inaugural Alger-Pékin le 22 avril prochain |
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