Les (non) secrets du sprint jamaïcain Article : Leslie Djihone: «Mon objectif c'est la finale»
REUTERS ¦ Le sprinter jamaïcain Usain Bolt, vainqueur du 100m en finale des JO de Pékin, le 16 août 2008 Envoyé spécial à Pékin
Avec sa tignasse et sa barbe blanche, impossible de manquer Herb Elliott dans les sous-sols moites du «Nid d’Oiseau» de Pékin. Usain Bolt vient de pulvériser le record du monde en reléguant ses adversaires à deux dixièmes, en chambrant, Alors le médecin–chef ne se fait pas prier pour vanter aux nombreux journalistes qui attendent le phénomène les secrets du sprint jamaïcain |
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Après les médaillés, le tableau des dopés
REUTERS/Wolfgang Rattay ¦ Station de contrôle du dopage, au centre national aquatique, ou Water Cube, le 5 août 2008 à Pékin.
Pour les JO de Pékin, le Comité international olympique a prévu de sortir l’artillerie lourde en matière de lutte contre le dopage. Les instances dirigeantes vont diligenter plus de 4.450 contrôles sur les 10.500 athlètes présents à la compétition . Cela représente un quart de tests en plus comparé à Athènes (26 cas positifs) et presque deux fois plus qu’à Sydney.
Il faut dire que le monde olympique doute. Le sprinteur Asafa Powell s’est récemment satisfait en affirmant qu’à chaque course, il devait laisser derrière lui des athlètes dopés et Christine Arron a publiquement déclaré que les athlètes américaines ne devaient pas boire la même chose qu’elle. Même le très prude Jacques Rogge, le président du Comité international olympique (CIO), a estimé qu’au moins 40 contrôles seraient positifs à Pékin.
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Georgie: le retrait russe serait pour lundi
Dimitar Dilkoff AFP ¦ Blindé russe sur la route du village géorgien d'Igoïeti, à environ 30 km de Tbilissi.
«Le retrait des forces russes de Géorgie commencera lundi» a déclaré le président russe Dmitri Medvedev dans une conversation téléphonique avec son homologue français Nicolas Sarkozy, a annoncé le Kremlin. Cette annonce intervient après que le Président français «a mis en garde» Medvedev «contre les conséquences graves qu'une non-éxecution rapide et complète de l'accord aurait sur les relations de la Russie avec l'Union Européenne».
Les Russes avaient affirmé dimanche avoir entamé un retrait graduel de Géorgie et avaient été aussitôt contredits par Tbilissi. La police géorgienne était dimanche toujours interdite d'entrée à Gori, ville stratégique géorgienne occupée par les forces russes, qui patrouillent encore les rues.
Plus tôt dans la matinée, le secrétaire du Conseil de sécurité de Géorgie, Alexandre Lomaïa, avait affirmé que les forces russes continuaient dimanche à fortifier leurs positions en Géorgie, loin de la région séparatiste d'Ossétie du Sud et malgré le cessez-le-feu prévoyant leur retrait. «Il n'y a aucun signe que les Russes planifient leur retrait. Au contraire, ils multiplient leurs points de contrôle et fortifient leurs positions», a-t-il déclaré.
un cessez-le-feu «fragile»
Selon un accord de cessez-le-feu négocié par le président français, les troupes russes devaient en effet se retirer du territoire géorgien. Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a estimé tôt dans la matinée que le cessez-le-feu était «fragile» en Géorgie et souhaité l'envoi «au plus vite» d'une force internationale de maintien de la paix, dans un entretien au «Journal du Dimanche».
La chancelière allemande Angela Merkel qui a fermement défendu l'intégrité territoriale de la Géorgie face au président russe, Dmitri Medvedev vendredi à Sotchi (sud de la Russie) est attendue à Tbilissi dimanche après-midi.
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